J'Ai Baisé La Vendeuse Du Sexshop
Libertin depuis de nombreuses années et grand amateur de tout ce qui touche au sexe, jai toujours fréquenté les sex-shops pour y découvrir les dernières nouveautés des films X et des divers gadgets pour pimenter les ébats avec les maîtresses que javais la chance de ramener chez moi.
Dernièrement (lhistoire remonte à 1997) je me trouvais dans le magasin dans lequel javais pris certaines habitudes pour le fréquenter assidument car il est bien fourni et le personnel très sympa.
Ce soir-là, une des vendeuses me décrivait les avantages des pompes pour agrandir le pénis. Je nen ai pas spécialement besoin car les dimensions du mien me conviennent parfaitement, certes, il nest pas très long mais assez trapu, avec un gland en forme champignon. Mais cela mamusait de la voir faire son baratin comme si cétait elle qui les utilisait. Elle a été un peu déçue lorsque je lui ai dit quà plus de cinquante ans je nétais pas acheteur car jestimais que je nen avais pas besoin. En riant je lui ai dit que si moi je navais pas besoin de développer ma bite, elle, elle devrait penser à faire développer ses seins.
Anna, petite brunette mesurait environ 1,60m avec des cheveux mi-longs tombant sur les épaules, elle avait un visage ovale avec des yeux noirs, un nez droit et des lèvres mince dun rouge vif. Je la connaissais bien car nous plaisantions souvent ensemble car je me sentais plus proche delle que des autres vendeuses bien plus jeunes.
Ce soir-là, elle portait une robe courte très échancrée sur le devant qui, lorsquelle se baissait, laissait voir sa poitrine menue aux tétons à peine dessinés. Le dos, maintenu par des bandes de tissu, était encore plus ouvert et laissait apercevoir le haut du sillon fessier. Agée dune quarantaine dannées, elle avait les yeux qui pétillaient de malice et de lubricité quand elle faisait larticle. Ce devait être une gourmande du sexe et comme vendeuse elle était tout à fait à sa place dans ce genre de boutique.
Lheure de la fermeture approchait
A part une autre vendeuse quelle a congédiée, nous étions seuls dans le magasin
Elle devait aller chercher dans la réserve au sous-sol un carton contenant divers articles pour que le personnel faisant louverture le lendemain matin les mette en place. Mais, trop haut pour elle, cela lui était impossible. Après avoir verrouillé la porte dentrée, elle me demanda de lui rendre ce service.
Arrivés au sous-sol où notamment se trouvent les cabines de projection, elle déverrouilla une porte marquée « privé » et me montra le carton en question. En se dressant sur la pointe des pieds et en levant les bras, cétait impossible pour elle ! Waouh quelle vue. Dans cette posture sa robe courte découvrait le pli de ses fesses et je voyais la ficelle de son string. Je nai pas su résister à linvitation et, mapprochant encore plus, jai pris ses fesses dans mes mains.
Au lieu de protester, elle sest laissée faire en frottant ses fesses contre moi. Javais la bite raide dans mon slip. Elle sest retournée et, passant ses bras autour de mon cou, elle est venue se mettre à cheval à hauteur de mes hanches. Sa bouche a cherché la mienne et nous nous sommes embrassés comme des furieux, à en perdre le souffle. Cétait bien parti.
Un divan poussé dans un coin nous tendait les bras et comme personne ne pouvait entrer dans le magasin, nous ne serions pas dérangés. Je suis allé déposer Anna sur le divan et pendant que je me déshabillais, elle a fait glisser son string. Sa chatte rose déjà ouverte était surmontée dune fine bande de poils noirs drus et bien taillés.
Assise, elle avait la bouche à la hauteur de mon sexe dressé. Dun seul trait elle a avalé ma bite jusquà la garde dans une délicieuse gorge profonde agissant uniquement avec sa langue et ses joues pour me pomper. Que cétait bon ! Jai glissé mes mains dans le décolleté de sa robe pour venir agacer ses tétons. Au bout de quelques minutes, elle a sorti de je ne sais où un préservatif dont elle a déchiré lemballage.
La situation était sans équivoque. Elle nallait pas se contenter de me tailler une plume. Elle voulait que je la baise. Elle sest mise en levrette pour me présenter ses fesses. Avant de la pénétrer jai fait quelques va-et-vient à lorée de sa chatte avant de linvestir lentement jusquà ce que mon pubis vienne se coller contre son cul. Sa grotte damour était chaude comme la braise et humide. Jai commencé à la copuler lentement puis de plus en plus vite jusquà ce quelle sécrie :
Oui, baise-moi bien ! Depuis le temps que tu viens à la boutique, jai envie de toi
A ton âge, tu dois savoir faire reluire les filles !
Après avoir dit cela, elle a sorti un gode de taille moyenne qui se trouvait sous un coussin et elle la pris en bouche en faisant des mouvements alternatifs. Quelle lubricité ! Soudain, notre plaisir (que je retenais pour attendre celui de ma partenaire) a éclaté. Waouh ! Quelle jouissance !
Je me suis dégagé de sa gaine. Delle-même elle ma débarrassé du préservatif et, reprenant ma bite en bouche elle a entrepris de la nettoyer. Ce fut plus quune toilette. Elle ma si bien pompé que jétais à nouveau bandé comme un taureau. A nouveau couvert, elle me fit allonger sur le divan, la bite dressée. Se mettant en amazone, elle se sodomisa elle-même en me tournant le dos. Elle était si ouverte que jentrai facilement et après quelques mouvements de bas en haut, elle se coucha sur mon torse et sintroduisit le gode dans sa chatte. Levant les yeux au plafond, je découvris dans les miroirs qui le garnissaient le spectacle de nos deux corps.
Cette belle était chaude comme la braise. Est-ce le fait de travailler dans un tel endroit qui la rendait si chaude ? Surement et jen profitais bien. Au travers de la paroi de sa chatte, je sentais aller et venir le gode qui vibrait doucement.
Tu mas bien fait jouir ! Effectivement, tas pas besoin de développeur ! Ta bite est bonne !
Après quelques temps, nous nous sommes rhabillés et il était presque minuit quand nous nous sommes quittés devant la boutique. Pour le moment je ny suis pas encore retourné mais laménagement de larrière boutique me laisse penser que le divan doit voir passer pas mal de couples de baiseurs. Tout est à portée de mains, les préservatifs, les godes, les mouchoirs en papier. Bref un véritable baisodrome.
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