Deux Salauds, Trois Femmes : Tous Cocus
La punition approche. Laetitia, habituée aux absences de Blaise, viendra,sans hâte
-Jarrive
dans une ou deux heures, jai de la visite. Quil patiente. A deux vous ne verrez pas passer le temps.
Rien nest moins sûr. Blaise trouvera le temps long, ankylosé , nageant dans son urine et soumis à une peur insurmontable, faute de pouvoir sexpliquer la raison de sa situation humiliante.
Depuis trente-six heures ils sont couchés nus, liés, sans pouvoir bouger. Jachèterai un autre matelas, tant pis! Ils nont pas mangé, mais ont pissé au lit. Hervé na plus de voix tant il a appelé des secours improbables. Ils ont mijoté à petit feu, nont vu personne, me croient loin dici, allez savoir pourquoi. Ilsse tourmentent dans la plus complète incertitude sur le sort qui les attend. Ils ont faim et soif, ils jouxtent une femme nue près de leur peau nue.
Ils lont désirée, ils lont prise par tous les trous, baisée, enculée, ils ont éjaculé dans sa bouche, ils lui ont badigeonné les seins et le ventre avec leur semence, ils lont martyrisée en lenconnant à tour de rôle malgré ses horribles souffrances consécutives à une vaginite aiguë. Maintenant elle aussi est immobilisée et inaccessible malgré le vertige de leur libido jamais apaisée.
Les deux sont restés sourds à ses cris de protestation et à ses hurlements de souffrance. Et voilà quun mystérieux vengeur les a ligotés, saucissonnés et leur laisse supposer quun châtiment ne va pas tarder ou que le mari va revenir et découvrir le tableau. Aux questions angoissées du complice, Blaise ou Thérèse toujours bâillonnés ne peuvent pas donner de réponse. La terreur qui le prend est contagieuse, cest pour moi une douce vengeance. Je savoure ce résultat.
Jentre, une bouteille de vin rouge et un entonnoir dans une main. Hervé sétrangle en me voyant. Il ouvre la bouche pour crier, lentonnoir lenvahit et, faute de cognac ou de whisky, je calme sa soif, longuement, patiemment jusquà épuisement du litron de pinard.
On sonne.
Jaccueille une jolie jeune femme. Dans lentrée, elle me salue à voix haute. Là-bas, Blaise doit reconnaître cette voix; il est certainement surpris dentendre sa chère épouse sous ce toit! Nest-il pas temps que sa femme sinquiète du sort de son coureur de mari ? Je doute quil en soit ravi. Jengage la conversation avec Laetitia. Nous arrivons devant la chambre, je mefface devant elle, puis je désigne le lit. La brave femme na pas besoin de longues explications devant létrange tableau de ces trois corps nus. Figés dans la posture où les maintiennent mes liens. Elle pâlit, serre les mâchoires, minterroge du regard et dit en désignant Thérèse:
- Cest votre femme?
Cest tout, elle vacille. Je la conduis au salon et lassieds avant quelle ne sévanouisse. Cest une exquise créature, je ne comprends pas lattitude de son compagnon. Que trouve-t-il de plus à ma femme, sinon le plaisir de remuer une déception enfouie dans son subconscient, et de salir une autre proie ou de me cocufier. Sil était vraiment amoureux de ma femme, il aurait évité de la blesser en lui imposant des rapports douloureux et il ne laurait pas offerte à son associé. Cest un détraqué sexuel
Jexpose ce que je sais. La dame reprend des forces, écoute attentivement mon récit, sèche ses larmes. Elle me prend la main et me ramène au pied du lit, dans ma chambre et ordonne
- Paul, prends-moi, venge toi, venge moi.
A mon grand étonnement Laetitia relève sa robe, baisse sa minuscule culotte rouge à mi-jambes. Elle pose ses deux mains sur la barre du lit, se courbe, présente, jambes écartées sous un râble splendide, sa croupe et sa fente, me tend son sexe.
- Pourquoi se gêner, rendons leur la pareille. Ta femme les reçoit, ils en usent volonté.Viens
Malgré la fascination de ce sexe offert, malgré la révolution dans mon slip, je réussis à lever les yeux et rencontre le regard de ma femme. Ce quil exprime est indéfinissable.
- Alors, ça vient, tu es encore habillé? Approche.
- Un instant, je veux laisser parler ma pauvre épouse. Elle a eu tout le temps de réfléchir à ce quelle me dirait.
Jenlève son bâillon. Elle explose :
- Mais vas-y, prends-la puisquelle te le demande, que ce porc connaisse lui aussi ce que ça fait de voir sa femme emmanchée et collée à un autre homme. Venge-nous, punis ce salaud. Venge-la aussi.
Je pose une main sur le dos de Laetitia, ouvre ma braguette, tente dextraire un gourdin enflé par la vue du sexe à prendre. Je regarde encore ma femme. Elle attend, sa colère est évidente, mais je lis dans ses yeux une sorte dinterrogation. Laetitia simpatiente, agite son arrière train et piaffe :
- Quoi, tu es impuissant, tu nas rien dans la culotte ? Ta femme est obligée de débaucher mon mari pour jouir? Voilà que je comprends !
Laetitia sest relevée, se retourne, main en avant, ouvre de grands yeux en découvrant mon érection formidable. Cest que je suis privé de rapports complets en raison de lirritation chronique de Thérèse, mon envie décuple mes moyens, ma bite réclame son plaisir et la délicieuse jeune femme qui lempoigne perd ses doutes sur mes capacités à la faire jouir. Elle se jette sur mon serpent, le porte à la bouche, lenduit de salive., entreprend de le mordiller de la base au sommet.
- Non, Paul, pas toi, sil te plaît. Ne te salis pas comme Blaise la fait. Je texpliquerai tout.
Thérèse a changé davis. Elle le crie. Cela me bloque, je repousse la bouche de la tentatrice. Elle sétonne
- Tu nas jamais trompé ta femme? Elle a bien de la chance. Cest bon, jarrête. Pardon davoir voulu tutiliser comme un instrument. Elle a raison, je saurai me venger seule. Il naura plus loccasion de me tromper.
Délivrez-nous pleurniche Hervé de sa voix cassée et avinée.
Laetitia lignore et minterpelle :
- Que je vous dise. Il y a quelques mois mon mari aurait voulu organiser une partouze avec ce zigoto dHervé et sa copine. Jai refusé. Elle serait intéressée de voir quils se sont passés delle pour coucher à trois, avec ta femme.
- Jy ai pensé et jai laissé un message sur son téléphone.
Thérèse mérite un interrogatoire.
Au fait, Thérèse, raconte-moi comment vous vous êtes retrouvés dans ce lit.
Thérèse, toujours attachée, avec gêne reprend la parole et confirme ce que jai déjà raconté à Laetitia. Celle-ci la cuisine habilement.
-C est la première fois que vous baisez?
- Non. Blaise vient une fois par quinzaine depuis des mois.
- Cest toi qui lappelles habituellement ? Tu es une salope, une briseuse de ménage ?
- Non, cest lui qui moblige à me soumettre à ses caprices.
- Ah, ouais ! Ton mari est au courant, il savait ?
- Non. Blaise me faisait chanter et jétais obligée de me soumettre si je voulais épargner Paul.
- Oh ! On ne fait pas chanter quelqu' un sans raison de manière répétée. Si un homme avait voulu me baiser, il aurait trouvé un motif pour me forcer à lui obéir une fois. Mais jen aurais parlé à Blaise et le cas aurait été réglé. Il ny aurait pas eu de deuxième fois.
Oh! Non. Pas la bouteille. Jai trop mal. Blaise est brutal et bestial. Chaque quinze jours il mimpose des rapports violents, chaque quinze jours il revient raviver mes plaies et irriter mon sexe . Je ne réussis plus à guérir. Mon mari doit en souffrir
par manque de rapports sexuels.
- Mais tu te tais ? Que ton mari soit privé de sexe ne te chagrine pas trop ? Pourquoi ton silence ?
- Il y a très longtemps, avant notre mariage, Blaise et moi avions eu une rapide aventure. Un jour, après mon mariage avec Paul, par hasard, nous nous sommes retrouvés lun en face de lautre. Blaise a évoqué le passé, a voulu savoir si Paul avait remarqué que je nétais plus vierge. Ensuite il a prétendu se présenter à Paul comme mon amant. Il ma promis que si je me donnais à lui, rien quune fois, il ne révèlerait pas notre passé commun à mon mari.
Jinterviens.
- Pourquoi nas-tu rien dit ? Ce qui avait précédé notre rencontre, notre union ou notre mariage ne comptait pas. Il ny avait pas vraiment matière à chantage. Tu as cédé trop facilement.
- Jai eu trop peur de te perdre, sil exécutait ses menaces. Oui, jai eu tort.
La femme de Blaise enrage:
- Mais alors, il tavait promis
Ça ne ta pas empêchée de recommencer tous les quinze jours à tenvoyer en lair avec ce salaud. Pourquoi ? Cest du vice. Tant mieux sil ta raboté le sexe. Tu ne méritais pas mieux. On peut se laisser surprendre une fois. Après avec un minimum de bon sens, on se protège, sauf si ce type de rencontre plaît .
- Ce nest pas ce que tu crois. La première fois il a pris des photos, de lui et de moi nus, au lit ou sous la douche et me les a montrées. Certaines positions, cétait dégradant. Leur publication maurait salie avec le risque supplémentaire de briser ma famille.
- Donc tu as choisi de te salir autrement en couchant avec mon homme, en secret ? Quelle garantie as-tu de le voir respecter sa parole.
Blaise avait juré .
Cette fois cen est trop, je tiens à appuyer le discours de son interlocutrice
- Na-t-il pas juré aujourdhui même de ne pas toucher à ton vagin si tu te prêtais à une double sodomie? Et quont-il fait en réalité? Ils tont infligé deux pénétrations simultanées, une anale et une vaginale, malgré tes protestations. Il ne respecte pas ses promesses, un point cest tout. Retiens cette leçon. Il aurait suffi dès la première fois de mavertir et tu ne laurais pas revu!
- Je ne savais pas quil recommencerait sans fin
Laetitiasest placée à côté de Blaise. Jassiste alors à un spectacle inattendu. Des deux mains elle masturbe son mari, sans ménagement, elle tire sur le tube, repousse le prépuce, gifle le gland, y dépose la trace dun ongle, secoue, agite, branle, astique. Après 36 heures de repos , Blaise a repris des forces. Il nargue lépouse cocufiée en dressant un étendard bien raide. Elle enrage, accélère les mouvements des poignets, serre, baisse, lève, tord. Ses mains montent et descendent sur la hampe inlassablement. Il gémit mais ne peut pas se soustraire à cette traite vigoureuse. La femme sacharne:
- Ah! Mon salaud, tu vas cracher. Tu as abusé d(une pauvre fille sans défense. Allez, allez. Je vais te vider les couilles, tu foutras la paix aux femmes. Crache ou je tétrangle
Elle sécarte, le sperme jaillit en jets puissants qui tombent sur le drap et jusquau sol.
Le mari est soulagé, mais se repent aussitôt de son absence de repentir. Lépouse furieuse reprend immédiatement la manipulation du pénis sans lui laisser le temps de baisser la tête. Elle me fixe:
- Je vais le vider et lui faire passer lenvie de papillonner dans le jardin des autres. Alors mon chéri, tu aimes? Je ne te suffis pas ? Non? Dommage pour toi. Nous navons pas fini.
La branlette devant témoins saccentue. La manuelle a raison de lentêtement. Le supplice dure, une nouvelle éjaculation couronne les efforts de la jeune femme.
Jappelle la donzelle dHervé, cette fois elle répond. Je mens à peine : Son ami veut lui offrir un plaisir nouveau.
Bouche dégagée Blaise reçoit à son tour lentonnoir et ingurgite un litre de gros rouge. Thérèse déliée quitte le lit. Toujours pieds et poings liés les deux cochons sont couchés sur le dos. Je demande à la victime de faire à son tour avec ses mains les gestes quelle a accomplis sous la contrainte, mais cette fois cest différent, je le souhaite. Quand un zizi atteint son maximum dextension, Laetitia serre à la base un lacet de chaussures. Thérèse sacharne sur lautre. Elle a lart et la manière et Laetitia serre un lacet sur ce manche dressé. Les verges restent gonflées.
- Je peux me doucher? demande ma femme sur le corps de laquelle le sperme sèche lentement
Pendant le bain de Thérèse, nous préparons de quoi nous restaurer. Ma femme revient, vindicative:
- Ces deux pourris mont enculée lun après lautre, ils mont rabotée et mont détruit le vagin, je souffre comme une folle. Jai envie de les .
- Contente -toi de les traire régulièrement, quils crachent jusquau sang!
Virginie est arrivée. Virginie a demandé pourquoi les deux chéris étaient liés. Virginie a compris. Virginie en colère, cest une tornade. Elle nest pas très jolie, mais elle a de la poigne. Virginie sest gentiment posée sur les membres défaits et a vaillamment exécuté sur chacun une danse effrénée du popotin. Trois femmes se relaient pour les faire jouir, les veinards, seule Thérèse nutilise que ses doigts, les deux« légitimes » tiennent à user de toutes leurs possibilités, notamment de la chaleur de leur vagin.
Laetitia sest payé Hervé, a fait savoir à son mari, Blaise, que cétait le début dune longue série de rencontres masculines.
- Pourquoi ne pourrais-je pas baiser avec dautres hommes. Tu mas donné lexemple, je timiterai avec joie et tu auras avantage à técraser
Blaise ne peut pas râler, Il a la chatte de Virginie sur la bouche et avale un jet durine chaude. Quand lun sendort il est aussitôt pris en main. Nous avons un week-end complet devant nous pour mesurer leur résistance et connaître leurs limites. Ils ne protestent plus. Les trois femmes font cause commune, se montrent solidaires et infligent la punition méritée aux infidèles. Je vois mal Laetitia rentrer chez elle, la tête haute, le sourire aux lèvres dans le sillage de son mari volage et violeur.
Nouveau revirement de Thérèse. Comme si elle réalisait enfin notre situation étrange
-Mon amour mon sexe est actuellement impropre à la consommation par la faute de ces deux énergumènes. Je men veux de ne pas pouvoir munir à toi. Ta frustration mest insupportable. Si javais été plus courageuse nous nen serions pas là. A la réflexion tu devrais accepter la proposition de Laetitia. Vu létat de délabrement de la bistouquette de Blaise, elle sera également privée damour. Il me semble juste que vous fassiez lamour avec mes encouragements. Je veux introduire moi-même ta verge dans sa foufoune, elle sera ma remplaçante, fera lamour par procuration. Je ten prie, pour lamour de moi, unissez-vous. Votre plaisir sera le mien. Je te promets que je ne serai pas jalouse.
Je suis bouleversé par autant dabnégation. Mais Thérèse me pousse vers une rivale avec trop de conviction. Elle na pas prévu la suite
-Et moi, dit Virginie, qui va me faire jouir?
Un sexe impraticable, deux en manque! Qui dit mieux?
Aussitôt il faut disposer les deux salauds en bord de matelas, tournés vers le milieu, de manière à ce quil ne perdent rien du spectacle. Maintenant tout le monde est à poil. Que la fête commence. Virginie me suce, Laetitia sallonge sur le dos et envoie une jambe sur Blaise, lautre sur Hervé, expose nettement son sexe quelle caresse pour le préparer à me recevoir.
Dans lattente du rétablissement de Thérèse, je recevrai régulièrement la visite de Laetitia et de Virginie
si je les satisfais aujourdhui. Jai intérêt à me surpasser. Ma femme participera aux rapports sans en profiter aussi longtemps que nécessaire. La crainte de me perdre lui servira de ceinture de chasteté, des relations sexuelles hors notre couple compromettraient définitivement notre union. Et les deux clowns vont assister à leur cocuage. Je bande, je monte sur le lit
la fente de Laetitia s'ouvre...
- Ma femme, tu seras cocue
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