Je Succombe À Mon Désir De Soumission (1/2)

Je suis journaliste et bloggeuse depuis quelques années et j’écris principalement sur les questions traitant de la famille (mariage, divorce, sexualité au sein du couple…). En qualité de journaliste pour un périodique national, mes articles portent sur les aspects légaux et sociologique.

C’est en qualité de bloggeuse que mes articles parlent de sexe au sein du couple : entretiens, difficultés… C’est ainsi que j’ai rencontré mon époux, gérant d'un sex shop.

Au cours d’une visite, j’ai rencontré une femme portant un ras-le-cou avec un petit « pique » en pendentif (comme dans cœur-trèfle-carreau-pique). J’ai tout de suite reconnu le ras-le-cou comme un signe de soumission et j’ai abordé cette femme dans le but d’obtenir un article pour mon blogue.

Elle était grande, fine, blonde et assez belle. Ses réponses démontraient une certaine intelligence, et elle ne semblait pas « soumise passive ». Ni même vraiment soumise. Elle me disait faire ce qu’elle voulait (travailler, sortir…) et que les seules restrictions intervenaient quand son maître lui ordonnait de le retrouver.

Et pourtant, elle se disait bien appartenir à son maître et lui obéir docilement.

Elle m’a sentie intriguée et m’a proposée de venir chez elle un jour pour poursuivre et rencontrer son maître s’il était d’accord. Ultérieurement, elle m’a appelée pour fixer un rendez-vous chez elle avec son maître.

Le jour venu, je frappais à la porte et un homme m’ouvrit. 1m70, normal, pas l’image que je me faisais d’un mâle dominateur. Il me fit entrer dans le salon où je vis, assis sur les fauteuils, la soumise (Marie) et un autre homme, grand et noir.

L’homme blanc m’a invité à m’asseoir avec eux, nous étions donc tous les 4 assis, moi et l’homme blanc (Michel) chacun sur un fauteuil et Marie et l’homme noir (Jamal) l’un à côté de l’autre sur le canapé.

C’est Marie qui a pris la parole pour me parler de la relation de soumission.

En réalité, il s’est avéré que Michel et Marie étaient mariés, mais qu’un soir, Michel a, par fantasme, poussé sa femme à séduire un homme (noir), que le jeu est allé un peu trop loin et que ça a beaucoup plu à Marie. Au fil des essais, Marie s’est mise à adorer le sexe avec les noirs et à vouloir de moins en moins coucher avec son mari (blanc).

C’est dans ce contexte que Marie a rencontré Jamal, ils ont couché ensemble, se sont revus, se sont plus, et depuis 2 ans, Marie n’a plus eu de rapport sexuel avec son mari, qu’avec Jamal. Elle se décrit comme une « Queen of spade » (Reine de pique, en référence à son ras-le-cou) ce qui signifie qu’elle appartient à son maître noir et qu’elle ne couche qu’avec des noirs.

Si au début la relation puis la soumission n'étaient que sexuelles, Marie a ensuite trouvé dans cette soumission une renaissance. Il ne s'agissait plus de combler un manque, sa nouvelle condition de soumise et Jamal étaient le centre de sa vie et le reste comptait moins.

Elle se dit également la femme-propriété de Jamal tout en aimant son mari. Elle s’est même adressée à lui pour le lui rappelle : « J’appartiens à mon Maître mais tu sais que je t’aime Michel ». L'époux n’a rien dit ; il n’a pas pris la parole de tout l’entretien si ce n’est pour ajouter des détails. Difficile de dire si la situation le gênait, l’attristait, le comblait ou l’excitait.

Une fois la présentation de Marie terminée, c’est Jamal qui a parlé. Il m’a décrit l’état d’esprit du couple : Marie, une femme qui adore le sexe avec les hommes noirs dominateurs, mariée à un homme blanc qui ne la satisfaisait plus sexuellement. Michel baissait les yeux,

Jamal poursuivait en se décrivant comme le troisième membre du couple qui sauve le mariage. Le sauvetage passant par la soumission de sa femme à ses propres désirs délaissant le mari sur le point de vue physique afin de renforcer le reste.

A l’entendre, il était le ciment du couple, entièrement intégré au ménage. Il n’habitait pas avec eux, mais était un couple à 3. Si Marie semblait la soumise sexuelle de Jamal, c’est peut être Michel qui était le vrai soumis, abandonnant sa femme à son amant par amour.

En parlant, Jamal caressait Marie qui se collait à lui tendrement, tandis que Michel était sur son fauteuil, immobile. Pour démontrer sa supériorité, Jamal a demandé à Marie de le sucer et elle s’est exécutée : elle a défait le pantalon, a sorti le pénis et l’a mis dans sa bouche pour le sucer. Devant moi, je voyais sa tête monter et descendre sur son sexe comme si de rien n’était. Ma présence ou celle de son mari ne la dérangeait pas.

Jamal continuait comme si c’était normal, il me disait que son mari avait réveillé un désir en elle quand il l’a poussée à séduire un noir et qu’une fois le désir réveillé, elle n’avait plus voulu revenir en arrière. A un moment, Michel a voulu se lever mais Jamal lui a demandé de rester assis, et il s’est rassis. Jamal semblait vouloir me démontrer sa domination sur le couple entier ; elle suçant et lui regardant.

Marie n’avait pas arrêté un instant de le sucer même quand visiblement Jamal a éjaculé. Elle s’est redressée et d’elle-même a dit qu’elle refusait de gâcher « du bon sperme de black ». Tout dans son attitude laissait transparaître son excitation face à ce sexe noir : son regard concupiscent, sa langue sur ses lèvres pour récolter tout le sperme, et sa main qui n’avait pas lâché cette bite.

J’étais troublée par ce à quoi je venais d’assister : tant la domination de cet homme qui avait tout d’un chef par ses propos, sa tenue, sa présence… que par le plaisir de cette femme qui semblait avoir trouvé sa place sous la coupe d’un maître et ce en dépit de la présence et de l’existence de son mari.

Jamal me transperçait de son regard et je mouillais un peu en voyant ce sexe turgescent devant mes yeux. Il a repris la parole et semblait avoir décelé le désir monter en moi. Il disait que certaines femmes et même des hommes ont besoin de soumission et que la domination est souvent la réponse à leurs désirs secrets. Je dois dire que je n’écoutais plus trop, obnubilée que j’étais par cet homme.

Jamal a finalement ordonné à Marie de se déshabiller et de l’attendre dans la chambre conjugale ; elle s’est exécutée devant nous, ravie et excitée, et confiant ses vêtements à son mari qui, j’imagine, allait entendre sa femme prendre du plaisir sauvage avec son amant et maître. Jamal m’a raccompagnée seul à la porte, a glissé dans mon sac sa carte de visite en m’assurant se tenir à ma disposition si je souhaitais approfondir le sujet du plaisir par la soumission.