La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1049)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°1038) -
Je refermais rapidement les yeux et plongeais dans un profond sommeil
Quand je me réveillais pour de bon, le Maître Vénéré, allongé près de moi dans Son lit, un bras posé sur moi, tel un propriétaire marquant son territoire, fut la première belle vision que je vis. Je tournais légèrement la tête et ne voyant aucune lumière filtrer au travers des lourds rideaux, jen déduisis que la nuit avait recouvert de son sombre manteau le Domaine ancestral de la Famille des Evans. Je me demandais, tout en essayant de rester aussi immobile que possible pour ne pas Le réveiller, ce qui avait bien pu se passer, quand et comment jétais rentrée au Château. Malgré mes précautions, quelque chose réveilla le Maître, qui ouvrit les yeux, et me regardant de Son regard impassible. Impossible de savoir ce quIl pensait. Je baissais de toutes manières très vite les yeux, et j « entendis » Son sourire se dessiner. Jaurai voulu pouvoir descendre du lit pour adopter une position qui convenait mieux à une chienne soumise, mais le poids de Son bras sur moi me maintenait fermement le dos plaqué au matelas. Le Châtelain fit durer un petit moment le silence avant de prendre la parole :
- Eh bien, Ma belle petite chienne ! Te voilà enfin de retour dans Ma noble demeure ! (
) Tu sais ce que cela veut dire, nest-ce pas ? Cela veut dire que tu as mérité par ton obéissance, par ta dévotion totale envers Moi, à travers les épreuves que je tai imposées, ta place à Mes pieds. Je veux que tu saches que je suis fier de toi ! Mais ne prends surtout pas cela pour un acquis. Pour mériter cette place que jai la bonté de taccorder, il faut travailler quotidiennement. Du jour au lendemain, tu pourrais la perdre et être expulsée définitivement de Mon Cheptel ! Alors ne relâche pas, jamais, et continue de progresser à Mes pieds, sous Ma domination que je veux strict, ferme, mais toujours protectrice à te faire avancer dans ta soumission !
Tandis quIl parlait, la pression de Son bras sétait relâchée, et dune main, Il parcourait toute la surface de mon corps.
- Ma chienne, je vais tout de même te dire un peu ce qui sest passé. Tu tes évanouie dépuisement vendredi soir et nous sommes actuellement dimanche soir. Mon amie de Düsseldorf, chez qui tu étais lorsque cela est arrivé, ma appelé. Elle ma raconté ta journée, et visiblement, jai de quoi être fier de toi ! Tu as eu des périodes très très courtes déveil. Cest un de Mes esclaves, ancien pilote de lignes, qui sest occupé de te ramener en avion via mon Jet privé. Pour ce trajet, tu as pu faire le voyage en cabine couchette, pour te permettre un meilleur repos. Durant tes phases déveil, une de Mes esclaves femelle et infirmière arrivait à te faire manger un peu, mais tu étais pratiquement délirante. Walter est allé te chercher à laéroport où une piste est spécialement réservée pour latterrissage des Jets privés. Et tu ne tes pour ainsi dire pas réveillée jusquà ce soir. Cest uniquement pour cette raison que tu as eu le droit dêtre allongée dans Mon lit ! Alors maintenant que tu sembles aller mieux, reprends vie ta place de chienne ! Tu vas pouvoir manger et boire sous mon regard et tu seras ensuite raccompagnée dans ton Cachot.
Et dun bond, je me mis à quatre pattes, recevant au passage une claque sur mes fesses, bien relevées au moment où je descendais du lit. Je me prosternais et attendis patiemment que le Maître mannonce une nouvelle exigence pour bouger. Que jétais bien ainsi ! Je pouvais rester dans cette position des heures, juste heureuse de ressentir Sa présence dans la pièce, même sIl ne me prêtait plus la moindre attention. Bientôt, on frappa à la porte. Une des soumises du Cheptel apportait un plateau couvert de victuailles et une gamelle deau, faciles à manger et à boire en position de quadrupède. Le Maître ny prêta pas la moindre attention. Elle ne sen formalisa pas, sachant ce quelle avait à faire. Elle posa son plateau contre le mur, non loin de moi. Elle se prosterna en direction du Maître, garda la position une trentaine de seconde et repartit sur ses quatre pattes. Jattendis un moment avant que lordre ne tombe « Mange et boit, chienne ! ». Je me plaçais face au plateau, le cul bien relevé, les reins cambrés, offrant une vue imprenable sur mes orifices au Maître des lieux. Je ne le voyais pas, mais je sentais Son regard posé sur moi. Je nespérais quune chose, cest quIl vienne se positionner derrière moi et me prenne sauvagement par le trou de Son choix. Quil me baise ou quil me sodomise !... Ou les deux à la fois ! Mais Il nen fit rien, et je restais avec des spasmes denvie dans mon bas-ventre. Lorsque jeus fini, je lapai longuement leau salvatrice de la gamelle et je me reculais et me mis en position face à Lui et jattendis ainsi de longues minutes. Manger mavait fait du bien, je me sentais somnolente. Je luttais pour ne pas fermer les yeux, ayant peur de mendormir et de mécontenter le Maître. Pourtant je me sentais, légèrement, mais sûrement vacillée.
- Eh bien ma chienne ! Tu as lair plus fatiguée que je ne le pensais. Ta santé est un de Mes devoirs, tu le sais. Si vous vous engagez tous à moffrir tout ce que vous êtes, tout ce que vous avez, je me dois dy veiller. Je vais donc te faire raccompagner jusquà ton Cachot. Je nai plus besoin de toi pour aujourdhui. Je te laisse libre de décider si tu veux ou peux te déplacer en quadrupédie ou en bipédie. Tu ne seras pas sanctionnée quel que soit ta décision. Allez, va Ma belle petite chienne ! Demain, tu devras, comme toujours, me montrer ta totale dévotion et ta parfaite confiance en Moi !
Et sur ces mots, alors quIl déposait un baiser sur mon front, Walter entra, sur Son invitation et vint me fixer ma laisse à mon collier et je choisis de partir à quatre pattes. Jétais fatiguée, certes, mais ce nétait pas cela qui allait mempêcher de rester à ma place ! Walter dut voir cependant que je nétais pas au meilleur de ma forme, car il allait dune allure douce. Habituée à un rythme plus soutenu, javais du mal à contrôler ma vitesse de pas pour ne pas me retrouver à sa hauteur. Quand le Majordome ouvrit mon Cachot, jeus vraiment la sensation dêtre réellement de retour. Il mattacha à la chaine crocheter dans le mur et mordonna de me coucher sans attendre dans ma panière de chienne. Lorsque ce fut fait, il déposa une épaisse couverture sur mon corps allongé en chien de fusil. Il neut pas le temps datteindre la grille et de la refermer que je métais déjà endormie, sans le savoir sous le regard vigilant et protecteur du Maître Vénéré, qui suivait le moindre de nos mouvements via une caméra placée dans un angle de la pièce.
Le lendemain matin, ce fut une esclave, et non pas comme à laccoutumée Walter ou Marie, qui vint me réveiller, et je compris quil était bien plus tard que dhabitude.
« Je tai dit que je te voulais en pleine forme ce soir, au mieux de tes capacités. Je tai dit également que tu serais lune des attractions de la soirée. A vrai dire, tu en seras la principale. Je nai dautres exigences pour toi, pour la journée, que le fait de devoir méditer sur ton état, sur ta vie actuelle, sur ce que tu veux que ta vie future soit. A part cela, occupe-toi seulement de manger ou dormir, repose-toi le plus possible quand tu en recevras les signaux ! Le Maître qui garde toujours un il sur toi. »
« Méditer sur ton état, sur ta vie actuelle, sur ce que tu veux que ta vie future soit » ? Mon état, ce nétait pas compliqué. Jétais la soumise du plus célèbre Dominant à travers la planète, Monsieur le Marquis dEvans. Jétais Sa chienne, Sa propriété. Ma vie actuelle ? Javais eu la chance, il y a longtemps de pouvoir reprendre mes études. A peu près dans la même période, javais rencontré le Maître qui mavait accepté à Ses nobles pieds. Puis, je lavais rencontré, et déjà ma vie avait commencé à basculer. Ma vie vanille avait commencé à me peser, je supportais de moins en moins ma vie maritale, et un jour alors que je ne pensais pas vraiment à le lui avouer, mon mari avait tout découvert, et le Maître mavait offert un toit et avait déjà fait en sorte que professionnellement, je travaille pour Lui. Alors avait commencé ma vraie vie ! Javais une vie professionnelle « normale », avec tout ce quil fallait pour paraître « normale » aux yeux de la société. Jétais heureuse, je voyais mes filles régulièrement, aussi souvent que dans nimporte quel couple divorcé, jétais libre dêtre moi-même, toujours chienne en chaleur pour la satisfaction du Maître, toujours et en permanence à Sa disposition, sans navoir plus besoin de me cacher. Je vivais tout simplement ! Son plaisir, Sa satisfaction était mon but et cela me suffisait. Je ne souhaitais rien dautre ! « ce que tu veux que ta vie future soit »
? Je ne voyais pas ce que je pouvais vouloir de plus, mis à part souhaiter être toujours capable dêtre à la hauteur des exigences du Maître, souhaiter être toujours digne de Lui, et si possible passer le reste de ma vie à Ses pieds, à être à Son entière disposition, à répondre à la moindre de Ses exigences
A deux reprises, on vint mapporter un repas, interrompant ainsi le cours de mes pensées. Deux fois également, la lumière clignota puis séteignit, me prévenant ainsi que le Maître exigeait que je me repose. Sinon, tout le temps que je pensais à ce quavait été ma vie et ce quelle pourrait être, javais choisi, puisque rien ne mavait été imposé, de prendre la position que jaffectionnais le plus, celle où je me sentais le plus être réellement moi. Je gardais la position prosternée, cul face la grille dentrée, présentant ainsi mes orifices à qui arriverait dans mon Cachot. Cest ainsi que Walter me trouva lorsquil vint me chercher
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!