Les Hasards De L'Autostop.

1.

Les trois récits qui vont suivre sont des aventures qui me sont arrivées au début des années 60 lorsque j’étais étudiant à Paris. A cette époque, j’étais plutôt désargenté et l’autostop était un bon moyen de se déplacer sans dépenser trop d’argent.

Deux anglaises.

L’été dernier, après une première année de Fac, je n’étais pas trop argenté mais je voulais aller retrouver une bande de copains, filles et garçons, partis sac au dos quelques jours avant moi sur la Côte d’azur.
Un billet de train, c’était encore trop cher pour moi. Il ne me restait plus que la solution de l’autostop, mais malgré mes recherches parmi mes connaissances, je n’avais trouvé qu’une personne qui pouvait me prendre jusqu’au sud de Lyon, après plus rien…
Nous avions rendez vous Porte d’Italie le vendredi à 17 heures.

Quelques heures plus tard, il devait être près de 2 heures du matin, malgré les bouchons, nous étions rendus à quelques kilomètres au nord de Lyon où nous devions nous séparer. J’étais content car cette solution m’avait permis de faire presque la moitié du trajet d’un seul coup. Après avoir pris un pot ensemble, nous nous sommes quittés.

Sac au dos, je me suis rendu à la sortie du parking de la station service où, sous un lampadaire, j’ai sorti le carton sur lequel j’ai inscrit ma destination finale : MENTON.
Je dois être patient car la pratique de l’autostop a de nombreux aléas dont le principal est l’attente de la bonne opportunité. Au bout d’une heure, toujours rien ! Je remonte jusqu’à la caisse de la station service où, après avoir bu un café, je reprends mon attente à proximité immédiate du parking : Elle ne dure guère.
A peine un quart d’heure plus tard, une femme d’une bonne trentaine d’années, sortant de la boutique, s’adresse à moi en anglais en disant qu’elle va à Nice. Si cela m’intéresse, elle peut m’emmener.
En se dirigeant vers sa voiture, elle me dit :
• Follow me !

Là, surprise, il y a une autre femme du même âge à l’avant.


Le coffre de la voiture étant plein, je mets mon sac à dos sur la banquette arrière et je m’installe confortablement.
Il y a de la place : c’est une voiture allemande haut de gamme… Quelle chance, je vais finir mon voyage en charmante compagnie.
De Nice à Menton, il ne me restera plus beaucoup de chemin. En bavardant toujours en anglais, j’apprends que mes deux compagnes de route viennent de Londres et qu’elles vont passer les deux mois d’été sur la Côte où leurs maris doivent les rejoindre au début du mois d’août.
Visiblement, elles sont contentes d’avoir quelqu’un pour leur tenir compagnie car la route est longue même si elles se partagent les temps de conduite. Il s’agit de deux sœurs âgées respectivement de 37 et 34 ans de la bonne bourgeoisie (elles n’ont pas besoin de travailler) qui sont presque toujours ensemble lorsqu’elles voyagent.
Au petit matin nous avons déjà fait pas mal de route, nous devions être du côté d’Avignon, lorsqu’Angie dit à sa sœur qu’elle se sent fatiguée et qu’elle va lui passer le volant. Elle s’arrête sur un parking et Elisabeth prends sa place…

Mais au lieu de reprendre le siège du passager à gauche, elle l’avance au maximum, y place mon sac à dos et vient s’installer près de moi. C’est vrai qu’ainsi disposée, elle a de la place pour se reposer. Nous reprenons la route dans le jour naissant.
Quelle n’est pas ma surprise quand Angie qui s’est collée contre moi pour avoir un appui commence à me palper au niveau de l’entrejambe, massant ma bite au travers du jean. Celle-ci ne tarde pas à se dresser sous la caresse d’autant qu’Angie m’offre une vue plus qu’intéressante sur le haut de ses cuisses découvertes par la jupe relevée.

Devant la tournure de l’affaire, je glisse une main entre elles et je remonte jusqu’à son sexe que je trouve nu : Pas de string ni autre obstacle. Elisabeth a réglé le rétroviseur afin de mieux voir ce qui se passe derrière elle. Pendant que je masse l’entrejambe d’Angie qui est chaud et humide, cette coquine fait glisser le zip de mon jean et sort ma bite pour mieux la branler avant de la prendre en bouche.

Lorsqu’elle est bien bandée, Angie vient s’asseoir sur moi pour l’introduire dans sa chatte. Je n’ai même pas eu le temps de mettre un préservatif et de toute façon, à cette époque on ne parlait pas encore de SIDA. Achevant de relever sa jupe, je peux prendre ses fesses dans mes mains et l’aider à monter et descendre sur mon bâton de plus en plus dur. Je comprends mieux maintenant une des raisons pour lesquelles les deux sœurs voyagent ensemble mais seules.
Je suis tombé sur deux belles coquines qui ainsi ont l’occasion de se dévergonder avant l’arrivée de leurs maris. La position n’est ni très facile ni confortable. Soudain Elisabeth quitte la route pour s’engager dans un petit chemin perpendiculaire qui dessert une de repos plus ou moins improvisée. Elle arrête la voiture dans le coin le plus reculé et dit en anglais :
• We will be more quiet !

Dans le jour naissant, elle sort un plaid du coffre et l’étend sur le sol. J’ai suivi Angie qui, en quelques secondes, est entièrement nue.
Allongée sur le plaid, elle me tend les bras. Ne gardant que mon teeshirt, j’investis à nouveau sa chatte. Un vrai volcan…
Notre plaisir ne tarde pas à nous emporter tant la situation nous excite. Je suis encore bien raide dans sa chatte, buste contre buste, je caresse ses seins petits et ronds d’une main tout en l’embrassant profondément. Soudain, je sens qu’Elisabeth me masse les couilles et le bas du dos. Avec un accent inimitable elle me dit en anglais et aussitôt en français :
• I want some too ! J’en veux aussi !

A 20 ans, on a des réserves. Elle était également déshabillée. Elle est venue se mettre à côté de sa sœur à quatre pattes, me présentant son cul haut levé dans une invitation non équivoque.
Je me suis dégagé de la chatte d’Angie pour venir me placer derrière Elisabeth, à genoux entre ses jambes. La bite encore bien raide, j’ai devant moi ses fesses, une chute de reins bien cambrée et une taille étroite. Après quelques va-et-vient à l’entrée de son sexe, je coule ma bite dans son vagin.
Qu’il est chaud et humide lui aussi.

Elle a du s’exciter du spectacle que sa sœur et moi lui avions donné dans la voiture. Angie a alors pris la même position contre sa sœur. De la main droite, j’ai pénétré sa chatte pour la fister avec trois doigts tout en baisant sa sœur.
Quelle scène pleine de lubricité ! Deux belles femmes minces mais avec des formes agréables baisées en même temps !

Waouh, les copains n’en reviendront pas lorsque je leur raconterai ma bonne fortune. Je prends mon temps pour les contenter. J’entends leurs gémissements du plaisir montant. Soudain, ne pouvant plus retenir ma jouissance, j’ai lâché une abondante giclée de sperme dans la chatte d’Elisabeth. Elle est partie à son tour, exprimant bruyamment son plaisir.

Quelques instants plus tard, j’ai senti sur mes doigts toujours fichés dans le sexe d’Angie les contractions de sa jouissance. Aussi peu discrète que sa sœur, elle jouit une seconde fois avec force.
Puis elles se retournèrent face à moi. Toutes les deux penchées sur ma bite, elles ont achevé d’extraire mes dernières gouttes de sperme en se partageant mon sceptre, l’une suçant le gland pendant que l’autre léchait la hampe ou les bourses et inversement.
Avant de reprendre la route je leur dis :
• Merci pour le coup de main !
• Oh, vous les Frenchies, vous savez baiser mieux que nos hommes !

A la première opportunité nous avons pris un solide petit déjeuner avant de poursuivre jusqu’à Nice. En fin d’après-midi, j’avais rejoint mes copains au camping.




Francine.

Au retour d’un weekend au cours duquel j’ai rendu visite à un frère de ma mère et à sa famille à Toulon, j’ai de nouveau fait du stop pour rentrer à Menton où je suis en camping sauvage avec une bande de copains.

Pour faire ce trajet, je me suis dirigé vers la sortie de la ville pour lever le pouce. En milieu de matinée, la circulation est assez dense. J’ai du attendre plus de 30 minutes avant de voir s’arrêter un cabriolet conduit par une blonde d’une quarantaine d’années.

Débarquée de Corse le matin même, elle rentre chez elle à Saint-Tropez où elle habite. Décidément j’ai de la chance lorsque je fais de l’autostop ! Je tombe sur de jolies femmes…

Elle conduit paisiblement les cheveux au vent car, dit-elle, elle n’est pas pressée et la puissance de sa voiture doit être maîtrisée. Donc pas question de faire de la vitesse. En cours de route, nous bavardons joyeusement. De temps à autre mon regard glisse sur ses cuisses dorées à moitié découvertes par une jupe mi longue fendue sur le devant et dans son décolleté largement échancré où j’aperçois deux seins à la rondeur prometteuse.

Elle m’explique qu’elle a deux s plus jeunes que moi, confiés à la garde de leur père depuis leur divorce. Elle est libre de faire ce qu’elle veut tout en gérant un patrimoine immobilier assez conséquent réparti tout le long de la côte entre Marseille et la frontière italienne.
Je ne suis donc pas surpris lorsque nous arrivons devant le portail de sa villa sur les hauteurs du golfe de Saint-Tropez. Nous entrons dans un parc en gradins ombragé par de nombreux pins et chênes mélangés avec des massifs de fleurs et une piscine à débordement. La vue se perd sur le golfe de Saint-Tropez que l’on aperçoit entre les troncs des arbres.
En descendant de voiture Francine me dit :
- Je dois régler certains problèmes rapidement, si tu veux, profites de la piscine ! Je te conduirai à Menton en fin d’après-midi.

Je suis ainsi dégagé de tout souci de transport. Je fais glisser rapidement mon jean, j’ôte baskets et teeshirt et ne conservant que mon boxer, je plonge avec délectation dans la piscine pendant que Francine, entrée dans la maison s’occupe de ses affaires.
Je ne sais pas combien de temps il s’est écoulé mais soudain je la vois sortir par une porte-fenêtre, entièrement nue pour me rejoindre dans la piscine.
C’est une vraie blonde ! Grande femme dans la plénitude de la quarantaine, elle a des seins opulents, légèrement tombants, une taille fine et des hanches larges et galbées au centre desquelles son pubis ombré d’une toison blonde taillée en triangle donne une touche érotique très forte. Voyant que j’ai conservé mon boxer, elle m’interpelle :
- Chez moi, on se baigne nu !

La vue de Francine et cette phrase font que ma bite se redresse instantanément dans mon boxer. Comme je tarde à le faire glisser, gêné par ma queue à moitié bandée, elle s’approche de moi dans l’eau et elle le fait glisser puis le brandit d’une main, un peu comme un trophée. Son autre main s’est emparée de ma bite pour la masser sous l’eau.
L’effet est instantané. Elle se déploie entièrement dans sa forme triomphante. Francine se colle à moi et cherche ma bouche pour une suite de baisers enfiévrés :
- Viens…
Nous sortons de l’eau et elle s’allonge sur un matelas de plage à l’ombre des arbres en me tendant les bras et en écartant ses cuisses. Je me couche aussitôt sur elle et d’une seule poussée je m’introduis dans sa chatte humide et chaude. Elle referme ses cuisses sur mes reins comme pour m’emprisonner. Je commence les mouvements de va-et-vient alors qu’elle ondule sous moi. Je prends mon temps pour bien la baiser.
Elle s’offrait à moi ! Comme chaque fois que je fais l’amour, je veux donner un maximum de plaisir à ma partenaire. En appui sur les mains, je vois ses seins balancer au rythme de mes coups de boutoir. Les tétons guère proéminents, elle réussissait à les pincer entre ses doigts pour les faire rouler et s’exciter. Soudain elle me dit :
- Je viens !
Alors que depuis quelques instants je retenais ma jouissance, je me lâche, inondant le vagin de Francine de puissants jets de sperme qui s’exclame :
- Aahhh que c’est boooon !
Nous restons enlacés de longues minutes jusqu’au moment où elle me désarçonne en me faisant basculer sur le dos. Elle gobe ma bite un peu ramollie entre ses lèvres pulpeuses et commence à la nettoyer.
Elle semble se repaître des nos odeurs mélangées. Tantôt elle suce simplement le gland en le conservant entre ses lèvres pour chatouiller le méat du bout de sa langue. Tantôt, elle lèche la tige depuis mes couilles jusqu’au frein. Je savoure cette caresse et ma queue ne tarde pas à retrouver toute sa splendeur.
Je suis toujours sur le dos. Francine se redresse et enjambe mon bassin et me faisant face. D’elle-même elle enfile ma bite au plus profond de sa vulve et reste ainsi quelques minutes. J’ai devant mes yeux sa magnifique paire de seins qui se balancent doucement et un sourire extatique illumine son visage perdu au milieu de ses longs cheveux. Je mets mes mains de chaque côté de sa taille et, comme si elle attendait cela, elle commence les mouvements alternatifs en dépliant plus ou moins ses jambes.
En fait c’était elle qui se baise sur ma queue dressée. En même temps que ses mouvements, je sens ses muscles intimes travailler mon gland quand il arrive au fond de sa chatte et le foutre de notre précédente baise couler sur mon pubis. Cette coquine mouille abondamment. J’ai le bas ventre complètement trempé.
Lorsque je sens qu’elle va jouir, je la maintiens sur ma bite enfoncée au plus profond et nous prenons notre pied ensemble. Francine s’allonge sur moi, la tête au creux de mon épaule, elle me dit doucement à l’oreille combien j’ai su la combler.
Peu de temps après, nous allons nous rafraîchir dans la piscine où nous jouons comme deux adolescents à nous éclabousser.
Lorsque Francine veut emprunter l’échelle pour sortir de l’eau, j’arrive derrière elle, je peux enfin pu lui prendre les seins dans mes mains et en caresser la chair souple.
Collé contre son dos, j’ai la bite dressée entre ses fesses.
Elle se met à onduler de la croupe pour mieux me sentir. J’ai encore envie d’elle. En voulant la prendre par derrière, au lieu de pénétrer sa chatte, c’est contre son anus que je pointe ma bite. Elle entre sans difficulté aucune, aussi facilement que dans son vagin.
Francine n’a aucun mouvement de recul bien au contraire. Dans un souffle elle me dit :
- Oouuuiii ! Continue…dans mon cul…
Je l’encule donc, tous les deux à moitié sortis de l’eau en raison de la profondeur modeste à cet endroit.
Elle est en appui sur ses avant-bras et j’ai toujours mes mains sur ses seins dont je pince les tétons durcis par l’eau. Je sens ma bite aller et venir dans son cul, ses fesses rondes logées dans le creux de mes hanches. Je la besogne lentement, sortant ma bite de son orifice pour mieux y rentrer ensuite. A chaque fois elle pousse un petit cri ou soupire fortement. Au moment où je crache mon sperme pour la troisième fois, elle jouit presque aussitôt bramant haut et fort son plaisir.
Je suis content, ma seconde sodomie a été appréciée !
Nous sortons enfin de la piscine. Nous nous rhabillons tous les deux avant de casser la croûte rapidement avec des fruits et du jambon. Francine me dit :
- Baiser, ça creuse !

Peu de temps après, nous reprenons la route. Moins de deux heures après, je retrouve les copains et les copines rassemblés autour d’un feu sur notre plage habituelle. De ma belle conductrice, je ne connais que le prénom et je serais incapable de retrouver sa maison.
Mais ce qu’il y a de bien avec ces femmes matures, c’est qu’elles n’ont aucun préjugé : ce qui les intéresse, c’est de se faire baiser et de sentir les jets au fond de leur sexe ou de leur antre interdit sans préservatif (Francine m’a interdit d’en mettre lorsque j’ai voulu le faire… pas très sain ni raisonnable… mais on ne parlait pas encore du SIDA)...


3.

Voyage de retour.

Malgré les aléas de l’autostop, je trouve mon compte dans ce moyen de déplacement économique et il m’arrive de belles aventures comme celles vécues lors du trajet pour descendre au camping de Menton où je devais retrouver les copains et copines ou encore lorsque je suis allé voir des parents à Toulon.
Après trois semaines passées sur la Côte, je dois remonter sur Paris car j’ai décroché un job d’été pour tout le mois d’août. J’ai le contrat en poche et il n’est pas question que je laisse passer les 2 500 francs de salaire qui m’aideront à financer mon année universitaire…
A l’accueil du camping j’ai mis une affichette : « Jeune homme cherche transport retour sur Paris samedi prochain – participe aux frais de carburant – emplacement N°215 ».

Le vendredi à midi, je n’ai aucune proposition. Je m’apprête donc à me rendre en bordure de la nationale dès le soir même pour tenter ma chance. Au retour de la plage je trouve, épinglée sur une des tentes mon affichette m’indiquant d’être à 21 heures 45 à la sortie du camping.
A l’heure dite, sac à dos bouclé, j’attends avec un peu d’impatience pour voir qui va me prendre pour faire la route quand je vois un van à la peinture rutilante pleine de décors artistement réalisés s’arrêter devant moi. Une femme entre 22 et 23 ans est au volant, le siège passager est occupé par un mec du même âge. Ils ressemblent à des hippies…
• C’est toi qui va à Paris ?
• Oui, je pense que c’est vous qui avez répondu à mon affichette !
• OK ! Fais le tour et monte par la porte latérale.

Lorsque je découvre l’aménagement intérieur du véhicule, je me dis en moi-même que le voyage va être génial. Derrière une table rabattable, il y a deux fauteuils avec un dossier inclinable très confortables. De part et d’autre de la cabine il y a des rangements aménagés et tout à fait à l’arrière, un lit surélevé occupe tout la largeur.
Je m’installe dans un des fauteuils et nous bavardons alors qu’une musique d’ambiance se répand dans l’habitacle, couvrant le bruit du moteur qui ronronne régulièrement sur l’autoroute.

Stéphanie et Eric sont deux musiciens qui après un mois de contrat dans une boite de la côte remontent sur Paris où d’autres engagements les attendent. L’aménagement de leur véhicule leur permet de voyager confortablement et de n’avoir pas recours systématiquement aux hôtels pour se loger.
Eric et moi nous avons somnolé plusieurs heures car c’est au moment où Stéphanie quitte la route que nous prenons conscience que nous arrivons sur une aire de service. Il commence à faire jour ! Stéphanie s’écrie pour nous tirer du sommeil :
- Premier arrêt : Aix en Provence ! Pause café et détente !
Environ une demi-heure plus tard, nous reprenons la route pour une nouvelle étape. Eric prend le volant et Stéphanie vient près de moi à l’arrière. Aussitôt installée, elle incline le dossier des sièges et nous recouvre tous les deux d’un vaste plaid en disant qu’ainsi nous serions mieux pour dormir…
Nous roulons depuis quelques temps déjà quand je sens une main venir explorer le devant de mon pantalon. Cette coquine de Stéphanie aurait-elle eu une idée derrière la tête en venant se mettre à l’arrière ?
Elle prend ensuite ma main gauche et vient la poser sur le haut de ses cuisses que je trouve nues. Elle a remonté sa jupe au dessus de la taille. Oulla, çà va être chaud ! Devant la tournure des choses, mon sexe se dresse instantanément dans mon slip au point de me faire mal tellement je bande. C’est vrai que Steph’ a tout pour plaire, grande brune aux cheveux abondants et très longs noués en queue de cheval qui arrive au creux de ses reins, un beau visage à l’ovale parfait éclairé par des yeux noirs et une bouche pulpeuse et des hanches, je vous dis pas !!!
La fourche de ses cuisses est chaude et douce. Au travers du tissu de son string (du moins c’est ce que je crois), je sens l’humidité de sa chatte. Je commence à la caresser ainsi et elle se tourne vers moi pour me faciliter le mouvement de mes doigts mais aussi sortir ma bite de mon slip et de mon pantalon. Je suis malgré tout inquiet de la situation. Son mari est là, tout près…
- Ne t’en fais pas, il sait ce que je fais. A la prochaine pause, nous allons faire l’amour tous les trois.

Je suis tombé sur un couple de libertins. Décidément ces vacances sont pleines de belles surprises sexuelles. Nous restons ainsi, Stéphanie sa main droite enroulée autour de mon sexe qu’elle masturbe lentement dès qu’elle sent la raideur faiblir et moi, la main gauche coincée entre ses cuisses à la limite de sa fourche.
Nous nous endormons ainsi, presque comme deux amants qui viennent de prendre du plaisir ensemble. Une fois encore, c’est l’entrée sur une aire de service qui nous réveille. En faisant le plein de carburant, Eric nous dit que nous avons dépassé Lyon… Lyon. Comme convenu, je donne la somme convenue et nous allons tous les deux à la cafétéria.
Quand nous revenons au van, nous reprenons nos places mais Stéphanie est allongée sur le lit. Elle s’est couverte avec le plaid. Eric dirige le véhicule vers un coin isolé du parking, tire les rideaux à l’avant et vient nous rejoindre dans la partie arrière. En soulevant le plaid il dit :
- Regarde, elle nous attend !

Effectivement, Stéphanie est intégralement nue, allongée dans une pose alanguie sur le lit transversal. Nous nous déshabillons pour la rejoindre, avec un peu de pudeur, de mon coté au moins. Malgré l’exiguïté des lieux, en un rien de temps, nous sommes nus tous les deux, la bite dressée devant nous, prêts à rejoindre Stéphanie qui, s’étant redressée, nous attend avec un grand sourire… En tendant la main vers le sexe de son homme elle dit :
- Viens… Ne me fais pas languir !
Et en se tournant vers moi :
- Toi… ça va ?
La voix entrecoupée car le fait d’être nu en présence d’un couple me rend très nerveux. Le mec qui est là me rend nerveux aussi, je finis par répondre :
- Oui… ça marche…
Le programme que Steph semble nous proposer me convient tout à fait, elle prend ma bite et joue avec elle pendant que son homme se met sous ses jambes ouvertes pour la lécher. Ses petits cris aigus, à chaque fois que le veinard passe sa langue sur le clitoris, sont une musique lascive, qui me rend fou. La désinvolture et débrouillardise du mec m’étonne, et j’ai l’impression que ce n’est pas leur premier trio. Je bande mais les nerfs sont toujours là.
Quand ça bande dur elle me lâche un peu pour sucer son mari, à gros coups de langue. Ensuite quand elle juge qu’il bande suffisamment, elle se recule pour qu’il puisse s’allonger sur le dos. Aussitôt elle le chevauche, introduisant d’elle même le sexe d’Eric au plus profond de son antre secret où il entre avec une facilité surprenante.
Après quelques mouvements en amazone, Stéphanie s’allonge le dos sur le buste d’Eric. J’enfile rapidement un préservatif et je vais me placer entre les jambes emmêlées de mes deux complices libertins.
Dans la demi-clarté qui règne dans l’habitacle j’aperçois le sexe de Steph’ qui palpite doucement. Je m’approche encore et je pose le bout de mon sexe à l’orée de ses lèvres intimes. Elle vient au devant de moi et c’est sans forcer qu’en une seule poussée, je suis au fond de sa chatte.
Eric et moi, nous accordons nos mouvements.
Pour moi, c’est une première... Je n’avais jamais participé à une double pénétration… Que c’était chaud, d’un érotisme torride de savoir une femme prise ainsi. Au travers de la fine paroi, je sens battre le sexe puissant d’Eric ce qui m’excite au plus haut point.
Notre plaisir commun monte. Stéphanie prononce des mots sans suite et des grognements de satisfaction quand l’un ou l’autre de ses fornicateurs l’éperonne un peu plus sèchement. Puis notre jouissance arrive. Pour moi, c’est violent ! Je me tétanise littéralement quand mon sperme jaillit au fond du préservatif.
Nous restons enlacés l’un sur l’autre de longues minutes puis je sens mon sexe sortir de la chatte de Stéphanie. Je retire le préservatif et elle vient gober ma bite en disant, comme si elle s’adressait à elle combien elle :
• Merci la belle, tu m’as fait du bien !
Eric se redresse à son tour et présente son sexe à peine débandé pour que Stéphanie lui fasse sa toilette.
Cette coquine nous fait une fellation en double en introduisant les deux bites dans sa bouche écartelée. Mais elle n’achève pas ! Visiblement elle se contente de sentir les deux sexes qui ont pénétré chacun de ses orifices en même temps dans sa bouche.
Nous nous allongeons ensuite tous les trois sur le lit un peu étroit, Stéphanie prise en sandwich entre nous deux et nous nous endormons quasi instantanément.

Quelques heures plus tard, nous nous réveillons et nous poursuivons notre route vers Paris.

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