Je Succombe À Mon Désir De Soumission (2/2)
Je suis rentrée chez moi toute excitée et troublée. Jamal était déjà un bel exemple de mâle et jimaginais le sexe avec lui grandiose. Mais le plaisir et la satisfaction que Marie ressentait en se soumettant à lui semblait indépendants de tout plaisir sexuel, mais le complétaient pour lamener à une certaine plénitude. Je lenviais pour ça.
Une fois mon mari rentré, je me suis jeté sur lui et lai baisé comme jamais. Pourtant je nétais pas satisfaite, et je ne faisais que penser à Jamal. Durant les jours suivants, jai pensé à lui en rédigeant mon article de blogue. Plus jécrivais sur la soumission de Marie, plus javais envie de substi mon nom au sien et de ressentir ce quelle ressentait.
A force dy penser, jai décidé de contacter Jamal. Mon idée secrète était de vivre lexpérience une fois. Je me dédouanais envers moi-même en prétextant mon professionnalisme et larticle à écrire.
Quand je téléphonai à Jamal, je ne lui dis rien sur mes désirs et mon excitation, seulement que je souhaitais le revoir pour compléter mon article. Rendez-vous fut pris pour le surlendemain.
Cette fois, le rendez-vous avait lieu chez lui. Il mouvrit, il était seul. Nous nous assîmes. Il était vêtu dun élégant costume. Nous avons discuté sur sa relation avec Marie et la soumission. Il mexpliquait que le plaisir sexuel de Marie était décuplé par la soumission et que si en qualité dépouse et avant, elle avait des limites, en sa qualité de soumise, ses limites à lui devenaient les siennes à elle.
Il mexpliquait encore que la soumission et la domination nétaient pas innées mais que chacun pouvait trouver ou non du plaisir à se soumettre ou à dominer. Jétais alors terriblement excitée et ses mots avaient pour effet de me mettre à laise.
Ce désir nouveau de me soumettre à lui nétait pas signe dune déviance ou intrinsèque à mon âme mais nétait quun simple désir. Mais un désir qui me hantait plus à chaque instant passé aux côtés de cet homme.
Jamal a dû sentir mon excitation ou lire en moi. Il ma demandé directement si tels étaient mes désirs. Confuse je lui ai répondu que non, mais à force de me justifier, jai finalement révélé que lidée mavait effleurée en suite de notre rencontre, puis je lui ai avoué que javais fantasmé brièvement sur le sujet.
Il navait posé quune question mais je métais sentie irrésistiblement poussée à mouvrir à lui. Pourtant il ne semblait pas étonné. Il me disait quêtre ainsi spontanée était un signe de mon désir de servir. Cétait la 1ère fois quil verbalisait une éventuelle soumission de ma part envers lui. Et ça ma fait chaud dans le corps.
Il ma demandé de lui remettre mon sac à main. Instinctivement, le lai saisi pour lui tendre, mais au dernier moment je me suis arrêtée et lui ai demandé pourquoi. Il ma répondu quil voulait fouiller dans ma vie. Sans savoir pourquoi, je me suis levée pour lui remettre mon sac.
Il a regardé dans mon portefeuille, sorti la photo de mon époux, ma demandé sil savait que jétais là. Il lignorait. En disant cela, jadmettais que jétais en situation de faute envers mon époux. Mais à cet instant, cela mintéressait moins que Jamal.
Il a sorti les préservatifs, les tampons
Toute mon intimité lui était dévoilée. Jétais stressée comme à un examen mais je me disais que cétait le prélude à lexpérience de soumission ; cétait comme un examen et jespérais vivement une bonne note.
En attendant, jétais toujours debout ; presque comme si jattendais sa permission pour masseoir. En fait à ce moment précis, je voulais quil me donne un ordre et que je sente cet ordre et sa volonté me pousser à lui obéir. Je voulais perdre le contrôle et le lui donner entièrement sur ma personne. Le fait est que je le voulais tellement que cétait devenue une réalité, je ne masseyais pas car il ne men avait pas donné lautorisation.
Mais je voulais plus. Je voulais quil verbalise sa domination sur moi.
- Je te sens désireuse de te soumettre.
-
- Tu réalises que la soumission nest pas que sexuelle mais totale. Tu ne vivras pas que pour ton maître, mais tu te sentiras dépendante de moi et cette dépendance sera en elle-même source de satisfaction et de plénitude pour toi.
-
- Tu réalises que dans ta tête, ton mari deviendra secondaire ; il ne sera plus quun ami que tu aimes.
En lécoutant, je pleurais. Non pas de tristesse, pas dexcitation mais de plénitude à lidée davoir ma place. Jai donc acquiescé de la tête à tout ce quil disait. Et jétais sincère.
Jamal, mon maître, a commencé à me déshabiller, lentement, vêtement par vêtement, jusquà ce que je me retrouve nue. Il ma revêtu dun ras-le-cou identique à celui de Marie. Ensuite, il sest déshabillé ; je lui tournais toujours le dos.
Il sest à nouveau collé à moi par derrière et tout son corps touchait le mien tandis quil me caressait avec ses mains. Il prenait possession de moi, de mon cou, de mes seins, de mes fesses, de mon sexe. Il ma retourné face à lui, ma embrassée pour prendre possession de ma bouche.
- Agenouille-toi
Je me suis agenouillée, et ce faisant son gland noir et gros glissait contre mon corps.
- Maintenant suce-moi. Mais pas comme tu suces lhomme que tu aimes. Suce mon sexe comme une femme qui adore son maître
Jai saisi son sexe noir comme si je tenais un trésor. Jétais éprise de Jamal et jadorais déjà tout de lui, jusquà son sexe que javais vu sucé par Marie, que javais enviée alors. Je lai sucé avec passion et amour, encore plus quavec mon époux. Je faisais glisser son sexe baveux et ses bourses sur mon visage pour mimprégner de son odeur et de sa semence. Je me marquais moi-même avec son sexe.
Ses yeux me transperçaient et je my reflétais agenouillée devant lui, grand et debout.
- Et maintenant ?
-
Je souhaite sentir mon appartenance au plus profond de moi
Jétais très émue en disant ça. Il ma fait me mettre à 4 pattes sur la table basse, sest installé derrière moi, et sans préservatif ma pénétré le vagin. En sentant son sexe senfoncer en moi lentement, jai senti certes un plaisir immense, mais une libération. Contradictoirement, sa pénétration marquait sa prise de contrôle sur moi, au dessus de mon mari, mais je me sentais enfin libre dêtre moi.
Sa queue me limait de manière délicieuse et le plaisir me chavirait la tête. Je gémissais de plaisir au début puis hurlait de joie intense ensuite. Mais je ne voulais pas perdre la raison pour profiter du moment.
Sans quil me le demande, je criais quil était mon maître, que jétais à lui, corps et âme. Sous le coup du plaisir tant physique que mental, jai relégué mon mari à la seconde place dans mon cur.
Son sexe me faisait dire tout ce quil voulait entendre car je me sentais aussi femme que soumise avec lui ; jamais un homme ne mavait comblée ainsi. Je jouissais presquen continu quand jai enfin senti la jouissance de Jamal menvahir. Sa semence mavait envahie et à ce moment là, jai perdu la tête et étais heureuse.
Je me suis écroulée sur la table, anéantie par le plaisir. Mon maître sest assis sur le canapé. De moi-même je me suis trainée jusquà lui pour nettoyer son sexe. Je voulais le servir et nettoyer son sexe que jadorais déjà me semblait évident, alors je lai sucé de nouveau et le goût de son sexe avait fusionné avec le goût du mien.
Une fois propre, je nai pas pu me décoller de lui. Jétais à genoux, lui assis. Je réalisais ce que javais fait et dit. Jétais encore embrouillée par le plaisir, mais suffisamment alerte pour constater que mon désir de soumission était bien réel.
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