Deux Salauds, Une Femme, Un Cocu 3/4
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
A vrai dire, jaurais tort dintervenir immédiatement. Le traitement infligé à ma femme par Blaise et Hervé laissera des traces et des souvenirs douloureux dans les chairs rudoyées . Ils viennent de se montrer sadiques en abusant dun vagin en mauvais état. Pendant que les trois protagonistes dorment, ma femme gémit dans son sommeil et des sanglots secouent son corps rose pâle affalé entre les deux corps poilus et bronzés des mâles écroulés sur le lit. Blaise a promis à son comparse que son tour viendrait: la nuit sera longue et le meneur tient à tirer profit de mon absence qui ninquiète personne bizarrement, pour asseoir définitivement son emprise sur Thérèse. Les festivités reprendront après un temps de repos. Pour linstant, elle est prisonnière des bras posés sur elle etna plus la force de tenter une fuite.
De ma cave, jappelle sur mon portable mon téléphone fixe. La sonnerie retentit dans la maison. Je laisse sonner 3 coups. Je raccroche. Quelques minutes plus tard je renouvelle lappel. Je ne vais pas les laisser dormir. La sonnerie doit secouer les neurones fatigués et résonner horriblement dans les crânes embués.
Je mamuse donc à envoyer des appels courts à intervalles irréguliers. Enfin la voix pâteuse de Thérèse répond, traîne un « allo » épuisé.
- Ma chérie, cest moi. Tu es déjà couchée? Es-tu malade, il est encore tôt.
Jentends un soupir las.
- Non, je mennuie quand tu nes pas là. Jétais descendue à la cave. Doù mappelles-tu?
A la cave elle maurait rencontré, puisque jy suis.. Elle ment par habitude, même inutilement. Elle na pas lintention de me parler de laventure en cours. Elle ne mappelle pas au secours. Elle est tellement harassée quelle ne se souvient plus que jétais à la cave. A mon tour je mens, un peu par contagion, un peu pour mesurer son degré dépuisement.
- De mon bureau. Il est possible que je rentre très tard, jai un bilan à rendre demain.
Jentends pouffer, quelquun sétrangle en essayant d un fou rire.
- Ma chérie, je tiens absolument à prouver au directeur que je réussirai. Donc je vais continuer . . .Ça te fait rire?
- Non mon amour. Fais vite, ne me laisse pas trop longtemps seule.
-Je te rappellerai avant mon retour.
Je peux retourner écouter en haut de lescalier, derrière la porte de séparation du logement et du sous sol.
Comme prévu, réveillés par les sonneries de téléphone, les deux gaillards reprennent louvrage sur mon lit. Ils ont de la suite dans les idées. Thérèse a reçu lordre de redonner vigueur aux membres ramollis. Ils sont allongés sur le dos. Elle est entre eux, à genoux, penchée tantôt à droite, tantôt à gauche, elle astique lun dune main, tient lautre et le suce. Ils lencouragent en palpant un sein flottant, la croupe et son sillon, le pubis qui veut se dérober. A chaque instant des mains la pincent, la chatouillent, parcourent les flancs ou le dos, pressent la tête penchée sur les deux queues.
Elle change de bite mais, avec la même méthode, elle suce et branle. Des mains vont de la tête aux fesses par-dessus son dos courbé. Un majeur sattarde sur le petit cratère de son anus, le travaille et la fait grogner. Ils ont repris forme, pavoisent et plaisantent grassement. Blaise lattire sur son ventre, soulève la croupe, dirige son dard vers la cible et pique, tête de nud en avant, dans la voie la moins douloureuse, passe lanneau du sphincter comme un suppositoire et se colle aux fesses.
Les mains sur les hanches il dirige le mouvement, la soulève ou la rabaisse, imprime un roulis, la fait tanguer. Autour de la queue le ventre décrit des ovales ou des balancements selon la fantaisie de son enculeur. Cependant Thérèse émet un râle de déplaisir.
- Non, ne recommencez pas.
- Tiens bois un coup au goulot.
Je sors de mon antre, mavance vers la chambre et je jette un il, ils sont trop affairés pour me voir. Blaise a plaqué ses grosses pattes sur les seins et maintient contre lui le dos de Thérèse. Elle bat des pieds, retarde avec ses bras lapproche de linstrument de de lautre salopard. La vulve est étalée, baille rougie par la première charge. Hervé saisit un mollet, puis lautre et se présente devant la crevasse frippée, ses fesses avancent, son gland se pose à lentrée, cherche sa voie, se lubrifie au contact des muqueuses irritées. Commence une longue plainte tirée en longueur, un cri de désespoir, puis viennent les invectives et les injures.
En vain: ils ont décidé de lui faire une double pénétration, anale et vaginale, ils ne céderont pas aux pleurs, aux cris. Le pieu progresse, force le passage, écorche encore mais avance, gagne du terrain et crée une souffrance accrue. Cest fait, Hervé la possède.
- Quand elle jouira, elle cessera ses lamentations., indique le meneur, Vas-y, défonce la, elle se souviendra de toi. Allez, cogne, bourre bien à fond.
Chacun sefforce de senfoncer et de bouger comme il se doit. Blaise bien engoncé laisse à Hervé le soin dimprimer le rythme et de fournir les poussées les plus fortes avec sa hampe huilée à la cyprine. Celui là pilonne indéfiniment, mécanique réglée, inlassable, régulière, fonce ou ralentit, mais assurément défonce cette vulve devenue plaie béante. Monique est vaincue par la douleur du frottement rugueux dans son vagin dévasté. Elle geint, se fatigue de brailler, ahane sous les coups mais pince les lèvres et serre les poings. Ils font durer leur plaisir. Laccouplement séternise. Ils nobtiennent pas lorgasme de la femme. Fatigués, ils se jettent dans la recherche de leur seule jouissance, grognent en éjaculant hors les murs sur le ventre et dans le drap.
- Allez, nettoie nos queues, va te laver.
Je les laisse se fatiguer et je redescends à mon poste découte. Dans une heure je téléphonerai, pour les inciter à ne pas perdre de temps et à jouir au maximum. Thérèse en gardera des traces et un souvenir cuisant ou cest à désespérer: pour moi ce sera compté comme le prix de son long silence. Elle navait quà me faire confiance et elle naurait pas à endurer le supplice. Demain je la renverrai chez le médecin et demanderai lavis du gynécologue ou dun urologue: létat de son vagin devra trouver une explication plausible. On nest pas aussi mal en point sans cause. Jhésite encore sur la suite à donner. Je laisse passer ou je dois stopper le massacre en me montrant?
Hélas je me suis endormi, moi aussi, jai oublié le téléphone. Une nouvelle explosion de cris de douleur me réveille dans la chaufferie. En haut, ils ont repris leurs ébats.
Jobserve, Blaise est seul en place derrière les fesses arrondies. Elle est maintenue à quatre pattes. Le buste, plus bas que les fesses, écrase ses seins sur la le ventre dHervé
- Mets lui ta pine dans la bouche pour loccuper et la faire taire et mets lui un doigt dans le con. Jadore bombarder son petit cul à grands coups de bite.
- Si elle ne la ferme pas, change de trou.
Hervé est en parfait accord avec lautre ! Thérèse tente de protester timidement. Elle a compris que ses plaintes renforcent les désirs et déchaînent des assauts furieux.
- Ah! Non, plus ça. Plus aujourdhui.
- Daccord si tu promets quon recommencera dans quinze jours. Évite de recevoir le chibre de Paul, tu guériras plus vite. Sinon, tant pis pour ton ventre, il pâtira de ta conduite. Obéis moi.
Ainsi donc, Blaise va dicter la conduite de ma femme. Elle devra me repousser pour être en mesure de sunir à lui. Cest révoltant et insupportable. Sils se rendorment, plus dhésitation, je vais compenser linfériorité numérique par leffet de surprise.
Cest à peine si je vois sortir un tronçon de son tampon. Il appuie de toutes ses forces, comme si un centimètre de plus allait produire le plaisir dont il serait le pourvoyeur. La fatigue le terrasse. Les urs permutent. Le harcèlement du rectum revient à la trique dHervé. Cest reparti pour un tour. Sans plus de résultat à larrivée. Thérèse semble désormais tout à fait incapable déprouver le moindre plaisir. Laccouplement se défait péniblement. Il envoie une giclée blanche sur le bas du dos. Blaise vide la dernière larme de whisky, pousse un juron, tente de se relever. Je menfuis au bas de lescalier, lorgne sa sortie de la chambre et son retour avec une bouteille dalcool blanc, ma dernière mirabelle! Il entre dans la chambre goulot entre les lèvres.
-Tiens Hervé, nettoie ta bouche, avale une rasade. Thérèse, toi aussi, tu dois avoir soif. Tiens. Mais si, ça chassera les relents de foutre! Et glou et glou
Tu es des nôtres
Ils ronflent comme des tuyaux dorgue. Entre eux, tête-bêche, couchée sur le ventre, Monique cuve et fait des cauchemars. Eux se sont endormis le dos tourné à leur proie, face tournée vers lextérieur du lit.
Je rampe au pied du lit. Aux pieds inférieurs des hommes je noue des fils électriques souples. Leur sommeil est profond. Ils ne remarquent pas mes déplacements. Des fils sont glissés sous la tête, font le tour complet de chaque cou puis sont accrochés court aux barreaux de la tête de lit. Hervé a tenté de rejeter le sien, mais il na pas insisté. Les bouteilles vides gisent sur la descente de lit. Je lie pieds et poings. Lessentiel assuré, je noue les membres de ma malheureuse épouse épuisée par lalcool et les excès sexuels auxquels elle a été soumise, je limmobilise et lassujettis aux barreaux du lit.
A plusieurs reprises jai eu peur que les plaintes de Thérèse ne les réveillent. Le visage de lépouse adultère est méconnaissable, le rimmel y dessine de longues traînées qui souillent le drap. Entre ses cuisses, sous elle une large tache marque le drap; par les orifices une partie des charges de sperme est ressortie et sest étalée. Les brutes ont fait rougir le sexe et ses abords restent tuméfiés. Je vérifie que les liens sont solides et tendus de manière à empêcher les mouvements. A leur réveil, les deux bougres seront dos tournés à leur victime, ne se verront pas, sentiront la chaleur du corps malmené mais ne pourront plus le toucher.
La boisson et la fureur de la baise les ont assommés, je les ai neutralisés sans les réveiller! Pour achever ce bel ouvrage, je découpe trois bandes de toile collante que japplique délicatement sur les trois bouches, ainsi ne sont-ils plus absolument nus. Les deux sexes pendouillent défaits sur la cuisse inférieure. Je ferme la porte de la chambre et je vais à mon tour me coucher sur le canapé du salon.
Je mendors satisfait. Quand je me réveille il fait jour. Jentends des grognements. Le bâillon est efficace. Depuis combien de temps se posent-ils des questions?
« Qui les a surpris, qui les a immobilisés. Qui, Où Comment? Pourquoi? »
Ils ne peuvent pas discuter, émettre des hypothèses ou se rassurer. Pour accroître langoisse je lance un appel téléphonique avec mon téléphone portable. Comme hier soir je les laisse mariner dans leur jus et je réitère mes appels, ils peuvent supposer que le mari cherche à joindre sa femme. Comment expliqueront-ils leur absence au travail. Rien ne presse pour moi, je ne bouge pas. Ils vont avoir soif, faim, ils ont peur: je savoure leurs incertitudes.
Javale un café et un casse-croûte et je laisse passer le temps. Leurs appels étouffés par le collant me distraient. Dehors les écoliers reviennent, il est midi. Puis il est deux heures. Je fais sonner le téléphone. Le moment de mon retour approche. Comment vais-je réagir en découvrant les trois corps nus dans mon lit? Ils ont de quoi se faire du mauvais sang. Chacun à sa manière doit y réfléchir. Surtout Thérèse!
Soudain une voix sexprime. Hervé a détaché son bâillon.
- Hé! Y a quelquun. Ho Blaise, qui a fait ça, tu mentends?
--HOUM, heu.
-Cest quoi cette embrouille. Il est tard. Qui va nous détacher? Gare quand lautre va revenir. Hé, au secours! Au secours !
Les doubles vitrages jouent leur rôle, personne ne peut l'entendre. Quil ségosille. La cochonne pleure, jentends ses sanglots.
.
- Oui, tout a bien marché, mais il est très fatigué et souhaite que vous veniez le chercher
Cette fois je devine bien. Laetitia consent
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!