Aventure Au Bois De Boulogne
Je suis une transsexuelle de cinquante ans, hormonée, non opérée, avec un joli 95B naturel et des formes assez généreuses.
Ma crédibilité féminine nest jamais mise en doute, ce qui est très confortable, à contrario de mon âge que personne ne veut croire, et comme jai de long cheveux ondulés, un joli visage, une bouche en cur et de grands yeux bleus, on peut dire que jai en plus la chance de plaire très souvent aux messieurs.
Jadore écrire mais mon imagination, bien que débordante, se limite aux écrits classiques, sans avoir jamais pu trouver la capacité à sexprimer dans lérotisme.
Je ne suis pourtant pas une sainte, mais lorsquil sagit décrire ne serais-ce que des fantasmes, je cale rapidement.
Cest pourquoi, puisque je suis par contre très capable de relater des faits réels, jai décidé de réaliser certains de ces fantasmes et envies, puis de les écrire pour les partager, et ce texte sera donc le premier de la liste.
Je décide donc aujourdhui, dimanche 24/09/2017, de suivre un parcours au bois de Boulogne en partant de la porte Dauphine pour faire le tour du lac principal, et en joggant (un peu), empruntant les chemins des bois.
Je porte un string rose fluo, un caleçon de sport moulant rose tigré noir à mi-mollet et un débardeur en lycra gris sans soutien-gorge.
Jai pris une petite veste de jog blanche au cas où sil fait frais et je voyagerai avec un trench-coat anthracite.
Jai mis des baskets plus propices au jogging et pris un petit sac à dos noir pour transporter le nécessaire, tickets de transport, identité, lunettes de soleil, une petite bouteille deau et bien sur gel et capotes.
Il est 7h00, je recharge un peu mon tel que jai oublié de mettre en charge et jy vais.
Arrivée porte Dauphine, jai plié mon trench-coat et ma veste dans le sac et ai attaché celui-ci sur mon dos.
Jai alors pris le sentier de forêt à gauche de la route de Suresnes qui mène au lac en joggant légèrement.
Je navais pas fait 100 mètres que jentendis plusieurs « Pssst ! Pssst ! » venant de derrière.
Je ralentis pour finalement me mettre à marcher tranquillement.
Jentendais des pas se rapprocher mais ne me retournais pas, feignant de ne pas avoir entendu et ralenti aux appels.
Arrivé à ma hauteur par la gauche, jentendis : « Hey joli ton legging ma belle, tas un beau boule dedans ».
Seulement là je tournais la tête vers lui et pu le voir.
Cétait un rebeu dans les 20/25 ans, look de cité, en jogging bleu marine, de peau assez foncée.
Je lui souris et le remerciais pour le compliment.
Javais bifurqué vers le sentier le plus éloigné de la route et le lieu était totalement désert et plutôt à couvert.
Il enchaîna alors en riant que mon legging était beau mais trop serré et que ce nétait pas bon pour le sport.
Je lui demandais donc ce quil me conseillait de faire et il me dit que je ferai mieux de lenlever un peu « pour faire respirer tout ça ».
Jouant lingénue je lui demandais si il était sur et il acquiesça vivement.
Je marrêtais alors et entrepris dôter le legging, mais, équilibre oblige, il se présenta pour faire appui et en profita pour tâter mes fesses.
A présent debout et en string, il me demanda si je nétais pas mieux et je répondis timidement que oui.
Il sapprocha alors face à moi et sans un mot souleva mon débardeur au dessus de mes seins nus, les empoigna fermement et se mit à en téter un quil tenait, tandis que son autre main vint à la rencontre de mon entrejambe.
Rapidement, ses doigts se glissèrent dans le string et il extirpa mon sexe et mes couilles en les malaxant.
Il se redressa et appuya fermement avec ses mains sur mes épaules, me forçant à me mettre à genoux.
Il baissa son jogging et apparu une grosse queue très sombre, presque noire au gland marron foncé, circoncise et très nervurée, quil saisit et appliqua aussitôt sur ma bouche.
Je louvris donc et avalais cette bite épaisse et longue en léchant consciencieusement le gros gland.
Il murmurait des « Allez suces bien salope, mmmm cest bon caresses mes couilles » et aussi « tes un bon travelo bouffeur de bites je tai capté direct, une bonne grosse pute à arabes ».
Je pompais fermement et nentendis pas quun joggeur arrivait par derrière en voyant la scène.
Il passa à petite foulée et je ne le vis que lorsquil atteint notre niveau, ce qui me surpris et me fis faire un léger mouvement de recul, mais le rebeu pris mes cheveux et menfonça à nouveau sur son sexe.
Lhomme sarrêta et revins lentement sur ses pas pour mater la scène.
Le rebeu lui dit alors : « tiens vas-y fais toi pomper moi je vais lui casser son cul » et il se retira de ma bouche pour se décaler, tandis que très vite lautre pris sa place et baissa son legging de sport en lycra et son slip.
Je navais même pas eu le temps de voir son physique et de si près je ne pouvais voir que sa queue qui se déroulait par lexcitation tandis quil la frottait sur mon visage.
Elle était moins longue mais encore plus épaisse que celle de lautre, qui était à présent affairé derrière moi sur ses genoux.
Il baissa mon string et me fis me cambrer en mappuyant sur le bassin, et jentendis quil ouvrait une capote et lenfilai.
Le joggeur me mis sa bite en bouche et le rebeu cracha sur mon cul pour lubrifier mon trou.
Il en força lentrée lentement mais sûrement, marrachant quelques petits gémissements, surtout lorsque cest tout son gros membre qui senfonça jusquà la garde.
Il tenait fermement mes hanches en me pilonnant brutalement, lançant à son complice de fortune quil fallait quil mencule sans faute « vu comment mon gros cul était bon à niquer ».
Je suçais avec application malgré les coups de boutoir qui faisaient claquer mes fesses contre ses hanches et il finit par se cabrer en râlant à couvert, tandis quil se vidait dans son préservatif au fond de mon cul.
Il se retira, et en deux temps trois mouvements il partit, non sans mavoir gratifiée dune tape sur le cul et dun « merci grosse chienne ».
Je me retrouvais seule à sucer linconnu, qui soudain mappuya sur la tête pour me pencher en levrette, visage au sol hyper cambrée, et partit se placer derrière moi.
Mais alors que je mattendais au même traitement que précédemment, je sentis une main ferme saisir mon sexe et mes couilles et les tirer fort vers larrière et lhomme dire : « mais tes un gros PD en fait toi ! Une pédale déguisée en gonzesse... je me suis fait sucer par une tarlouze ! ».
Jeu un peu peur pendant un moment car il me tirait très fort sur les couilles, mais il relâcha et me demanda si javais une capote parce quaprès tout, au point où il en était, il allait menculer pour ne pas mourir idiot.
Jen pris une dans mon sac et la lui tendis par derrière sans me retourner à sa demande.
Il lenfila, me sodomisa sans ménagement et sans un mot, mécartelant lanus avec son pieu très large, en me faisant râler la tête dans les feuilles mortes.
Il joui dans un grognement sourd et se releva en mintimant de ne pas bouger.
Je restais donc, ainsi le cul cambré et sûrement très dilaté, jambes écartées les couilles pendantes, les seins aplatis sur le sol humide.
Avant de repartir, il dit : « tiens PD, ça cest pour mavoir trompé sur la marchandise » et je sentis dinterminables jets de pisse brûlante venir sépandre sur mon cul, mon entrejambe, mon dos et jusquà mes cheveux.
Il se rajusta et reparti.
Je me relevais alors un peu endolorie, des filets durine ruisselant sur mon visage par ma tignasse imprégnée, mon petit haut et mon string complètement trempés de pipi odorant.
Jhésitais à rentrer après cette séance, en enlevant le top pour ne porter que la veste et sans culotte sous le legging, mais jétais très excitée malgré tout par cette humiliation.
Je remis donc juste le legging, difficilement car jétais mouillée, et gardais le string et le top trempés avant de reprendre ma course.
Plus loin je croisais pas mal de marcheurs et joggeurs qui pour certains semblaient mobserver assez fixement au passage.
Arrivée vers le bout du lac, je pris le chemin den faire le tour par lautre rive, toujours par les bois, et de ce côté la forêt était bien plus dense et moins fréquentée, avec des sentiers étroits qui semblaient mener vers des coins encore plus denses.
Fatiguée de jogger, je marchais tranquillement et en marrêtant je pus comprendre pourquoi on me regardait parfois avec insistance.
Le débardeur trempé de pisse et la transpiration ne cachait rien de mes seins nus à présent moulés à lextrême et les tétons très apparents.
Mon entrejambe humidifiée par le string formait une auréole et mes cheveux était très mouillés.
Tout ceci pouvait être pris pour un excès de sudation, mais cétait quand même assez voyant.
Je bifurquais alors par un sentier étroit et tombais sur une drôle de hutte de fortune fabriquée à laide de branchages et dun genre de bâche disposée comme un toit, sous laquelle jentendais des voix.
Prenant garde de ne pas déranger une éventuelle réunion qui ne me regardais pas, je tentais de passer à proximité sans bruit, mais les craquements étaient inévitables et le visage dun homme noir se montra soudain dans ma direction qui en cherchait lorigine.
Il dit quelque chose que je ne compris pas et cest quatre blacks qui sortirent de la cabane.
Aussitôt je les saluais et annonca que je ne faisais que passer sans vouloir les déranger.
Ils me dévisagèrent et sapprochèrent en me disant que non, que jétais la bienvenue parmi eux et minvitèrent à faire une pause pour me reposer.
Je refusais poliment, prétextant que je nétais pas fatiguée mais ils me ceinturaient à présent, et un pris mon bras sans brutalité mais avec fermeté pour minciter à les suivre.
Je tentais de me dégager doucement de cette emprise mais un autre me saisit lautre bras et ils mentraînèrent vers la cabane de branches où je pénétrais en baissant la tête. Au sol se trouvait un vieux et grand matelas sur lequel je fus invitée à masseoir.
Je massis donc un peu inquiète et ils firent de même très souriants, me disant quil fallait que je me détende car cétait juste pour partager le verre de lamitié.
Ils étaient tous en survêtements et joggings, et deux bouteilles de whisky trônaient dont une à demi vide dans un angle.
Un pris un gobelet neuf et le remplit presque à ras bord de whisky et me le tendis, tandis que les autres se servaient.
Jexprimais en riant jaune ma légère désapprobation sur le breuvage alcoolisé pour faire du sport et la quantité dans le verre, mais il insista en me disant que je ne voulais certainement pas les vexer en refusant le verre de lamitié.
Alors on trinqua en se présentant et, étais-ce la fraîcheur qui se ressentis une fois posée sans mouvement ou la gorgée dalcool fort que je dus ingurgiter, mais jeus un grand frisson qui me parcouru lépine dorsale et me fis tressaillir, à leur grande hilarité devant ma grimace qui laccompagna.
Jallais reposer mon verre, mais mon voisin qui me lavais tendu men empêcha, en minvitant à le terminer « pour me réchauffer ».
Sollicitée par les quatre hommes de manière enjouée mais déterminée à ce que jobtempère, je fus e de boire tout le verre.
En effet une grande chaleur menvahissait à présent, et ils commencèrent à me poser plein de questions, doù je venais, ce que je faisais dans la vie, si javais un mari etc.
Ils plaisantaient beaucoup, me faisaient beaucoup de compliment sur mes yeux, mes cheveux, mon sourire et ma bouche, ainsi que sur mon corps et mes formes.
Puis il me resservi un plein verre et ils mencouragèrent à le vider dun coup, comme ils sapprêtaient à le faire avec les leurs, mais je prétextait que cela ferait bien trop pour moi, déjà que le précédent risquait davoir des effets sur moi.
Ils ne lentendirent pas de cette oreille et mon voisin pris le verre dune main et de lautre me saisi par larrière du cou sans brutalité mais fermement, lamenant à ma bouche.
Je refusais à nouveau en maintenant les lèvres fermées, mais la pression sur mon cou se fit très insistante, et je dus ouvrir la bouche où il déversa lalcool doucement et régulièrement pour que javale les gorgées brûlantes, tandis que les autres disaient « allez allez ! ».
Javais la gorge en feu, et je sentais lébriété grimper en flèche à chaque minute qui passait.
La tête me tournait et je ressentais une sensation de chaleur dans tout le corps.
Je ne pris même pas conscience quils mavaient resservie et me laissais à nouveau remplir la bouche de ce whisky bon marché en métouffant presque parfois sur des gorgées.
Jétais à présent complètement éméchée et ma vision se troublait presque.
Je sentis que des mains me caressaient les seins et on me retira mon top, les bras levés.
Ils parlaient à voix basse et je me retrouvais allongée en arrière sur le matelas.
Des mains défaisaient mes chaussures, une langue senfonça dans ma bouche et mes seins étaient malaxés dans tous les sens.
Je sentis quon tirait sur le rebord de mon legging et il me fut retiré en même temps que le string.
Quelques murmures me parvinrent où jentendis le mot « trans », mais on me déplaça en longueur sur le matelas et on mécarta les jambes pour avoir accès à mon cul et des doigts commencèrent à me titiller lanus.
Javais la tête qui tournait tellement que je perdis léquilibre lorsquils me retournèrent pour me positionner en levrette mais ils assurèrent la position.
Un vint se placer assis face à moi et me poussa le visage sur son gros sexe tout raide et ses couilles.
Il sentait très fort de lentrejambe mais je me mis à les lui lécher docilement.
Des mains me trayaient les seins comme des pis de vache en étirant les tétons et une bouche trempée se mit à me dévorer le cul.
Lhomme que je léchais saisit sa bite pour me la mettre en bouche et je le suçais comme je pouvais, malgré la tête qui me tournait comme jamais.
Des sons de capotes que lon ouvre, et une première grosse bite se présenta sur mon orifice visité il y a peu.
Elle y entra sans trop de difficulté et lhomme se mit à me limer le cul lentement, prenant le temps dentrer patiemment son membre jusquau bout.
Une autre bite encore plus odorante pris la place du premier dans ma bouche, lui à genoux et me relevant la tête et les épaules pour pouvoir emboucher sa grosse queue encore à demi molle, qui ne tarda pas à memplir la bouche tellement elle était large.
Je recevais régulièrement des claques modérées sur les fesses et les seins, et celui qui me sodomisait accéléra le mouvement, avant de laisser sa place à un autre, qui senfonça avec empressement dans mon trou du cul dilaté.
Il haletait en me bourrant les fesses, et se plaça à califourchon sur mon cul pour limer plus loin et plus fort.
Sous ses mouvements puissants, mon corps entier était secoué et mes seins, ma petite queue et mes couilles étaient ballottés de partout.
Parfois, je prenais soudain conscience que jétais en train de me faire baiser sans retenue par quatre inconnus qui mavaient saoulée de force, mais lalcool reprenait le dessus et je mabandonnais à cette situation.
Ma bouche arrivait à peine à accueillir lénorme queue de celui qui bandait à présent comme un cheval, et celui qui me baisait laissa sa place à un troisième, qui mencula avec autant dardeur que lui.
Je ne sentais presque plus mon anus tellement ils le démontaient avec fougue, et cest enfin celui que je suçais avec tant de peine qui vint se placer derrière moi.
Il me poussa à plat ventre, se coucha sur moi de tout son poids et plaça son gland sous plastique entre mes fesses.
Je ne pus retenir un petit cri lorsque celui ci se fraya un chemin dans mon trou pourtant très dilaté.
Il plaqua sa main sur ma bouche et je sentis son énorme tige senfoncer dans mes entrailles.
Les yeux révulsés, un énorme râle étouffé par sa paume, javais limpression quun bras entier avait pénétré mon cul.
Il fit quelques va-et-viens tandis que les autres maintenaient mes cuisses bien écartées, puis se souleva sur ses bras et se mit à me défoncer de plus en plus fort.
Sa masse faisait claquer mes grosses fesses bruyamment et je sentais mon trou de balle totalement écartelé.
Il ralentit enfin et se retira et présenta en riant à ses complices mon trou probablement béant en mécartant les fesses.
Puis ils me forcèrent à me redresser à genoux, la tête en arrière et la bouche grande ouverte, et se masturbèrent jusquà jouissance, en arrosant mon visage et ma langue de grosses giclées de foutre chaud.
Ils me laissèrent ainsi, un réflexe mayant faite ramener mon sac contre moi, allongée nue sur ce matelas car la tête me tournait encore trop.
Je dus massoupir un court moment, ou au moins délirer par lalcool, parce que je fus réveillée par un sexe qui se frayait un chemin entre mes fesses, en position de cuillère lhomme dans mon dos, une cuisse relevée.
Je ne résistais pas, les volutes de lalcool encore trop présentes, mais lorsque son gland pénétra sans encombre mon orifice hyper dilaté, je sentis quil navait pas de capote et le repoussait un peu en en cherchant une dans mon sac.
Il lenfila et me baisa comme une chienne à quatre pattes, en me traitant de pute et reparti.
Je me rhabillais alors que la tête me tournait moins et je sortis de ce baisodrome en marchant doucement.
Je pus reprendre la totalité de mes esprits en cours de chemin pour rentrer, sentant le sperme et la pisse, les tétons distendus ultra sensibles, et le trou du cul explosé.
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