Aventures Spatiales - Chapitre 17

L'énigme de la station orbitale


Les vacances étaient terminées, le Protée s'élança à nouveau pour patrouiller dans l'espace intergalactique. Les trois amies étaient heureuses de se retrouver ensemble.
Après deux jours de voyage, elles se trouvèrent en présence d'une vieille et immense station orbitale.
Chose curieuse, elle n'était référencée nulle part dans les mémoires des ordinateurs.
Sariah décida d'aller l'explorer. Le capitaine et Jayline se téléportèrent sur la station. Abby resta, seule en faction sur le vaisseau, elle avait pour consigne de l'éloigner et de mettre hors de vue de la station, ce qu'elle fit. Puis, elle décida de profiter de son temps libre pour pousser son étude sur le PPS la drogue du sexe.
Pour se délasser elle venait de courir dans les coursives de l'astronef, une douche serait la bienvenue, un fluide décontaminant tuant toutes bactéries extra-terrestre lui fut vaporisé sur tout le corps, le gaz légèrement euphorisant et décontractant qui s'échappait en même temps des parois de la cabine de douche... était très très revigorant et légèrement aphrodisiaque. Comment allait-elle s'habiller, ses amies n'étaient pas là !
Lors de sa captivité, elle avait adoré lorsque le Sneevel à tête de cochon, lui avait fait passer pour la baiser des dessous affriolants, depuis elle en avait acheté tout un stock. Elle choisit des bas noirs, un porte-jarretelles de la même couleur, un string diaphane qui ne cachait rien de son sexe bien épilé, un calicot sans manche transparent, qui se fermait avec un ruban, elle enfila des hauts talons noirs... Pour bosser cela irait très bien... personne ne la verrait, ses amies ne se moqueraient pas d'elle, en la traitant de petite poupée... elle se regarda dans la grande glace... et se trouva très mignonne...

Elle retourna au labo, elle voulait étudier le film, ou sur Terre avec Jelimar, ils avaient mené une recherche sur le spécimen 180.

Cette expérience avait été filmée de bout en bout. Du recueillement des échantillons de sperme jusqu'aux résultats des analyses finales. Elle avait trouvé deux choses très intéressantes sur les effets de la drogue, mais voulait approfondir certains détails du comportement sexuel de spécimen 180.
Elle s'installa confortablement sur un fauteuil, enclencha la lecture. Elle était trop concentrée pour voir que sur le panneau en face d'elle, un écran de communication venait de s'éclairer, et que deux têtes étaient en train de l'épier.
Au début du film holographique, elle se faisait baiser par le géant, les images étaient en 3D, les personnages avaient leurs tailles réelles... On aurait cru que la scène se passait réellement dans la pièce. Cela commença à l'exciter, d'une main elle se caressa les seins, l'autre glissa dans son string pour titiller son clitoris et son index et son majeur s'enfonçaient dans sa chatte humide, la petite culotte moite chue sur le sol, elle ouvrit grand les jambes pour faciliter sa masturbation.
Sur l'écran de communication, les deux humanoïdes n'en croyaient pas leurs yeux...
Elle sentait qu'elle allait jouir, dans le film les deux protagonistes avaient déjà joui et Jelimar
prélevait sa glaire cervicale...
Deux gros rayons de lumière jaune scintillante envahirent le laboratoire, deux humanoïdes se matérialisèrent. Ils étaient grands, nus, entièrement noirs. Leurs musculatures imposantes se dessinaient parfaitement sous leur peau lisse et glabre. Ils avaient sur les yeux des sortes de visières percées de fentes horizontales et étaient en tout point semblables aux humains. Leurs sexes roses vraiment imposants au gland rouge vif, étaient en érection. Ils semblaient sortir d'une poche située au bas de leurs régions pelvienne. Une puce allumée dans la paume de leur main indiquait qu'ils étaient policiers. Un gros laser pendait sur leur hanche gauche.

« Excusez notre intrusion.... mademoiselle... Abby, c'est bien ça ? Nous sommes Lotheannor et derrière vous, c'est Jerirenno, nous sommes de la planète Alluyen, nous faisons parti d'une section de la police intergalactique, nous avons sauvé Jayline des araignées géantes et prit part à votre recherche lors de votre enlèvement.... et... nous vous prions de nous excuser quant à la dimension de notre sexe, mais nous avons vu votre film et ce que vous fai...
- Oui, et cela vous a plu ? Ça m'en a tout l'air vu l'état de vos bites... »

Abby n'était quand même pas très rassurée, ils ôtèrent leurs casques, ils avaient les yeux rouges. Lotheamor fit un pas en avant, elle recula et tomba dans les bras de Jerirenno. Elle sentit aussitôt la grosse queue frotter dans le sillon de ses fesses, elle passa les mains dans son dos saisit le membre turgescent, le secoua... Il mit ses mains sur les seins de jeune fille..

.« Ooooohhh.... Ce n'est pas bien ça, de profiter d'une jeune fille apeurée...
- Je n'ai jamais vu une si jolie Terrienne, et surtout vêtue de cette façon, c'est vraiment érotique...
- C'est vrai ça vous plaît ?
- A moi aussi dit Lotheamor en s'approchant... »

Ils dégrafèrent simultanément leurs ceinturons d'armement, et tandis que son copain malaxait doucement les seins d'Abby, il défit le ruban qui fermait le calicot et lui le quitta. Elle n'avait plus que son porte-jarretelles, ses bas noirs et ses talons aiguilles. Jerirenno lui élevant la main au-dessus de la tête, la fit tournoyer sur elle-même.« Magnifique, tu ne trouves pas... regarde ses tétons comme ils sont durs et longs, ils ne demandent qu'à être sucés allez à toi l'honneur.... » Les yeux de Lotheamor devinrent violets ce qui était le signe d'une excitation extrême chez les Aluyens, Il sembla à Abby que le sexe raidi qui se balançait devant elle avait encore grossi. regarde ses tétons comme ils sont durs et longs, ils ne demandent qu'à être sucés allez à toi l'honneur.... Les mains de Jerirenno se posèrent sur ses hanches, à hauteur du porte-jarretelles, elles glissèrent le long de ses cuisses suivant doucement les lanières, une fois arrivées aux attaches des bas, elles entamèrent une lente remontée à l'intérieur des cuisses. Abby frissonna sous la caresse. Elle pencha sa tête en arrière pour lui quémander un baiser. Il lui en donna un... fougueux. Son majeur et son index avaient investi la chatte de la jeune Terrienne. Il les retira poisseux de foutre.

« Eh bien, tu mouilles vachement..
- Ooooooouuuuuiiiiii....
- Penche toi en avant et suce la bite de mon coéquipier lui murmura-t-il en l'embrassant tendrement dans le cou »

Elle s'exécuta, se plia en écartant les jambes et en remontant ses fesses. Elle attrapa le sexe de Lotheamor et avec sa langue fit doucement plusieurs fois le tour du gland rouge vif. Elle l'enduit avec sa salive ouvrit la bouche en grand et aspira le cylindre conséquent dans sa gorge.
L'Aluyen derrière elle, enfonça doucement sa verge tendue dans la chatte qui palpitait d'où s'échappait de la cyprine. Elle fit jouer ses muscles vaginaux pour bien sentir l'énorme sexe glisser en elle. Il lui relevant à l'horizontale le jambe gauche, elle sentit les bourrelets de la poche pelvienne frotter les lèvres de sa chatte, il avait entré les 28 centimètres de sa bite. Il la martela sans retenue, elle ne pouvait pas hurler son plaisir, une autre phallus conséquent emplissait sa bouche.
Jerirenno la porta sur le bureau, la fit coucher sur le côté, il lui tenait la cuisse gauche en l'air pour mieux se dégager le chemin à son immense piston rose qui pilonnait le vagin grand ouvert d'Abby. Elle continuait une fellation appliquée sur la bite de Lotheamor.
Celui-ci passa sur le côté, lui mit sa main bien manucurée sur sa colonne de chair rose lui faisant comprendre qu'il voulait la sodomiser. Elle le regarda avec un sourire coquin et dirigea le gland rouge vers anus. Il força juste un peu et l 'ampoule rectale céda, le cylindre s'introduisit entre ses parois anales et s'enfonça en elle. Les deux Aliens coordonnèrent leurs pénétrations, il la besognèrent longtemps ainsi.
Lotheamor voulait profiter de chatte de la jeune fille, il se coucha sur la table les jambes pendantes, il mit Abby de dos, l'attrapa aux hanches enfila son sexe sans coup férir dans le vagin chaud et gluant de foutre, puis il la fit coucher sur lui.

« Jerirenno, iI y a aussi de la place pour ta bite dans sa chatte... je suis sûr qu'elle va aimer !! »

Le second Aluyen positionna son gland sur la queue de son copain, Abby essaya de se décontracter le plus possible et écarta ses jambes au maximum. Après plusieurs essais infructueux, qu'il eut craché et humidifié son sexe avec du foutre d'Abby, que celle-ci écarte ses lèvres avec ses doigts,
Le gland se fraya un chemin, et le reste suivit. IL lui caressa le clitoris avec son pouce, elle hurlait d'extase... Son plaisir montait à la vitesse grand V...
Celui des Aluyen aussi semblait-il, ils haletaient comme des soufflets, ce fut Lotheamor qui lâcha sa semence en premier, il lui attrapa les seins et les serra fortement, ne se retenant plus elle accueillit son orgasme, elle ferma les yeux, un éclair orangé zébra l'immensité d'un ciel bleu Azur, elle se cambra. Ses muscles vaginaux et pelviens se contractèrent d'une telle force, qu'ils chassèrent de son vagin la bite glissante de Jerirenno au moment où il éjaculait. Le sperme vert et chaud gicla sur son ventre. Puis anéantie, elle se laissa aller sur le corps qui l'enserrait amoureusement dans ses bras.

« J'aurais bien voulu éjaculer dans ta chatte, dit Jerirenno en riant, mais... tiens suce et avale... »

Il lui présenta ses doigts poisseux de sperme, elle obéit, il recommença jusqu'à ce que sur le ventre d'Abby, il n'y eut plus aucune goutte de sperme.

Ils étaient tous les trois assis sur le bureau, reprenant leurs esprits, les bites des Aluyens, avaient repris leur taille normale, mais pendaient toujours entre leurs cuisses.

« Bon, c'est parfait... mais nous ne sommes venus pour ça. Nous voudrions voir le capitaine Sariah, pour lui signaler, que la station orbitale représente un grand danger. Il ne faut surtout pas en approcher et encore moins y pénétrer....
- Merde, Sariah et Jayline y sont parties en exploration... »

La téléportation avait transféré Sariah et Jailyne dans une coursive de la station orbitale abandonnée. Quelle ne fut pas leur surprise de se retrouver dans un environnement flambant neuf. Elles se regardèrent, ce n'étaient pas bien bon, elles dégainèrent leur laser des bruits de pas se firent entendre, elles se plaquèrent de chaque coté du couloir. Dans la pénombre des éclairages rouge indirects, une dizaine de silhouettes venaient dans leur direction, des Yuverniens ! C' était de grands reptiloïdes à deux têtes, on les disait impliqués dans les affaires les plus louches de la Galaxie. Ils avaient l'air armé de pistolets.

« Nous vous avons repérées, si vous déposez vos armes et vous rendez, il ne vous sera fait aucun mal. Nous venons de désactiver votre téléportation... Rendez-vous !
- Non... qui êtes-vous ? Nous sommes de la Terre et c'est l'Alliance Galactique qui nous mandate pour surveiller
L'univers... je vous préviens... nous savons nous défendre
- Bon, hé bien, emparez-vous d'elles. »

Les Yuverniens approchèrent prudemment, Sariah en toucha un, Jayline fit exploser une tête. Mais les deux jeunes filles se firent surprendre, derrière elles, un sas s'ouvrit sans bruit, deux rayons bleus tirés d'un pistolet paralysant les frappèrent. Le rayon paralysant ne frappait que les muscles, tous les autres organes fonctionnaient le cerveau, l?ouïe, la vue... on ne pouvait émettre que des sons gutturaux, les muscles de la mâchoire étant bloqués. Les gardes les emmenèrent dans une chambre, il y avait un lit, une table basse, un fauteuil, une grande baie vitrée, que la lumière de la chambre ne pouvait traverser, laissait apercevoir le magnifique spectacle de l'espace. Un humanoïde était assis dans le fauteuil. Les Massassis avaient une morphologie humanoïde, leur taille avoisinait le mètre quatre-vingt, leur peau était rouge, et ils avaient des yeux jaunes perçants. Bien qu'ils partageaient bon nombre de caractéristiques physiques avec les Ongrees, les Massassis étaient plus forts physiquement, et bien plus redoutables au combat. Celui-ci avait un air redoutable. Comme la majorité des Aliens, il ne portait presque pas de vêtement simplement une sorte de cotte de mailles, et une paire de bottes. Son sexe imposant pendait devant le fauteuil.

« Bon, on va attendre... pour ainsi dire que vos langues se délient... Dit-il en ricanant. Mais comme vous ne repartirez plus, je vais mettre au courant ! Nous avons camouflé notre repaire en vieille station vétuste. Nous fabriquons Du PPS, mais nos clients peuvent l'utiliser sur place, regardez, nous avons des chambres accueillantes...

Il se leva et s'approcha de Sariah.

« Tu es splendide... tes vêtements te vont à ravir, ils s'accordent avec ma peau ! »

Sariah avait revêtu une sorte de tunique rouge, elle lui couvrait les épaules, descendait jusqu'à la moitié de son dos, devant elle comportait une bande de tissu transversale qui s'arrêtait au-dessus de ses seins, deux longs pans de tissu laissant sa poitrine et son ventre découvert, descendaient sur ses cuisses n'en couvrant que la moitié, deux jarretières les tenaient collées à son corps. Seule une bande de tissu cachait ses aréoles et ses mamelons, laissant les globes fermes en totale liberté. Un string, la ficelle enfouie dans le sillon de ses fesses était retenu par quatre lanières transparentes, deux sur ses hanches et les deux autres sur le haut de ses cuisses. Des bottes montant juste au dessus des genoux complétaient sa tenue.

« Bien, puisque tu es sage, on te faire une petite injection, de PPS, allez-y... voilà... Ça devrait durer un petit moment ! Mais ne t'inquiète pas... si tu en as besoin mes gars sont là pour te satisfaire... ».

Il quitta la pièce. C'était trois grand gris qui avaient remplacé les Yuverniens, ils étaient réputés pour aimer le sexe. Sariah récupérait peu à peu de sa paralysie, mais au fur et à mesure qu'elle retrouvait ses sensations le désir montait en elle, elle savait que bientôt elle ne pourrait se contrôler et serait obligée de céder à ses pulsions, les trois gris le savaient aussi, ils se masturbaient doucement en lui souriant. Physiquement, elle était OK, mais une avidité de sexe c'était emparée de son corps, son cerveau ne pouvait pas lutter, il fallait qu'elle l'assouvisse.

« Alors, vous attendez quoi ? »

Les trois Aliens approchèrent en ricanant, leur bites démesurées dansant devant eux. Ils couchèrent la jeune fille sur le sol, le plus grand se mit à quatre pattes au-dessus de tête, il lui pressa son gland sur ses lèvres, elle ouvrit la bouche. Le plus gros qui avait un ventre bedonnant, c'était installé entre ses cuisses, il dégrafa les lanières du bas du string, le souleva et enfila sa bite dans la chatte qui était déjà humide, le troisième avait baissé la lanière de tissu sur les seins de Sariah, sa bouche suçait le téton droit, tandis que sa main malaxait le sein gauche, tirant, pinçant le mamelon et griffant l'aréole. Celui qui la baisait enleva d'une main complètement le string, un des trois doigts de son autre main vint titiller le clitoris de la jeune fille, il se gorgea de sang et se dressa comme un petit sexe. Son énorme pénis entrait et sortait à toute vitesse, cela ne dura pas trop longtemps, il éjacula avec un grognement de dépit.
Son collègue laissa le sein de Sariah, prit la place laissée vacante, écarta largement les jambes de la jeune blonde et la sodomisa sans ménagement.
Son copain lui demanda de lever la jeune fille, il réussit à le faire sans ôter son énorme queue de l'anus de Sariah. Il lui avait passé les bras sous la poitrine et lui projetait le bas-ventre en avant, le plus grand des gris enfonça sauvagement son phallus monstrueux dans le vagin offert. Ils la levaient et la laissaient retomber sur leurs deux membres turgescents durs comme de l'acier, Sariah hurlait de bonheur. Deux geysers de sperme vert éclatèrent dans la chatte et l'anus de la jeune Terrienne, ils la laissèrent choir sur e sol, ils avaient joui, ils sortirent verrouillant la porte laissant Sariah avec son désir inassouvi.

Pendant ce temps, Jayline se morfondait dans une chambre voisine. La porte se déverrouilla et le Massassi entra, suivit de deux Yuverniens, il leur demanda de maîtriser Jayline, il injecta une dose de drogue à la jeune fille, en lui disant qu'elle serait ainsi bien trop occupée pour essayer de s'échapper. Il avait découvert qu'elle était très douée en informatique, et il désirait qu'elle vienne regarder ce qui clochait dans le circuit de la robotique d'une machine.
Il demanda aux Yuverniens de lui passe un collier en acier autour du cou auquel il fit fixer une chaîne .
Pendant que ses sbires effectuaient leur besogne, il admirait la jeune fille, elle était face à lui, une chasuble de tulle transparent lui couvrait à peine les aréoles et les tétons, une mince bande de tissu le retenait autour de son cou laissant son dos complètement dénudé. Un clip en fermait les pans à hauteur de son nombril. Deux lanières de tissu étaient nouées sur ses reins.
Elle avait sur les hanches trois lanières noires espacées de cinq centimètres sur lesquelles était clipsé un morceau de tulle doublé, qui descendait jusqu'aux genoux. Bien qu'il y eut deux épaisseurs, on devinait par transparence qu'elle n'avait pas de cache-sexe. Le sillon de ses fesses était voilé de la même façon.
Il sentait que la vision de rêve qu'il avait au bout de sa chaîne, commençait à le faire bander.
Il tira sur la laisse de fer et emmena Jayline dans une coursive, elle suivit docilement, il laissait pas mal de mou a l'entrave. En passant devant une rambarde, la jeune fille s'y assit dessus. Elle regarda d'un air énamouré en passant sa langue sur ses lèvres... Le PPS commençait à faire effet. Il s'approcha en souriant. Il but une petite fiole...

« Si tu me promets de réparer la panne, je te baise... sinon je te laisse dans cet état...
- Ok, ok, je.... je.... le ferai !! »

Elle se pencha en arrière dans le vide, il tira fermement sur les pans de tissu qui cachaient les parties intimes de la jeune fille. Elle ouvrit largement ses jambes, lui offrant sa chatte déjà humide. Au cours de sa bascule arrière, ses seins aux pointes turgescentes avaient jailli hors du chasuble . Il la tenait fermement aux cuisses, sa bouche vint se plaquer sur le sexe ouvert, sa langue s'insinua dans le méat, fouillant profondément la cavité vaginale, tirant des gémissements de plaisir à Jayline.
Au bout d'un moment, elle le supplia de la pénétrer... Il dégrafa le calicot, dénoua les lanières dorsale, et le laissa tomber dans le vide.

« Je veux te voir nue, je veux voir la réaction de ton corps lorsque je vais t'enfiler ma grosse queue »

Il lui passa une main sous les reins et commença à pousser son phallus dans la chatte de la jeune fille qui n'attendait que ça.Telle une plume, il le souleva, sa bite toujours enfoncée en elle, lui posa les épaules sur le sol. Elle écarta les jambes au maximum et soutint son bassin de ses deux mains.
L'énorme piston allait et venait en elle, de plus en plus vite, de plus en plus profond. IL lui replia les jambes pour encore gagner en profondeur... Elle sentit aux contractions du membre qu'il allait jouir, il déchargea son sperme translucide et chaud à moitié dans la chatte de Jayline le reste gicla sur le ventre et les seins de la jeune Terrienne. Elle l'étala amoureusement et suça sa main poisseuse. Mais elle n'avait pas joui, et son bas-ventre se tordait toujours de désir, il fallait assouvir ce besoin sinon elle devenait folle.

« tu en veux encore, pas de problème !! »

Il lui fit poser la jambe droite sur la rambarde, et elle ordonna de la pénétrer. Le gland glissa à nouveau dans le vagin qui palpitait d'excitation, lorsque la moitié de sa bite fut entrée, le Massassi attrapa les chevilles de Jayline et d'un seul coup entra avec violence le reste de son immense phallus. Il recommença cinq ou six fois l'opération et il éjacula dans la chatte poisseuse...Jayline n'avait toujours pas pris son plaisir. Elle se mit à genoux devant le Massassi et se mit à le masturber sauvagement... Sa bouche avala l'énorme tuyau qui débandait légèrement, elle le suça, le tritura, le malaxa, caressa avec force les deux testicules, le frotta entre ses deux seins, elle se masturba à nouveau devant lui, faisant entrer complètement sa main dans sa chatte, enfin le membre reprit de la vigueur. Elle le fit coucher sur le dos et s'empala sur la bite, à peine raidie, mais elle réussit a tout enfiler dans son vagin. Ses muscles vaginaux se contractèrent autour de la colonne de chair, elle tortilla son bassin d'avant en arrière, se leva et se rabaissa d'abord lentement puis de plus en vite, ses mains massaient les couilles velues, elle sentait que son plaisir montait, son orgasme éclata lorsqu'il éjacula pour le troisième fois...
Elle était épuisée, elle descendit du ventre du Massassi, il ne bougeait plus, intrigué, elle lui mit une tape sur la joue, il était complètement inconscient. La petite fiole tomba de sa poche, elle avait contenu du PPS.

A suivre