Le Fantasme Qu'est Ma Belle-Fille (Suite)
Depuis que jai été secrètement témoin des ébats entre ma belle-fille et un de mes collègues, je la sexualise complètement : cest une pute, une salope dans le sens sexuel du terme. Autrement, cest une fille sage, agréable et pleine de vie.
Mais sexuellement, elle mobnubile. Et le pire quand on est obnubilé sexuellement par sa belle-fille, cest quil ny a rien à faire pour se vider la tête car cest inassouvissable. Jai beau coucher avec sa mère (mon épouse), je pense toujours à son jeune corps magnifique et à sa fougue ; alors je pense à elle en me masturbant mais ça ne fait quaiguiser mon désir pour ma belle-fille.
Elle me fait bander rien que me regardant. Mais hors de question de la toucher, cest ma belle-fille, ma fille. Mais à force de limaginer se dévêtir lascivement quand elle part se coucher, ou despérer et craindre à la fois de tomber sur elle dans la salle de bain, jai succombé et jai invité des collègues à déjeuner, en espérant quelle remette le couvert. Je profitais de labsence de ma femme pour les inviter, un par un, et voir si, en mabsentant, quelque chose se passait.
En vain, puisque Sonia sest toujours bien comportée. Résigné, jai invité Simon, mon collègue avec qui elle a couché. Je men voulais de linviter car il a baisé ma fille, la soumise à sa queue. Cétait comme si jinvitais lamant de ma femme. Il ignorait que je les avais espionnés et pourtant je me sentais soumis moi-même.
Mais rien ne sest passé durant le repas. Je me suis imaginé des attouchements sous la nappe mais en réalité, rien. En les laissant seuls, idem, si ce nest un échange de numéro de téléphone.
Le temps a passé et jassouvissais mes désirs comme je pouvais : sentir ses sous-vêtements sales, lépier à notre piscine
Lanniversaire de Simon est arrivé et javais entendu 2-3 collègues parler d'une soirée privée. Cela a fait tilt quand Sonia ma demandé de laccompagner en ville pour une soirée le même soir.
Je lai accompagnée à lendroit quelle mavait indiqué et je suis parti mais une fois hors de vue, jai fait demi-tour pour lespionner. Une voiture est arrivée et elle y est montée. Je lai suivie
jusquà lentreprise où je travaille.
J'ai attendu ; une lumière au 3ème étage sest allumée et jy suis allé discrètement. Arrivé à létage, jai suivi les voix et la musique jusquà atteindre la porte de la salle de conférence. La porte était ouverte.
Simon et deux collègues étaient assis et Sonia était là, debout sur la grande table de conférence, vêtue dun shorty et dun soutien gorge en spandex violet. Elle dansait lascivement au son de la musique devant mes collègues. Elle leur faisait un strip-tease et je dois dire que le spectacle avait lair magnifique.
Déjà, son shorty moulait parfaitement ses fesses rebondies et jenviais mes collègues qui ne se privaient pas de la toucher quand elle passait à portée de main. Elle portait des chaussures à talon qui allongeaient ses jambes à linfini.
Ensuite, Sonia sétait maquillée et arborait des lèvres dun rouge puissant qui donnait un aspect gourmand à sa bouche que je brulais dembrasser. Ses longs cheveux étaient détachés et balançaient au fil de sa chorégraphie.
Enfin, sa danse exprimait toute sa sensualité et sexualité. Son corps se mouvait érotiquement, ses bras formaient des arabesques, ses mains caressaient son corps et ses seins, son bassin se balançait de gauche à droite. Ses longues jambes restaient droites tandis quelle se penchait en avant et se pliaient quand elle simulait le sexe
Ses cuisses sécartaient et se refermaient. Elle semblait experte à aiguiser le plaisir des hommes. Et surtout elle semblait elle-même y prendre du plaisir. Elle était véritablement hypnotique et excitante. A tel point que mes collègues pétillaient quand ils glissaient des billets dans le shorty de ma fille en la caressant ou en les insérant dans sa bouche ouverte.
Mes collègues semblaient du même avis tant leurs commentaires étaient élogieux
et salaces (« Quelle est bonne »
). Est loin le temps où je métais offensé dune petite blague de Simon sur ma fille. Maintenant, jai surtout envie de la traiter de salope, de lui cracher au visage et de la baiser comme une pute.
Simon a intimé à ma fille lordre de les rejoindre. Elle est descendue de la table avec grâce, sest penchée sur Simon et la embrassé passionnément. Puis Sonia sest mise à se frotter à mes trois collègues qui pouvaient la peloter et la caresser à loisir. Elle se trémoussait sur ces hommes avec une telle passion quon sentait quelle en tirait du plaisir elle-même.
Après avoir honoré chacun de mes collègues qui ont en eu pour leur argent, ma fille sest déshabillée intégralement, sauf les chaussures. Les hommes se sont déshabillés eux aussi.
Simon était assis ; ma fille sest agenouillée entre ses jambes et a entamé une fellation. De là où jétais, je ne la voyais que de dos ; sa tête montant et descendant sur le pubis. Jimaginais les sensations de la bouche de ma fille sur mon sexe et jenviais tellement Simon de lavoir domptée et montée.
Puis Simon a saisi Sonia par le cou, la poussée sur la table. Il y est monté et delle-même Sonia sest mise à 4 pattes en faisant face aux deux autres hommes. Simon la pénétrée et elle a gémi intensément.
- Oh oui !! Cest ça se faire baiser par un vrai mec !
- (Simon) Alors la petite princesse aimer se faire baiser brutalement ?
- (Sonia) La petite princesse à son papa veut se faire enculer !
- (Collègue) Elle veut quoi la trainée ?
- (Sonia) La trainée veut quon lui jouisse à la gueule !
De là où jétais, javais limpression dassister à la saillie dune jument nymphomane jusquà la jouissance.
Venez les hommes, jai envie de me faire prendre par 3 belles queues en même temps. Je veux que vous me fassiez hurler de plaisir.
Les deux autres les ont rejoints. Je la voyais ainsi baisée par trois hommes nettement plus âgés : lun la sodomisant avec force, le 2ème sur lequel elle sétait empalé la chatte, et le 3ème face à elle à se faire sucer. Et tout cela avec une énergie incroyable : elle jouissait bruyamment, les encourageait à la traiter de sale pute. Le 3ème homme prenait son sexe et la biflait sans que cela ne lui procure autre chose que le plaisir dêtre rabaissée sexuellement.
Après ce qui ma semblé des heures, les trois collègues se sont réunis autour de ma fille et ont éjaculé sur son visage d'ange. Même après tout cela, elle riait de plaisir. Je la voyais saisir les filets de sperme sur son visage, les lever et les porter à sa bouche. Elle était insatiable.
Elle était allongée sur la table de conférence, reprenant son souffle après tant defforts et de plaisir, sa petite poitrine se soulevant avec la respiration, les cuisses écartées. Pendant ce temps, ses amants se sont rhabillés. Deux sont partis et Simon est resté en attendant quelle se nettoie et se rhabille.
Je suis sorti discrètement après tout le monde. Jai envoyé un texto à Sonia pour lui dire que je ne dormais pas et que je pouvais la chercher si elle voulait. Elle a répondu oui.
Jai conduit jusquau parking Auchan indiqué, tout feu éteint en arrivant. Une voiture était garée au milieu, je me suis approché à pied et jai vu ma fille taillant une dernière pipe à Simon qui lui tenait la tête pour lui faire une gorge profonde. Elle semblait se débattre mais je nai même pas eu envie dintervenir et je me suis éloigné. Et dailleurs, une fois fini, je lai vue lembraser sur la bouche.
Une fois à la maison, elle tenait à peine debout et je lai aidée à marcher jusquà sa chambre. Elle sest allongée et endormie aussitôt.
Jétais trop attiré par elle et la situation était inespérée. Je me suis approché de son cou et jai senti son odeur : lodeur de la jeunesse et dun mélange de sueurs. Je suis descendu jusquà son pubis où jai senti lodeur du sexe de ma belle-fille et la semence de mes collègues.
Je voulais tout lécher, son sexe, sa transpiration, leur sperme. Je voulais la déshabiller et la violenter dans son sommeil. Je nai pas pu. Jai sorti mon pénis, je me suis masturbé en la regardant dormir ainsi ; et j'ai éjaculé sur la chatte de ma belle-fille.
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