La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1047)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE) (suite) -
Il mobservait sans vergogne et de son autre main, il caressait le dessus de sa braguette fermée .... Je faisais semblant de ne pas lui donner trop dimportance. A un moment, une amie pressée arriva, toujours pétulante, gaie, vive :
- Bonjour Isa, comment vas-tu ?
- Oh Carole que je suis heureuse de te voir. Ca va bien et toi ?
- Oh tu sais, toujours ici et ailleurs, tu connais le métier
- Ah oui en effet, tu restes un moment.
- Non, je suis très pressée, je pars à Milan ce soir pour un défilé, désolée mais je te rappelle dès mon retour, je file.
- Ok, super ma grande ! A bientôt
Lhomme, qui navait pas quitté son regard sur moi, se leva, et vint vers ma table. Parfaitement bien habillé, pardessus sur un veston style Burberry, une canne raffinée car il boitait légèrement
- Bonjour Madame, votre beauté na dégale que la classe qui émane de vous.
- Merci Monsieur, répondis-je négligemment.
- Me permettez-vous de masseoir à votre table ?
- Monsieur, le fait de moffrir un verre, que létablissement a refusé par bonheur, ne vous permets pas de venir jusquà ma table.
- Vous a-t-on remis ma carte Madame.
- En effet Monsieur, mais je ne vous connais pas, je ne vois donc pas à quoi elle pourrait me servir.
- Justement Madame, nous pourrions faire connaissance.
- Ecoutez-moi bien Monsieur, je viens ici pour être tranquille, je nai ni besoin de votre conversation, ni de vous, alors, sil vous plait, veuillez vous retirer.
Lhomme me fixait et me dit sur un ton de reproche :
- Il ne serait pas content de savoir que vous vous êtes mal comportée !
- Je vous demande pardon ! De qui parlez-vous Monsieur ? Je vais appeler la sécurité si vous persistez à mimportuner.
- Je parle du Maître, Madame ! Cela vous dit-il quelque chose ?
La foudre venait de nouveau me frapper
- Du Maî
du Maî
tre
Mais qui êtes-vous Monsieur ?.
- Je suis le vent Madame, je suis celui que lon ne peut attr, je suis ici et là et je sais que vous ne vous êtes pas bien comportée lors de votre rendez-vous, rue Daumesnil. Pour sûr, il ne pas être content, du tout, du tout
Subitement, aussi facilement quil mavait abordée, il tourna les talons et sen alla sans un mot de plus. Jétais effondrée, plus par le fait que cet homme parfaitement inconnu de moi, savait ce qui sétait passé lors du rendez-vous, que pour toute autre raison. De plus, léchéance du rendez-vous, pour le lendemain midi du 5 du mois, me revenait en mémoire. Enfin, les propos de cet homme minstillèrent la peur, car enfin, cela commençait à faire beaucoup de choses nouvelles dans ma vie depuis peu de temps, depuis que jai rencontré ce Noble de Marquis. Jai fait avec lui des choses impensables, je le reconnais, si on mavait dit cela il ny a quune quinzaine de jours
Serai-je en train de perdre la tête ou tout simplement le contrôle de ma vie ?... Bon, Isabelle, tu vas arrêter ce cauchemar, te reprendre en main ma belle, sinon tu vas tout perdre. Pour commencer, je vais tenter de joindre quelques amies et jirai la nuit prochaine en boîtes de nuit au Don Camillo, rue des Saints Pères dans le 7° ou à lAristote à Enghien. Je connaissais bien ces deux discothèques et y ai passé souvent des nuits entières à danser ou à
Quelques appels téléphoniques plus tard, et cétait convenu, jirai au Don Camilo avec Virginie, son mari, Hervé, et France, deux amies très proches, Virginie Hôtesse de lair chez Air France, France mannequin elle aussi mais dans une autre agence que moi. Le temps de revenir chez moi, prendre un bain, me préparer, nous nous sommes données rendez-vous pour vingt-deux heures en bas de chez moi
Arrivée devant mon immeuble, je crus reconnaître une voiture, une Rolls-Royce qui démarrait et que je nai pu véritablement identifier. Tout de même, la vue de ce véhicule me troubla beaucoup.
Coucou, tu es là ? Tu sais que tu me fais du bien quand tu me caresses ? Eh bien, tu ne réponds pas ?
Instinctivement, ma main se dirigea vers mon petit et très cher bouton et commença à le caresser tendrement, puis plus vite
Au bout dun moment, je me souvins tout dun coup de la baignoire.
- Mon dieu, la baignoire me dis-je en bondissant du lit.
Je filais à la salle de bains et stoppa les robinets in extremis. Une vapeur deau bienfaisante flottait dans la pièce parfumée aux huiles essentielles, et je me coulais dans la chaleur du bain, si enveloppante, si parfumée, si bienfaisante, que mes tétons se réveillèrent et mon petit ami le clitoris, également. Cette fois, bien consciente, ma main lui, adressa de telles caresses bienfaisantes quil me gratifia dun orgasme, comme seul lui sait le faire
Comme par exemple quand mes doigts descendent lentement sur mes seins et les caresse longuement et fortement jusquà ce que mes mamelons durcissent
de temps en temps, je pince un téton
ce qui me donne de petites décharges délectricité tout le long de léchine du dos.
Je me doigte dans lexcitation, passant sans cesse du vagin au clito dénudé, décalotté que je sens grossir et chauffer sous mes doigts... Quelquefois, je rajoute de la salive pour que la caresse soit encore plus glissante car plus c'est mouillé et meilleur c'est... J'avoue que je ne touche pas toujours mes seins quand je me masturbe... je suis surtout focalisée sur mon bouton érigé que je triture sans relâche progressivement, ainsi je sens monter le plaisir, je transpire, mon coeur bat la chamade, ma chatte dégouline, mon clitoris se dresse encore plus et reluit et puis je jouis, intensément et violemment.
A côté les hommes peuvent prendre des cours ! Mon clitoris et moi, une longue histoire. Que de choses agréables il ma fait vivre. Combien de fois, grâce à lui, suis-je grimpée très haut dans les ciels des orgasmes. Il est vrai que je suis une grosse jouisseuse, jaime me masturber, et dès le premier orgasme, en général très violent, après quelques secondes, le second arrive, plus vite et plus violent, et le troisième, plus dévastateur ainsi de suite. Cest pour moi, physiquement un véritable marathon que de me branler, je suis à la fin tétanisée musculairement parlant et le lendemain, jai des cuisses et des mollets durs comme la pierre tant jai joui.
Bon ce nest pas tout ça, petit clito, je sais que tu aurais aimé que je recommence, mais vois-tu, il est 21h00, je dois me préparer car je sors ce soir, et oui ! Mais rassure-toi, je temmène avec moi, petit clito, mon meilleur ami qui ne me quitte jamais. Je me fais violence pour quitter mon bain et commencer de me préparer parce que je sais quHervé est toujours à lheure et quon sest donné rendez-vous pour 22 heures. Tout en me crémant, me maquillant, me parfumant, je vous dirai dans un prochain épisode combien jaime mon petit clito, et comment il me fait grimper très très très haut, découvrant même parfois un semblant déternité
21h55 sonnait au clocher de léglise Saint Honoré, plus proche église de lavenue Foch, avenue de ma résidence. Hervé sonnait à linterphone :
- Isabelle, tu es prête, on est en bas
- Jarrive
(A suivre
)
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