Cheville Foulée.
(histoire véridique remontant à la fin des années 1990 et transcrite en 06.2009).
Il y a une quinzaine de jours, je terminais en solitaire une petite randonnée dune dizaine de kilomètres dont litinéraire démarre et arrive sur le parking du parcours de fitness de la petite ville où je réside. Cétait le début de lautomne et même si le temps était plutôt clément, il fallait faire attention à ne pas glisser sur les feuilles humides qui parfois recouvraient des rochers émergeant à peine du sol.
Jétais à moins de cinq minutes du parking quand à une dizaine de mètres devant moi, jai vu une joggeuse glisser et chuter lourdement sur le sol. Jai pressé le pas et quand je suis arrivé auprès delle, elle ne sétait pas encore relevée et gémissait de douleur en se tenant la cheville droite. Je me suis penché vers elle en lui demandant si je pouvais laider. Elle ma dit sêtre tordu la cheville en glissant sur une racine recouverte de feuilles mortes. Je lai aidée à se relever mais elle ne pouvait pas poser son pied. Pour regagner le parking, jai passé le bras gauche autour de sa taille pour la soutenir et de son côté, elle avait mis le droit autour de mon cou. Il lui était impossible de conduire. Je lui ai proposé de la ramener avec sa voiture jusque chez elle. Je reviendrais chercher la mienne plus tard.
Elle résidait dans un studio au deuxième étage dun petit immeuble récent du centre ville, heureusement pourvu dun ascenseur. Après lavoir installée dans un fauteuil, je lai aidée à se déchausser pour examiner sa cheville. Elle était bien gonflée et chaude mais malgré tout Lucie pouvait bouger son pied. Mes notions de premiers secours mont permis de la rassurer en lui disant que ce nétait quune entorse simple. Pour faire partir le gonflement, il suffisait dans un premier temps de prendre un bain de pied froid et quensuite un bandage serré lui permettrait de marcher à peu près normalement. Elle ne voulait pas aller consulter le service médical durgence car elle était actuellement en stage dans un important cabinet davocats et elle navait pas les moyens de linterrompre.
Petite brune denviron un mètre soixante avec des cheveux noirs longs coiffés en queue de cheval, Lucie est un joli brin de femme. Sous son sweat-shirt, je pouvais deviner une poitrine menue. Ses yeux bruns légèrement bridés lui faisaient un regard coquin qui illuminait son visage. Je ne lui donnais pas plus de 30 ans. Dès quelle a été installée, la cheville dans un bain froid avec des glaçons, je lui ai offert de revenir lui faire son bandage en fin daprès midi dès que je serais allé récupérer ma voiture. Pour faciliter mon retour dans son appartement, elle ma remis une clé. Une heure plus tard, je revenais avec le nécessaire pour le bandage. Lucie avait toujours le pied plongé dans le bain froid. Sa cheville avait désenflé et jai pu lui faire le bandage prévu.
Pour me remercier, elle ma invité à diner « à la fortune du pot ». Nous nous sommes contentés dune tranche de viande froide et dune salade de tomates à la mozzarella. Nous avons bavardé longuement au cours du repas et après. Elle se confiait à moi qui aurait pu être son père, parlant de ses aspirations, des ses amours déçues
Dorigine italienne, elle avait fait toutes ses études universitaires à Paris et après ces cinq années, elle avait décroché ce stage de trois mois qui, elle lespérait, déboucherait sur une embauche qui la conduirait vers une carrière de juriste internationale. Son travail lui plaisait et il régnait une bonne ambiance entre les membres du cabinet. Vers 22 heures, jai pris congé de Lucie qui ma dit de venir diner le vendredi suivant. Elle me préparerait une spécialité italienne pour un repas plus conséquent.
Deux semaines plus tard vers 20 heures, je sonnais à la porte de Lucie.
Oh surprise ! Elle mattendait dans un kimono en soie ivoire opaque orné de dentelle et un pantalon du même tissu qui lui allaient à ravir. Elle mavoua :
Je me suis mise à mon aise après la douche ! Jen avais besoin
Je suis arrivée il y a moins dune heure de Paris où jai accompagné un des responsables du cabinet.
Nous sommes passés à table pour un repas exclusivement tourné vers lItalie. Nous avons repris notre bavardage de la semaine passée tout en mangeant, puis installés côte-à-côte sur le divan nous avons poursuivi notre conversation. Alors que javais largement le double de son âge, nous avons ri comme deux potaches contents de leurs blagues mais les propos ont fini par dériver vers la coquinerie. En plaisantant, je lui disais que belle comme elle létait, elle devait multiplier les conquêtes masculines. Ce nétait pas le cas car elle sétait entièrement consacrée à ses études et à part quelques aventures sans lendemain lors de vacances estivales, elle navait pas de copain car elle avait été déçue à plusieurs reprises.
Et toi, tu vis seul mais tu dois encore avoir des aventures ? Raconte-moi comment tu fais des conquêtes !
Bien sur je ne vivais pas en ermite, je goûtais les plaisirs de la vie et le sexe en fait partie :
Je drague sur les sites de rencontres coquines sur la toile et de temps à autre, je vais dans un club libertin de la région où jai un abonnement à lannée ou alors à Paris.
Je métais un peu tourné vers Lucie et par lentrebâillement de son déshabillé, je plongeais mes regards sur un sein bombé qui me semblait bien ferme. Jolie vue, très sensuelle. Jétais un peu mal à laise de sentir mon désir pour Lucie monter peu à peu dans mon boxer, mais je ne pouvais pas lempêcher.
Cette coquine devait le sentir car loin de refermer la veste de son kimono, elle a dénoué la ceinture et les pans se sont écartés comme par enchantement. Elle avait la peau mate des filles du soleil et je pouvais voir que lété dernier, elle avait bronzé avec le soutien gorge de son bikini : un triangle de peau plus claire sétendait sur ses seins aux aréoles très foncées. Linvitation de Lucie à aller de lavant était sans équivoque. Je lai enlacée et doucement, je suis allé déposer un baiser sur ses lèvres. Elle a ouvert la bouche et nos langues ont commencé un ballet sensuel de plus en plus chaud.
Soudain Lucie sest levée, elle a fait glisser le déshabillé sur le tapis et elle est venue se mettre à califourchon sur mes jambes pour continuer à maffoler de ses baisers. Je faisais courir mes mains sur son torse, tantôt devant sur ses seins jusquaux hanches, tantôt derrière où je suivais le creux de sa colonne vertébrale que jagaçais de mes ongles.
Javais de plus en plus chaud et ma bite se trouvait désormais très à létroit dans mon boxer. Cest elle qui a entrepris de menlever mes vêtements, le sweat-shirt et la chemise ont rejoint le haut du déshabillé sur le tapis. Nous étions désormais à égalité : Lucie navait plus que son pantalon de soie (et peut-être un string) et ses mules à talons hauts et moi, je navais plus que mon pantalon, mon boxer et mes sandalettes. Quand elle sest levée, jai compris que nous allions passer aux choses sérieuses. Lucie a fait glisser dans le même mouvement son pantalon et son string et jai ôté le reste de ce que je portais.
Nous étions face à face, entièrement nus, le souffle un peu court après nos échanges de baisers enflammés, ma bite dressée triomphalement faisait face à son pubis orné dun duvet noir dessiné en triangle. En sallongeant à nouveau sur le divan Lucie minvita à la rejoindre :
Viens, jai envie de faire lamour et toi aussi !
Je cherchai précipitamment un préservatif dans mon pantalon mais Lucie me dit que nous pouvions nous en passer, elle était sous contraception et avec moi, elle ne craignait rien
Lucie me tendait les bras et la fourche de ses jambes était largement ouverte. Je me glissai entre ses cuisses et dune longue et lente poussée, je pris possession de sa chatte trempée de cyprine, heureusement car elle était étroite. Je restai ainsi sans bouger pendant quelques minutes pour savourer la douce chaleur de cette gaine humide.
Vas-y ! Baise-moi fort !
Jai commencé les mouvements de va-et-vient dans sa chatte. Lorsque mon gland revenait à la sortie, Lucie jetait son bassin en avant comme pour me retenir et mempêcher de sortir. Loin de moi cette idée !
Jai accéléré les mouvements. A chaque fois que jarrivais au fond de sa vulve, Lucie poussait un petit cri. Je sentais son plaisir monter au même rythme que le mien. Nous allions tous les deux vers une jouissance simultanée. Soudain, Lucie a relevé ses jambes pour venir les nouer sur mes reins en poussant un grand râle de jouissance. Son vagin et tout son bassin étaient pris de mouvements convulsifs. Elle avait rejeté la tête en arrière et sa bouche entrouverte semblait chercher son souffle. Pendant quelle jouissait, je me suis retenu mais aussitôt après, je me suis lâché. De puissants jets de sperme ont inondé le fond de sa chatte. Il y avait longtemps que je navais pas eu le plaisir de me vider directement dans un sexe accueillant.
Nous avions pris notre temps pour baiser mais après cette belle jouissance, nous étions essoufflés tous les deux. Je me suis allongé sur Lucie, les coudes le long de son buste, je sentais contre ma poitrine les douces protubérances de ses seins. Nous échangions de petits baisers et dune main, je lui caressais la nuque. Javais toujours la bite un peu débandée dans sa chatte. Lun et lautre, corps contre corps, nous savourions ces instants merveilleux de douceur qui suivent une bonne baise. Finalement, ma queue est sortie de son sexe. Je me suis relevé en nous désunissant.
Reste ! Nous allons ouvrir le lit, jai envie de dormir dans tes bras !
Quelle belle invitation ! Nus tous les deux, nous avons ouvert le divan-lit et nous nous sommes glissés sous la couette. La pièce nétait plus éclairée que par quelques bougies placées dans des photophores de couleurs disposés çà et là. Nous étions couchés sur le côté, Lucie blottie au creux de mes bras, nos jambes à nouveau emmêlées, me disait combien je lavais rendue heureuse et me remerciait encore de lavoir secourue dune manière efficace la semaine précédente. La chaleur du lit et le contact de son pubis contre le mien avaient fait renaître ma bandaison. Glissant une main entre nous deux, Lucie a achevé de faire dresser ma bite pour venir la chevaucher en amazone face à moi.
Tout dabord elle a ondulé du bassin comme pour mieux loger ma queue au fond de sa chatte puis elle a entrepris les mouvements de va-et-vient, sortant parfois totalement ma bite de sa chatte pour mieux la reprendre ensuite et savourer la lente pénétration. Bien que noyé de cyprine et de foutre, son sexe était toujours étroitement moulé sur le mien.
Dans le clair obscur de la pièce, léclairage mettait des flaques de couleur mordorée sur la peau de Lucie. Je distinguais les deux triangles plus clairs au niveau de sa poitrine et la marque du maillot à sa taille. Ses yeux brillaient et sa bouche entrouverte laissait voir la blancheur de ses dents, seule tache vraiment plus claire. Lucie prenait son temps, les genoux à hauteur de mon bassin, elle ondulait, ma bite allant à chaque fois jusquau fond quand nos pubis étaient en contact. Puis elle a changé de position, toujours en amazone, elle a rejeté la couette en arrière, elle a mis ses pieds à plat de chaque côté de mes hanches et là, elle a repris sa cavalcade de plus en plus rapide, ne semblant plus se ressentir de son entorse. Javais posé mes mains de chaque côté de sa taille pour maintenir son équilibre. Et notre jouissance est arrivée une nouvelle fois, soudaine et violente.
Lucie sest affalée sur mon torse et ce nest que bien plus tard que nous avons repris conscience. Nous nous étions endormis dans cette position quasi instantanément. Je me suis rhabillé et jai quitté Lucie et la remerciant et en disant que je préférais la quitter ainsi aux petites heures de la nuit pour ne pas la compromettre par une rencontre inopportune.
Cette soirée a été suivie dautres moments sensuels comme ceux-là ! Mais cétait merveilleux car inattendu. Puis nos routes se sont séparées
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