La Voyageuse

Depuis quelques mois, je prends régulièrement le même train pour aller bosser au centre d’affaires de la Part Dieu. Il y a une bonne demi-heure de trajet et je pense que c’est par habitude que je prends toujours la même place dans la même voiture.
C’est facile car c’est le départ du train… Je n’ai que l’embarras du choix. En plus j’habite quasiment en face de la gare et lorsque j’arrive à Lyon, je n’ai que dix minutes à marcher pour arriver au pied de cet immeuble que les lyonnais surnomment « le crayon »
Ainsi je n’ai pas à subir le tracas des trajets en voiture, fatigants et stressants au possible : Bref… l’idéal…

Le printemps est terminé et les premiers jours d’été sont particulièrement chauds…
Le train de nouvelle génération est climatisé… ce qui est très bien… Au premier arrêt il y a toujours pas mal de monde et je ne sais si elle fait exprès : la même jeune femme vient toujours s’installer en vis-à-vis…
J’ai pris l’habitude de la saluer par politesse avant de replonger dans le journal acheté au kiosque de ma gare de départ…
De son côté, suivant les jours elle alterne lecture et tricot ! Curieux, les femmes ne tricotent plus guère !

Les jours passant, nous en restons là… à nous observer discrètement.
C’est une femme à qui je donne au maximum 35 ans, au demeurant très jolie dans son discret tailleur style « executive woman » qui change tous les jours…
Elle a un visage ovale encadré par des cheveux bruns avec des reflets cendrés tombant sur les épaules, des yeux verts d’une beauté absolue et des lèvres minces toujours légèrement fardées.
Elle doit mesurer un peu plus d’un mètre soixante dix et ne porte que des chaussures à talon très réduit mais je la soupçonne d’avoir d’autres chaussures dans la besace qu’elle porte généralement sur l’épaule gauche !
Peu à peu, nous en venons à échanger quelques banalités… le temps qu’il fait, les contraintes des trajets… puis nous parlons un peu de nous et de notre travail…

Elle dirige un service d’une entreprise pharmaceutique bien connue dont le siège social est à Lyon.

Cependant elle regrette le relatif anonymat dans lequel elle évolue… Il n’y a de la place que pour les chercheurs et les commerciaux !
De mon côté, à presque 40 ans, je travaille comme dessinateur dans un cabinet d’architectes qui occupe plusieurs étage de la tour Crayon. C’est un travail très technique qui me plait bien… et la bande de collègues que je dirige est très sympa !
Une bonne ambiance au boulot… c’est toujours top !



C’est justement un vendredi soir où nous avions fêté plusieurs anniversaires que l’histoire prend une tournure particulière…
Je me hâte vers la gare pour attr le dernier train… Il y a peu de monde sur les quais et dans ce train…
Soudain au moment où le signal de fermeture des portes retentit, qui vois-je arriver et s’affaler sur la banquette en face de moi : mon « executive-woman » !
- Ouf… j’ai réussi à l’avoir !
- De justesse en effet !
- Oh oui… J’ai sprinté dans les couloirs !
- Reprenez-vous… Maintenant installez-vous tranquillement… et prenez votre tricot… Je vois les aiguilles que pointent hors de votre sac.
- Non… pas ce soir… je suis trop énervée… La journée s’est prolongée plus que de raison !
- C’est un peu comme moi… Nous avons fêté l’anniversaire de trois collègues et je me suis sauvé juste à temps pour moi aussi avoir mon train !
- Vous avez bien de la chance ! Chez nous l’ambiance est de plus en plus pourrie !



Ce n’est pas la première fois où nous conversons ainsi mais ce soir, je sens que ma compagne de trajet a envie de se confier…
- J’en ai marre de ce boulot à la c… qui me prend tout mon temps… Le weekend, je suis tellement crevée que je n’ai le courage à rien… C’est tout juste si j’arrive à faire l’entretien de mon grand studio…
- Effectivement ce n’est pas cool… Vous n’avez personne dans votre vie ?
- Oh non… Pendant plusieurs années j’ai eu un compagnon mais il ne me trouvait pas assez disponible… Il a fini par me quitter !
- Mais comment peut-on quitter une aussi jolie femme ?
- Vil flatteur !
- Mais non, je vous trouve très jolie et sexy !
- Arrêtez… Je ne suis pas jolie…
Je n’insiste pas et jusqu’à sa gare d’arrivée, nous n’échangeons plus rien…
Dix minutes plus tard, mon train arrive à son terminus…



Nouvelle semaine semblable aux précédentes… avec la même compagne de voyage…
- Alors ce weekend ? Bien reposée ?
- Bof… j’ai voulu changer la déco du studio mais je ne sais pas bricoler… J’ai des tringles à rideau à poser…
- Si j’osais, je me proposerais de le faire un de ces soirs…
- C’est gentil…Vendredi soir je rentre plus tôt…
- Moi aussi, je termine à 15 heures ! Alors rendez-vous à 16 heures 30… mais où ?
- Voila mon numéro de portable et mon adresse…
Et elle descend du train…


Plus que quelques jours à attendre !
Le vendredi, je passe rapidement à la maison, je prends tout ce dont je pense avoir besoin pour bricoler et je prends la route pour la petite ville voisine…
Je trouve rapidement le domicile de Marie-Dominique dans une maison ancienne qui a été transformée en petits appartements.



Passons rapidement sur l’installation prévue…
Le grand studio est un véritable cocon plein de douceur… un nid d’amour pour une colombe bien seule…
Justement, cette colombe s’est transformée chez elle : plus de tailleur B.C.B.G. mais un pantalon de jogging noir très ajusté qui moule au plus près ses hanches et des petites fesses bien rondes… Des mules à haut talon et un T-shirt noir également…
Waouh… Je découvre sous le vêtement des seins libres de toute entrave dont les tétons se dessinent sous le tissu !
En moi-même, je pense que son ex a eu bien tort de laisser tomber une si jolie femme…
Et le pire, c’est que j’ai le regard littéralement attiré par sa poitrine…
- Arrête de me mater comme çà… Tu me gênes…
- Pourquoi je ne regarderais pas ce que je trouve beau ! Tu ne voulais pas me croire quand je disais que tu étais jolie…
- Tu es un vilain flatteur… On dirait que tu me dragues…
- Pourquoi pas… Toutes les femmes sont sensibles aux compliments…
- Arrête ton char !
- … … … …

Nous sommes passés au tutoiement de la manière la plus naturelle…et je demande alors :
- Çà te dit un pti resto en tête à tête pour finir la semaine ?
- Non… Je n’ai pas envie de me changer et de sortir… Du chinois, çà te convient ?
- Oui… Absolument…
- Alors je commande pour être livrée vers 20 heures !
- Ok… çà marche…

Marie Do met de la musique en sourdine : du jazz New Orléans ! J’adore…
Comment a-t’elle deviné ? Et elle s’esquive en me disant qu’elle doit passer dans la salle de bains…
Pendant ce temps, je sirote une bière bien fraîche…
Quelle n’est pas ma surprise lorsque un bon quart d’heure plus tard je la vois arriver vêtue d’un kimono de soie beige avec des broderies orientales, une ceinture en tissu nouée serrée autour de la taille et le visage fardé comme je ne l’ai jamais vue…
Je ne peux retenir un sifflement d’admiration…
- Regarde ce qu’une amie partie vivre au Japon m’a envoyé il y a quelques jours… C’est la première fois que je porte cette tenue…
- Elle te va très bien et met ton visage en valeur ! J’ai un peu honte de ma tenue… À côté de toi, je fais négligé…

Lorsque le repas est livré, elle l’installe rapidement sur la table basse de son salon… et m’invite à m’agenouiller sur un épais coussin alors qu’elle en fait autant de son côté en disant :
- J’aime bien manger ainsi… J’ai découvert cette façon de faire lors d’un voyage en Asie il y a quelques années…

Au cours du repas elle me raconte diverses anecdotes sur ce voyage et j’en fais de même sur mon récent voyage aux Antilles à l‘époque du Carnaval.

Mais parfois, je perds le fil de a conversation… quand Marie-Do se penche et que par l’entrebâillement de la veste, j’aperçois la courbe d’un sein…
- Mais dis donc Jérémy… tu me sembles un fieffé coquin !
- Tu crois ? Aurais-tu quelque chose en tête pour avoir enfilé des vêtements aussi sexy ?
- Oh non… Simplement voulu essayer cette parure !
- Et bien, elle te va à ravir !
- Tu n’es qu’un vil flatteur !
- Pourquoi ? Je dis ce qui est : je te trouve belle, attirante, sexy…
- Bah… je dois avouer que tu n’es pas mal non plus !

Le repas est terminé… Je me lève et contourne la table et en me plaçant dans le dos de Marie-Do, je glisse mes mains dans son décolleté.
- Je vais aller cueillir ces deux beaux fruits qui m’ont tourné la tête. Ils seront peut-être mon dessert…
- … … … …
- Qui ne dit mot consent ! Viens, lève-toi !
- … … … …
- Je sens que tu vas te laisser faire !
- Oh… oui… Tu as envie de moi ! J’ai bien vu tes coups d’œil dans le train… Ils disaient plein de choses… Ton désir de mieux me connaître… Et bien moi aussi, j’ai envie de toi… Çà fait si longtemps qu’un homme n’a plus caressé mon corps…
- Alors n’attendons plus !
- Viens dans la chambre ! Nous serons mieux !

C’est ainsi que je me retrouve dans la chambre de Marie-Do… Waouh, une bien jolie chambre… un peu moins féminine que son séjour mais visiblement aussi confortable…
Il n’y a qu’un lit immense avec deux chevets… les murs sont garnis de placards aux portes en miroir et une porte donne directement dans la salle de bains dont l’éclairage se répand également dans cette chambre… la teintant d’une couleur ambrée renvoyée à l’infini.
Nous nous enlaçons… Je sens contre mon torse le doux volume des seins bien fermes… Que c’est bon…
Moi aussi, cela fait un temps certain que je n’ai plus tenu de femme dans mes bras… Et là, j’ai une femme consentante à tout ce qui va se passer…
Je presse le pubis de Marie-Do contre le mien pour lui faire sentir le désir qui est monté en moi…
Puis elle glisse ses mains entre nous deux pour défaire ma ceinture et faire glisser dans un même mouvement mon jean et mon caleçon…
Elle a quelques temps d’avance sur moi…
J’achève d’ôter tous mes vêtements avant de déshabiller ma future maîtresse qui rapidement m’apparait dans toute sa splendeur.

- Tu disais ne pas être jolie… Je ne sais pas ce qu’il te faut… Beaucoup de femme voudraient être comme toi !
- Non, j’ai toujours eu des complexes…Pendant mon adolescence, j’étais petite et plutôt ronde… ce qui fait que je subissais les sarcasmes des copines qui m’avaient surnommé BOUBOULE. Certes depuis j’ai changé mais je suis toujours autant intimidée lorsque je me trouve nue devant un homme… et cela m’est arrivé rarement !
- Tu n’as pas à avoir de complexe… Regarde tes seins, ronds et fermes, accrochés bien haut sur ta poitrine… Tu a un très joli visage… En plus tes hanches sont bien dessinées sous une taille assez étroite…
- … … … …
- Je ne comprends pas… Tu fuyais mes compliments alors qu’ils étaient sincères… Certes, je ne pensais pas qu’un jour nous serions nus face à face !
- Tu es gentil… Je sens que tu as envie de moi… moi aussi, j’ai envie de faire l’amour… Je suis à toi !

Bras et jambes mêlés, pubis contre pubis, nous basculons sur le lit…
Nos mains courent le long de nos corps pour une mutuelle découverte… Le corps souple et chaud de Marie-Do se love sous le mien…
Mon sexe se loge dans sa fourche intime tout juste ombrée d’une fine toison…
Je retarde le moment où j’entrerai dans ce sexe que je sens humide et chaud…
J’embrasse et mordille les seins pour en faire saillir les tétons…
- Oh oui… Mange-moi…
- J’arrive…

Notre étreinte commence dans un position des plus classique…
Mon sexe va et vient dans celui de Marie-Do… qui comme je le soupçonnais, est chaud et accueillant…
Je me retiens en sentant la jouissance de ma partenaire arriver… puis nous jouissons pratiquement en même temps…
- Oh… que c’est bon de te sentir jaillir en moi…*
- Crois-tu que nous n’avons pas pris de risques ?
- Non, je ne suis pas en période féconde, je suis clean et toi aussi je pense ?
- Oh… Tu n’as rien à craindre !
- Alors ne nous privons pas !

Là-dessus Marie-Do me fait basculer sur le dos et commence à me chevaucher telle une amazone…
Mon sexe qui a à peine débandé, est encore en elle et elle sait y faire pour faire renaître ma bandaison… Je sens ses muscles intimes masser ma hampe…
- Oui…Continue… c’est bon !
- Oh oui, je vais te faire exploser à nouveau… Sens comme nos fluides se mélangent !

La vision de Marie-Do qui se reflète à l’infini dans les miroirs achève de faire monter mon excitation…
Je sens mon sexe reprendre du volume et la montée de la jouissance se répandre dans mes reins.
- Je vais venir…
- Moi aussi… Lâche toi !

C’est dans un rugissement de plaisir partagé que je jaillis une seconde fois dans le sexe de Marie-Do et je m’affale sur son buste…
- Merci… C’était bon… Çà faisait si longtemps que je n’avais plus fait l’amour…
- C’est moi qui te remercie… Sentir mon sexe éclater en toi… quel pied !

Nous restons ainsi, enlacés de longues minutes… Mon sexe glisse peu à peu hors de celui de Marie-Do et je sens des fluides inonder mon bas ventre…
La cyprine qu’elle expulse mélangée à mes deux éjaculations successives : elle doit en avoir plein la chatte !
- Qu’est ce que tu m’as mis ! Je coule comme une fontaine ! Viens je vais t’essuyer et en faire autant…
- Mais c’est toi… J’avais envie de toi depuis plusieurs semaines et je me demandais comment faire…

Puis Marie-Do se recouche près de moi… Elle se love dans mes bras, ses seins pressés contre ma poitrine…
Je laisse courir une de mes mains dans son dos, au creux des reins et elle se presse encore plus contre moi…
- Attends, je sais ce que je dois faire ! Tu bandes encore à moitié ! J’ai encore envie !
- … … … …

Et là, Marie-Do se glisse sous le drap, rampe jusqu’à mon bassin…
Je sens son souffle sur les poils de mon pubis puis c’est sa bouche qui joue avec mon gland avant d’avaler ma bite au plus profond de sa bouche… Ce n’est pas à proprement parler un gorge profonde car mon sexe est plutôt court et trapu… mais c’est divinement bon !
Ma main posée sur la tête de mon amante, je donne le rythme…
Sa bouche va et vient le long de ma hampe… Sa langue titille le méat…
Bref… Une fellation savante et je ne tarde pas à bander à nouveau comme un cerf en rut !
- Viens… Prends-moi encore !

Marie-Do se met sur le côté en me tournant le dos… Je me colle contre son corps, mon sexe bandé entre ses fesses qu’elle ouvre d’une main comme une invitation…
Je me glisse doucement dans sa raie et pénètre sa chatte par l’arrière.
Aussitôt, elle presse ses fesses rondes et fermes contre mon pubis, trouvant immédiatement la place qui convient… pendant que me main droite s’empare d’un sein pour faire rouler le téton.
Si notre première étreinte était quelque peu désordonnée, celle-ci est empreinte de douceur… Je vais et viens doucement dans ce sexe chaud et humide qui s’offre à moi… C’est bon…
Notre jouissance est un peu plus longue à monter mais lorsqu’elle éclate simultanément chez l’un et chez l’autre, c’est le pied… Je déverse à nouveau de longs traits de semence au fond de ce sexe qui m’accueille…

Et nous sombrons dans le sommeil encore enlacés jusqu’au lendemain matin…
Les rayons du soleil filtrent au travers des rideaux…
Nous n’avons guère changé de position… Marie-Do est dans mes bras, ses fesses contre mon pubis…
Comme souvent le matin, je bande à moitié et là, je sais que je vais encore prendre un pied terrible quand je sens Marie-Do remuer pour faire glisser mon sexe entre ses fesses… et entamer des savantes gesticulations pour « faire monter la sève » !
Nous n’échangeons que quelques mots…
- J’ai envie de toi…
- Moi aussi… Encore… Fais-moi l’amour !
- Aimes-tu la levrette ?
- Oh oui… J’adore !
- Alors mets-toi en position… je vais te satisfaire… J’aime bien aussi !

Marie-Do prend la position, les bras en appui sur la tête de lit en nous regardant dans un miroir placé judicieusement…
Je nous vois… animal fabuleux à deux têtes et aux corps emmêlés…
Je prends sa taille entre mes mains, mon sexe désormais bandé à fond musarde quelques instants le long du périnée et finit par trouver un fourreau chaud et accueillant !
Humm… que c’est bon…
Les fesses rondes et fermes s’ouvrent un peu laissant apparaitre le sphincter qui palpite doucement… semblant appeler…
La copulation commence lentement… puis s’accélère…
- Oui… Baisse-moi bien… Ne nous privons pas…
- … … … …

La respiration de Marie-Do s’accélère… signe que son plaisir monte… comme le mien…
Je caresse ses reins d’une main pendant que l’autre descend sur ses fesses, se glisse dans la raie et va d’un doigt fureter sur le sphincter…
- Oh non… Je ne suis pas habituée… On ne m’a pas souvent prise par là…
- Mais ce n’est pas ce que je veux… Juste te faire partir en même temps que moi… Je ne retiens depuis quelques minutes…
- Alors vas-y… Lâche-toi et inonde-moi de ta semence !

Mes mains reviennent autour de la taille de ma maitresse… Quelques allers retours plus tard, je me déverse à nouveau en elle dans un rugissement de plaisir.

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