Accident De Moto (5)
5°) Le retour de Justine
Jeudi matin, la porte de la chambre s'ouvre, bon c'est le petit déjeuner, je ne fais pas attention à la personne qui amène le plateau, je me tourne pour installer la tablette, le plateau est posé dessus et une intuition me fait lever mon regard,
Justine, ma Justine devant moi, toute souriante, les joues rosies de joies. Jen ai le souffle coupé, mon cur bat la chamade :
-Mais, mais..je croyais que ce n'était que demain ?
- he bien joli monsieur, on arrête de bafouiller : je suis une bonne négociatrice. Tu n'es pas content ?
- oh, si encore plus que ça.
Comme d'habitude son côté pro revenait au galop,
- il y a du monde dans le service aujourd'hui et la chef est là, mais je viendrai te faire ta toilette. Et... et... je travaille ce week-end, dit-elle en se léchant les lèvres avec une ferme intention de mexciter.
J'eu droit à un bisou sur les lèvres et elle fit demi-tour en mimant une danse et en chantonnant. Le soleil était rentré dans ma chambre, de superbes journées se préparaient. Elle arrivait assez rapidement pour ma toilette. D'emblée elle allait remplir une bassine d'eau dans la salle de bain., Justine en sortait avec sa blouse grande ouverte sur ses seins nus, quelle surprise, quelle vue magnifique. Elle ne portait quun mini string qui dessinait parfaitement les contours de son sexe.
- je ne peux pas me mettre toute nue comme tu aimes, mais je peux rester ainsi quelques instants, enfin si tu veux.
- ben, non je ne veux pas, dis-je d'un ton humoristique.
- ah oui, elle me prit un bras toujours sous plâtre et se caressa un sein avec mes doigts. Alors c'est toujours non ?
Je ne répondais pas, mais j'agitais mon index pour sentir sa peau, super sensation, quelle douceur, je ne pouvais détacher mon regard de ce sein.
-ouh ouh, camarade, redescend sur terre ! je vais fermer ! dit-elle avec humour. Mais auparavant je vais retirer ce morceau de tissus qui me gêne, jai vraiment repris gout à vivre nue tu sais.
Après avoir caché son string dans sa poche, elle refermait sa blouse. Je la comprenais car il nétait pas question quelle risque son poste en se faisant surprendre. Puis, elle commençait ma toilette.
- Regarde plus bas, chuchota-t-elle avec son air très coquin
Sa blouse n'était pas entièrement fermée et je pouvais entrevoir son pubis en fonction de ses mouvements, elle se dandinait plus que nécessaire pour que sa blouse sentrouvre souvent ! quelle coquine ! Mes yeux scotchés sur son entre jambe, nous avons continué à discuter, je voulais la connaitre plus, savoir quelle vie elle avait.
Elle vivait dans un petit studio isolé dans la propriété de ses parents. Sans problèmes, elle avait un frère et une sur elle était l'ainée de la fratrie. Une scolarité médiocre, elle avait subi du harcèlement à lécole. Un bac obtenu avec rattrapage etc... L'entrée en formation daide-soignante l'avait épanouie, diplôme réussi haut la main. Le métier lui plaisait. Elle avait passé le concours d'entrée à lécole dinfirmière et espérait y rentrer en novembre.
J'appréciais de l'écouter même si mes yeux allaient de son visage à l'ouverture de sa blouse.
- voilà, toilette terminée ! Dis donc tu es malade ou fatigué ?
- Non, pourquoi cette question ?
- Pour rien
- Mais si, dit moi tu minquiètes
- ben, popol a été rudement sage aujourd'hui, et elle éclata de rire, elle aimait appeler mon sexe popol, ça lamusait beaucoup.
- Bon je vais remettre mes sous-vêtements, j'essaierai de repasser discrètement avant de quitter le service. Elle s'activait dans la salle de bain puis quittait la chambre.
- à midi, elle m'apportait le plateau repas, blouse un peu trop ouverte pour que je puisse voir la naissance de ses seins, soutien-gorge un peu apparent. Pas de commentaires car elles étaient deux à servir.
Par contre elle revenait seule le débarrasser :
- J'ai passé un excellent moment avec toi tu sais, grâce à toi je suis en train de revivre, de me sentir belle et de moins en moins complexée
- moi aussi, tu es un rayon de soleil qui entre dans ma chambre
- comment ça un rayon ? je suis le soleil, un large sourire éclairait son visage, allez à demain, et dis à popol de rester sage.
Samedi matin, mon soleil entrait me servir mon petit déjeuner, elle m'embrassait sur la bouche, ses lèvres étaient douces. Son baiser était plus prononcé que les premières fois, elle membrassait vraiment et je sentais sa langue chercher à entrer dans ma bouche pour caresser la mienne. Je la laissais faire évidemment, ce baiser eut pour conséquence directe de me faire bander très rapidement et brutalement.
- Humm il est encore vivant lui, dit-elle en glissant sa main sous les draps, à tout à l'heure, c'est moi qui te fait la toilette ajouta-t-elle en sortant, sautillant comme une petite fille.
Elle revenait une demi-heure plus tard alors que je navais pas débandé
- c'est déjà la toilette ?
- oui j'ai du temps aujourd'hui.
- tu es nue sous ta blouse ?
- eh non, je ne peux pas tous les jours.
Je lui posais brutalement une question qui m'obsédais :
- tu es toujours vierge ?
- heu oui, tu sais je suis un peu fleur bleue, répondait-elle sans hésitation et sans gêne, et j'aimerais offrir ma virginité à l'homme de ma vie. J'ai eu quelques mecs qui m'ont draguée, la plupart voulaient me baisser, et quand je refusais, ils sen allaient, bon débarras. Mais, comme je tai dit, jai quand même déjà vécu la pénétration avec mon petit gode, je ne sais pas si cela sera si différent avec une vraie queue comme la tienne.
- Donc si un jour je veux obtenir le sésame pour entrer en toi, il faut que je devienne lhomme de ta vie ?
- Oui que tu mépouses à léglise et ensuite tu auras le droit à la nuit de noce, elle parlait le plus sérieusement possible mais finissait par pouffer de rire.
- ah bon tu as un petit copain ??
- humm tu es jaloux ? mon ami cest mon joli petit jouet qui me procure du plaisir,
- non je ne suis pas jaloux, tu es libre et je comprendrais que tu tamuses tu en as lâge, et alors ta réflexion ta menée à quelle conclusion
- quand je me masturbais avec mon ami donc, je pensais à ta bite et imaginais que cétait elle qui entrait et sortait de mon ventre. Cette pensée ma fait jouir très fortement. Alors ma conclusion fut rapide, il faut que je goutte ce plaisir.
- pourquoi moi ? pourquoi je te fais changer davis sur te complexe, sur ta virginité
- c'est ton regard qui est différent, je me sens femme et pas simplement un objet sexuel. Même quand tu bloques sur mes parties intimes, cest bien sûr avec de lenvie mais je ne ressens pas de vice, juste de lenvie je me vois belle et désirable dans ton regard. Tu ne m'en as pas voulu de t'avoir laissé avec un sexe bandant, dimanche dernier, tu aurais pu.
Je fus abasourdi par la justesse de ses réflexions, la sentant détendue et sans complexe, je la laissais s'exprimer
- D'ailleurs, je t'ai dit que c'était le premier sexe en érection que je voyais ? Je ne savais pas trop comment faire, pour ne pas paraître idiote, j'ai regardé quelques vidéos porno sur internet, mais c'est trash. J'ai vu quelques trucs, mais j'ai arrêté ça m'avait dégoutée. Quand le moment sera venu, j'arriverais bien à me débrouiller, n'est-ce pas monsieur Bruno. Quand tu m'as dit que ta belle-sur avait sucé ton membre, avalé ta semence, je ne pensais pas que cela existé dans la vraie vie, mais seulement sur le porno.
Elle me regarda longuement, tu vois l'effet que tu me fais, dans quelles réflexions tu me plonge ? Merci de m'avoir écouté, ça me fait du bien. La toilette était finie. Tout un coup elle me dit : je peux t'embrasser ?
Sans attendre la réponse, elle s'emparait avec douceur de ma bouche, joua de longues secondes avec ma langue encore plus directement et facilement que le baiser daccueil de ce matin.
- Hum c'est bon lui dis-je, mais regarde les effets, comment je vais faire maintenant ?
- Tu nas quà te branler, dit-elle dun air espiègle, ah ben non tu ne peux pas avec tous ces plâtres, en ricanant joliment.
Et sans autres mots, elle rangeait les affaires de toilettes, elle sortait de la chambre avec son large sourire en m'envoyant un bisou.
En début daprès-midi, je recevais la visite de mon frère et sa si belle épouse. Elle portait une robe croisée tenue par une ceinture légère. Largement décolletée, je voyais la naissance de ses seins. Quand elle entrait dans la chambre, jeu limpression quelle avait du mal à marcher. Elle prenait beaucoup de précaution pour mettre un pas devant lautre, je voyais son visage se crisper à chaque mouvement.
- Que tarrive-t-il Christine, toi aussi tu tes blessée ?
- Elle se penchait vers moi pour membrasser et me dit à loreille
- Ce nest pas de la souffrance cest du plaisir, ton frère ma inséré mes boules dans la chatte, je suis en feu, regarde.
Elle ouvrait sa robe, apparaissant une nouvelle fois nue avec un fil qui sortait de son sexe baveux.
- Jai croisé ta copine et je lui ai demandé de nous laisser tranquille une heure. Elle a souri et à allumer la petite lumière rouge à lentrée de la chambre
humm cest bon, je venais dentendre le tintement de ses boules
Tout en parlant elle retirait sa robe et se trouvait toute nue, là, devant moi. Je bandais et bandais encore. Il faut avoir la santé avec ces deux gourmandes.
Elle se caressait tout le corps, je regardais mon frère adossé à la porte pour éviter les risques, et je sentais dans son regard un message du style, ne tinquiète pas je veille et je tautorise à faire ce que tu veux de Christine. Je nai pas eu le loisir de faire ce que je voulais, cest plutôt elle qui faisait ce quelle voulait. Toute excitée elle baissa mon lit et grimpa accroupi au-dessus de ma queue. Sans attendre elle se laissa sempaler et avaler dun seul trait mon membre.
A la première descente un jet jaillit de mon gland, la puissance avait donné des spasmes à Christine, elle avait aussi un orgasme. Elle continuait, elle jouissait plusieurs fois en même temps que moi. Javais limpression que je pourrais éjaculer encore mais elle se redressa brutalement et sauta du lit. Elle se positionnait le cul tourné vers mon frère comme une invitation, se penchait outrageusement et commençait à me sucer. Cest là que jai vu mon frère fermer la porte à clé, sagenouiller devant ce fessier offert et la lécher au plus profond de son anus. Elle jouissait encore tout en me suçant rageusement.
- Vas y, encule-moi dit-elle rageusement, on sentait dans ses propos très hard un niveau dexcitation très élevé.
Obéissant, il dégrafa son pantalon, sortit son sexe quil présenta devant donc petit trou dilaté. Il la pénétrait dun coup, elle laissait échapper un cri, avant quil nentame une série de vas et viens. Je nen perdais pas une seconde, je voyais ses seins claquer contre le lit à chaque coup de boutoir, elle se triturait le clito, se pénétrait la chatte avec ses doigts, elle jouissait sans arrêt, et je me mis une nouvelle fois à jaillir vigoureusement dans sa bouche, cétait un moment de folie, mon frère lui remplissait le cul de sa semence. Cétait incroyable.
Quand nous reprîmes nos esprits, nous étions encore tous les trois imbriqués. Mon frère se sorti de cet anus dégoulinant. Christine se redressait et partit vite dans la salle de bain se nettoyer un peu.
Ce fut une des visites les plus surprenante et remplie de plaisir.
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