Des Vues Sur Moi 2

Salut c’est votre folle de lycra


Dans l'épisode précédent, je vous avais parlé de mon aventure avec mon chef qui se prénommait Antoine. Il avait fait de moi la pire des cochonne et en abusait avec son ami Gilles. Je m’étais retrouvé à faire des choses inavouables avec lui, avec ses amis et pire encore. Il avait une emprise sexuelle sur moi que je ne saurais expliquer, mais il dépassait les limites souvent quand même. En même temps j’avais une relation hétéro avec celle qui est aujourd’hui ma compagne prénommée Marie est d’une grande beauté et je suis on ne peut plus heureux avec elle. Elle est très coquine et nous en profitons mutuellement. Avec mon chef nous avons gardé contact, nous échangions des courriels et de petits messages sur Messenger ou par courriel. Voilà quelques semaines, quelle ne fut pas ma surprise de le rencontrer dans une galerie marchande à proximité de chez moi. Je lui ai demandé si il habitait dans le coin, il m’a répondu que non, mais il était responsable d’un magasin dans cette galerie. C’était un magasin de vêtements pour homme assez chics donc je vous tairai la marque.



Il ne lui a pas fallu 5 minutes pour que ces propos commencent déjà à dévier et s’orienter vers une connotation sexuelle. Comme hypnotisé, je l’ai laissé faire. Une fois arrivés dans le magasin, il a laissé sa vendeuse partir vu qu’il était 19h30’. Nous sommes restés là à causer un petit peu, puis il s’est approché de moi et a commencé à me caresser, comme si j’étais à lui. Comme voilà 5 ans je me suis laissé faire et les minutes qui suivirent lui ont donné le dessus psychologique sur moi. À 20h il m’a dit qu’il baissait la grille et qu’il allait faire la caisse. Il n’avait pas beaucoup de temps à me consacrer ce soir car il était attendu pour une réception. Nous sommes donc passés dans la réserve et j’étais à ses ordres je lui obéissais tel un petit chien. Il me caressait le sexe à travers le pantalon quelques instants, juste le temps de me foutre une gaule de fou.

Ensuite il m’a saisi par la nuque et m’a délicatement fait agenouiller je savais ce que je devais faire; je n'avais jamais refait ça depuis lui. Il me parlait avec des mots doux, des mots tendres mais des mots fermes. Voilà comment vers 20h10 j’avais sorti son sexe et il était à l’entrée de ma bouche. Je brûlais d’impatience de replonger comme voilà 5 ans.



Cela me rappelait le bon vieux temps, même si il y avait des souvenirs un peu durs beaucoup de ces souvenirs était agréables et excitants. Le moment qui suivait; j’avais son sexe, qui n’avait pas perdu de sa taille, en bouche et il était déjà en train de me limer. Comme il m’avait appris voilà 5 ans je le regardais dans les yeux. Moi qui n’avais pas sucé un sexe depuis que nous nous étions perdus de vue, les habitudes sont vite revenues. Son sexe était toujours taillé de près, ainsi je n’avais pas un seul poil dans le nez, c’était plaisant. J’aimais le goût et l’odeur de son sexe, il y avait toujours un côté aphrodisiaque. Il me tenait fermement la tête pour donner le rythme et par la même occasion me traitait de tous les noms, comme avant quoi... Il n’y a pas à dire j’aimais faire les fellations et j’ai l’impression que cela m’avait quand même manqué. Son sexe se promenait partout dans ma bouche, et je faisais attention à ne pas le toucher avec mes dents. Par contre ma langue virevoltait autour de son prépuce, histoire de lui titiller la base et surtout lui exciter ce dernier. Au bout de 10 minutes de ce traitement, il est parti en moi avec de longues et épaisses giclées qui sont parties au fond de ma gorge et qu’il m’a obligé à avaler.


Il va de soi que j’ai eu le droit de lui nettoyer le bout du gland de telle façon à ce qu’il ne reste pas une goutte de liqueur. Il n’y a pas à dire jamais être traitée comme une moins-que-rien. J’ai eu le droit à un commentaire comme quoi je n’avais perdu aucun de mes talents de suceuse... J’étais fier de son compliment. Après s’être copieusement vidé dans ma bouche il s’est mis à faire la caisse et j’ai dû lui ranger son sexe dans son pantalon.
Vers 20h35 le tout était terminé et nous quittions le magasin. Il m’a dit avec un regard malicieux, qu’il serait heureux de me revoir. Il m’a expliqué qu’il fermait souvent le magasin et qu’il serait heureux que je passe le voir de temps à autre le soir, histoire que nous fermions le magasin ensemble... Quand je suis rentré à la maison j’étais tout excité. On l’eut été pour moins...


Marie ma compagne ne s’est doutée de rien, par contre après le repas, je lui ai sauté dessus comme je ne lui avais pas fait depuis bien longtemps. Je l’ai bloquée dans la cuisine, face à moi, lui ai écarté les jambes puis levé la jambe droite sur le plan de travail... Ma compagne est de grande taille (182cm) ce qui me permet de pratiquer des positions que je qualifierais d’acrobatiques... Je n’ai eu qu’à libérer mon sexe qui était déjà au garde-à-vous pour la pénétrer tout en douceur profondément mais surtout avec efficacité. J’adore sentir les frottements de mon prépuce dans son intimité, telle une tête chercheuse à la recherche du plaisir. J’ai dû embrasser Marie pour ne pas qu’elle puisse crier car ma belle est très expressive si vous voyez ce que je veux dire. J’aime beaucoup lui faire l’amour car elle est, si je puis dire, toujours opérationnelle. Elle était accrochée à mon cou et sa jambe droite était maintenant autour de ma taille. De mon côté j’étais agrippé à ses petites fesses si attirantes et bien fermes. Il n’y a pas à dire nos sexe étaient faits l’un pour l’autre, le frottement du mien sur ses parois intimes lui donnait des sensations magnifiques. Le frottement de son vagin contre mon sexe me faisait grimper aux rideaux et je ne vous raconte pas quand elle le contractait.


Son minou est toujours humide et odorant, ce qui me permettait de pouvoir lui sauter dessus quand je voulais. C’est ainsi que alors que je venais de vider les bourses d’Antoine, je partais maintenant dans le minou de ma compagne. Nous sommes ensuite passés à la douche tous les deux, avant de nous coucher.
Je me suis endormi en pensant à ce que je venais de vivre avant de rentrer à la maison. Je me suis endormie avec le Braquemard. Pour l’anecdote Marie m’avait imposé de dormir dans une douces nuisettes, Histoire de conserver un peu mon côté féminin. Antoine venait de réapparaître dans ma vie, ah si ma belle savait... La nuit a pris fin vers 7h du matin quand le réveil a sonné. Toute la nuit je n’ai pas débandé car je n’ai cessé de penser à Antoine. Toute la nuit j’étais collé dans le dos de Marie et elle sentait mon sexe raide entre ses fesses. Ma belle était flattée.., mais si elle savait... Nous avons pris notre petit déjeuner comme si de rien n’était. Marie m’imposait aussi pendant la journée de toujours porter quelque chose de féminin sur moi, ce n'était pas pour me déplaire. Je portais donc en permanence : ou un collant ou un tanga ou un body ou plusieurs de ces choses là...



Ma compagne savait que j’étais chaud et estimait que c’était une garantie pour que je ne la trompe pas avec une autre fille. En fait elle avait parfaitement raison à une petite exception près. Une fois habillés nous sommes partis en même temps au boulot chacun de notre côté. Vers 11h j’ai reçu un courriel d’Antoine qui me demandait mon numéro de portable car j’avais changé de numéro depuis. C’est en soumise obéissante que je lui ai envoyé les coordonnées téléphoniques. Du coup quelques instants après je me suis mis à recevoir des SMS coquins. Il m’écrivait comme il l’aurait fait à une femme soumise, j’aimais beaucoup le lire. Cela réveillait plein de choses en moi, des souvenirs et du désir. Dans ses sms, il m’expliquait que j’allais redevenir sa femelle soumise et obéissante. Je lui ai expliqué que je n’étais pas contre, en revanche, je ne voulais plus être méprisé comme je l'avais été voilà 5 ans. Il m’a expliqué que je n’avais pas à m’inquiéter et m’a demandé quand est-ce que je pouvais me libérer pour passer fermer le magasin avec lui. Je lui ai dit que on pouvait se voir le lendemain soir.
Du coup rendez-vous fut posé pour le lendemain 19h30 à son magasin.


L’attente jusqu’au lendemain soir a été longue et j’ai été chaud bouillant jusque-là. C’est Marie qui en a profité car le soir même je lui ai à nouveau sauté dessus comme aux premiers jour quand nous étions ensemble. depuis les premiers jours où nous nous sommes mis ensemble, elle m'imposait de d'être en femme pour lui faire l'amour; minimum une robe très longue. Ce soir-là c’est Marie qui m’a sodomisé car il lui arrivait d’inverser les rôles pour notre plus grand plaisir. Si elle savait, qu’en agissant ainsi ce soir là, elle me préparerait pour les jours à venir avec Antoine. Ça y est le jour fatidique était là, la journée c’était bien passée. Le plus beau c’est que ce matin, un acte prémonitoire de Marie; elle m’a donné à porter pour la journée une robe relativement longue en lycra viscose très légère. Ces robes faisaient partie de ma garde-robe invisible aux yeux de tous... J’appréhendais, mais en même temps j’étais pressé de retrouver Antoine à son boulot.

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