Terma 90:Salem, Homme De Couleur, Marchant Ambulant Dans Les Ruelles De La Médina (2) :

Il était long et horizontal, même un peu vertical et je l’ai empoigné d’une main pour l’offrir à la femme. Elle ouvrit la porte encore plus et m’invita à entrer. J’ai pénétré dans ce qui était un long couloir un peu sombre et frais terminé par un coude qui donnait certainement à l’intérieur de la maison. Je n’ai même pas aux dangers qui pourraient être à l’intérieur mais seulement à cette femme qui haletait de désir. Je l’ai enlacée et j’ai plongé mes larges mains sur ses fesses pour me rendre compte qu’effectivement elle était nue sous la robe. Je me suis agenouillé rapidement et j’ai relevé sa robe pour découvrir des cuisses larges, blanches et charnues, puis un bas ventre légèrement gonflé et enfin la longue raie sombre de la vulve féminine. J’ai plongé ma tête et mes lèvres trouvèrent facilement ce qui se cachait dans cette longue fente. Mes mains caressant et malmenant ses fesses, j’ai commencé à lui brouter la chatte, puis la lécher par de profonds coups de langue affamée et baveuse. La femme releva elle-même sa robe encore plus haut et la retint par la bouche au niveau de sa poitrine, nue elle aussi, et ses mains plongèrent dans mes cheveux crépus pour me coller encore plus à sa chatte. Je l’ai sucée et léchée un long moment et ma langue l’a pénétrée un peu, puis j’ai poussé un et deux doigts dans sa chatte et je l’ai branlé un moment. Elle coulait son plaisir en abondance sur ma main et mon visage. Alors je me suis redressé et lui ai offert mon zeb gonflé. Elle a compris tout de suite et s’est agenouillée pour le prendre à deux mains. Puis, elle commencé à le mécher, ensuite à le sucer en pleine bouche et le branler en même temps. Elle s’affolait et s’énervait, j’ai compris qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Je l’ai repoussée et elle s’est relevée en enlevant et jetant sa robe par terre.

Nue, elle était splendide, une femme certainement dans la quarantaine, avec un corps bien rempli, des seins lourds qui pendaient avec délices et un large bassin.

Je n’ai résisté, alors je l’ai enlacée de nouveau par la taille et je l’ai poussée contre le mur du couloir, et elle a d’elle même écarté ses cuisses. Mon zeb a facilement trouvé l’ouverture de sa chatte et s’y est enfoncé d’un seul coup de reins. J’étais trop excité pour finasser et j’ai démarré mes vas et viens. Mon zeb la pénétrait jusqu’aux couilles et elle gémissait et haletait avec bruit. Moi aussi je haletais et poussais des « hans » à chacun des enfoncements de mon zeb dans ses entrailles. Mes mains, après avoir bien malaxé et caressé ses fesses et le sillon entre-fesses et même son anus, se sont intéressées à ses seins. Ils étaient lourds et doux, bien remplis. On voit qu’ils ont beaucoup servis, soit pour ses bébés et s, soit pour son mari et ses amants. En tout cas, ils étaient parfaits et amplifiaient mon plaisir par mes caresses et rudes malaxages. Ma bouche a d’abord gouté à la sienne et à sa langue et sa salive un moment. Je lui ai sucé la langue et cela a augmenté notre désir et nos jouissances. Puis ma bouche s’est occupée de ses seins et surtout de leurs gros boutons bien gonflés de désir. Je les ai sucé et à chacune de mes sussions, la femme gémissait lus fort. Mes coups de reins par en bas dans sa chatte et sussions sur les boutons de ses seins, l’ont amenée à la folie. Elle a eu au moins quatre orgasmes, bruyants, humides et à chacun d’eux, ses jambes me serraient les fesses pour retenir mon zeb encore plus enfoncé dans sa chatte affolée. Moi aussi, j’ai commencé à augmenter mes gémissements et même mes souffles rauques. Et je l’ai niquée ainsi pendant plus d’un quart d’heure par un pilonnage accéléré. J’avais ensuite négligé son et ses lèvres quant le plaisir était au zénith et que je respirais difficilement et fortement. Mais quant les jouissances sexuelles commencèrent à me titiller le zeb et les couilles, j’ai pris avec force ses lèvres et sa bouche. Elle farfouillait mes cheveux crépus et gémissait sans se retenir. J’avais pris plaisir à empoigner ses fesses à pleines mains et je les attirais vers mon bas ventre à chacun des enfoncements de mon zeb dans sa chatte.
Elle aussi, elle a réussi à relever ses jambes pour entourer mes reins et s’accrochant à mon cou. Je l’ai supportée facilement, malgré un corps bien rempli, elle me semblait légère à cause du fort plaisir qui montait de mes reins. Je l’ai baisée debout, contre le mur, elle toute nue et moi le pantalon par terre, je m’en suis débarrassé vite pour faciliter mes vas et viens dans sa chatte si chaude et si profonde. Elle a réagit par quatre fois, quatre orgasmes où elle hurlait et essayait d’enfoncer mon zeb encore plus. Enfin, mon plaisir arriva et je me suis vidé dans sa chatte, sans précautions par quatre abondantes éjaculations en hurlant et en donnant à chaque fois un coup de rein vigoureux.

Puis je l’ai reposée et sorti mon zeb, gros pieu noir aux veines gonflées, brillant de sperme et de désir. Il était encore gonflé et dur et elle le regardait avec des yeux ronds, étonnée. Je lui ai demandé de me sucer encore une fois et de me nettoyer et elle s’est accroupie de nouveau. Tout en vidant mon sperme, elle empoigna mon zeb, le suça, le branla et le nettoya. Sa bouche était si chaude et si douche que ma bite se regonfla encore plus. Elle a ressenti ce cela et elle a levé les yeux sur moi et j’ai vu le désir qui continuait en elle. Alors je l’ai relevée, la tournant vers le mur, je l’ai poussée à s’incliner et se pencher au maximum. Elle a aussi compris tout de suite et a écarté ses jambes et cuisses pour m’offrit encore une fois sa chatte ouverte et qui ruisselait toujours des restes de mon sperme. Sans attendre, j’ai empoigné mon zeb et je l’ai rapidement renfoncé jusqu’aux couilles qui ont claqué ainsi que mon bas ventre sur ses entre cuisses et sur ses fesses. Elle hurla encre une fois et me disait des choses que je ne comprenais pas. D’ailleurs, depuis que j’ai commencé à la baiser, soit elle gémissait, soit elle hurlait soit elle murmurait des tas de choses incompréhensibles. Et j’ai recommencé à la niquer avec des vas et viens vigoureux et accélérés, la tenant fortement par les hanches et parfois malaxant ses fesses merveilleuses.
Un moment, j’ai été tenté par son cul et j’ai écarté une de ses fesses pour voir son anus net et serré. Un instant j’ai eu envie de le percer, la dépuceler et la sodomiser. Mais ce n’était pas possible maintenant, une autre fois peut-être. Alors j’ai continué à la niquer encore et encore pendant plus d’un quart d’heure cette fois et elle se tordait le bassin et la Terma de plus en plus, semblant gouter plus de plaisir cette seconde fois. Elle a aussi réussi à avoir trois ou quatre gros orgasmes, je ne sais pas car ses gémissements et hurlements étaient continus, sans arrêt. Enfin, mon plaisir arriva de mes couilles. Et, en m’accrochant encore à ses hanches, j’ai éjaculé comme la première fois, quatre jets puissants et abondants de sperme chaud et visqueux à lui donner un triplet de gosses.

Puis, revenant à ma première tentation, je me suis donné le plaisir de glisser mon zeb entre ses fesses plusieurs fois en m’arrêtant un peu au niveau de son anus. Comme elle ne réagissait pas contre, j’ai pensé qu’elle avait peut être l’habitude des sodomies. Alors j’ai poussé un doigt vers sa chatte, pris un peu de sperme et ensuite je l’ai enfoncé dans son cul. Surprise, il s’est enfoncé en vitesse, je l’ai retiré et poussé deux doigts et ce fut la même chose. Alors, comme mon zeb était encore assez dur et la tête pleine de sperme, je l’ai poussé contre son anus. Elle a enfin réagi en se braquant mais je l’ai retenu par les hanches et j’ai poussé mon zeb avec les reins et il est entré dans totalement dans sa Terma blanche et large. Elle a hurlé un peu, mais si peu, c’était plutôt un gros gémissement de plaisir non retenu. Je me suis arrêté pour que la Terma s’adapte à mon zeb. J’ai entendu la femme respirer avec rapidité comme si elle attendait la suite car elle restait courbée, bien penchée et les cuisses écartées. Je suis resté peut-être trop longtemps à l’arrêt car c’est elle qui a réagit, elle a bougé et tortillé son derrière comme si sa Terma demandait de continuer.
Alors, j’ai obéis avec plaisir d’autant plus que mon zeb ne m’a pas trahi et restait dur. D’ailleurs, dès qu’il a ressenti la chaleur et la douceur du cul, il a reprit sa vigueur complète et j’ai eu l’impression qu’il grossissait et s’allongeait encore plus. Et j’ai commencé à niquer sa Terma comme je l’espérais, à la sodomiser complètement et ce fut un enchantement. Le cul de cette femme était d’une douceur affolante, merveilleuse. Mon zeb m’envoyait des jouissances inouïes, il était devenu mon maître, totalement. Même si je voulais arrêter maintenant, je ne le pourrais plus. C’est lui qui niquait cette profonde Terma et il ne s’arrêtera qu’avec l’éjection de ses jouissances. Encore un bon quart d’heure sinon plus peut-être de sodomie, de vas et viens vigoureux et de gémissements et cris des deux cotés. Elle a même eu des orgasmes continus par le cul et par les contacts sur sa chatte par-dessous à travers la fine membrane qui les séparaient. Et enfin, on est arrivé au top du plaisir et des jouissances, et mes couilles et mon zeb éjaculèrent encore trois longues et abondantes rasades de sperme chaud. Cette fois, je me suis vidé les couilles non dans sa chatte mais dans son cul, tout au fond de ses vissaires, par des hurlements communs, presque en harmonie. Ensuite, un long moment de repos troublé juste par nos respirations bruyantes mais qui se calmaient petit à petit. Puis, on s’est séparé et la femme se redressa.

Mon zeb noir, brillant de sperme blanc, avait un peu perdu de sa superbe et se courbait vers mes cuisses. Il avait perdu son horizontalité mais gardait sa longueur et son épaisseur. C’était peut-être cela qui a encore une fois attiré la femme car elle se jeta dessus. L’empoignant à deux mains elle l’emboucha et recommença à le sucer et à le nettoyer. Il était mou maintenant suite à ses trois baises, mais il avait l’air de plaire toujours à la femme car elle me dit qu’il était lourd, désirable et elle m’avoua qu’elle n’avait jamais été baisée et enculée avec un zeb pareil et qu’elle le désirait encore, surtout dans sa Terma. J’étais encore plus fatigué que mon zeb, car j’avais niqué par trois fois, debout. Mes jambes tremblaient et ne pouvait continuer que par terre. Je lui ai dit que je reviendrais demain, à la même heure, pour la niquer comme elle le veut dans sa chatte et sa Terma, mais dans un lit ou sur l’herbe de leur jardin. Elle me répondit que ce n’est pas possible car son grand fils et sa femme revenaient du travail, tous les jours vers 18h, mais le jardin était vide. Son fils n’y travaille parfois que le vendredi. Alors si je le voulais, je pourrais revenir la nuit, en sautant le mur pas très haut du jardin et qu’on pourrait niquer autant qu’on veut. Mais, moi au fond je n’étais pas très enchanté de baiser la nuit dans ce jardin inconnu au risque de me faire attr et qui sait ce qu’on me fera, après tout je n’étais qu’un pauvre gourari, ayant attaqué les femmes et mères des autres. Mais la journée, je pourrais revenir, sans ma charrette, pendant cet été, j’étais d’accord pour venir la baiser et l’enculer, chaque jour, de midi à 15h, car à cet heure là, la rue allait recommencer bientôt lentement à s’animer avec la baisse graduelle du soleil et de la chaleur. Mais qu’elle nous apporte une bonne couverture pour niquer par terre, à notre aise. Et ce fut fait de temps en temps.

Plus encore, et je ne sais pas comment les communications fonctionnent entre les femmes du quartier, surtout celles dont les maris ne suffisent plus ou pas du tout. Mais ça marche bien, car cela m’a permis rapidement d’en connaitre quelques unes dans ces ruelles étroites, sombres et fraiches et avec lesquelles mon zeb, toujours prêt, a eu des contacts étroits et multiples et des plaisirs partagés avec leurs chattes chaudes et pulpeuses et leurs Terma profondes et affamées. Et en effet, durant ce long été de plaisirs, cinq autres femmes, dont deux jeunes épouses, une femme mariée plus âgée et enfin deux veuves, toutes aussi appétissantes les unes que les autres m’ont offertes leurs trésors sexuels, devant et derrière, dans les sombres et fraiches couloirs de leurs maisons désertées par leurs maris. Et comme je faisais une sorte de permanences entre ces six femmes complices qui se sont organisées entre elles, je n’ai jamais eu de problèmes et leurs maris n’ont jamais eu vent de ce qu’elles faisaient avec cet homme de couleur, pauvre charretier ambulant, durant leurs absences. Mon zeb était devenu le maître des chattes et des Terma de ces femmes dans trois de ces petites ruelles étroites et ombragées dans ce quartier populaire de cette zone de la Médina, pourvue de petites maisons avec jardins.

Encore plus excitant, c’est que leurs époux me connaissaient et quant je rencontrais, avec ma charrette et mon âne, l’un d’entre eux en ville ou ailleurs, c’est lui qui me demandait de passer par chez lui car sa femme avait besoin de ma marchandise. J’évitais de lui signaler que la « marchandise » que j’offrais à leurs femmes, c’était mon gros zeb noir aux grosses veines gonflées et mon sperme abondant et qu’elles me payaient par leur chatte juteuse et leur Terma profonde. Je vous raconterais une autre fois d’autres aventures.

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