Des Vacances Très Chaudes. Chloé 4. Le Hasard Fait Bien Les Choses.
Des vacances très chaudes. Chloé 4. Le hasard fait bien les choses.
Je suis à lentreprise de mon oncle, le nez plongé dans ses comptes.
On frappe à la porte, vu lheure, ça doit sûrement être le nouvel employé qui vient se présenter.
-Entrez !
Je ne lève même pas la tête. Il faut que je finisse ce que je fais sinon je vais perdre le fil et devoir tout reprendre.
-Asseyez-vous, je suis à vous dans un instant !
Je lentends toussoter, se racler la gorge, je relève la tête et découvre en face de moi Maxime
-Tiens-tiens, comme on se retrouve
..
-Euhhh, Mademoiselle
. Bon, je crois que cest fichu pour moi
Je mexcuse pour le train
Je vais vous laisser
-Ehhhh, pas si vite jeune homme
Vous ne croyez pas vous en tirer à si bon compte
Mon oncle ma dit de vous faire passer un entretien dembauche. Donc je vais my employer, et la 1ère chose dans ce métier et une bonne condition physique. Suivez-moi dans la pièce dà-côté pour une visite médicale dembauche !
Il ne dit plus un mot, cest moi qui ai son job entre les mains et daprès ses confidences dans le train, cest pour lui son dernier espoir.
-Tu tes sauvé comme un sauvage lautre jour dans le train après mavoir mis le feu au cul. A poil maintenant mon gars.
Il sexécute ne sachant si cest du lard ou du cochon.
Je redécouvre le bel outil qui ma fait jouir lautre nuit et men saisis aussitôt en le narguant:
- Alors Maxime, cette fois cest moi qui tiens le manche
Paul est monté normalement avec une bite un peu plus longue que la moyenne, mais la queue de Maxime est la plus impressionnante de ma vie de femme. Elle est encore plus longue mais surtout très épaisse, il voit mon regard impressionné et rigole en sexclamant:
- Ahahah
Elle te plait toujours ma grosse bite et on dirait que taimes ça
Dans le train je navais pas pu la voir dégagée de toute barrière vestimentaire dans la pénombre du wagon, quelle bite quand même !
Je le branle lascivement comme une pute désabusée, il lui faut un certain temps pour que sa libido prenne le pas sur lappréhension de perdre son travail avant même davoir commencé.
Comme dans le train, je redécouvre avec gourmandise cette verge massive sans être disproportionnée. Elle bat à plate couture celle de ce con dAdrien et la bite de Paul beaucoup plus fine.
Ma main emprisonne sa verge que je mapplique à bien astiquer.
Son gland glisse entre mes doigts et jamplifie mes mouvements de bas en haut avant de porter sa queue à mes lèvres
Son visage se crispe, son souffle est court. Son corps frissonne sous mes caresses rythmées sur son sexe. Il éjacule enfin dans de longues secousses avec le petit sourire du devoir accompli.
Mes doigts sont englués du sperme qui fuse et retombe, je veux retirer ma main mais il moblige à continuer, arrivant à éjaculer encore.
Quand enfin il relâche ma main, je porte mes doigts poisseux de sa semence à mes lèvres et me délecte de son nectar, le provoquant du regard.
Il maide à me relever, son pantalon sur les chevilles, je lève les bras quand il me retire mon pull et sattaque à mon soutien gorge. Aussitôt il se saisit de mes seins pour les malaxer de ses mains.
Sa bouche att un de mes mamelons pour laspirer et le mordiller, je sens le bout durcir sous ses doigts et ma culotte est trempée entre mes cuisses. Il est en train de me rendre folle de désir.
Puis il me retourne, me forçant à me plier sur le bureau, il soulève ma jupe sur mes fesses, ne prend même pas le temps de me retirer ma culotte et sans ménagement il menfile son pieu dans la fente, Il y va de si bon cur que je suis comme soulevée de lintérieur à chaque ruade me retrouvant sur la pointe des pieds. Quand il rentre sa verge dans mon sexe, la comparaison entre mes 3 derniers amants est vite faite.
Ce nest pas le même gabarit, et lintensité quil y met ne souffre pas de comparaison, un vrai piston de forge
Je ne peux mempêcher de crier :
- Aaaahhhh, putain le morceau !!!
- Cris salope, je vais te défoncer la chatte !
Il me laboure littéralement le conduit, je perds la notion du temps.
Je suis dans un état dexcitation extrême, je mouille comme jamais malgré la grosseur de son sexe et ses coups violents.
Je lui demande darrêter pour changer de position. Il en profite pour me retirer ma jupe et ma culotte, saffale sur mon siège et me demande de mempaler sur son axe dressé à la verticale.
Je me positionne au-dessus du boutefeu, lui tournant le dos, une main sur chaque accoudoir et commence à descendre sur son pieu.
Je mempale avec douceur sur son rostre me sentant comme écartelée quand mes fesses arrivent enfin en contact avec ses cuisses.
Assise sur sa queue, je commence un va et vient tout en tenant fermement les accoudoirs pour atténuer le choc de son gland quand il sécrase tout au fond de moi.
Je nen peux plus, je suis comme en transe tellement mon plaisir est immense, il donne des coups de reins en cadence, sa verge me fait mal quand elle senfonce trop loin mais le plaisir prend le dessus et jai un nouvel orgasme encore plus puissant que le premier.
Je lui grogne que je nen peux plus, mes bras ne me portent plus et je tombe en arrière sur Maxime mempalant plus que de raison, je suis au bord de lévanouissement.
Il est un peu déçu de larrêt brutal du coït mais respecte ma supplique.
Il marrache enfin de son mandrin et je me retrouve nue en bottines, essayant de reprendre mon souffle.
Il sest mis nu à son tour et repoussant tout ce qui est sur le bureau, il se couche dessus et me propose un 69.
Il a maintenant accès mes deux orifices pendant que jessaie de lui prodiguer une « gorge profonde ».
Il me travaille labricot de la langue et ses lèvres sactivent sur mon clito dardé. Je macharne sur sa lance en priant pour quil ne gicle pas encore son foutre chaud dans mon gosier en faisant des va et vient avec ma bouche et contrôlant la pénétration pour ne pas trop lui mettre la pression.
Il écarte mes fesses à fond pour voir mon petit trou du cul souvrir de désir. Je sens son index sur mon illet et son pouce sur ma fente.
La double pénétration de ses doigts est exquise. Il continue son manège dans mon anus qui s'ouvre de plus en plus, il l'humidifie avec sa salive.
Il arrive maintenant à mettre deux doigts. C'est terriblement bon, il fait ça trop bien...
- T'aime-ça hein ? Mais tu ne perds rien pour attendre
Il écarte maintenant mes grandes lèvres pour prendre tout mon sexe dans sa bouche.
Il me rend folle, cest un véritable expert en cunnilingus, sa langue explore tous les recoins, donne des petits coups sur mon clito tout dur, il aspire mes lèvres entre les siennes, me lèche à grands coups de langue râpeuse, me mordillant un peu, puis termine en apothéose en se concentrant uniquement sur mon clito qui est devenu hyper sensible.
Il enroule sa langue autour, lexacerbant du bout pointu tandis que ses doigts fouillent lautre orifice de plus en plus fort!
Ma chatte coule telle une fontaine sur son visage. Je nen peux plus dattendre, je me relève pour quil mette sa queue dans mon cul.
Je me mets à genoux sur le sol, ouvre mes fesses en le suppliant :
-Encule-moi avec te grosse férule !
On dirait quil nattendait que ça. Il me mouille bien le cul de mes écoulements vaginaux pendant un petit moment avant de présenter son sexe au bord de mon anus ou il s'enfonce tout doucement sur quelques centimètres en murmurant à mon oreille :
-Oh, qu'il est bon ton trou du cul et il est bien serré, jadore ça !
Je suis dans un état d'excitation indescriptible. Il va et vient vraiment doucement ne cherchant pas à aller plus profond, je suis encore trop serré pour qu'il fasse autrement.
Il se retire et contemple mon derrière, tout en caressant mon entrecuisse, sexhibant à mon regard.
Il tient fièrement sa verge, une véritable poutre que je ne peux mempêcher de fixer tellement elle est épaisse.
- On dirait que ça te change davoir une vrai bite, hein, bien grosse, dis-le que tu la veux !
- Oui, je veux ta grosse queue !
Comme beaucoup dhomme, il a besoin de se comparer aux autres, de se sentir supérieur, dêtre le vrai mâle.
Jabonde dans son sens :
- Oui, ça me change des bites du bled
- Quoi ? Tu ten es déjà taper plusieurs ?
- Oui, mais cest toi qui a la plus grosse, cause moins et sois plus à ce que tu fais si tu veux être embauché !
- jadore ton cul tu sais !
Il écarte un peu mes fesses, semble tout explorer, dépose des bisous sur mon sexe et mon anus et sy engouffre. Je me déplace au devant de sa queue qui se fait engloutir par mon conduit anal.
Il me pénètre et à chaque aller/retour je sens ses couilles claquer sur ma chatte, je suis comme une poupée de chiffon, je suis épuisée, mes seins ballottent et ma tête frotte par terre à chaque fois quil donne un coup de reins.
Ses coups deviennent plus violents, il me fait jouir et jhurle comme une truie, je nai jamais autant crié en jouissant, mais mon orgasme est tel que je ne peux me retenir et tant pis sil y a du monde dans latelier.
Après quelques minutes de dur labeur, il se retire et fait le tour pour se présenter devant mon visage.
Jai du mal à me redresser sur mes genoux, ce mec hyper bien monté ma fait jouir du cul comme rarement, et il me met maintenant son rostre devant ma bouche.
Malgré le fait que je sache doù il vient de sortir, je ne peux résister plus longtemps, gobe son manche et me mets à le sucer, son sexe fait un tel volume que je sais que je ne pourrai pas le prendre tout entier dans ma bouche.
Il me maintient la tête de ses deux mains pour que ma bouche avale encore plus de son sexe.
Jai un haut le cur et crois que je vais vomir quand il relâche la pression me permettant de reprendre ma respiration en bavant abondamment.
Ma respiration est haletante et jai le malheur de reprendre mon souffle juste au moment ou il se vide en longs jets dans ma bouche.
Sa semence épaisse prend le mauvais trou et instinctivement je le repousse de toutes mes forces en toussant, essayant de retrouver mon souffle.
Mais il continue de jouir et un malheur narrivant pas seul, une autre dose conséquente de foutre termine dans mon il droit.
Il ma bien fallut 5 minutes pour reprendre mes esprits et adoucir les brûlures de son sperme avec de leau.
-Oh ! Excuse-moi Chloé
Ca va mieux ? Comment je peux me faire pardonner ?
-Je nen vois quune, chaque fois que jaurai envie de ta queue, tu toccuperas de moi comme un esclave servile soccupant de sa maîtresse
..
-Ah au fait, tu as bien passé le test dembauche et tu as le job !
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