Deux Salauds, Une Femme, Un Cocu 2
Je moccupe à rassembler en cave les instruments de ma vengeance. Je la veux terrible. « IL FAUT SAVOIR IMAGINER! », je partage lopinion de René. imagine la nécessaire punition: elle sera dissuasive pour les deux salauds et pour celle qui se laisse faire. Blaise est un connaisseur et sait flatter; Thérèse ne doit pas être insensible aux compliments:
- Tu as de jolies fesses bien rondes, et lillet de ton cul se cache en profondeur. Pour le nettoyer avant la visite nous exigeons une entrée avenante; je lui verse un peu de cognac. Après je lècherai le liquide avec plaisir dans cette coupe improvisée. Tu as un vrai cul à claques, on ne va pas se gêner.
- Aïe, ça déborde, oh! Lalibala, ça me brûle la moule. Aïe! Tu es fou! Arrête de verser de lalcool
- Cest un excellent remède contre les irritations. Reçois mes soins avec reconnaissance au lieu de brailler. Tu ne vas pas pleurer pour deux gouttes égarées sur ta chatte. Henri, passe moi ton tube de lubrifiant, je veux planter une phalange dans son derrière. Ça va, ce nest pas douloureux, ma chère? Dommage que ta cramouille te fasse souffrir, Henri avait une pommade qui chauffe et excite les plus frigides.Ce sera pour la prochaine fois. Reçois la deuxième phalange. Je vois que tu tends tes fesses pour faciliter linvasion, bravo ma poule. Et voilà, trois phalanges ont disparu, je nai plus de majeur, il est englouti dans tes entrailles. Cest bon?
Thérèse grogne, elle doit avoir la bouche pleine du vit impressionnant du complice. Blaise a déclaré que son ami navait rien à lui envier en longueur ou en épaisseur. Hervé possède donc un gros machin et le bourre dans la bouche jusquaux couilles. Les borborygmes de ma femme sont révélateurs de lenvahissement par un long et gros calibre. Le mâle lexhorte à plus de participation.
- Sers-toi de tes mains, masturbe-moi, vas-y, secoue et serre; je sens monter la sauce!
Blaise nest pas en reste:
- Tiens, je te pousse deux doigts dans le cul.
- Mon cochon, cest de la salope de chez salope. Quelle pompe à foutre! Si tu ne voulais pas toujours être le premier, jaurais aimé lenculer maintenant, je suis chaud, bouillant.
- Viens, je vais lui donner la becquée, perce lui le muscle,sodomise la, le terrain est prêt, je lui ai bien défoncé la rose, elle tattend.
Je nentends pas Thérèse. Elle subit passivement ou profite en silence. Tout à coup elle crie, Hervé a le sphincter et sest projeté dans ses intestins. Elle râle des ho, des han, elle sanglote. Blaise se marre :
- Je tavais prévenue, Hervé est baraqué de la queue comme tu las remarqué en le suçant. Ne tendors pas, suce-moi les roubignoles. Allez.
- Ah! La vache, un cul serré, brûlant. Jadmets que tu sais choisir tes femelles. Celle-là cest la meilleure. Elle soulève son bassin, soffre, elle se tend pour ne rien perdre, pour permettre daller plus loin à chaque poussée de ma mèche
AHHHH! Jexplose. ..Quand tu entreras, attention à ne pas glisser dans mon jus. Quest-ce que ça fait du bien de se vider au chaud. Rends-moi la bouche, il faut quelle me nettoie la queue.
- On pourrait faire une pose entre deux sodomies. Quand vous me rabotez les fesses, ma peau se tire et mes grosses lèvres se tendent, ça commence à faire mal.
- Fais pas ta chochotte. Tu nes pas épaisse mais tu es solide. Cinq minutes de pince nichons vont te reposer. Sur le dos. Un peu de cognac sur la poitrine, je suce le sein gauche et Hervé soccupe du second. Ses gémissements encouragent les voyous et trahissent le plaisir de Thérèse au bord de lorgasme. Comme dhabitude, on tourne la clé, son moteur démarre et elle ronronne. Ils lont chauffée, elle a beaucoup bu et la volupté lemporte sur tout, elle ne pense plus, elle jouit. Je croyais jusquà cet instant être le maître de sa jouissance.
- Pas de suçons ou Paul va sen rendre compte. Blaise, ne mords pas, tu es fou, comment expliquer des traces de dents à mon mari sil les découvre?
Elle est déterminée à continuer et ne veut pas éveiller mes soupçons. Si javais des doutes elle devrait cesser de recevoir Blaise et ses copains.
Le dernier hurlement signale lentrée de la massue de Blaise dans lampoule de Thérèse Demain lirritation sera passée du vagin à lextrémité du tube digestif et elle inventera une théorie scientifique pour mexpliquer la transmission du mal dun trou à lautre; les deux ou trois centimètres de distance entre le vagin et le trou du cul ne protège pas lautre de linfection venue de lun! CQFD !. En attendant depuis quelques minutes Thérèse ponctue chaque coup du pieu qui lui distend la rondelle dun gros soupir, dun gémissement dintensité croissante: elle résiste au choc, elle se force à accueillir lenvahisseur au prix de leffort et leffort est bruyant.
Les bruits se rapprochent, se font plus fréquents et plus intenses; lallure augmente. Lenculeur en plein travail de forage lui aussi souffle fort, accompagne, en basse, la mélopée de ma femme. Le piston pénètre et sort, le pubis de lhomme martèle les fesses éveillées par des gifles précédemment, Jenrage dentendre les bruits humides. ..Tout se tait.
- Ma fille tu as du mal à jouir du cul. Pfou
. Je me suis vidé dans tes boyaux. Ça fait du bien. Il faut que tu connaisses le bonheur extrême. Hervé est couché sur le dos, dau en berne. Réveille son envie et assieds-toi sur sa banane. Nous nous relaierons dans ta superbe croupe aussi longtemps quil le faudra pour temmener au ciel.
- Je nen peux plus. Épargnez moi.
- Alors dépêche-toi de jouir. Laisse-toi aller, ne te retiens plus, livre toi entièrement,le plaisir viendra de surcroît.
Lautre aussi débite ses salades de jouisseur :
- Lève tes fesses, laisse-toi retomber, remue, accélère. Vas-y.
Blaise veut sa part:
- Ça ne tempêche pas de me polir la lance, fais-la reluire avec la bouche.
Lance le galop. Et ton irritation, satténue-t-elle?
- Non, ne touche pas !
- Lave-toi la bouche, bois un verre pour nettoyer ta gorge. Quoi le cognac te brûle? Cest dans la tête. Avale
- Quest-ce que tu fais? Laisse mon berlingot en paix, tu las promis.
La voix de Thérèse laisse sentir une frayeur subite. Elle vient de comprendre que sa soumission passive nest pas une protection contre les abus de son amant. Quelle ne compte pas sur le complice, il attend son tour.
- Juste une lichette sur lextérieur du bonbon. Si cest douloureux jarrête, promis !. Continue à monter et à descendre sur la tige. Hervé tient lui solidement les hanches et aide le mouvement. Tire son dos sur tes pectoraux et défonce-lui le fondement. Comme ça elle a la bonne position. Empoigne ses nichons et coince-la.
La douleur a été hurlée. Instinctivement je me jette dans lescalier. Thérèse crie, elle pleure, elle a mal. Je les vois.
Ils sont empilés. Elle est sur lenculeur, maintenue par les bras qui la ceinturent. Blaise la couvre et la baise en con à coups répétés, sans ménagement. Il a oublié ses promesses; Il rit du bon tour et se moque des cris abominables comme de lan 40. Il ne lui a pas demandé sa permission. Il a plongé sur larc tendu du ventre femelle cloué sur Hervé et il a propulsé par surprise sa matraque dans la quetsche irritée mais béante. Elle est en sandwich et les percutions bilatérales la secouent sans égard pour ses protestations.
Les mâles en rut précipitent la bousculade. Je vois les deux bites jumelles entrer et sortir puis rentrer dans les orifices et revenir et repartir, les assauts de lun concurrencent les élans de lautre, ils rattnt le temps perdu, lancés comme des fous en quête dun orgasme qui devrait sublimer la douleur. La suppliante est ballottée et sépoumone en vain. Elle gigote des bras et des jambes, mais reste prisonnière entre ses deux bourreaux, rivée sur leurs harpons durcis. ancrés dans ses orifices. Elle brûle, elle réclame la fin de la . Pour ne pas ameuter les environs Blaise étouffe dune main ferme les exclamations de la malheureuse. Mais les ruades samplifient, Hervé lenvoie vers le haut, Blaise lécrase vers le bas.
Jamais elle na refusé de se laisser prendre, jamais elle na invoqué sa fidélité au mariage ou son amour de moi. Son seul souci était de ne pas avoir mal.
Si elle avait dit:
- Laissez-moi tranquille, je ne vous aime pas, je suis amoureuse de mon mari, je ne veux pas mamuser avec vous,
je leur tomberais dessus, je les assommerais à coup de gourdin.
En fait de gourdins, elle sest soumise à leurs fantaisies, sest laissée tripoter, embrasser, caresser les seins, la croupe, elle les a sucés longuement, complaisante mue par le seul désir de ne pas souffrir. Elle sest laissée sodomiser avec un naturel surprenant. Leurs gourdins la pilonnent maintenant par-dessus et par-dessous. Ces deux gros porcs lui infligent la punition que je naurais ni le courage ni la cruauté de lui imposer. Naïve, elle a cru les avoir apitoyés. Elle paie son erreur., coincée entre les deux, pénétrée désormais en vagin au prix dinsupportables sensations de déchirement. Je lui souhaite de retrouver ses esprits, de mesurer lhorreur de la trahison de son Blaise dominateur sans pitié. . Ses gémissements fendraient lâme des curs les plus endurcis Mais ces deux pourfendeurs nont aucune pitié, ils sacharnent, mais atteignent lorgasme avant elle en hoquetant.
Enfin Blaise sarrache à sa proie et sécroule à côté delle. Son sperme sort blanchâtre du con rouge sang, coule en un long filet glaireux vers la jonction du vit dhervé à son tour animé par les giclées de foutre dans le cul de ma femme, allongée comme un pantin désarticulé sur ce nouvel amant. Hervé se délivre de son poids, la repousse en avant, de sorte quelle sallonge, tête-bêche, et vient poser son visage écarlate, recouvert de sueur, sur labdomen de lautre, nez collé au membre en détumescence. Lalcool ingurgité et les excès sexuels ont raison de leur désir. Ils sont fatigués mais ne renoncent pas.
- Ne tinquiète pas Nervé, tu auras ton tour par ce trou, plus tard. La nuit sera longue. Elle nest pas morte finalement, elle fait trop de manières pour des picotements. On va la dresser. Laissons la dormir. Et toi Thérèse, pourquoi ne nous as-tu pas dit que Paul ne reviendrait pas aujourdhui. Tu vas payer ce mensonge par omission.
Je nentends pas linterpellée, elle est affalée sur le corps fatigué, et hume endormie les odeurs fortes du sexe recroquevillé. Ils ont baisé, ils baiseront encore, donc ils peuvent sassoupir sans se laver. A moi de jouer. Ils sont affaiblis, trop confiants; lheure du règlement de compte a sonné. Deux lâches qui nt dune femme seule méritent un châtiment exemplaire. Jai assisté à une abomination, je suis remonté à bloc et je vais les surprendre.
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