La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1046)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE) (suite) -
Immédiatement je la rabaissais mais
- Non Madame La Comtesse, de grâce Non ! Pour une fois que je vois dans mon bureau une Dame aussi charmante, de grâce non, restez ainsi, vous êtes si
Il se leva, vint derrière moi. La porte souvrit sur une secrétaire (je ne lavais pas entendue frapper), elle lui apportait un dossier quil prit. Alors que la porte sétait refermée, je lentendis me dire :
- Madame La Comtesse, est-ce dans vos habitudes vestimentaires de ne pas porter de sous-vêtements ?
- Qu
quoi ?
comment
? , balbutiai-je
- Ne vous excusez pas Madame, votre ensemble vous va à ravir
Veuillez-vous lever, sil vous plait et venez-vous placer ici !
Le ton avait changé brusquement ! Il était beaucoup plus directif. Il me désignait un endroit. Derrière moi, se trouvait une grande glace murale. De son interphone, il dit :
- Quon ne me dérange pas, sous aucun prétexte !
Sapprochant de moi, il me prit délicatement la main droite, la leva devant mes yeux médusés et très lentement, la faisait remonter vers ma nuque. Son sourire était charmeur, ses gestes tout en douceur, il me tenait la main ainsi, ce qui fit remonter mon sein droit, tendre un peu plus mon chemisier et finalement laissa apparaître dans lanfractuosité du chemisier, un début daréole.
- Vous êtes superbe Madame, vraiment superbe, très belle.
Tout aussi délicatement, il me prit lautre main et commençait de la lever à son tour. Mes yeux limploraient mais comme tétanisée, je me laissais faire
- Ne craignez rien Madame, nous sommes ici entre gens de bonne compagnie.
- Oui Monsieur, cependant
- Je vous écoute Madame. Cependant quoi?
- Cette façon de me faire me comporter quand même pour un entretien dembauche
- Je dois tester vos capacités Madame, vous le comprenez
- Oui Bien sûr, mais quand même.
Le téléphone se mit à sonner.
- Veuillez mexcuser Madame, mais gardez la pose, sil vous plait ! (Le ton est sec, froid, autoritaire). - Ah oui ! Bonjour Cher ami
-
..
- Non, elle est ici
-
.
- Ah ! Je vois, en effet...
-
- A ce point ! Vraiment ?
-
..
- Dans ce cas, oui je comprends naturellement
-
- Bien sûr, merci, oui vivement merci
.
Il reposa le combiné, me dévisagea dun regard gourmand tout en réfléchissant un moment puis se levant tout en déboutonnant sa braguette :
- Retire ton chemisier, salope ! A poil et vient me sucer !
Vous dire que le coup que je venais de recevoir était normal nest rien à côté de la réalité de son ressenti du moment. Je ramenais vivement mes bras, et retrouvant mes instincts et ma fierté :
- Je ne sais, petit monsieur à quel jeu vous vous livrez ou tentez maladroitement de jouer, mais je vais de ce pas, vous laisser à vos petites combines de rat de société. Vous êtes, Monsieur, un malotru
Je me dirigeais vers mon imperméable, rouge de colère, commençais de le réenfiler quand je sentis sur ma nuque, sa main caressante qui tentait daller sur le devant pour caresser mes seins
Ma réaction fut immédiate. Je lui assénais une gifle qui le laissa penaud, se frottant la joue avec un étonnement dimbécile
- Goujat !, mécriais-je en lui hurlant dessus
Et je sortis du bureau en furie. Très énervée, je traversais le hall dentrée quand lhôtesse daccueil me demanda :
- Tout va bien Madame ?, avec une pointe dinquiétude
- Tout va bien en effet, veuillez mappeler ce taxi, ma petite !
Pourquoi ai-je traité cette femme de « ma petite », je ne le sais pas, cest venu comme ça, vieux réflexe dautorité de mes ancêtres peut-être. Non Mais ! Je ne voulais pas rester dans létablissement et je sortis attendre le taxi dans la rue sur le trottoir.
- Re bonjour Isabelle, le rendez-vous sest bien passé ?
- Furibarde (il comprit tout de suite) je lui lançai « Drugstore des Champs », Gérard, sil vous plait !
- Cest parti, me répondit-il
Dans la voiture qui me ramenait vers les Champs Elysées, jétais à la fois rassurée, je navais pas perdu ma fierté ni ma réactivité, mais en même temps, je ne me sentais pas à laise, sans savoir pourquoi. Trop contente davoir remis à sa place ce goujat qui simaginait en terrain conquis, je profitais de ce moment qui me permettait de me retrouver telle que jétais auparavant. Le taxi arriva enfin devant le Drugstore, me déposa. Sortie de la voiture, je respirais pleinement, à pleins poumons et pris place à lintérieur de létablissement. Jy avais mes habitudes, jétais connue en ce lieu. LAvenue Montaigne nest pas loin
Avenue Montaigne, ma première place de mannequin chez Christian Dior... que de chemin parcouru déjà. Cétais le bon temps
Je connaissais Yves Mourousi, Stéphane Collaro, Mort Schumann, Catherine Deneuve etc, les vedettes de ces années 80 !
Le bon temps !
- Comme dhabitude, Madame La Comtesse ?
- (Après avoir sursauté, mextirpant de mes souvenirs) Oui Marc, comme dhabitude en effet.
Le serveur me connaissait de longue date. Nous avions parfois lui et moi, parlé de beaucoup de choses, il me connaissait relativement bien.
- Voici Madame, vous êtes ma dernière cliente, je finis mon service aussi, pourrai-je encaisser tout de suite de façon à rendre ma caisse ?
- Bien sûr Marc, pas de souci.
Je réglais ma note, il prit le billet et me regardant, redevenu sérieux, me dit :
- Tout va bien Madame ?
- (Surprise et tentant darborer un léger sourire) oui bien sûr, Marc, tout va bien.
- Acceptez-vous que je prenne place un moment à votre table, jai fini mon service ?
- Si vous le voulez, en effet.
Jétais à la fois contente davoir remis à sa place labruti de DRH, et en même temps quelque chose faisait que je ne pouvais savourer pleinement mon contentement. Et je ne comprenais pas pourquoi à ce moment-là
Ce qui devait me provoquer ma mauvaise mine peut-être
mine que Marc avait remarquée
Marc revint en effet plusieurs minutes plus tard.
- Pardonnez-moi Madame, mais je vous connais quand même depuis quelques années et ne vous ai jamais vue encore avec un visage aussi
Me ressaisissant immédiatement :
- Mon visage, Marc, qua donc mon visage tentant un sourire plus franc?
- Je ne sais pas Madame, seulement je ne vous sens pas comme dhabitude. Etes-vous sûre que tout va bien ?
- Ecoutez Marc, je vous assure que je vais bien, très bien même, vraiment
mais je vis en ce moment, des passages
étonnants.
- Ah je vois, la fatigue de votre travail cest sûr, avec tous vos déplacements à létranger, les défilés, les obligations de paparazzis, je comprends que
ou alors
vous avez rencontré le Grand Amour ! (Il riait de bonne camaraderie)
Oui, ça doit être ça le Grand Amour. Vous savez Madame, avec tous les admirateurs que vous avez, cela ne doit pas être compliqué de dénicher celui qui sera lheureux élu de votre cur.
Marc me faisait du bien par ses gentilles paroles. Je le laissais parler.
- Tenez, quand vous êtes entrée, tout à lheure, on ma encore demandé qui vous étiez !
- Ah oui, et qui donc Marc, sil vous plaît ?
- Regardez derrière moi, là, sur ma droite, voyez-vous cet homme ?
- Oui en effet !
- Vous le connaissez Madame ?
- Pas du tout !
- Pourtant après que vous soyez entrée, il ma demandé qui vous étiez, ma demandé de vous amener une coupe de champagne avec sa carte.
- Ah ! Et la coupe de champagne où est-elle ?
- Jai répondu au client, quétant une cliente assidue de létablissement, vous ne souhaitiez jamais être importunée chez nous.
- (par curiosité) Donnez-la-moi, sil vous plait.
Il me tendit la carte. Au dos de son nom et adresse, je lis :
- Le Maître ne va être content du tout, petite chienne !
Immédiatement la foudre me tomba sur la tête. Je pâlis, Marc sen rendit compte
- Madame ? Ca va ? Cest lhomme à la carte ? Cest ça ? (Je ne répondis pas, quand brusquement je dis : )
- Un cognac Marc, sil vous plait, et sur le compte de ce Monsieur.
Marc me dévisageait, ahuri, mais dun geste, je lui fis signe dhonorer ma commande.
Me retrouvant seule à ma table, lhomme était dans ma ligne de mire et rien ne nous séparait à part la distance dune dizaine de mètres. Le Cognac me fut amené rapidement, je remerciai Marc qui me laissa, je pris le verre et le bus, tout en observant cet homme. Il me fixait de son regard prédateur quand dune inclination de la tête, il leva la main en signe de tchin-tchin en ma direction
Il mobservait sans vergogne et de son autre main, il caressait le dessus de sa braguette fermée ...
(A suivre
)
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