La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1043)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE) (suite)
Alors que le plaisir montait de plus en plus, je souhaitais tellement quil me sodomise
Quand il sortit son doigt délicieux et y revient avec deux doigts. Déjà bien ouverte, il maintint louverture des deux doigts et je sentis le froid dun objet se poser sur ma rosette. Il enfonçait délicatement lengin me disant :
- Respire bien, détend-toi, petite chienne
Cest ce que je faisais car lobjet semblait de belle taille. Lentement le gode entrait dilatant de plus en plus mon anus déjà bien ouvert, jusquau moment où le gland en bois dur étant passé, mon cul lavala entièrement. Je sentis lolisbos prendre place, mhabitant pleinement, me remplissant totalement mon fondement
Mon dieu que cétait bon ! Le Châtelain le fit ressortir puis le renfonça à nouveau, jusquà la garde. Durant un long moment il le maintenait par la base appuyant sur celle-ci... Puis il me fit relever et se faisant, je sentais avec encore plus de force, la présence en moi de lobjet bien planté dans mon cul. Javais les jambes écartées mais pas assez au goût du Maître qui mordonna de les écarter encore plus, ce que je fis, tellement je voulais moffrir, me faire prendre. Tous ces mouvements me faisaient sentir lolisbos en moi. Jentendis un petit bruit de roulettes et sentis entre mes jambes, arriver une sorte de table. Le Maître ajusta le tout. Puis sexclama :
- Abaisse-toi, chienne.
Jobéis immédiatement et sentis contre ma vulve un objet.
- Descends encore.
Je descendis lentement en menfonçant sur un gode vaginal et de grand taille me semblait-il.
- Plus profond, jai dit !
Je menfonçais profondément et je sentais en moi mes deux orifices garnis, comblés, encombrés. Bien remplie, jétais comme une bonne chienne en chaleur. Je les sentais même se toucher entre eux au travers de mes parois vaginale et anale.
- Relèves-toi lentement, puis abaisses-toi à nouveau, branle-toi toute seule ton mignon petit clitoris, tandis que jadmire le tableau que tu moffres. Ne retiens pas tes envies mais ne jouis surtout pas, seul Moi peux te le permettre.
Et me voilà, menfonçant, me relevant, réglant mon rythme sur les ordres donnés par le Maître, accélérant, ralentissant, arrêtant même, puis reprenant de plus belle, quand soudain, je sentis des vibrations dans mon bas-ventre. Au début, vibrations douces mais réelles puis de plus en plus fortes. Lensemble des mouvements associé aux vibrations me conduisait imparablement à un orgasme puissant. Ma respiration saccélérait, le Maître le voyait et jouait avec moi.
- Plus vite, ralentis, reprends à nouveau.
Je sentais en moi les deux godes se toucher. Puis subitement
- Ne bouge plus.
- Maî... Maître, jai trop envie !
Comme réponse, un sifflement fendit lair et jeux la sensation de perdre mon sein droit.
- Je te dois ta seconde punition, tu ten souviens ?
- (Reprenant mon souffle mais ne pouvant taire mes larmes) Oui Maître.
Un second sifflement matteignit à nouveau sur le même sein mais plus bas à hauteur de laréole. Méthodiquement, les coups tombaient, le téton lui-même fut servi. Puis ce fut le tour du sein gauche, les coups tombaient comme si il dessinait sur eux un tableau et ça mexcitait encore plus. En effet une fois terminé, jentendis le Maître me dire, maintenant tes seins sont parfaitement décorés. Reprends tes mouvements ! Je me remis en « marche » à nouveau, les vibrations reprirent fortement cette fois, accompagnées maintenant de vibrations anales. La totale en fait. Jentendis le Maître monter sur la table sur moi et dire
- Ouvre la bouche !
Jobéis et sentis Sa grosse verge déjà bien dure senfoncer profondément dans mon gosier. Je hoquetais, manquant m, mais il me tirait fortement la tête en arrière me forçant à le prendre entièrement.
- Jouis maintenant ! Cest un ordre, Ma chienne !
Il ne me fallut même pas une demi-seconde pour réagir, pour obéir, tellement javais besoin de laisser éclater ma jouissance. Alors je jouis comme une bête, je râlais comme une lionne en feu, je me laissais aller entièrement. Jétais couchée sur cette table à me faire ramoner mes deux orifices, je me raidie, gémissant, criant, hurlant mon plaisir de plus en plus fort, sans pouvoir me contrôler. À un moment, c'était comme si je gonflais de plaisir et que jallais éclater, comme un ballon, tellement mon corps était sous très haute pression avec l'accumulation du plaisir (quels instants magiques !). Quand cette sensation déclater a atteint son paroxysme, une gigantesque explosion orgasmique s'est produite en moi, diffusant à la vitesse dun éclair, dans tout mon corps, avec une puissance inouïe et on ne peut plus dévastatrice, tout le plaisir qui s'était accumulé. Il semble que jai poussé un long hurlement 10 fois plus fort que dhabitude. De longues et libératrices décharges électriques orgasmiques irradiaient tous mon corps. Mon cerveau était en ébullition. Le Maître me dit que jétais en transe, tout mon corps tremblait et que ça a duré de longue minutes. Moi, je ne men suis pas rendu compte. Javais presque perdu conscience après ce séisme orgasmique
Revenant doucement à moi, je sentais encore mon corps trembloter. Jétais complètement vidée
mais comblée
Je navais jamais de ma vie, eu un orgasme aussi puissant
- Brave petite chienne, tu es parfaite me dit-il en mordonnant de menlever du gode vaginal.
- A quatre pattes, à présent, je vais temmener pisser maintenant.
Me voilà, à quatre pattes, yeux bandés, suivant le Maître, tentant de descendre lescalier étroit et abrupt en colimaçon, (pas évident) mais il me guidait doucement et nous voilà dehors. Les gravillons me faisaient mal aux genoux mais bon ! Je suivais tant bien que mal. Le froid me saisit et lenvie duriner arriva.
- Pisse maintenant.
- Comment Maître
- Comme le font les chiennes pardi, lève une patte et pisse.
Javais tellement envie que je ne me le fis pas dire deux fois, et de longs jets durines fumants sévacuaient de ma vessie. Tandis que je me secouais la jambe levée pour faire tomber les dernières gouttes. Quand Walter arriva :
- Bonsoir Walter, belle nuit !
- En effet Monsieur le Marquis
- Rien à signaler Walter ?
- Non Monsieur le Marquis, tout va bien ! Sauf quun esclave a cassé un vase de valeur en voulant le dépoussiérer
- Ah ? Et quas-tu choisi comme punition ?
- Une journée au pilori et qui voudra bien lenculer, pourra le faire à volonté durant toute la journée de demain
- Très bien, ça lui apprendra à faire attention
Dur apprentissage, car je compris quil ne valait mieux pas fauter mais en même temps, tout basculait en moi, tout vacillait, prêt à sécrouler. Le Maître souhaita bonne nuit à Walter, puis un coup sur la laisse fut le signal du retour. Revenus dans le bureau, la chaleur de la cheminée me donna des frissons et bizarrement, cette chaleur me fit me sentir bien. Il retira le bandeau. Mes yeux tentaient de shabi à la lumière, alors que je découvrais les traces sur mes seins.
- Tu as été parfaite petite chienne dit le Maître en me tapotant affectueusement les fesses.
Maintenant, je vais te faire ramener chez toi, tu as vu, cette nuit, plus de choses quil y a huit jours.
Jécoutais cet homme, me parler avec une telle assurance, une telle certitude que jen restais sans voix. Toujours nue devant lui, je me trouvais curieusement bien, je ne me comprenais pas, je devenais autre, je me découvrais autre, je perdais pied. Il le sentit, sapprocha de moi, me prit dans ses bras et me dit :
- Nai pas peur de toi, mannequin nétait pas ta place. Ta place est ici et sasseyant, il me fit signe de venir masseoir à Ses pieds.
Instinctivement, je posai ma tête sur son genou et sa main très chaude caressait ma nuque et mes cheveux. Jétais heureuse, comme jamais, jusque-là je lavais été. Puis subitement, il me fit me relever me disant :
- Je te donne jusquà après demain midi ? Tu vas réfléchir à ta destinée. Naturellement tu auras des questions qui te viendront à lesprit. Si tu reviens à nouveau, tu me les poseras et jy répondrai mais déjà, ton retour signifiera ton acceptation pleine et entière à ta nouvelle vie.
- Oui Maître répondis-je, vaincue
mais heureuse
(A suivre
)
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