Amour Express

Betty et Fernando, célibataires tous les deux, la quarantaine, avec s, s'étaient rencontrés au club de football de la commune. Leurs fils respectifs y étaient inscrits et ils s'y croisaient régulièrement, donnant un coup de main ici et là lors des manifestations du club.

S'était un jour de match, sous un beau soleil de printemps.
Betty envoya son fils au terrain de foot et croisa Fernando qui arrivait aussi. Bonjour et grand sourire étaient au rendez-vous.
Elle affectionnait le voir régulièrement. Bien qu'ils n'échangeaient que quelques mots à chaque fois, elle appréciait sa présence et écoutait souvent avec attention ses explications footballistiques. N'y connaissant rien, elle pouvait alors, par la suite, en discuter plus facilement avec son fils.
Fernando aussi était ravi de la voir, ça changeait des papas gueulards sur les bords du terrain. Il pensait parfois à elle, mais ne se croisant qu'au foot, il n'a jamais osé lui demandé son numéro et encore moins l'inviter à boire un verre.
Mais, sous leurs airs timides, ces deux-là se plaisaient, c'est certain.

Pendant que les s se changent, Betty part dire bonjour à une dirigeante du club et lui demande si elle a besoin d'un coup de main. La dirigeante propose alors à Betty d'aller chercher du jus d'orange afin de le distribuer aux joueurs à la fin du match. Betty s'en va alors vers la réserve où se trouvent les boissons et tous le matériel.
Fernando, lui, se dirige vers le coach de l'équipe. Après quelques mots échangés, comme à son habitude, il part chercher de l'eau pour les joueurs.

En entrant dans la réserve, malgré la pénombre, les yeux de Fernando s'ouvrent en grand : Betty est penché en avant, le nez dans un carton, cherchant les briquettes de jus d'orange. Vêtue d'une mini-jupe, dans cette position, Fernando aperçoit les dentelles de sa culotte. Une érection soudaine l'envahit. Bien que le lieu soit plutôt glauque, la situation est terriblement excitante.



Il se penche vers elle :
- Attends, je vais t'aider, lui dit-il doucement.
- Non, non, ça va aller, répond Betty gentiment.
Elle se redresse, mais manque de tomber vers l'avant. Rapidement, il la l'enlace par la taille pour éviter qu'elle ne tombe dans le carton.
Elle se retrouve plaquée à lui. Tous les deux restent immobiles. Elle sent alors la bosse de son pantalon contre ses fesses, ce qui la fait rougir de plaisir. Heureusement, de dos, il ne s'en aperçoit pas. Elle se retourne face à lui, il la tient toujours.
Ils se regardent longuement dans les yeux puis s'embrassent fougueusement. Leur langues s'entremêlent. Il la colle contre le mur. Les mains se baladent. Betty passent les mains sous le tee-shirt de Fernando et caresse son torse et son dos. Il en fait de même, caresse ses seins, tout en l'embrassant dans le cou, jusqu'à son oreille. Le ventre de Betty frémit, elle sent sa culotte se mouiller rapidement.
Elle déboutonne le pantalon de Fernando, passe la main dans son caleçon et caresse son sexe durcit. Fernando gémit. Il n'en peut plus.
Les mains de Fernando entame une descente vers l'entre-jambe de Betty. Elle écarte légèrement les jambes et la main de Fernando passe légèrement et lentement sur son clitoris. Ses doigts passent à l'intérieur de ses lèvres devenues glissantes. Elle frémit de plaisir.

On entends les cris des s sur le terrain. On pourrait les surprendre.
Tout en sachant que le temps est compté, mais tellement pris dans leurs ébats, ils continuent. D'une main, Fernando dégage légèrement la culotte de Betty, de l'autre il lui soulève la cuisse. Elle le tient par le cou. Il la pénètre. Ils gémissent tous les deux de plaisir, et sentent leur souffle court dans leur cou. Il commence alors de lents et longs va et vient. Avec une jambe, Betty entoure celle de Fernando et l'enserre contre elle, l'enfonçant en elle de plus en plus profondément. Une forte chaleur les envahit. Tous les deux n'avaient pas connu pareil plaisir depuis longtemps.
Ils sont collés l'un à l'autre, l'émotion est forte et leur jouissance mutuelle se fait sentir. Enfin, l'orgasme les foudroie.

- Betty, tu as trouvé les briquettes ?
La dirigeante entre dans la réserve.
- Oui, elles sont là. Répond Betty, debout à côté de Fernando, le pack d'eau à la main.
- avec Fernando, on a fini par les trouver. Dit Betty d'un large sourire. Merci Fernando !

Pioufff, s'était moins une !!! juste eu le temps de reboutonner le pantalon et de remettre correctement les tee-shirts. Ils sortent de la réserve. Betty et Fernando se sentent gênés, pensant que ça se devine sur leur visage. Mais, dans le fond, ils sont ravis de cette incartade et un léger sourire se dessine sur leurs lèvres.

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