Ma Voisine.
A 40 ans passés et veuf depuis plusieurs années, je jouis dune bonne situation et de beaucoup de loisirs. Je nai pas cherché à refaire ma vie : je papillonne au gré de mes envies et des rencontres en clubs libertins qui malheureusement sont assez peu nombreux dans la région.
Jhabite le dernier étage dun petit immeuble de construction récente situé en périphérie dune grande ville et dans lequel jai acheté un logement confortable et bien équipé. Je mentends bien avec mes voisins que je ne vois quassez rarement car nos horaires de travail ne coïncident pas vraiment. Le calme règne même en été quand toutes les fenêtres sont ouvertes à cause de la chaleur.
Il y a environ un mois, je venais de rentrer chez moi quand brusquement des cris, des bruits de portes qui claquent, de vaisselle brisée me sont parvenus de lappartement de ma voisine de palier. Même si cela nétait pas habituel, cela était déjà arrivé à plusieurs reprises
mais là, cétait vraiment très fort
Je savais quelle avait un copain depuis quelques semaines pour les avoir croisés ensemble dans les escaliers et javais pensé en moi-même que ce couple nétait pas très bien assorti
Alors que ma voisine est une jolie femme, assez grande avec des formes plutôt menues, de longs cheveux noirs coiffé en queue de cheval descendant jusquau creux des reins, son compagnon du moment ressemblait plus à un loubard avec ses tenues négligées, ses cheveux mi longs crasseux et ses nombreux tatouages quil exhibait en se baladant souvent en « Marcel ».
Lorsquelle avait emménagé au milieu de lété passé, nous avions échangé quelques banalités et cest ainsi quelle ma appris quelle venait dêtre embauchée dans une entreprise dinformatique locale après avoir fait ses études à lEcole supérieure dinformatique de Grenoble et enchainé une série de contrat courts. Elle avait enfin décroché un emploi stable. Je lavais félicitée et souhaité la bienvenue dans la région.
Donc, ce soir là, la querelle avait été vraiment très forte et sétait terminée par le claquement brutal de la porte palière et une descente précipitée des escaliers. Nentendant plus rien, je me suis remis à mes occupations en bavardant sur internet avec des amis expatriés
tout en écoutant en sourdine quelques morceaux choisis de Jazz New Orleans
Le vendredi et le weekend ont passé
Le lundi soir en rentrant, je me suis aperçu que la voiture de ma voisine navait pas bougé des quatre jours et que les volets de son logement étaient toujours fermés
Cétait anormal ! Jai donc déposé mes affaires dans mon logement et je suis allé sonner chez la voisine
Jai été obligé de recommencer plusieurs fois jusquà ce quelle consente à ouvrir sa porte
Quelle na pas été ma surprise de la découvrir les yeux gonflés par des larmes, les cheveux en bataille et un sweatshirt à moitié déchiré
Elle ressemblait plus à un zombie quà la jeune femme élégante que je croisais dhabitude !
Je me suis enquis de ce quelle avait et dans des sanglots quelle pouvait à peine retenir, elle ma invité à entrer :
Entrez voir dans quel état mon copain a mis mes affaires !
Je suis entré à sa suite et dans la demi-pénombre, jai vu les dégâts
Presque partout, il y avait de la vaisselle et des bibelots fracassés comme sils avaient été jetés contre les murs
les rideaux du séjour étaient à moitié arrachés
Bref, lappartement de la voisine semblait avoir été dévasté par un cyclone tropical ! Devant mon regard interrogateur, elle a éclaté en sanglots et entre deux hoquets elle ma confié les choses.
Lorsquelle est arrivée du travail le jeudi soir, elle avait trouvé son copain à moitié ivre mort
Il nétait pas allé à son travail de la journée et avait passé son temps à vider consciencieusement les quelques bouteilles dalcool quelle possédait. Devant les reproches quelle lui faisait, il avait été pris dune colère noire et avait commencé à briser tout ce qui lui tombait sous la main en disant quil en avait assez de ce décor de bourge friquée, lui reprochant de trop bien gagner sa vie, de vouloir péter plus haut que ses fesses
Elle avait réussi à échapper aux coups que son copain voulait lui porter en se réfugiant dans la salle de bain non sans quil ait déchiré le vêtement quelle portait encore
Elle lui avait demandé de partir et demporter toutes ses affaires
car ils navaient plus rien à faire ensemble.
Voyant ma voisine Anne-Lise si désemparée et nayant rien de particulier à faire ce soir là, je lui ai proposé de laider à remettre un peu dordre et surtout de nettoyer la casse
Dans un premier temps, elle a décliné mon offre mais, devant lampleur de la tâche, elle a fini par accepter.
Une bonne heure plus tard, nous avions achevé ce que nous avions entrepris
travaillant rapidement dans un silence entrecoupé de quelques mots de réconfort
Si bien que jai appris que ma voisine navait rien mangé depuis le jeudi soir, se contentant dun verre de jus de fruits de temps en temps !
Comment voulait-elle reprendre le dessus si elle ne se nourrissait pas ?
Je lui ai fait un peu la morale, comme un frère ainé pourrait le faire puis, pour la changer du cadre un peu bouleversé de son logement, jai invitée à venir manger quelque chose chez moi
Jai toujours des réserves pour les imprévus
Finalement, la soirée sest passée en confidences réciproques sur nos métiers
les avantages des uns et des autres
sur nos vies passées
Le temps a filé vite et Anne-Lise est retournée chez elle vers 23 heures
En me remerciant de ma gentillesse, elle na embrassé tendrement
en disant que le lendemain elle prendrait encore un jour de congé et en profiterait pour suivre mon conseil : changer les serrures de son appartement
Comme cela, elle serait tranquille !
Le mardi soir, en revenant du travail, je suis passé voir Anne-Lise et prendre de ses nouvelles
Déjà, signe que ça allait mieux, les volets étaient ouverts et même si elle était encore pâle, ma voisine navait plus les yeux cernés par les pleurs et langoisse.
Simplement vêtue dun pantalon de toile et dun T-shirt assorti, elle avait laissé ses longs cheveux dénoués et ramenés en une longue mèche sur le devant de son torse où je pouvais distinguer le renflement de sa poitrine
Sans arrière pensée, je la félicitai de son aspect et pour lui changer les idées, je lui proposai à aller dîner simplement dans un petit restaurant où javais mes habitudes, surtout lorsque je navais pas envie de mettre à cuisiner en revenant chez moi le soir
Je naime guère les plats préparés et les tenanciers étaient très sympathiques.
Sans que je veuille la séduire, il ma semblé tout au long de la soirée quAnne-Lise se sentait bien en ma compagnie
de mon côté jappréciais quelle ait retrouvé sa bonne humeur, faisant preuve parfois de beaucoup dhumour. Cest bras dessous bras dessus que nous avons regagné notre immeuble où nous sommes parvenus après un petit quart dheure de marche. Personnellement je me sentais bien
pour une fois, jétais en compagnie dune jolie femme, certes plus jeune que moi dune dizaine dannées, et je navais dautre envie que dapprécier ces moments de tendre complicité.
Lorsque nous sommes arrivés sur le palier Anne-Lise au lieu dun « AU REVOIR » traditionnel ma enlacé en me disant :
Nous nallons pas achever la soirée ainsi
Tu es tellement gentil et prévenant
Je vais te dire MERCI à ma façon
Entre, je ten prie
Comment refuser une telle offre mais javais des scrupules :
Tu sors dune liaison avec un rustre
Nest-ce pas un peu tôt pour une nouvelle aventure ?
NON ! Bien au contraire, je sens que cela me fera du bien
pour une fois, un homme gentil et prévenant !
OK ! Je veux bien
mais tu sais ce que nous nous sommes confiés
Dans sa chambre, cest avec précipitation que nous nous sommes déshabillés mutuellement
en partageant des moments de tendresse et dérotisme torride. Je découvrais désormais le corps longiligne dAnne-Lise avec sa poitrine menue, ses hanches étroites et une toison pubienne aussi fournie que sa chevelure
Un joli brin de fille qui allait me changer de celles que jaffectionne particulièrement, c'est-à-dire des femmes aux rondeurs plus marquées
En deux temps, trois mouvements nous étions nus. Je lai prise dans mes bras, son dos contre moi, ma verge, dressée, victorieuse, se frottait entre ses fesses. Mes mains ont caressé sa poitrine menue mais ferme. Je lai tournée face à moi pour lui sucer les tétons. Elle a gémi doucement quand je les ai mordillés. Jai pris sa bouche pour un long baiser profond où ma langue sest enroulée autour de la sienne.
Désormais entièrement nus lun et lautre, nous sommes partis à la découverte mutuelle de nos corps
Jai passé mes mains dans les longs cheveux dAnne-Lise, allant découvrir les tétons des seins au travers des cette abondante chevelure quelle avait ramené vers lavant
puis, le long de ses côtés, je suis descendu jusquà ses hanches pour plaquer ma bouche sur la fourche intime de ma future maîtresse. Désormais, mon sexe était dressé, impérieux et fier
Comment ne pas montrer du désir pour une aussi jolie femme ?
De son côté, Anne-Lise avait passé sa main droite derrière ma nuque et elle mavait embrassé, timidement dabord puis elle sest enhardie, glissant sa langue dans ma bouche dans des baisers de plus en plus torrides
pour finalement me dire dans un souffle :
Viens
Fais-moi lamour
Jai assez attendu
Lorsque jai voulu me couvrir en cherchant un préservatif dans mon portefeuille, elle sest récriée :
NON ! Sois tranquille, je ne risque rien car je prends la pilule
et toi non plus !
Je me souvins alors de ce quelle mavait confié à propos de son ex petit ami
elle navait pas trop confiance dans sa fidélité aussi, chaque fois quils avaient fait lamour, elle lavait obligé à se protéger. Anne-Lise sest étendue sur son lit et masquant son visage de ses longs cheveux elle ma tendu les bras en me redisant :
Viens, fais moi lamour
jen ai envie
Je lai rejointe sans précipitation, coulant mon corps contre le sien pour aller lembrasser encore et encore
puis je lai chevauchée, lui faisant sentir mon désir pressé contre son pubis soyeux. Comme si elle était timide brusquement, Anne-Lise a ramené ses cheveux sur son visage.
Mes mains ont à nouveau parcouru son corps dans de longues caresses, englobant ses seins, les pétrissant. Jen ai titillé en les mordillant à nouveau tout doucement les pointes.
Je lai pénétrée en douceur dans une position tout à fait traditionnelle
Bien au fond delle, je nai plus bougé. Elle était comme en extase ! Son sexe était humide et chaud
Lorsque jai été au plus profond, jai senti ses muscles intimes masser mon sceptre de chair
Oh, que cétait bon
Cela a achevé de faire monter la pression. Elle a secoué son bassin pour venir à ma rencontre. Ses ongles se sont enfoncés dans mon dos. Sa tête sest agitée dans des mouvements désordonnés. Jai pincé ses seins tellement jétais excité...
Il nétait plus temps de parler
Jai entrepris le va-et-vient dans ce sexe accueillant, veillant à ne pas sortir mais bien au contraire en alternant des mouvements lents et rapides lorsque je sentais mon plaisir et celui dAnne-Lise monter en nous
Je voulais, en lui faisant bien lamour, quelle oublie les mauvais moments quelle venait de vivre !
Puis je me suis déchaîné
Je lai défoncée sans ménagement
Jentrais et sortais delle de plus en plus rapidement
Elle était trempée
Mon sexe coulissait en elle comme le piston bien huilé dune belle mécanique.
Ses chairs intimes ont continué de pétrir mon vit, dur comme du bois
Elle nen pouvait plus
sa jouissance est arrivée, soudaine et intense
Il fallait que je finisse aussi
Dans une poussée ultime et une contraction venue de mes reins, je suis venu inonder le fond de son vagin. Elle a poussé un dernier cri de jouissance en sentant mes jets de sperme
Épuisé par lintensité de notre étreinte, je me suis écroulé sur elle
lui embrassant le front pour la remercier et je me suis laissé aller quelques minutes, heureux
puis jai basculé sur le dos. Je lai vue se redresser et me regarder tendrement et dire :
MERCI !
Puis, sans que je ly incite, elle sest penchée sur mon sexe à moitié turgescent et la embouché
Après quelques instants, alors que la raideur revenait, elle sest tournée vers moi en disant :
Jai encore envie
çà me fait du bien
Et elle a repris sa fellation, certes un peu maladroite mais efficace. Lorsquelle a senti que jétais « à point », elle sest relevée, sest mise en levrette en disant encore une fois :
Aimes moi fort
Jen ai besoin
tu es si doux et si violent à la fois
Jaime comment tu me fais lamour.
Le lendemain matin, nous nous sommes quittés pour aller faire nos toilettes respectives et aller bosser
Nous nous sommes revus à plusieurs reprises pour des sorties en boite ou au cinéma
A chaque fois, nous terminions dans mon lit ou le sien
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