Barbara 3
Michel et Barbara regagnèrent le parking où la voiture était garée un peu à lécart. Quand ils arrivèrent à la voiture, Barbara se retourna vers Michel.
- Merci Michel pour ce repas.
- Mais de rien ma chérie.
- Michel, jai envie de toi.
- Maintenant ? ici ? Tu es insatiable mais jaime.
Michel.
Barbara sagenouilla devant moi et défit ma braguette. Elle sortit mon sexe pour le branler et le décalotter. Elle lécha mon gland avant de me prendre en bouche. Elle commença à me pomper.
- Oh chérie, cest trop bon.
- Hummmm
- Vas-y continue.
Michel.
Après quelques minutes, je sentais mon sexe qui grossissait, je nallais pas tenir longtemps. Je le dit à Barbara qui se releva.
Elle se tourna et posa les deux mains sur le capot de la voiture.
- Baise moi Michel.
- Comment, ici ?
- Oui je nen peux plus, jai trop envie.
Barbara.
Michel retroussa ma jupe et baissa mon string. Je sentis sa langue sur lentrée de ma grotte. Mon ventre senflammait de nouveau. Je le voulais en moi, javais envie de son sexe, jétais trop frustrée de ne pas pu avoir celui du serveur.
Michel.
Barbara moffrait son corps dans ce parking. Je bandais comme un âne. Japprochais mon sexe de lentrée de son vagin après lavoir frotté sur sa raie. Je lenfonçais dans sa chatte qui était trempée, ouverte.
- Vas-y chéri, prends moi fort.
- Humm ma chérie, jaime quand tu me parles comme ça.
Barbara.
Michel commençait à baiser ma chatte plus rapidement. Il me tenait aux hanches. Il me prenait profondément allant jusquà forcer mon col. Je sentais son sexe qui remplissait mon vagin, faisant mouiller mes parois vaginales qui épousaient la forme de son sexe. Je gémissais sous ses assauts. Mes seins bougeaient dans tous les sens. Michel me prenait avec force en vrai mâle quil était. Jétais sa femelle.
Je me redressais et me retournais pour nettoyer le sexe de Michel avec ma langue.
- Merci ma chérie, tu es divine.
- Merci à toi mon cur pour tout ce que tu me donnes.
- On va faire ce shopping ?
- Oui .
Michel.
Jaidais Barbara pour remettre sa jupe en place. Jen profitais pour lui donner un baiser quelle me rendit avec passion. Cette femme, ma maitresse, vivait ses rêves et ses fantasmes et sortait de sa routine quelle vivait depuis son divorce. Elle était heureuse.
Barbara.
Jétais sur une autre planète, javais enfin trouvé lamant qui comprenait ma soif de plaisir sans me juger. Mieux, il maidait à assouvir mes fantasmes et mes envies dune femme de soixante ans, qui avait été négligée. Je moffrais entièrement à lui, je voulais être à lui quoi quil me demande de faire. Je savais quil me respectait et javais envie de lui donner tout ce dont jétais capable de donner à un homme comme lui.
Michel gara sa voiture dans le quartier commerçant de la ville.
- Tu veux acheter quoi ma chérie ?
- Jaimerais une robe courte et légère, un peu sexy.
- Un peu ?
- Oui, enfin tu vois ce que je veux dire.
- Tiens regarde, il y a un sexe shop.
- Heu, tu crois que cest le bon endroit ?
- Si on ne trouve pas de robe sexy ici, où la trouvera-t-on ?
- On peut toujours rentrer pour regarder.
Barbara.
Michel mouvrit la porte du magasin.
- Madame, Monsieur, soyez les bienvenus. Est-ce que je peux vous renseigner ?
- Jaimerais acheter une robe pour mon amie. Une robe plutôt sexy.
- Bien sûr, suivez-moi.
Barbara.
Le vendeur me regardait avec envie.
- Nous avons plusieurs modèles, mais je pense quavec la poitrine de madame, il faudrait se concentrer sur ces trois modèles qui mettent bien en valeur les belles poitrines comme celle de votre amie.
- Quen dis-tu ma chérie ?
- Jaime bien ce modèle avec la lanière qui descend entre les seins pour arriver dans un anneau central.
- Vous avez parfaitement raison madame, vos seins seront bien séparés, et comme ils sont assez denses, ils seront parfaitement mis en valeur.
- Je peux lessayer ?
- Bien sûr, venez nos cabines sont par là.
- Tu viens chéri ?
- Jarrive, je fais un tour du magasin. Va avec monsieur, je vous rejoindrai.
Barbara.
Je compris tout de suite que Michel me laissait volontairement seule avec le vendeur. Celui-ci ouvrit le rideau dune cabine qui était relativement vaste.
- Allez-y madame, prenez votre temps. Vous avez des cintres disponibles pour vos vêtements.
- Merci monsieur vous êtes adorable. Vous restez dans le coin si jamais jai besoin daide.
- Oui, ne vous inquiétez pas. Je suis là pour vous rendre service.
- Merci.
Barbara.
Je tirais le rideau qui ne se ferma pas complètement. Une fente restait ouverte. Par un jeu de miroir, je voyais le vendeur qui regardait dans ma direction. Je mouillais instantanément. Jenlevai mon chemisier en dentelle et mon soutif demi-seins. Jenlevais ma jupe. Je restais en string, bas et porte jarretelles. Jenfilai la robe avec un peu de difficulté car elle était très moulante.
- Monsieur ?
- Oui madame, jarrive.
- Pouvez-vous maider à ajuster ma robe, jai de la peine.
- Bien sûr.
Barbara.
Le vendeur ouvrit un peu plus le rideau et pénétra dans la cabine. Il y avait des miroirs partout.
- Madame, vous avez une poitrine magnifique.
- Merci, vous êtes gentil, mais avec lâge, mes seins tombent un peu, surtout quils sont lourds.
- Beaucoup de femmes de votre âge aimeraient avoir votre poitrine.
- Merci
Barbara.
Le vendeur positionna mes seins dans la robe en les séparant par la lanière. Je sentais ses doigts jouer avec mes tétons qui se dressèrent et qui devenaient bien durs.
- Hummmm, cest bon ce que vous me faites.
- Je vois que madame a des tétons réactifs.
- Oh il ny a pas que les tétons.
- Oui, je men doute.
-
Barbara.
Aussitôt je sentis une main descendre dans mon string pour caresser mon clitoris. Je rougis. Allais-je le repousser ? Non, je me mis à onduler sur ces doigts en gémissant. Je commençais à mouiller, surtout quil restait encore du sperme de Michel dans mon vagin.
- Je vois que madame a eu une activité récente.
- Oui, en effet.
- Peut-être pas assez ?
- Vous croyez ?
Barbara.
Je me regardais dans la glace, dans cette robe, je faisais vraiment salope. Javais envie de ce vendeur. Il rentra deux doigts par derrière dans mon vagin trempé de cyprine et de sperme. Je me cambrais pour lui offrir ma chatte par derrière. Jentendis le zip de sa braguette et vit dans le miroir son sexe hyper tendu et gros, certes moins que celui du serveur noir, mais plus imposant que celui de Michel. Il se positionna derrière moi et me prit dun coup. Je posais mes mains sur le miroir pour résister aux assauts du vendeur.
- Oh oui cest bon, allez-y, plus fort.
- Oui, la vache, votre vagin est un appel au sexe.
- Merci, oui en ce moment, jai des besoins multiples.
- Je vois ça, la vache vous êtes une sacrée salope vous.
- Oui, on peut dire ça. Jai besoin de sexe. Jai besoin dêtre baisée.
- Oh putain, vous êtes bonne. Je viens.
Barbara.
Le vendeur me défonçait la chatte par derrière. Je me mis à râler de plaisir.
- Regarde Michel, quen penses-tu.
- Elle te va à ravir, tu es super sexy.
- Je crois que je vais la prendre.
- Daccord, tu en veux une autre ?
- Non pas tout de suite, il faut que je mhabitue à celle-là, elle est quand même très sexy.
- A priori tu as plu à monsieur.
- La robe de madame lui va super bien. Sa poitrine est bien mise en valeur.
- Tu veux la garder sur toi ?
- Tu crois que je peux sortir dans la rue comme ça ?
- La voiture est juste devant. Comme ça je pourrais tadmirer en te ramenant chez toi.
- Daccord Michel. Merci.
Michel.
Pendant que Barbara se refaisait une beauté dans la cabine, je décidai de lui payer sa robe.
- Votre Amie est vraiment TOP.
- Oui, elle est très disponible.
- Ah ça pour être disponible, elle est vraiment incroyable.
Barbara.
Je voyais de loin Michel et le vendeur en grande discussion. Jétais sûre quils parlaient de moi.
- Combien je vous dois monsieur ?
- Votre Ami a payé.
- Oh non Michel, je peux payer tu sais.
- Je sais ma chérie, mais javais envie de te loffrir.
- Tu es un amour.
- Toi aussi.
- On y va ?
- Oui.
- Au revoir cher monsieur, peut-être à un de ces jours ?
- Bien sûr cher Madame.
Barbara.
Je sorti du magasin sans aucune appréhension. Jétais totalement libérée grâce à Michel.
Michel.
Durant le voyage, je pu admirer la poitrine de Barbara qui était soutenue par sa robe. Quant à ses jambes, je pouvais admirer la dentelle de ses bas. Javais très envie de ma maitresse, je sentais que je bandais à nouveau.
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