La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1044)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE) (suite) -
- Oui Maître répondis-je, vaincue
mais heureuse
Au cours de cette nuit mémorable et à jamais gravée en ma mémoire, le Maître me fit raccompagner chez moi par Walter, son chauffeur et bras droit. Jétais assommée, abasourdie dans une autre dimension, je sentais encore les brûlures des coups reçus sur les reins, les fesses et les seins. Dans la voiture, instinctivement je touchais mes tétons, ils me faisaient mal. Quétais-je en train de devenir ? Mais en même temps, être devant Lui, nue, offerte, le collier, la laisse, uriner à quatre pattes en en levant une comme une véritable chienne et tout le reste, mavaient apporter des plaisirs inconnus, des sensations nouvelles et inavouables qui me faisait prendre conscience que je me sentais à ma place... Tout sembrouillait en moi, je maccrochais un moment à la diva des podiums que jétais il y a peu de jours encore, à Sharon Stone, une amie proche, à certaines personnes très connues encore aujourdhui qui faisaient partie de mon monde, celui des paillettes et du show-business, avec lesquelles je parlais dégale à égale, et me voilà, là, maintenant, tenue en laisse comme une chienne, ressaisis toi me disais-je !
Et pourtant cela me laissait à penser à une question essentielle, fondamentale : Ou était ma vraie place ? Celle du monde des paillettes ou celle où je me sentais vraiment bien, aux pieds du Maître ?
- Vous ne devriez-pas vous adosser ainsi.
Je sursaute à ces mots qui me font sortir de mes pensées. Le chauffeur-Majordome lui-même sy met !
- Le Maître, Monsieur le Marquis dEvans naimerait pas que vous vous teniez ainsi dans Sa voiture.
- Oui je sais Monsieur, répondis-je dun ton sec.
- Alors quattendez-vous ? Ce quIl vous enseigne, Madame, nest surtout pas un jeu, mais un Art, un comportement qui doivent devenir pour vous, une seconde nature
votre véritable nature .
Je reste sans voix, mais je rectifie la position de mon corps me redressant bien droite assise.
La Rolls Royce roulait vite, Autouillet, Thoiry, Plaisir, les villages se succédaient, Porte Dauphine, avenue Foch. Walter me regardait dans son rétroviseur semblant me dévisager, me surveiller. Aurait-il reçu des consignes ? Nous arrivions devant mon appartement, la voiture ralentit, et se gara. Le chauffeur descendit, ouvrit la portière, javais avancé une jambe pour sortir quand je le vis ouvrir sa braguette, sortant un énorme sexe déjà à demi dressé, gonflé de désirs, et sans un mot il me prit la tête par la nuque avec sa main ressemblant plus à une pelle quà une main humaine et me dit alors très calmement :
- Suce salope !
Estomaquée par cette exigence, je le regardais fixement dans les yeux tandis que son sexe se balançait devant ma bouche entrouverte. Il était dun calme absolu, la sorte de calme qui montre quil est absolument sûr de lui, que cest normal que je le suce, là, en bas de chez moi, dans ma rue, alors que des passants ou voisins connus de moi, pourraient déambuler et me reconnaître même.
- Regarde dans ton sac, petite chienne.
Mon sac, oui mon sac, quy a-t-il dans mon sac, semblait dire mon regard ?
- Regarde mais fais vite, je nai pas tout mon temps.
Fébrilement jouvrais mon petit sac, et y trouva en effet une lettre cachetée écrite de la main du Maître, tandis quinstinctivement je refermais le compas de mes jambes.
- Les jambes, petite salope, les jambes bien écartées, je veux voir ton petit minou ma belle !
Jécartai à nouveau largement les jambes, dévoilant un sexe très humide, je lavoue, et ouvris lenveloppe tout en regardant le chauffeur qui attendait et je lus à demi voix, doucement, comme si je ne voulais pas quon mentende :
« Ma chère petite salope de chienne, ma nuit a été à la hauteur de ce que jattendais de toi, te démontrant je lespère la réalité de ton être.
Je restais abasourdie, refermais lentement lenveloppe. Lire Ses propres mots me transportaient dans un autre monde auquel javais de plus en plus de mal à me détourner
Alors je pris en main cette verge toujours aussi tendue au gland violacé et gonflé pour la masturber lentement. Mon dieu, si grosse, si longue, si épaisse ! Après un soupir de résignation, alors que mon bas-ventre commençait de nouveau en ébullition, jouvris grand la bouche mais ferma les yeux. Javais beau ouvrir la bouche en grand, jeus du mal à engamer le gland si volumineux que je dus forcer sur ma mâchoire pour y arriver. Je commençais de le sucer lentement, trop lentement à son goût car il me lança ces mots sur un ton dexigence :
- En suçant ainsi, je vais mettre dix heures à jouir salope de chienne, active-toi sinon je te cravache les fesses dans la rue et tu réveilleras tout le quartier par tes cris et
Ses yeux devenaient menaçants, froids, un frisson de dégout me parcourut léchine. Je ne le laissai pas terminer sa phrase car je me remémorai immédiatement la cravache.
- Nettoie, salope !
A nouveau, je passai la langue sur le gland que je nettoyais de mon mieux, prenant en bouche le dit gland le pressant avec ma langue contre mon palais. Puis enfonçant ma bouche plus bas sur la tige, refermant mes lèvres, je remontais lentement pour la vider le plus possible. Même ainsi, je récupérai une bonne quantité de foutre que javalais aussitôt
Le Majordome referma sa braguette, me fit signe de sortir et rejoindre lentrée de mon immeuble.
« Il naimerait pas que toute seule, je me caresse. Allons, il nest pas là, laisse toi aller, tu as si envie, aller ! Il nest pas là, personne ne te voit
personne ? ».
Je commençais à en douter, ne sachant pas pourquoi ! Dans le doute, je préférais rester sur ma faim même si javais très envie, la peur de la cravache me rappelait sans cesse les risques encourus. Je mendormis encore une fois ainsi dans la baignoire. Je fus réveillée par le froid du bain et après mêtre séchée, je me blottis sous ma couette. Là, je me souvins de lenveloppe et alla la prendre dans mon sac. Bien au chaud, je relus le début de la lettre et arriva au moment où lordre métais donné de sucer le chauffeur. Tout ça était fait, voyons la suite de la lettre et Ses instructions qui vont avec !, me dis-je :
« Après cette nuit dinitiation très sommaire, tu sais désormais à quoi tu tengages si tu désires vivre ce que tu es. Je te donne jusquau 5 de ce mois, pour faire un pas vers moi, un pas qui changera toute ta vie, un pas qui va tengager pour léternité. Je tattendrai le 5 à midi, en ma demeure. Ne reviens que si tu le décides définitivement. Dans ce cas, ta venue sera synonyme dacceptation totale et définitive de ta nouvelle vie. Dans le cas contraire, si tu nes exacte à lheure dite, cela signifiera que tu refuses mon offre et tu nentendras plus jamais parler de moi. Tu es libre de tes décisions. Je ne te poserai aucun problème si tu ne revenais pas car ce que je veux de toi, est une acceptation éclairée, pleine, entière de ta part. Sache cependant que si tu acceptais de revenir au jour J et à lheure dite, cest pour devenir mon esclave, ma catin, ma chose dont je pourrai disposer à ma guise. Je vais timposer une épreuve pendant ces deux jours, épreuve qui taidera à te faire une dernière fois une opinion sur toi. Au cours de cette journée daujourdhui, tu vas te rendre en taxi au 12 de lAvenue Daumesnil, dans le 12° arrondissement. Tu y trouveras une importante Société. Tu te présenteras à laccueil, tu diras que tu viens rencontrer le Directeur des Ressources Humaines pour pourvoir le poste de secrétaire de direction. En sa présence, tu seras reçue et tu répondras à ses questions et demandes. Si ce Monsieur souhaite te présenter à son PDG, accepte son souhait. Tu es libre de tes mouvements pendant ces deux jours, mais tu seras surveillée néanmoins, ainsi tu sauras très vite quels sont mes moyens. Ce test fera partie de ma décision de te garder ou pas dans lhypothèse où tu reviennes me voir le 5 à midi comme convenu. Je te souhaite bonne chance, tu as ta destinée en mains, à toi de me prouver ta détermination à devenir ce que, de tous temps tu as été, sans le savoir. Le Maître, Monsieur le Marquis dEvans »
Javais ma destinée en mains
(A suivre
)
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