La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1042)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE) (suite) -
Il abandonna mon clitoris et deux de ses doigts pénétrèrent sans précaution dans mon antre en feu déjà fort trempée
- Détends-toi dit-il, laisse-toi aller aux délices de lexcitation que je timpose.
Tout en me « travaillant » de façon incroyable, Monsieur le Marquis me lança :
- Ce que je fais nest pas pour toi, cest pour Moi, je me sers de toi pour Mon plaisir, cest juste pour te montrer ce que tu es en train de devenir, une esclave, Mon esclave, que je peux utiliser à Ma guise comme je veux, quand je le veux et de la façon que je veux.
A ces mots et alors que jallais craquer, il se retira complètement et me laissa dans un manque absolu de jouissance, au bord du gouffre essoufflée
- Mons
Monsieur le Marquis, je
- Maître dit-il, appelle-moi, désormais Maître
- Maî
Maître
sil vous plait
- Quoi, sil vous plait ?
- Jai envie.
- Ah ! Cest bien que tu aies envie parce quainsi tu es encore plus mienne. Car désormais, je contrôlerai ton plaisir et donc ta sexualité
Regarde là-bas !
Tournant les yeux, je vis sur une tablette débène, un collier et une laisse.
- Va la chercher et apporte la moi !
Hypnotisée par ses mots, obnubilée par son autorité, jobtempérais sans discuter et comme je my rendais debout :
- A quatre pattes, comme la chienne que tu es en train de devenir
Arrêtée dans mon élan, ces mots me tournèrent la tête tel un bon verre de vin, comme enivrée et deux sifflements se firent entendre à nouveau, deux coups de cravache vinrent à nouveau orner mon fessier un sur chaque fesse. Tandis que je sentais la brûlure cuisante sur ma croupe :
- A quatre pattes, ai-je exigée
Une fois à quatre pattes et alors que javais commencé davancer, le Châtelain me prit par les cheveux me stoppant net et les tirant sans ménagement en arrière.
- Tu as encore désobéi, tu dois donc être punie, cest la règle. Tu vas recevoir cinq coups de cravache sur chaque fesse, tu devras compter toi-même les coups, en cas derreur de compte, je recommence depuis le début.
- Oui Monsieur le Marquis.
- Oui qui ?
- Pardon, Oui Maître
- Deuxième erreur, donc deux erreurs, cela fait 10 coups par fesse.
Les cheveux toujours tirés en arrière, fortement, il me fit cambrer les reins le plus possible en appuyant de toutes ses forces son pied dessus. Ainsi offertes, mes fesses attendaient.
- Un - Deux (Les sifflements me faisaient ressentir comme coupée en deux, je me retenais de crier) - Trois - Quatre. Mon dieu, vais-je tenir ? (Je tentais de me calmer par la respiration) - Cinq - Six ahhhhhhhhhhhhhhhhhh, jai mal, pensais-je en silence - Sept. (Les coups étaient donnés parfois rapprochés, parfois un temps se passait entre deux) - Huit, neuf, dix onze, douze, treize, quatorze
- Combien en reste-t-il ? La chienne ?
- (Reprenant mon souffle) 6 Maître.
- Perdu, ce qui reste nest pas de ton ressort mais exclusivement du mien, tu nas à décider de rien. Encore une faute, résultat ?
- Maître, sil vous plait !
- Décidément tu es têtue, toi ! Il me plait en effet de te traiter comme je le fais et tu las accepté.
Passant ses doigts le long de mes lèvres vaginales, il ramassa ma cyprine abondante quil présenta devant mes yeux :
- Quest-ce que cest ça ?
- De la mouille, Maître.
- Bien, cest ta mouille, non ?
- Oui Maître, ce que je te fais te fais donc mouiller ?
Pas de réponse de ma part. Un sifflement sabattit sur mes reins me coupant cette fois-là en deux
- Oui Maître, javoue en être fortement excitée
.
- Cest le comportement, la réaction normale de la véritable chienne qui sommeille en toi
Je vais poursuivre ta punition première, ensuite tu recevras la seconde
- Oui Maître.
Il reprit les coups sur les fesses, beaucoup plus forts. Je tremblais, des larmes me vinrent aux yeux qui devenaient aussi humide que mon sexe. Une fois les coups terminés, il me présenta ses doigts enduits de ma glaire
- Nettoie mes doigts, salope !
Je les léchais, cétait la deuxième fois que je goûtais ma propre cyprine. Puis il me fit me relever après avoir attrapé le collier et la laisse. Revenu en face de moi, il me regardait tendrement et me dit :
- Il est inutile de résister à ce que tu es, tu es née esclave, tu deviendras esclave mais à une seule condition.
- Laquelle Maître ? (Une autre gifle arriva)
- Tu ne parleras uniquement que quand je te laurai permis.
- Oui Maître, dit ai-je sans prononcer ces deux mots mais juste par un signe de tête affirmatif et silencieux.
Je restais ainsi, debout, les mains derrière la nuque, il passait ses doigts le long des zébrures de mes fesses, ce qui me brûlait fortement mais en même temps, ses doigts de la main droite, me pénétraient à nouveau, plus profondément cette fois. Ils visitaient chaque recoin de mon vagin, avec méthode et à nouveau mon envie de jouissance me reprit encore plus forte que la première fois. Jétais sur le point de céder quand il se retira à nouveau portant à mes lèvres ses doigts maculés. Après avoir de nouveau léché ses doigts, il plaça le collier autour de mon cou et y fixa la laisse quil laissa tomber entre mes seins.
- Je vais sortir ma chienne dans un moment mais avant je dois à nouveau la punir.
- Oui Maître, répondis-je dun signe de tête silencieux.
- Tends bien tes seins
- Oui Maître, répondis-je dun signe de tête silencieux.
Je mattendais à la suite mais il partit derrière moi. Je nosais pas me retourner quand subitement un voile sabattit sur mes yeux. Il me bandait les yeux, ne voyant plus rien, je sentis un mélange dappréhension et dexcitation supplémentaire.
- Jaime te voir ainsi, le clitoris bien érigé, prêt à me servir, et ta chatte gonflée denvies non assouvies. Tu es une belle chienne en cours de dressage
Sa phrase avait le ton de la question mais je fis mine de ne pas lavoir compris et ny répondis pas. Je résistais encore. Toujours debout, yeux bandés, jentendais comme une sorte de meuble que lon pousse sur des roulettes. Le Châtelain se plaça derrière moi, menlaça dans ses bras, déposant de petits baisers dans mon cou, léchant et mordillant mes lobes doreilles, tandis que ses mains soupesaient mes seins, titillaient mes tétons, descendaient vers mon nombril, le clitoris raidi. Je fondais denvies, de désirs torrides. Puis, avec douceur mais fermeté, sa main se posa sur ma nuque, me faisant comprendre de me pencher en avant, ce que je fis. Dans cette pose, le sachant derrière moi, jimaginais aisément ce quil devait regarder. Je sentis quil écartait mes fesses, ses doigts commençant de titiller mon anus qui immédiatement par réflexe, se serra. Mais rapidement, je me détendis et son doigt entra sans ménagement et profondément me fouillant honteusement, longuement... Le doigt magique du Noble massait mes parois anales en profondeur, passant lentement sur chacune delles. Monsieur le Marquis allait et venait par son doigt inquisiteur, lenfonçant le plus loin possible. Cela me provoquait des petits spasmes qui me remontaient tout le long de mon échine. Je mouvris plus, mon anus se dilatait doucement, cétait bon, excitant...
Un doigt dans mon cul, alors quun autre, son pouce, massait lextérieur de mon anus, juste au-dessus de celui-ci par de petits cercles qui parfois étaient appuyés et dautres fois juste caressants. Je ne restais pas insensible à cet excitant traitement. En effet, jécoutais lappel de mon corps, celui de mon bas-ventre qui shumidifiait encore plus abondamment au rythme des allers et venues de ce prodigieux doigt menculant avec tant de savoir-faire.
(A suivre
)
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