Des Vues Sur Moi

Salut c'est votre folle de lycra


Voilà un petit récit dont j’aurais bien rêvé, Dans cette histoire je mêle rêve et réalité. Travaillant dans un établissement où seul moi ne savais pas que mon chef (grand et bel homme de 15 ans mon aîné) était homo, j’entretenais des relations on ne peut plus cordiales avec lui. Domicilié à coté de chez moi, il me ramenait souvent en voiture. Un jour, ma copine me plante et cela me colle un gros coup au moral, cela se vit au travail. Plusieurs jours après mon chef me remonte en voiture et me demande si je ne suis pas dégoûté des femmes..., moi, innocent, je lui réponds que non. Plusieurs jours passent avant qu’il ne me remonte, nous sommes en hiver et il fait nuit tôt, une fois garé sur sa place de parking, je mets du temps à sortir. Là, il commence à me caresser le sexe et, je ne sais pas pourquoi, je me laisse faire. Instantanément il me colle une érection monstrueuse, il sort mon sexe et me branle tout en en douceur jusqu’à me faire jouir, là il me traite de "salope soumise", je ne proteste pas...


A partir de ce moment, ce fut comme s'il avait pris le contrôle de moi, il me fit monter chez lui où il me fit asseoir sur une chaise et partit me chercher un rafraîchissement. En revenant, il me demande si je me laisse souvent caresser par un mec, je lui confesse que c’est la première fois (même si ce n’est pas vrai...); Antoine (je le nommerai ainsi) me dit qu’il adore les hommes soumis et offerts. En joignant l’acte à la parole, il sort sa queue et me la présente sous le nez en me disant "on va voir si tu es aussi une bonne salope...". Sans réaliser ce que je fais, je ferme les yeux et je prends en bouche son sexe odorant et goûteux; rapidement mes lèvres commencent à coulisser sur son membre et à l’entendre soupirer, je comprends que je lui fais du bien... Ma langue coulisse sur son sexe, j'y découvre ses veines et sa longueur. Rapidement, il part dans ma bouche, je veux me retirer mais une giffle (ce qui me fait rouvrir les yeux) me fait comprendre que je dois le garder en bouche et tout avaler.

En fin de compte, ce n’est pas si mauvais... Une fois bien vidé et nettoyé, il range son sexe et me dit que "on est appelé à se retrouver". Il m’invite à rentrer chez moi, sur le chemin du retour, je suis tout perturbé, je ne cesse de penser à ce que je venais de faire à mon chef et comment il m’avait traité.


Le lendemain, je crains le pire mais rien.., rien pendant 15 jours. Un soir, alors que nous sommes seuls et que nous fermons l’établissement, il me convoque dans son bureau, je m’y rends inquiet, là il me fait asseoir sur un tabouret à coté de lui et me montre l’écran de son ordi. Stupéfaction, il a pris plein de photos et là Antoine me dit "tu sais ce qu’il te reste à faire" je lui réponds que non; mais il me sort son sexe, je comprends alors que je vais devoir le pomper, il ne faudrait pas que cela devienne une habitude... Il me fait agenouiller entre ses jambes et me colle sa queue en bouche, je reconnais que sa queue est bonne à sucer mais il ne faudrait pas que j’y prenne goût. J’ai droit à de nombreux compliments quant à mes performances buccales. Je sens qu’il est en train de prendre l’ascendant sur moi. Comme au dernier coup, il se vide en moi et je dois tout avaler. A partir de ce jour là j’ai perdu le contrôle de tout, à partir de ce jour là, il a commencé à venir dans mon bureau (qui était très excentré) pour que je le suce contre ma volonté mais il s’en foutait. J’avais vraiment l’impression de commencer à lui appartenir.


Cela s’est dégradé quand il a commencé à me bloquer dans les caves, c’est un lieu où je me rendais souvent pour mon travail. Mais elles étaient très peu fréquentées, lieu idéales pour des rencontres intimes. Donc un après midi, il m’a bloqué dans l’une d’entre elles, il m’a fait asseoir sur une chaise pour que je le suce et je me suis exécuté. Pendant que je le suçais, il a commencé à me caresser mes tétons puis m’a défait ma ceinture puis mon pantalon. A partir de là, il m’a fait allonger sur un établit pour pouvoir me caresser.
Ces caresses se firent plus précises jusqu’à arriver à mon boyau, rapidement il y glissait 3 doigts sans que je n’ose protester ou ne sache quoi dire. Il me fit lever pour déposer des couvertures sur l’établit. Quand je l’entendis me dire "viens t’allonger là MA BELLE", j’ai perdu les pédales. Je me suis exécuté, il souleva mes jambes et je sentis son dard presser contre ma rondelle. Il me saliva abondamment l’entrée avant de rentrer; comme il me dit, "je devenais sa femelle". J’ai senti son pieu s’introduire toujours plus profond jusqu’à arriver en buté.., ses couilles tapaient mes fesses. Rapidement le plaisir prit le dessus sur les quelques petites douleurs. J’ai honte, mais il me fit prendre mon pied.., puis ce fut son tour au fond de moi... Comme cette sensation était belle et bonne, sentir sa liqueur m’envahir. J’ÉTAIS DÉFINITIVEMENT SA FEMELLE. Il me mis un sopalin roulé dans mon conduit pour que je conserve sa semence... Il me donna sa bite à nettoyer, ce que je fis avec gourmandise. L’opération devint quotidienne voire biquotidienne, il m’offrit des dessous doux que je dus porter au travail. Je devais porter bas, collant tangas, culottes, body, fine robe longue, porte jarretelles... Le fait qu’il ne me traite qu’au féminin m’excitait follement. Il lui arrivait de m’attacher sur une table ou un bureau et de me prendre sauvagement. J’acceptais tout de lui et j'adorais qu'il me baise.


Il prit l’habitude de me prendre dans les caves de la boite, je me sentais sa femme quand je descendais... Régulièrement il me remontait en voiture (je n’avais plus le choix), je devais le sucer à chaque fois que nous arrivions dans son garage. régulièrement je devais monter chez lui et m’offrir à lui en tant que femelle soumise. Il me faisait déshabiller pour me voir dans ses dessous qu’il m’obligeait à porter; à chaque fois , j’étais trahit par mon érection que je ne pouvais cacher. Rapidement, il me fit essayer de douces robes longues et escarpins; ainsi paré, je restais 2 ou 3 heures chez lui.
.. Je commençais à bien me sentir chez lui, il me parfumait, me maquillait; très souvent je me retrouvais avec son membre en bouche. Je commençais à prendre goût à ce sexe dont je caressais les veine avec ma langue, que je décalottais au maximum pour y faire glisser ma langue tout autour. Je me sentais apprivoisé et docile. Cette situation me plaisait et m’excitait de plus en plus... Mais, bien que je lui en donne déjà beaucoup, Antoine en voulait toujours plus au niveau de ma disponibilité. J’aimais je sucer pendant qu’il regardait la télé ou venir m’asseoir face à lui, en soulevant ma robe, quand il était dans son fauteuil. J’aimais sentir son dard prendre possession de mes entrailles; il le savait et en abusait



Puis un problème est apparu, je venais de me retrouver une copine, donc, je redevenais hétéro ou plutôt bi... Je reconnais quand même prendre un plaisir immense à caresser une femme, à honorer une femme, à lui exciter les tétons, à la pénétrer, à lui manger son minou,à lui coller ma langue sur son minou, à lui laper son minou pour m’enivrer de son nectar( de son goût, de son odeur), puis l’embrasser ensuite... Voilà pourquoi je sais que je ne deviendrai jamais un homo pur et dur; j’aime beaucoup trop donner et prendre du plaisir avec une femme. Donc, je venais de retrouver une copine une autoritaire et dominatrice.., comme j’aime; une magnifique métisse de 182cm. Je me suis donc trouvé obligé d’espacer mes passages chez Antoine. Je me suis mis à souvent dormir chez mon amie (Marie), je devais donc m’arranger à gérer mes tenues avant d’arriver chez elle, j’avais toujours un gros sac à dos donc il me servît de garde robe... Le problème c’est que je sentais le sperme (et pas le mien) quand j’arrivais chez elle et que je sentais la femme quand j’arrivais chez Antoine. Mais mon odeur de femme l’excitait encore plus... Je réussi donc à satisfaire les deux en me faisant prendre comme une chienne soumise pendants mes heures de boulots et en faisant l’amour comme un fou à ma belle en rentrant le soir.




A force de passer chez Marie, j’ai fini par emménager chez elle. Cela me permis d’aller humer ses culottes souillées dans son bac à linge sale, c’était vraiment bon. Donc mon chef repris l’habitude de me déposer pas loin de chez elle avec une bonne pipe pour le remercier... Un soir, en rentrant, une courrier officiel de mon taf m’attendait à la maison, c’était une confirmation pour une convocation pour un salon en province tout un week end. Je n’avais jamais entendu parler de ça.., mais je me doutais de ce que cela pouvait être. Avec Marie, nous en parlâmes et elle ne voyait aucun inconvénient à ce que je m’absente un week end pour le boulot. Le lendemain, mon chef passait me voir à mon bureau (comme tous les jours) et après que je lui ais fait sa fellation matinale quotidienne, il me parla de ce weekend. En fait il me voulait pour lui chez lui, à sa maison de campagne pour lui pour 72 heures. Je lui ai dit que je m’en étais douté vu que je n’en avais pas eu vent auparavant. Il me convia à la cave pour s’occuper de moi plus en profondeur.., j’obtempérais. Une heure plus tard, j’étais allongé sur la table, en dessous et en robe, je prenais grand plaisir à le sentir coulisser en moi. Soudain, on a frappé à la porte de la cave, grande panique pour moi mais lui n’était pas du tout inquiet; heureusement que nous prenions soin de fermer la porte à clef à chaque fois. Il me dit de ne ne pas bouger, il a éteint la lumière et est allé voir. Il a écouté à la porte et a ouvert discrètement un instant puis a refermé. Il revint vers moi et ralluma; honte à moi, il y avait un deuxième homme que je connaissais, c’était le commercial d’un fournisseur. Antoine m’a expliqué qu’ils étaient amants et que Gilles mourrait d’envie de me connaître sous un autre angle...



Antoine m’invita à pomper Gilles pour que je lui montre mes talents de suceuse... Je m’exécutais et recevais rapidement la liqueur de gilles dans la gorge. j’ai vite apprécié la façon dont Gilles me traitait car il m’a vite considéré comme une femelle. Ses mains caressaient mon corps à travers mes dessous avec une douceur infinie. Antoine m’informa à ce moment que nous partirions en week end tous les trois. Une fois vidé dans ma bouche, Gilles alla prendre position à l’entrée de ma chatte puis s’y introduisit tout en douceur. j’étais vraiment comblé(e).., deux hommes qui me traitaient comme une femelle et j’allais être à leur merci tout un weekend. Le week end arrivât vite, j’en mourrait d’impatience. Nous nous sommes retrouvé chez Antoine avant de partir pour sa maison de campagne. Avant de partir, il me firent tomber tous mes habits d’homme. Antoine me fit enfiler des cuissardes en vinyle puis mit une perruque, me maquilla, me parfuma... j’étais leur femelle, je leur étais totalement offerte, nous pouvions partir pour le weekend. Sur la route, je dus sortir en femme à deux reprises pour qu’ils me prennent dans les bois. Arrivés là bas, je découvrais une belle maison de campagne. Antoine me mit un large collier de cuir en me disant qu’à chaque fois que viendrais ici, je devrais le porter... La soirée du vendredi soir consistât à me prendre dans tous les sens sur le canapé; ma chatte était maintenant habituée, je ne pris que du plaisir; j’ai été baisée une bonne partie de la nuit. Antoine avait vraiment bien développé mon coté salope soumise à tout durant ce WE, il avait des vues sur moi....



Nous passâmes donc un excellent week-end avec Antoine et Gilles.

A notre retour, rien n’a changé, j’étais toujours la femelle soumise de mon chef et un amant gourmand pour ma belle. Ce qui a changé, c’est que mon chef a aménagé un appartement sur le lieu de travail… Rapidement, je devais l’y rejoindre pour me faire mettre, lui faire du bien et y satisfaire Gilles puis quelques amis de mon chef. Au lieu d’arriver le matin à 9h, je dus arriver à 8h pour le rejoindre à l’appartement. Là, ma garde robe m’attendait.., je pris aussi l’habitude de porter un large collier, je devais me faire belle pour m’offrir à lui, à eux. J’ai juste refusé de me faire parfumer car je ne voulais pas que Marie se doute de quelque chose, ni que les collègues me regardent bizarrement ; même si j’aurais bien aimé qu’il me parfume dans l’intimité. Disons qu’en général, mon corps sentait plutôt le minou de Marie. Deux fois, trois fois voire quatre fois par semaine ; je prenais mon travail avec sa liqueur dans mes entrailles. Une fois déguisée, je m’allongeais sur le lit.., en général, je me mettais à quatre pattes pour lui présenter et offrir ma rondelle ; il aimait me voir avec les fesses lisses. Il déposait une noix de salive pour me lubrifier le boyau. J’aimais de plus en plus le sentir entrer puis coulisser en moi. Je serrai un peu mon sphincter pour sentir son passer sa queue bien raide. Le plus agréable, c’était quand il me caressait à travers mes douces robes longues en lycra. Quand il avait fini de me besogner, il me mettait un tampon pour que je garde sa liqueur en lui. Il disait que c’était une forme de soumission qui lui plaisait beaucoup. Ce qui me plaisait aussi c’est quand je m’asseyais sur le lit, il arrivait face à moi, je m’approchais pour lui libérer son sexe déjà très désireux de moi. Il m’a rapidement avoué ne plus se laver le sexe en semaine car c’était devenu ma mission… Je sortais son sexe et le prenais en bouche puis le caressais avec ma langue dans le moindre recoin. A l’entendre soupirer, je savais que j’étais efficace. Je n’aimais pas sa liqueur car trop salée ; je veillais donc à l’avaler au plus vite, histoire qu’elle ne me laisse pas d’arrière goût désagréable dans la bouche. De toute façon, le principale était que j’avale…


Antoine me prenait au moins une fois par jour, souvent deux voire plus… Je le suçais trois fois, quatre fois par jour ; sans compter ses amis que je devais aussi combler. Je le pompais dans son bureau, dans mon bureau, dans les caves, dans les voitures et même dans les toilettes ; tous les endroits intimes étaient propices à me coincer et m’r… Dans les toilettes, il me forçait à y entrer, je devais m’asseoir pour le sucer puis il me faisait lever, il me faisait retourner, mes mains sur le mur et pantalon baissé, je lui tournais le dos ; là, je sentais son dard chercher mon entrée puis s’y glisser… Il aimait aussi m’emmener dans les bois en face du travail pour que je m’agenouille et le pompe en écoutant les oiseaux gazouiller… Il ne partait pas sans arrêt dans ma bouche, son plaisir était de me voir le sucer. Je sentais son sexe déformer mes joues, je prenais plaisir à jouer avec ma langue autour de son prépuce, mais il veillait toujours à ne pas aller trop loin pour ne pas me donner la nausée ; j’en engouffrais quand même un bon morceau… Antoine m'imposait à ce que je le regarde quand je le suçais; il trouvait que cela accentuait la soumission. Il me caressait les cheveux ou me tenait la nuque pour me donner le rythme ; je me sentais vraiment sa femelle. Il m’arrivait régulièrement de m’imaginer avec ma bouche le suçant ; alors qu’il n’était pas là. Je ne vous raconte pas cette sensation.., être l’étalon de sa belle à la maison et la femelle de son chef au boulot… Antoine m’avait monté une véritable garde robe : collants fendus, tanga, douces robes longues, soutient gorge, escarpins…


A la maison, Marie, ma compagne, ne se doutait de rien, c’était aussi bien… Elle profitait de toute mon excitation accumulée dans la journée… J’étais gourmand de son sexe, de ses seins, de ses petites fesses fermes ; bref tout son corps (une superbe métisse de plus d’un mètre quatre vingts) me rendait dingue. Son corps était une pile à fleur de peau, la moindre de mes caresses la faisait onduler de la plus excitante des façons, son odeur corporelle me faisait tourner la tête. J’avais une bombe à la maison… Elle avait un caractère très directif mais adorait que je prenne les commandes de son corps et je vous garantis que je n’avais pas grand chose à faire pour cela. Je voyais sans arrêt, dans son regard, le désir. J’ai toujours réussi à ôter mes dessous en rentrant avant de m’occuper d’elle. Je vous parle de Marie et vous la présente car mon chef s’est fait muter loin de chez moi et nous nous perdîmes de vue. Il m’a invité à plusieurs reprises mais je n’ai osé accepter ses invitations de peur des tournures que mes venues auraient pu prendre... La surprise qu’il me fît lors de son départ c’est qu’il m’a donné une grosse somme, des milliers d’euros en espèce… Il m’a expliqué et avoué que cette somme représentait les prestations qu’il avait encaissé en me louant à ses amis. J’étais sur le cul et une dernière fois hyper excitée…



Cette histoire n’est que pure fiction ; excepté les lieux et Marie qui existe et marqua d’une chaude et incompréhensible façon ma vie.

Un petit coucou à tous mes lecteurs qui ont lu jusqu’au bout. Vos « encouragements » me motivent. Je vous écrirai d’autres histoires.

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