La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1051)

Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1050) -

- Alors, allonge-toi sur le sol, cuisses largement ouvertes vers mes Invités. Exécution !...

J’obéis alors. Le Maître se glissa entre mes jambes, Il farfouilla de Ses doigts vigoureusement ma chatte pour y trouver les morceaux de racine de gingembre. Il joua un moment avec, avant de les enlever, s’amusant à les frotter contre mes parois vaginales dans un mouvement de rotation. Et quelle fut la réaction de mon vagin ! Explosif ! En effet, ses attouchements me rendaient de nouveau folle d’envie et de désir par l’effet aphrodisiaque encore actif ! Ce fut encore pire lorsqu’Il se pencha encore plus jusqu’à ce que Sa langue atterrisse sur mon clitoris, me procurant un cunnilingus tel que Lui seul était capable de les faire ! Les sensations de fortes excitations imputées au gingembre mélangées à ce léchage de mon clito me provoquaient dans tout mon corps des spasmes exprimés par des petites décharges électriques qui remontaient sur toute la longueur de mon échine. Et j’eus toutes les peines du monde ne pas laisser éclater ma jouissance. Il se redressa alors, attrapa les nouvelles racines de gingembre qu’on venait de Lui apporter discrètement et Il me les enfonça brusquement au plus profond de mon vagin, provoquant chez moi un sursaut en avant, mais toujours sans le moindre son. Il ordonna que je me mette à quatre pattes, jusqu’à ce qu’Il dépose le manche en question devant moi. Il claqua de nouveau des doigts et je pris la position qu’Il avait exigée plus tôt. J’attendis ainsi patiemment, sans bouger comme Il me l’avait alors ordonné, malgré le gingembre qui chauffait et m’excitait, malgré les douleurs dans les bras, les jambes et les genoux. Je L’entends deviser avec Ses invités sur différents sujets d’actualité et de société. Je ne sais combien de temps je restais ainsi, travaillant sur ma respiration pour rester absolument immobile.

- L’endurance, ce n’est pas seulement rester immobile, sans sollicitation. Mes amis, chacun votre tour, je vous invite à vous approcher de Ma chienne et à lui faire subir tout ce qui vous passera à l’esprit. Elle ne doit en aucun cas bouger de sa position, ne doit pas laisser échapper le moindre son, et évidemment ne doit pas jouir. Allez-y, je vous en prie, amusez-vous !

Ce fut une des plus dures épreuves que j’avais eu à subir depuis que j’avais emprunté le chemin de la soumission aux pieds du Maître Vénéré, Monsieur le Marquis d’Evans. Je fus longuement fouettée, godée, pluguée. On me masturba sans retenue durant de très, très, très longues minutes également en me frottant longuement l’aphrodisiaque dans ma chatte. Alors que je me demandais combien de temps encore j’allais pouvoir tenir ainsi, les douleurs me faisant couler un flot de larmes, les délicieux plaisirs de ma chatte en feu qui me criait de me laisser aller à la jouissance me provoquaient ce mélange de sensations tant apprécié des masochistes comme moi. Un gong retentit, et tous les Invités se reculèrent. Walter s’approcha de moi, m’aida à passer en position prosternée, après avoir retiré le manche de sous mes genoux. Je tremblais tellement j’étais concentrée, contractée pour me contrôler et répondre parfaitement aux exigences du Maître qui me dit très clairement :

- Nouvelle et dernière épreuve : Tes trois trous vont être mis à la disposition de Mes invités. Ils vont en user et en r tant qu’ils le voudront, c’est eux de décider. La seule chose sur laquelle ils n’auront aucun contrôle, c’est ton droit de jouissance. Ecoute-moi bien soumise ! Je te refuse tout orgasme ! Ne me déçois pas, sinon tu le regretteras amèrement, crois-moi !

Je fus alors prise, certainement dans toutes les positions du Kama Sutra, pas un de mes orifices ne fut oublié et donc tous furent besognés, encombrés, baisés, souillés de sperme ! Dominants, Dominantes jouirent dans ma bouche, chatte et cul, et je leur servis autant de vide-couilles qu’également d’urinoir. Il leur fallut deux bonnes heures avant qu’ils ne se lassent et ne me laissent par terre, ayant à peine la force de me tenir prosternée.

- Ma chienne, écoute-moi attentivement ! Ce soir, tu m’as démontré ta totale dévotion, ta confiance profonde ! Je suis extrêmement fier de toi ! Tu as montré à tous ici, qui sont de grandes personnalités de la société vanille, et reconnus dans notre monde, que tu méritais ta place à Mes pieds ! Aujourd’hui je vais te faire un grand honneur !

Il frappa dans Ses mains. Nous étions au fond de la salle, Lui sur Son magnifique siège, un véritable trône datant du temps de Ses lointains ancêtres, sur une petite estrade, moi prosternée devant Lui. A son geste, Walter ouvrit les portes, et entra alors Marie, la cuisinière, suivie de tous les domestiques du Château, puis tous les chiens et les chiennes du Cheptel de Monsieur le Marquis d’Evans.

- soumise Aphrodite MDE, voilà déjà plusieurs années que je t’ai accepté à Mes nobles pieds, que j’ai pris le temps de t’éduquer. De soumise en devenir, tu es devenue soumise MDE. Tu es passée du Chenil au Cachot. A genoux !

Il enleva alors mon collier sur lequel se trouvaient deux anneaux, le premier qui m’avait été remis lors de mon acceptation au Chenil et l’honneur de porter Ses nobles Initiales, le second lors de mon entrée au Cachot

- Aujourd’hui, je t’accorde un troisième anneau. Aujourd’hui, devant toutes les personnes présentes, je te fais l’honneur de te donner le titre d’esclave ! Je suis fier de ce que tu es devenue ! esclave Aphrodite MDE, aujourd’hui, plus que jamais tu M’appartiens comme esclave ! Inutile de te rappeler la signification des anneaux. Ils symbolisent ton mérite et ton appartenance à Moi. Ton mérite parce que plus tu as des anneaux, plus tu les as largement mérité au fil du temps. Et ton appartenance car ces anneaux ne te quitteront jamais et les avoir sur toi, à ton cou sur ce pendentif symbolise que tu es Ma propriété, que tu m’appartiens totalement … Quant au titre d’esclave, en plus de ton don de ton corps et de ton esprit déjà acquis à Moi, être esclave engendre de ta part que je décide tout, absolument tout, ce qui te concerne, et donc désormais je gèrerai en plus et par exemples : Tes biens, ton compte en banque, tes soins à la santé, l’éducation de tes s, tes achats vanille, ton emploi du temps vanille, bref, tu me fais don de tout ce qui t’appartenait à gérer dans la vie de tous les jours car tout cela ne relève plus de ta compétence... Acceptes-tu le titre d’esclave MDE ? Tu as le droit de refuser et dans ce cas, tu resteras simplement soumise MDE et je respecterai ton choix.

Il ne me fallut pas une seule seconde pour répondre. Et c‘est en pleurant de joie, d’un bonheur immense que je répondais sans hésitation, avec tellement d’émotions :

- Oh… Oui … Seigneur et Maître Vénéré, sans hésiter … C’est le plus jour de ma petite vie de chienne … Merci , oh merci, je ne sais comment je vous remercierai à vie …

Alors, il referma le collier orné cette fois-ci de trois anneaux autour de mon cou. Immédiatement, je retombais prosternée, sanglotant encore et franchement sous tant d’émotions, ne cherchant plus à retenir mes larmes ! Walter saisit ma laisse et me fit traverser lentement la salle sous les applaudissements de tous, les soumis et soumises ayant eu, pour l’occasion, l’autorisation de se mettre à genoux. Je pensais que le Majordome allait me faire faire le tour de la pièce, puis lorsqu’on en sortit, qu’il me ramenait dans mon Cachot. Quelle ne fut pas ma surprise et mon bonheur de reconnaître le chemin qu’il fallait emprunter pour rejoindre la chambre du Maître Vénéré. Il m’attacha à un des crochets se trouvant au pied du lit, sur une couverture et il partit sans rien me dire, mais avec un petit sourire. Quelques temps plus tard, Monsieur le Marquis d’Evans entra, et mon cœur se mit à battre la chamade !

- Chienne ! Maintenant que tu es Mon esclave MDE, dès que je pénètrerai dans une pièce, sauf contrordre de ma part, quand je m’immobiliserai, tu viendras en rampant à Mes pieds, tu baiseras du bout des lèvres chacune de mes chaussures et tu te prosterneras.

Il se tut alors et ne bougea plus. Je compris de suite ce qu’Il attendait de moi. Comme par un fait exprès ma chaîne me permit tout juste de m’approcher assez de Lui pour pouvoir Lui obéir. Je n’attendis pas longtemps avant que Ses mains ne parcourent avec douceur mais fermeté mon corps, mes courbes. Il me contourna, se positionna derrière moi après s’être totalement dévêtu, et Il me pénétra sans plus de préambule. Il prit Son temps, me torturant de plaisir encore un peu, en ne me laissant pas jouir de suite, mais Ses coups de reins étaient tous puissants, l’entrainant toujours plus profondément dans ma chatte. Puis Il changea de terrain de jeu, me faisant mettre à genoux, Il me baisa longuement la bouche. Je le sentais grossir toujours plus, Sa noble verge était toujours plus tendue, mais Il n’avait pas encore fini de prendre possession de Sa nouvelle esclave. Il détacha la chaine qui me retenait au lit, et Il me fit monter sur la table sur laquelle Il travaillait parfois, me fit m’allonger sur le dos, mais les fesses dépassant du plateau. Je dus passer mes jambes sur Ses épaules et de Ses mains Il maintint mon bassin. Il s’enfonça alors jusqu’à la garde dans mon cul...

Cette fois-ci, Ses coups furent cadencés à un rythme rapide. C’était la première fois que j’étais prise ainsi, et les sensations que j’éprouvais, mon envie de jouir s’en trouvèrent décupler. Le Maître finit par me maintenir d’une seule main et de l’autre Il vint branler frénétiquement mon petit bouton de chair si réceptif, et ce fut dans des hurlements sauvages, bestiaux, que je lâchais sur ordre, et de concert avec Lui, le plus puissant des orgasmes que je n’avais jamais eu ! La soirée avait été longue, les stimulations fort nombreuses. La délivrance fut spectaculaire, un vrai feu d’artifices ! Il me reposa doucement sur la table et posa Son buste sur moi, nous laissant récupérer tous deux. Il m’embrassa longuement, me procurant de nombreuses et douces caresses pour m’apaiser. Puis Il murmura à mon oreille :

- Je suis si fier de toi Ma chienne, Mon esclave ! Tu m’appartiens totalement, tu es Ma propriété, et à ce titre, je prendrai toujours soin de toi ! Je prends toujours soin de ce qui m’appartient…

Puis Il me fit descendre, après s’être redressé. Je n’attendis pas pour me prosterner. D’un geste doux, Il tira sur la chaîne et me repositionna pour la nuit après un nouveau long baiser voluptueux. Je restais prosternée jusqu’à ce que je l’entende s’étendre dans Sa couche et qu’Il éteigne la lumière. Je me couchais alors, si heureuse, le cœur plein d’émotions après ce que je venais de vire ! Cette soirée, je pourrais même dire cette nuit, avait été magique ! Je ressentais tellement de reconnaissance en mon cœur, tellement de dévotion… Je me sentais réellement prête à tout pour Le satisfaire. Plus qu’une envie, c’était devenu un besoin !…

(A suivre …)