La Caméra Espion 12
Le soir tant attendu arrive. Chantal nest pas vraiment à laise. Je la sens tendue, inquiète. Pour me donner le change, elle me dit qu'elle est tout excitée de jouer avec moi ce jeu pour piéger ce salaud. Sincère ? Peu mimporte, je sais que je vais une fois encore bien mamuser à faire bouger mes marionnettes. Je cherche quand même à la rassurer.
La présence d'Annie, l'épouse de Jacques, nous oblige à un peu de retenue. Je lui demande de mettre les mêmes vêtements que ceux imposés par son amant pour venir chez lui. Mini portefeuille et teeshirt large aux manches et la même veste à peine plus longue que la jupe par dessus.
Et bien sûr rien en dessous Ce sera le premier message envoyé à Philippe.
Et Chantal ne se doute pas combien les heures qui arrivent seront décisives pour elle et pour notre couple. Je vais la tester en ma présence et mettre en place un plan diabolique pour les confondre à nouveau tous les deux... et peut-être tous les trois. En effet, je n'ai aucune certitude quant à Jacques. Ce faux jeton peut très bien r d'elle encore et j'ai du mal à oublier qu'elle avait avoué l'aimer et vouloir me quitter pour vivre avec lui.
Cette soirée s'annonçait chaude et jai bien lintention de punir ce Philippe qui ne cherche quà mhumilier et me discréditer aux yeux de ma femme !
Juste au moment de partir je lui demande de mettre une culotte. Elle ne comprend pas pourquoi. Moi, je sais.
- Je veux que tu te montres belle et désirable. Discrètement tu vas chauffer Philippe. Dabord tu vas lui montrer que tu as obéi à sa demande. Je veux quil te croie soumise. Tu feras tout ce quil te suggère.
- Mais, tu es fou ! Il va en profiter et je nen ai aucune envie.
- En es-tu bien sûre ?
Elle comprend vite que je la sonde, et elle se dépêche de répondre.
- Absolument, et ce soir tu vas pouvoir ten rendre compte. Je ferai tout ce que tu me demandes, et en premier, mettre ce salaud dans ma poche !
Je ne peux réussir à men convaincre.
- En tous cas, laisse toi aller. Sils te font boire, reste maitresse de tes pulsions. Tu aimes baiser ?
- Ben oui, tu le sais bien !
- Alors allons-y. Je te laisse toute liberté.
Je vois bien quelle ne comprend pas bien où je veux en venir. Mais la perspective de se faire baiser ne la laisse pas indifférente. Surtout avec mon accord.
Nous sommes arrivés les derniers, Philippe arbore un sourire plein de condescendance comme à son habitude. Il détaille Chantal avec insistance comme pour lui signifier que cette tenue quelle porte est un signe de sa soumission. Jacques affiche une mine renfrognée, inquiète. Les deux femmes sont ravies de se voir. Jintercepte un regard bizarre de lépouse de Jacques à lencontre de Chantal. Comme une certaine jalousie comme si sa beauté affichée ce soir là éclipsait sa propre présence. Lamitié entre ces dames nest pas aussi spontanée quil ny paraît !
On sinstalle tous dans le salon pour, comme il est classique, prendre un apéro. Je place Chantal à mes côtés et immédiatement je vois Philippe sinstaller en face de nous dans un fauteuil. Je passe mon bras autour de ses épaules en signe de possession. Il me regarde et sourit, arrogant. A cet instant, Jacques, debout nous demande ce que nous voulons boire. Annie est en cuisine. Chantal commande un whisky, ce qui métonne car je lai mise en garde et la sais peu résistante aux effets des alcools forts. A-t-elle déjà lintention de sabandonner et prend les devants en se trouvant lexcuse de la boisson ? Je reste aux aguets !
On sonne. Javais complètement oublié André et sa femme.
Cest Jacques qui va lui ouvrir. Ils chuchotent. Jimagine quils complotent en parlant de Chantal. André est seul, sa femme est souffrante. Tiens ! Tiens !
Quand il entre dans le salon, tout de suite il braque ses yeux sur les jambes nues de ma voisine. Bien sûr, bien calée au fond du fauteuil, la jupe est retroussée plus haut quà mi cuisses et sur le côté elle est ouverte jusquà dévoiler sa petite culotte blanche et même au dessus, une partie de sa peau blanche.
La conduite dAndré me donne à penser quil a aussi envie de se taper ma femme. Une fois les verres remplis, Jacques sassoit à son tour. Annie vient nous rejoindre. Les conversations sont des plus banales : boulot santé vacances
mais les regards sur ma femme sont de moins en moins discrets. Je nécoute pas, tout à surveiller les personnages. Je réfléchis à la manière de déclencher les hostilités. Je décide de débloquer la situation quand la maîtresse de maison se lève pour retourner en cuisine.
Je me lève prétextant daller aux toilettes abandonnant Chantal aux trois hommes. Elle me jette un regard interrogateur et inquiet. Celui que je lui adresse est fait pour lencourager. Dans le couloir, un tableau reflète limage du salon. Pas très net mais assez pour voir les personnes et leurs gestes. Moi, dans la pénombre, je suis invisible pour eux. Les paroles échangées me parviennent aussi. Ma femme dans un premier temps semble paniquée. Jacques lui sert un second verre de whisky quelle avale cul sec. Quand elle repose son verre, pas difficile de constater quelle est pompette. Effectivement lalcool fait son effet car elle ne cesse de pouffer et de partir dans de gros éclats de rire stupides quand Philippe lui demande de leur montrer sa petite culotte. Docile, elle ouvre sa jupe et se découvre jusquà son nombril. Elle prend une mine de petite fille surprise à faire une bêtise ! Pour les exciter je pense. Et cest réussi.
Jacques et André nen manquent pas une miette. Le plus surprenant cest que Chantal tout en riant bêtement, lève ses jambes bien haut et lentement fait glisser sa culotte à ses chevilles pour lenlever, puis la jeter au visage de Philippe.
- Alors les gars ! Je vous lavais bien dit quelle faisait tout ce que je lui demandais. Elle mange dans ma mimine, cette salope.
Annie, de la cuisine, invite à passer à table. Cest André qui aide ma femme un peu titubante à venir sassoir. Je rejoins la salle à manger à mon tour. André me lance un regard qui en dit long. Moi, serein, jaffiche un visage satisfait et heureux, sûr de lui. En passant près de Chantal je lui donne un baiser dans le cou, plein de tendresse. Elle me répond par un sourire qui me rassure sur ses sentiments.
Le repas se déroule sans incident. Chantal est lobjet de blagues plus ou moins drôles mais surtout un peu orientées sexe. Elle rit, samuse et ne sintéresse pas du tout de ma présence. Moi, je fais semblant de beaucoup boire pour montrer à mon tour que je suis bourré. On ne laisse pas le verre de Chantal se vider. Ni celui dAnnie dailleurs. Je devine que le plan de Philippe est de nous mettre hors course pour samuser avec ses potes de ma femme maintenant à disposition. Je remarque que Chantal contrôle bien la situation et se garde de boire tout ce quon lui présente. Tout va pour le mieux.
Jacques nous invite à regagner le salon pour déguster un petit cognac. Annie est déjà bien partie et elle monte à létage se coucher sans même nous saluer. Je vois les yeux et les regards des trois individus briller de satisfaction. Je comprends que je dois aussi disparaître. Je choisis de me laisser tomber de sommeil sur la table à peine desservie. Je prends la précaution de laisser ma tête tournée vers le salon des lubricités. Je me mets à ronfler au moment où Philippe porte et allonge Chantal sur le divan. Elle est bien gaie mais pas complètement bourrée.
Philippe se plante en face et lui prends les chevilles pour lever ses jambes pour montrer à ses complices quelle est toujours à poil dessous.
- Cest une belle salope non ? Elle se laisse aller devant son mari qui cuve son pinard ! André, toi qui men parle tout le temps, tu veux la toucher ? Elle est chaude là et elle en veut ! Je te la prête, comme je tai promis.
- Putain quelle est belle cette pute. Jai envie de me faire sucer.
Apparemment, ma présence ne les gêne pas du tout. Pour essayer de voir jusquoù ils peuvent aller, je tousse, ouvre les yeux et regarde la scène. Je joue lincrédule, fais un sourire béat et retourne dans mon sommeil simulé et protecteur. Je les entends ricaner tous les trois, et il me semble également distinguer le son de voix de ma femme.
- Tu vois comment ton cocu soccupe de toi ? Et si on te baisait ici tous les trois devant lui ?
Chantal éclate de rire.
- Si vous saviez ! Il ma demandé de faire tout ce que vous me direz de faire. Jai envie là. Allez venez. Baisez-moi.
En disant cela elle jette une illade complice en ma direction et sempare du pantalon dAndré et en quelques secondes elle lui a sorti la bite toute raide et la fourre dans sa bouche. Philippe lui pelote les seins dune main et lautre sest glissée entre ses cuisses sous sa jupe et lui doigte le con. Seul Jacques reste légèrement en retrait se contentant dobserver. Par moments il jette un regard en ma direction. Je vois bien quil aimerait bien se mêler au jeu, mais je pense quil redoute ma réaction et la présence dAnnie à létage.
Chantal est maintenant une vraie furie. Ils lui tripotent les seins puis lui enlève son teeshirt. Ils se moquent delle. Pour lhumilier Philippe la force à toucher la queue de Jacques qui porte encore son pantalon. Mais il se dégonfle. André est au bord de lapoplexie, il enfonce carrément sa queue au fond de la bouche qui le suce. On comprend quil réalise enfin un fantasme qui devait lhabiter depuis longtemps : se faire sucer par ma femme !
- Tu aimes ça hein, salope ? Philippe me lavait bien dit. Ce nest pas difficile de te faire démarrer, et après plus rien ne peut tarrêter.
Mon épouse ne peut pas lui répondre évidemment, la bouche pleine et remplie par cette queue. Sournoisement je mate et malgré moi lérection qui ma pris est bien prononcée. Voir ma belle se donner, avec le doute quelle se livre uniquement pour son seul plaisir me rend fou dexcitation.
Soudain je me rends compte que la situation pourrait méchapper. Bien sûr je lui ai dit de faire ce quils voulaient delle, mais je ne pensais pas quelle soit aussi dévouée à mes désirs. Je décide dintervenir, mais je laisse les choses évoluer encore car je commence à vraiment prendre à mon compte le spectacle qui se déroule devant mes yeux. Chantal est nue jusquà la ceinture, sa mini-jupe à ses pieds.
André se libère de la bouche et se met à genoux entre les cuisses de la femme soumise. Il commence dabord par lui lécher la chatte, ce qui lui soutire des petits cris de jouissance. Je sens quelle va partir car elle est sensible à ces caresses. Je le vois glisser son majeur dans son fondement sans quelle réagisse. Philippe est maintenant à poil, il sallonge sur le dos aux côtés de Chantal qui gémit de plus en plus fort sous la langue dAndré qui y va de bon cur. Il se relève et demande à Chantal de sallonger de dos sur Philippe. Je comprends quils veulent la prendre lun et lautre. Philippe dans le cul et André dans la chatte. A lécart, sur une chaise, Jacques a sorti sa bite et se branle doucement, les yeux gorgés de sang.
Doù je suis je vois la grosse queue de Philippe chercher son chemin entre les fesses quil écarte. André prend sa position au dessus et sallonge sur le corps à moitié nu. Ma femme se trouve ainsi prise en sandwich entre les deux hommes. Ils ne mettent que quelques secondes à sintroduire dans ses deux orifices et commencent alors tous les deux à la limer de concert. Chantal pousse des cris de plus en plus stridents et je vois que Jacques est inquiet pour Annie. Il leur demande de baisser le son mais rien ny fait. Sous lemprise des deux queues qui la ramonent Chantal explose une puis une deuxième fois.
- On va lengrosser la salope, hein André. On va lui faire un moutard dans le dos à ce con. Tu veux bien hein salope ?
- Oui ! Baisez-moi ! Engrossez-moi. Je veux votre foutre en moi.
Ils crient et jouissent tous les trois en même temps dans un orgasme tonitruant. Cest le moment que je choisis pour intervenir.
- Putain que tu es belle ma chérie. Je suis fière de toi. Tu es arrivée à faire jouir ces baiseurs professionnels.
Jai sorti ma bite et je me branle en mapprochant du trio encore enlacés. Ils nen reviennent pas et la stupeur apparue au début sur leurs visages laisse place à lincompréhension. Je repousse André pour mapprocher du corps offert de Chantal. Jaccélère les va et viens et je finis par jouir et éjaculer sur son ventre et sur la bite de son amant coincée entre les fesses de ma chérie. Une giclée latteint au visage, sur ses lèvres. Il a lair dégoûté et tente de se relever. Mais Chantal qui a compris que je cherche à lhumilier reste bien en place.
- Je crois que tu as dit à Chantal que tu aimerais me sucer, Philippe. Eh bien cest le moment non ?
Il se relève brusquement pour séchapper.
- Je ne suis pas homo, non.
Et il se précipite sur son slip et son pantalon.
- Dommage ! Et toi André ? Tu as aimé te faire sucer par Chantal, tu nas pas envie dessayer avec moi ?
A son tour il se jette sur ses vêtements. Jacques a refermé sa braguette sans avoir eu le temps de jouir.
- Ecoutez-moi les gars, je suis devenu candauliste et jaime voir Chantal prendre son pied avec dautres hommes devant moi. Elle adore le faire avec des inconnus, des paumés par exemple. Pas plus tard que samedi dernier elle sest faite baiser par trois SDF sans aucune protection. Cest plus excitant pour elle comme pour moi ! On va faire des analyses la semaine prochaine et on vous tiendra au courant, hein ma chérie ?
Chantal qui sait très bien que je bluff et qui a compris ma ruse, acquiesce timidement.
- Rien à craindre pour toi Jacques. Bon et bien, on a tous bien rigolé, on va se rentrer. Philippe et toi André vous serez toujours les bienvenus à la maison pour baiser ma femme mais en ma présence. Nest-ce pas chérie ?
- Oui, oui mon amour. Jai envie quon samuse ensemble. Et jaimerais tant te voir baiser leur petit cul ! Et vous pouvez emmener des copains avec de grosses queues.
Rajustés, nous prenons congé, en les laissant pantois tous les trois.
Je sais maintenant que ma Chantal restera ma Chantal, même si daventure un inconnu souhaite la baiser. Je sais quelle le fera pour notre plaisir à tous les deux
FIN
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