Sixième Rencontre Échangiste : Diner Au Club Libertin
Caroline prenait de plus en plus de plaisir à goûter aux plaisirs libertins, à séduire les hommes, à aimer les femmes mais
pas ment à men voir faire de même comme devait le prouver notre sixième rencontre. Ayant depuis longtemps envie de goûter aux plaisirs de ce célèbre club parisien nous avions accepté linvitation à y diner dun autre couple. Avec Jean-Guy et sa compagne, Felicia, dorigine italienne, superbe petite brune un peu en chair, le feeling fut tout de suite excellent.
« Vous venez souvent ici ?
- Oui, nous aimons lambiance et quoi de plus sympa que de faire connaissance autour dun bon dîner. »
Jean-Guy et Caroline semblaient bien sentendre. En tout cas il dévorait des yeux sa poitrine bien mise en avant dans une jolie robe rouge très échancrée, son bon mètre 75, ses cheveux blonds depuis peu. Je dois admettre que je ne le trouvais pas bien séduisant. Plutôt genre représentant de commerce enrichi (en fait il possédait une boîte qui fournissait des hôtesses aux salons), le mètre 80 un peu enrobé, la quasi quarantaine pas bien préparée. Mais bon, javoue que je dévorais tellement des yeux la belle Felicia, à laquelle je donnais « Vous ressemblez à Carla Bruni, on vous la déjà dit ? » que je ne formalisais pas trop. Jallais le regretter.
Une fois notre dîner fini, après avoir échangé beaucoup sur leurs expériences (nombreuses) et nos quelques unes, après avoir enfin promis de nous retrouver un jour au Cap dAgde où ils avaient leurs habitudes, nous partîmes à lexploration du club. Pour ceux qui ne connaissent pas cest un fort bel endroit dans des caves rive droite où se retrouvent les plus beaux libertins, généralement en couples, avec parfois une possibilité pour quelques hommes seuls. Mais ce soir-là cétait une soirée couples dont ce très beau duo que nous contemplâmes avec intérêt. Derrière une grille qui nous séparait deux Monsieur besognait Madame, la croupe haute, la poitrine ballotant, séparée de nous par une grille.
Rassuré jentrepris plus subtilement dembrasser Felicia, mintéressant également à ses seins quelle nous avait dit avoir très sensibles, la pénétrant doucement en ayant la satisfaction de la sentir bien excitée, lamenant sur une couche en face de lendroit où Jean-Guy était avec Caroline. Rapidement Felicia prit à son tour mon sexe à pleine main, défit ma braguette, faisant sortir un sexe qui lui rendait aussi hommage, le suçant pour encore mieux le durcir. Il ne me fallut plus que quelques minutes pour la prendre, menfonçant avec bonheur dans son sexe quaucune culotte ne venait protéger. Je lui avais enlevé sa robe histoire de profiter de sa jolie poitrine, ferme, appréciant la douceur de sa peau, soulevant ses fesses. De son côté elle me prenait la tête à pleine main, mattirant vers elle, me disant dy aller plus fort, plus vite. A ce train-là il ne me fallut pas longtemps pour jouir. Un peu déçue elle me regarda mexcuser de ne pas avoir été plus endurant, pas bien à laise avec mon préservatif maintenant plein.
Cest là que je me souvins que jétais venu avec Caroline. Qui nétait plus là alors que Jean-Guy nous regardait.
« Où est passée Caroline ?
- Aucune idée. Je lai prise mais elle navait pas lair dadorer et elle partie.
- Partie ?
- Oui. »
Et me voilà en train de recherche Caroline un peu partout dans le club, soudainement très grand et surtout très sombre. Des femmes sexy il y en a partout, dont beaucoup qui se font prendre dans toutes les positions sans quon voit vraiment leur visage. En tout cas les responsables du vestiaire mont certifié quelle « était toujours là car on ne pouvait partir quà deux si on était entrés à deux ». Je la cherche donc un peu partout quand une paire de chaussures, rouge, minterpelle. Une paire de chaussures qui a la particularité dencadrer un costume.
Se levant elle me regarda enfin. « Sympa de partir comme ça ?
- Tu avais lair bien occupé.
- Tu me semblais lêtre aussi. » Superbe avec ses seins nus, ses longues jambes aux bas filés, elle me regardait un brin provocatrice. « Tu te rends compte que jai bien cru que tu étais partie ?
- Pourquoi as-tu cru ça ?
- Jean-Guy ma dit que tu lavais quitté un peu rapidement.
- Il ne me plaisait pas.
- Et ensuite tu as trouvé ce charmant jeune homme.
- Oui, qui me plaisait lui
»
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