L'Amour Au Boulot; - Partie 1.
Première partie.
Pour commencer, laissez-moi me présenter. Je me nomme Bernadette Durant, jaurai 39 ans à la fin de lannée. Avec une taille de 1, m77, je suis plutôt grande pour une femme de ma génération. Brune à la peau mate de par mes origines latines, jai de longs cheveux dun noir débène qui la plupart du temps sont relevés en un chignon strict pour plus de facilités. Jai une poitrine quelque peu opulente ( un bon 90 C ) ronde et ferme qui attire les regards des hommes. Ma taille sévase sur des hanches que je trouve un peu larges, mais avec deux grossesses, cela na rien danormal.
Je suis divorcée et, ayant eu la garde de mes deux fils, jai vécu seule de longues années pour me consacrer entièrement à eux et à ma carrière. Je suis chargée des relations extérieures dune grande entreprise située dans le Quartier de la Défense ce qui fait que je suis assez libre de mes horaires et de ma présence au bureau.
Je vis depuis deux ans maintenant avec Jean-Louis. Il a mon âge. Cest un copain de lycée mais nous nous étions perdus de vue à la fin de nos études. Ingénieur agronome, il était parti à Madagascar au titre de la coopération pendant dix ans et ce nest que fortuitement que nous nous sommes retrouvés : au centre de Paris, nous cherchions tous les deux un taxi, lui pour aller au Ministère de lagriculture et moi pour rejoindre La Défense.
Evidemment, nous navons pas pris de taxi tout de suite car pour bavarder et renouer contact, nous sommes allés boire un café dans une brasserie toute proche où nous avons convenu dun rendez-vous pour un repas au restaurant le vendredi soir suivant. Çà tombait bien car mes deux s passaient le weekend avec leur père.
Tout au long du repas, nous échangeons nos souvenirs, nous confions ce que nous avons fait au cours de ces années écoulées. Revenu en France depuis une quinzaine de jours après une nouvelle mission en Afrique de lOuest, Jean-Louis me raconte les conditions parfois spartiates dans lesquelles il a accompli ses missions à Madagascar, comment les malgaches et autres africains, pleins de bonne volonté mais sans beaucoup de moyens, arrivent à obtenir de bonnes récoltes.
Sans avoir bu excessivement au cours du repas, lambiance de ces retrouvailles dérive peu à peu sur une conversation plus légère. Je taquine Jean-Louis sur ses éventuelles amours avec des belles indigènes et lui me fait en retour une cour discrète faite de flatteries sur mon élégance, ma silhouette. Bref nous nous sentons bien ensemble alors quau temps de nos études, nous navons été que de bons copains. Sous la table, je sens ses genoux chercher le contact avec les miens, ses pieds emprisonner une de mes chevilles
si bien quau lieu de nous séparer, je me retrouve dans sa chambre dhôtel dans le XIIème arrondissement.
Lun et lautre nous savons ce qui va se passer et quand Jean-Louis me prend dans ses bras, je me colle à lui de tout mon corps et nous échangeons un baiser torride qui nen finit pas. Sans que nos lèvres se quittent, nous nous déshabillons fébrilement avant de basculer, totalement nus, en travers du lit. Il y a si longtemps quun homme ne ma pas prise, que cest sans aucune pudeur que je me livre aux assauts de Jean-Louis, qui, placé au dessus de moi méperonne littéralement avec sa bite dure comme du bois.
Avant de nous endormir, nous faisons lamour deux fois et au réveil, en milieu de matinée, nous remettons le couvert pour une étreinte plus tendre et câline. Finalement, je ne reviens chez moi que le dimanche en milieu daprès-midi, fourbue mais heureuse : Il y a si longtemps que je nai plus fait lamour et ce ne sont pas les séances donanisme avec des godes qui pouvaient me satisfaire, moi qui ai toujours aimé les choses du sexe depuis quun copain de vacances avait pris mon pucelage lété de mes 17 ans.
Quelques semaines plus tard alors que nous nous sommes revus à plusieurs reprises, je reçois sur mon téléphone portable ce message de Jean-Louis :
Caresse tes seins et ta chatte et vas te faire jouir dans les toilettes ! Je vais en faire autant en pensant à toi !
Au cours de nos rencontres, javais découvert que Jean-Louis est un coquin, libertin, quelque peu dominateur et ce message ne métonne guère car il ma libérée de certaines inhibitions qui freinaient ma libido : lintimité préservée de ma chambre était un domaine secret.
Jouvre la veste de mon tailleur-pantalon puis glissant une main dans léchancrure de mon chemisier, je titille les bourgeons de mes seins. Waouh ! Pensai-je en moi-même, je suis si excitée quils sont déjà sortis. Mon autre main descend caresser mon pubis par-dessus le tissu du pantalon et du string. Jai chaud et bientôt cela na plus suffi. Je vais directement au contact de ma vulve que je trouve inondée de cyprine. Aïe ! Mon portable sonne ! Cest Jean-Louis :
Je veux tentendre jouir !
Je réponds que je reste en ligne avec le haut parleur branché. Et aussitôt je reprends ma caresse et je suis de plus en plus excitée, si bien quil ne faut pas bien longtemps pour quune jouissance démentielle éclate dans mon ventre. Alors que je ne me suis même pas pénétrée, je pousse un feulement sourd et je reste comme tétanisée pendant quelques minutes. Jean-Louis mordonne alors :
Bravo ! Jespère que cétait bon ! 20 heures ce soir à mon hôtel ! Sans string et sans soutif !
Et nous coupons la communication. Après être repassée chez moi pour donner à diner à mes fils et les directives pour la soirée, je mapprête pour me rendre au rendez-vous fixé par Jean-Louis. Une douche rapide, un maquillage de soirée pas trop appuyé, je choisis dans ma garde-robe la tenue que je vais mettre : une jupe droite noire un peu serrée sur les hanches qui met bien en relief le galbe de mes fesses et qui sarrête un peu au dessus des genoux, un sweatshirt ivoire moulant au décolleté en rond qui découvre un peu mes épaules bronzées et pour finir je choisis une veste dépareillée à large encolure dun rouge vif et qui ne ferme que par une cordelette réunissant deux boutons.
Quand je me vois dans le miroir, je ne peux mempêcher de penser quen quelques semaines, je me suis libérée dun carcan de femme sérieuse et posée. Jamais je ne serais sortie seule dans une tenue aussi provocante ! Avant denfiler la veste, je maperçois que les bourgeons de mes seins font un relief très visible sous le tissu mais désormais Louis me domine, il me conduit dans des sentiers que jignorais.
A lheure dite, un taxi me dépose devant lhôtel et je gagne directement la chambre de Jean-Louis. Il mattend debout au milieu du coin salon, la main gauche négligemment glissée dans la poche et un petit sourire aux lèvres. Il est vêtu dun pantalon et dun pull léger qui moulent son corps comme une seconde peau laissant distinguer ses pectoraux et abdominaux puissants et à lentre-jambes la bosse de son sexe :
Stop ! Montre-moi ta chatte !
Je mempresse dobéir en faisant remonter le bas de ma jupe jusquà découvrir ma toison brune. Jean-Louis commande à nouveau :
Bien, maintenant le haut ! Montre tes seins !
Je déboutonne ma veste que jôte et je fais glisser léchancrure de mon sweatshirt pour découvrir ma poitrine. Mes tétons sont dressés au point que si je les touche, je vais avoir en même temps de la douleur et du plaisir. Mon amant approuve :
Cest bon, tu as obéi à ce que je demandais ! Nous allons diner légèrement ensuite je temmène là où jen suis sur, tu nes jamais allée.
Je suis intriguée car Jean-Louis ne ma parlé de rien lors de nos échanges téléphoniques ou par courriels. Je trouve cependant que les propos quil me tient sont un peu chauds, mais au fond de moi, je me sens flattée quun homme me désire à ce point.
Vers 23 heures, nous quittons lhôtel en taxi et je suis intriguée par les indications données au chauffeur qui nous dépose devant une porte cochère Rue dArgenteuil. Je ne vois pas trop ce que nous venons faire à cette heure dans un tel endroit mais Jean-Louis semble connaitre. Il sonne à lune des portes latérale qui souvre aussitôt.
Nous entrons dans un couloir faiblement éclairé de petites lampes de couleur rouge et violette et jentends de la musique. Mon compagnon me tient fermement par le coude droit et me pousse en avant et, après avoir passé une seconde porte, nous débouchons dans un bar où seule la partie réservée aux deux serveuses est bien éclairée.
Viens, je vais te faire découvrir un bar libertin ! Je suis convaincu que tu ne connais pas ce genre détablissement.
Jécarquille mes yeux et je ne suis pas au bout de mes surprises : les deux serveuses ne portent quune minijupe au ras des fesses et un haut en filet au travers duquel on voit les tétons qui pointent. Plus loin, dans une première salle, des couples dansent étroitement enlacés et je vois avec stupeur que la plupart des femmes ont le buste nu. A nouveau dominateur mon amant dit :
Viens ! Dansons !
Ces deux mots claquent sèchement et je ne peux me dérober lorsque Jean-Louis menlace puis fait glisser ma veste et mon sweatshirt par-dessus mes épaules. Nous dansons ainsi une sorte de slow où je sens la jambe de mon amant sinsérer entre les miennes puis son érection contre mon ventre et les tétons de mes seins frotter contre le tissu de sa chemise. Ensuite il me guide vers une autre salle où deux filles dansent à moitié nues sur un podium entouré dune cage métallique
Dans des alcôves jentends des soupirs comme si des couples y faisaient lamour.
Bref, au cours de cette soirée, je découvre ce quest un club libertin. Jean-Louis me fait danser nue dans la cage lorsque les deux occupantes en sont sortie. Au départ, moi une femme mature, jai honte de mexhiber ainsi. Puis voyant de plus en plus dhommes et quelques femmes sarrêter à ma hauteur pour me regarder, je me livre totalement dans une danse torride faite de poses suggestives et de caresses sur des endroits sensibles comme jai vu faire les deux filles qui mont précédé dans la cage.
Jamais je ne métais livrée ainsi, dans une impudeur totale. Ensuite, nous avons fait lamour à deux reprises devant des couples de voyeurs qui, Jean-Louis me la dit après, auraient aimé participer à nos ébats.
Pendant près de six mois nous continuons ainsi. Nous nous retrouvons parfois en pleine journée dans un hôtel complice où nous ne passons que quelques heures à faire lamour. Généralement, nous nous sommes bien excités auparavant par un tchat coquin et sans aucun préliminaire, nous nous envoyons en lair. Nous retournons à plusieurs reprises dans le club pour de belles parties de baise où nous nous livrons au mélangisme, échange de caresses avec dautres couples, mais jamais un autre homme que Jean-Louis ne ma prise.
Puis lors dun weekend, je présente mon amant à mes deux garçons qui laccueillent avec beaucoup de joie et dhumour malgré leur jeune âge (12 et 13 ans). En fait ils sont heureux que je ne sois plus seule et au fil du temps, tous les trois deviennent très complices. Voyant cela, je propose à Jean-Louis de sinstaller chez moi, il ne peut pas rester indéfiniment à lhôtel
Nous avons bien assez de place
Au moins deux fois par semaine alors que lun et lautre, nous sommes au travail, nous avons des conversations ou un échange des mails très chauds qui sont un prélude à une partie de jambes en lair à notre hôtel fétiche ou le soir quand les garçons sont couchés. Ces échanges me troublent toujours autant et chaque fois, soit à la demande de Jean-Louis soit dinitiative, je dois me soulager et faire tomber la pression dans le cabinet de toilettes de mon bureau. Jai même, bien cachés au fond dun tiroir, deux jouets à ma disposition pour me caresser jusquà la jouissance. Nous sommes allés les acheter ensemble dans un magasin de la Place Clichy. Il marrive même de porter un petit Plug bloqué dans mon anneau plissé.
Personne dans lentreprise ne sait ce qui parfois se passe derrière la porte fermée de mon bureau. Certainement plus dune personne en aurait été étonnée alors que je suis une femme « sérieuse et réservée ». Cest le jugement de mes supérieurs ! Et cest justement un de mes jouets qui va me plonger plus profondément dans une sexualité inconnue.
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