La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1048)

La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE) – (suite) -

- J’arrive…

Pour rappel, nous sommes dans la nuit du 4 au 5 janvier 1985. Je m’engouffrais dans la voiture d’Hervé, aux côtés de France, tandis que Virginie était devant. La rue des Saints Pères n’est pas loin de l’avenue Foch et la voiture avançait vite sous une pluie battante. Les gens s’abritaient comme ils pouvaient, certains couraient vers des bouches de métro. L’Arc de Triomphe, les Champs, La concorde, tout était encore illuminé avec les fêtes de fin d’année. Il régnait une ambiance joyeuse dehors, et tous les quatre étions très heureux de nous retrouver. Hervé était ingénieur chez Total et peu souvent chez lui, Virginie, hôtesse de l’air, peu souvent elle aussi, tandis que France allait, comme moi, aux quatre coins de la planète pour présenter les collections des grands Couturiers, Parfumeurs ou Joaillers de ce monde. Autant vous dire qu’arriver à se retrouver ainsi tous les quatre, constituait un miracle et que nous étions bien décidés, à passer, ensemble, une excellente nuit, à danser. De plus le lendemain était veille de l’épiphanie, autre festivité que nous décidâmes de fêter ensemble à nouveau. On ne peut rater de tirer les Rois ! Virginie me disait déjà,

- Tu seras des nôtres le 6 pour les rois !
- Bien sûr je te le promets, lui répondis-je

Enchantée de les retrouver et de passer avec mes amis, non seulement une bonne soirée à coup sûr ce soir mais également de prolonger cette nuit par un lendemain dont je me faisais à l’avance une joie. Quant au 6, oui, je serai des vôtres ! Vous pouvez y compter… enfin … C’est ce que pensais à ce moment-là ! … Tandis que nous échafaudions des plans pour les jours suivants, nous riions toutes les trois de bon cœur, cela me faisait un bien fou, tandis qu’Herve tentait de garer la voiture, car nous étions arrivés. Alors que nous approchions de l’entrée de la boîte de nuit, nous croisâmes Jean Paul Belmondo tout sourire, acteur bien connu, qui nous fit signe de la main.

Il habite près de la discothèque et rentrait chez lui. On se connaissait déjà, dans notre milieu de paillettes ou d’acteurs, beaucoup de monde se connait. Un bonjour aux « videurs » qui reconnaissent aisément les habituées comme moi et nous voilà à l’intérieur. Après avoir déposé nos affaires, direction une bonne place et enfin danser ! N’importe quoi mais danser ! J’adore danser, j’ai cela dans la peau, cela me permet de me vider totalement, dansant même parfois seule sur la piste ne m’en étant pas rendue compte. La danse, le sport, les mouvements corporels, tout cela me permet de décompresser, de me recentrer, de me retrouver avec mon corps, et danser, est pour moi comme une communion avec mon corps, mon âme. Je m’aime telle que je suis. J’aime mon corps qui me le rend bien, jamais malade, solide comme un roc, me disent souvent mes copines. Du haut de mon mètre 73, avec mes « petits » seins impertinents mais si fiers parce que si sensibles, ma chevelure blonde flamboyante et longue, je pourrai danser totalement sur la piste, seuls mes cheveux m’habilleraient et les pieds nus. La nudité ne me gêne pas du tout, dans mon métier on passe son temps à s’habiller et se déshabiller, aussi… ceci explique peut-être cela. Je sais que je plais, je ne suis pas naïve, je sais aussi qu’au lit je ne suis pas manchote, aller je vous l’avoue ! Mes conquêtes me disent même :

- Mais comment fais-tu ? Tu es insatiable de sexe... une véritable jouisseuse …

Oui, je l’avoue, j’aime faire l’amour, j’aime jouir tant que je peux quand on me baise. Je n’ai aucune pudeur. Je me suis déjà retrouvée seule nana en ‘‘gang bang’’ avec dix beaux gars et bien, savez-vous ce qui est arrivé : Nous avons baisé, oui baisé toute la nuit comme des bêtes en rut et au petit matin alors que ces messieurs étaient… cuits, vidés, j’en redemandais encore… Voilà qui je suis, normale mais très physique ! Et j’étais dans cet état d’esprit en entrant dans la discothèque. Tandis que les musiques de l’époque de ces années 80 éclataient à nos oreilles, Goldman, Balavoine, Les Rita Mitsouko, etc, nous commencions de savourer quelques alcools bien frappés.
La musique, la sono poussée, l’alcool, la bonne ambiance et me voilà pleine d’énergie sur la piste bientôt accompagnée de France. Vêtue simplement d’une robe de soirée Dior, décolletée par devant jusqu’au milieu de la poitrine et dévoilant derrière l’intégralité de mon dos nu, jusqu’aux reins, jusqu’au début du sillon fessier (vous savez, comme la célèbre robe de la regretté Mireille d’Arc), inutile de vous dire les yeux ravageurs pointés sur moi d’autant que mes « petits » seins, libres de leurs mouvements, suivaient comme ils pouvaient le rythme endiablé que je leur imposais. Je m’en fichais, je dansais et ça, c’est sacré pour moi, je suis Libre ! Un danseur nous rejoint, 35/40 ans, beau gars, qui commence de tourner autour de moi au rythme de la musique, sa main effleurant mes reins, s’approchant, se reculant, m’enlaçant, plus grand que moi (1,80m) je suis obligée de lever la tête. Ses beaux yeux bleus plongent dans les miens, semblant lire en moi, tandis que, lascive, un peu enivrée, je m’entortille autour de lui…

Mes tétons frottent contre sa chemise, ma peau luit sous les spots et les mouvements endiablés, je sens entre ses jambes, une bosse pointer, bosse que je frotte sans honte contre mon pubis surchauffé. D’autres couples envahissent la piste, mais je suis seule dans mon monde onirique et sensuel. Je sens mon bas ventre vibrer avec intensité, je sens mon ami le clito pointer son nez comme voulant participer à la fête, je sens même un liquide s’écouler de ma vulve, je suis … en rut ! En chaleur comme une bonne petite femelle qui a envie de se faire prendre… Oui, j’ai envie de baiser, la Vie est belle… si belle… Toute la nuit s’est passée ainsi, danser, boire un verre pour me désaltérer, danser à nouveau puis perdre la tête. Ah oui, oublier ces jours passés ! Vivre ! Tandis que je tentais de danser encore, enlacée par des bras inconnus, petit à petit, mon cavalier m’entraîne à l’écart et toujours occupée à suivre le rythme, à sentir mon bas-ventre enfiévré, trempé… je me retrouve accroupie en face de la braguette du danseur que j’ouvre et sans retenue j’extirpe sa verge de son caleçon, puis happe en ma bouche sa merveilleuse queue gonflée de plaisirs, prête à m’inonder le gosier.
J’étais, je le reconnais, un peu paf mais tellement excitée. Alors, je le suçais, je le pompais avec méthode, lui caressais les testicules que je pressais, enroulant ma langue autour de son prépuce, soufflant le chaud et le froid sur la tige maintenant entièrement raidie par l’envie imminente… Soudain, l’éjaculation arriva, rapide, complète, chaude par de longs flots saccadés de sperme chaud avec un goût suave. L’homme me dit sans détour avec autorité :

- Sors la langue, et garde ainsi mon foutre sur elle

Surprise par le ton inattendu de ses propos, j’ouvre la langue, recouverte de sperme, et j’attends.

- Tu es belle petite salope, tu es très belle ainsi !

Malgré ma tête un peu envahie par l’alcool, ce ton ne me plut pas et sans attendre, j’avalais le tout et me relevais.

- Tu ne devrais pas te comporter ainsi avec moi, tu sais…
- Vas te faire voir, lui répondis-je…

Je retournais auprès de mes amis. La nuit avançait ainsi, entre désirs brûlants inassouvis, fatigue de danser, aggravée par les boissons alcoolisées. Je me suis retrouvée chez Hervé et Virginie, tandis que je partageais un autre lit avec France. Aussi alcoolisée l’une que l’autre, c’est tout naturellement que nos mains se sont frôlées, puis les caresses se sont faites plus précises, pour finalement partir toutes les deux clitos contre clito vers un 10° ciel bienfaiteur. Mais aussi avec sa bouche qui descendait plus bas et sa langue passant partout autour de ma chatte

- Ecarte un peu tes cuisses, ma chérie

Et j’obéis sans me faire prier. Alors sa langue se trouva très vite en terrain connu sur mon réceptif clito ! Elle me lécha la chatte, me suça, m’aspira mon bouton rose, me pénétra de sa langue puis d’un doigt… sa bouche ne quitta pas mon clito quand elle enfila un deuxième doigt en moi, son autre main caresse mon ventre j’écartais davantage les cuisses et c’est un 3 ème doigt qui vint faire des mouvements profonds avec ceux qui sont déjà en moi.
Elle accéléra le mouvement de ses doigts dans ma chatte et celui de sa bouche et de sa langue sur mon bourgeon, sur mon ami le clito prêt à exploser. De plus en plus vite... L’orgasme monta ainsi très vite et j’explosais de plaisir dans un long cri d’extase inouï. Nos langues se croisaient, d'une main je lui saisis sa taille, la colla contre moi, commença à lui caresser les fesses... J’étais encore bien trempée, elle aussi sans aucun doute... Ses jambes s'écartèrent, je lui caressais doucement ses belles cuisses, je remontais vers son minou, écartais à mon tour ses jolies lèvres intimes et ma langue dans sa bouche, mes seins contre les siens, lui glissa un doigt dans sa petite fente serrée et humide... Un petit cri de plaisir sortit de sa bouche. Ses reins se cambrèrent un peu plus... Ma bouche se jeta sur ses seins d'une si douce rondeur, des mamelons dressés devant moi, comme s’ils n'avaient attendu que moi... Sa peau douce n'a fait qu'attiser encore et encore mon désir. Ce parfum dont aujourd'hui le souvenir parfois suffit à me remettre dans tous mes états....

Après qu’elle ait longuement joui sous mon doux traitement, elle se releva, me chevaucha et me caressa de nouveau les seins en me disant qu'ils sont petits mais beaux et fermes. Elle se frotta encore contre le clito sur mon ventre avec sa vulve, la tête en arrière, ses deux mains sur mes seins, et elle tourna les hanches, tourna et retourna, chatte contre chatte par se sulfureux frottement. Je pouvais sentir sa mouille m'inonder de plaisir... Puis elle s'allongea et sa langue se dirigea comme par hasard sur mon petit bouton gonflé, érigé d’excitation. Ses doigts venaient encore et encore dans son vagin sans jamais occulter mon clitoris, France se releva un peu se mord l'épaule comme une féline, les yeux brillants elle me regardait, moi les jambes largement ouvertes Quelle satisfaction! Elle me fit jouir plusieurs fois de suite, dans sa bouche, et n'y tenant plus, nous échangeons nos places.... Le bonheur par la multitude d’orgasmes réciproques… Sa petite langue dans moi, sur moi, autour de moi me rend folle et l’inverse aussi pour elle... Nous nous sommes endormies enlacées pour une petite paire d’heures puis … ce fut 7h du matin jusqu’à 10 heures, un sommeil trop court nous berçait, quand la sonnerie de téléphone me réveilla, tant elle était stridente. Je regardais le réveil, 10h, seulement 10 heures. France dormait profondément…La pluie tombait à nouveau fortement, battant contre les stores…. Je me levais enfin pour vider ma vessie, je faillis tomber tant la tête me tournait… Revenue bien au chaud dans le lit, blottie aux cotés de France toujours endormie, je goûtais au bonheur de me retrouver avec mes amies si chères. Je laissais aller mon esprit mais n’arrivais à retrouver une sorte de sérénité. France se réveilla mais eut du mal à articuler correctement quelques mots :

- Coucou Isa, ma chérie, déjà réveillée ? Tu sais ce dont je rêvais ?
- Non, bonjour France
- Jean (c’est son chéri, même si comme moi elle est bisexuelle) veut me faire rencontrer un Maître !
- (Bondissant) tu as dis quoi ?
- Hé doucement ! Tu m’as fait peur, pourquoi tu sautes comme ça ?
- Tu as dit un Maître ?
- Ben oui
- Mais un Maître de quoi ?
- Pour faire ‘’pan pan cul cul’’ (se mettant à rire franchement)

D’un coup, d’un seul, mon cerveau me revint. Un Maître ?

- Mon dieu, quel jour est-on France ?
- Tu en as de ces questions, reviens te coucher
- Non, quel jour est-ton ?
- Ben le 5 je crois, oui c’est ça le 5, mais qu’est-ce que tu as ?...
- Mon dieu le 5, mais c’est aujourd’hui que… il est quelle heure ? 10h30 ?

France me dévisageait et me demanda, inquiète subitement

- Et qu’y a-t’il le 5 d’important pour toi ?
- Rien ! enfin si ! Moi aussi je devais voir un Maître
- Pas possible, toi aussi tu veux faire ‘’pan pan cul’’ coquine !
- Pas vraiment !
- Allez arrête on aime toutes ça !
- Non, c’est pas ce que tu crois.
- Et alors tu ne veux pas y aller ?
- Non !
- Tu es folle, moi j’irai bien, tu sais
- Tu ne sais pas de quoi tu parles
- Moi, à ta place j’irai tout de suite.
- Sûre ?
- Ah oui alors !
- 10h35, France tu veux faire quelque chose pour moi ?
- Bien sûr !
- Appelle-moi un taxi pour 11h, je me prépare en vitesse
- Tu vas où ?
- Je ne sais pas encore, vers mon destin peut-être
- Un rendez-vous galant oui ! Ho, toi tu me caches quelque chose !
- S’il te plait, appelle-moi un taxi, pour la Vallée de Chevreuse, je dois y être avant midi.
- Bien ! bien, OK, ne t’énerve pas !

Le taxi arriva avec du retard. Et malgré qu’il roula vite, nous arrivâmes à destination à 12h15. Le temps de régler la course sans attendre la monnaie, me voilà sur le perron de la demeure du Maître, en sonnant à la porte. Nous étions bien le 5 janvier, oui ce fameux samedi 5 janvier, veille de la fête de l’Epiphanie…

(A suivre …)

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