L'Éducation D'Une Bourgeoise Bcbg Suite 8

S… est superbe, quasiment nue, bras et chevilles largement écartés, attachée au centre de ce portique de levage de voiture. Son corps, encore orné d'un porte-jarretelles noir, ses cuisses et jambes gainées d'une paire de bas résilles et rehaussées d'une paire d'escarpins est exposé dans cet atelier. Le collier qui serre son cou et la laisse qui tombe entre ses superbes seins complète ce superbe tableau. J'indique à S… que je m'absente deux minutes… le temps de récupérer les objets et ustensiles nécessaire pour une bonne punition.
S… ouvre ses yeux en grand au moment ou je dépose sur une tablette d'atelier : le martinet, le concombre, mais aussi et surtout, un bidon d'huile moteur, un pinceau et un petit sac. Doucement, j'ouvre le petit sac, je sors quatre petites pinces auxquelles sont accrochés des grelots, une petite cordelette. Lentement, je débouche le bidon d'huile et me tourne vers S..  qui se tortille dans ses liens. Elle vient de prendre conscience que son Maître a tout prévu…
Je me rapproche de S… et doucement l'embrasse, tendrement, tout en promenant mes mains sur toutes les parties de son corps… Puis soudain, d'une main, je tire les cheveux de S..  en arrière. Son visage est maintenu dans cette position alors que de l'autre main je saisis le bidon. L'huile coule maintenant sur et entre les seins de S… elle descend dans son dos, puis sur son ventre avant de couvrir son pubis et d'atteindre les lèvres de son sexe. L'huile, coule... dégouline maintenant sur son sexe avant d'être récupérée dans un bac situé au sol entre ses cuisses très largement ouvertes… S… donne l'impression d'uriner alors que ce liquide, un peu visqueux, recouvre une bonne partie de son corps.
La couleur de peau de S… change et devient légèrement « ambrée »
Je me saisis alors du pinceau et lentement j'étale l'huile d'abord sur les fesses de S… qui se contractent puis sur les seins. Ceux-ci réagissent et durcissent tout comme les tétons qui sont maintenant outrageusement durs et étirés… En fait, juste ce qu'il faut pour me permettre de placer sur chaque tétons une pince accompagnée de ces fameux grelots.

Le pinceau n'épargne pas le ventre et le pubis de S… qui se tortille sous l'effet de ces caresses. Et que dire du sexe de S… dont les lèvres sont maintenant gonflées et qui vont être, elles aussi, décorées d'une pince avec ses grelots. Je pose le pinceau et je m'empare du concombre… j'y pose un préservatif avant de l'enfoncer dans la chatte de S… ce dernier entre sans aucune difficulté tant la vulve, la chatte de S… est trempée. S… gémit, halète et se contorsionne dans ses liens alors que je m'applique, avec l'aide de la cordelette, à faire en sorte que le concombre reste bien enfoncé dans son étui…

Il est temps pour moi d'expliquer à S… qu'elle va avoir droit à une vingtaine de coup de martinet… répartis sur ses fesses, ses cuisses, entre celles-ci, ses seins… et enfin sur sa vulve… et que, en même temps, je ne veux, en aucun cas, entendre le son des grelots sous peine de punition supplémentaire...

S… se sent totalement impuissante… elle ne sait pas comment elle va pouvoir se concentrer pour éviter de faire tinter ces grelots qui pendent au bouts que chaque tétons et entre ses cuisses.

Les premiers coups de martinet claquent sur les fesses de S... Immédiatement c'est tout son corps qui se tend ce qui a pour effet de faire tinter les petits grelots accrochés aux seins et aux lèvres de sa chatte.
Une nouvelle salve s’abat ensuite sur le haut de ses seins... alors que S... se tortille dans tous les sens pour les éviter... en vain car les liens qui l'entravent sont aussi solides que tendus.
J'adore ces moments ou je remarque l'attitude, mais aussi et surtout, le regard un peu désemparé de S... qui par orgueil ne laisse échapper que quelques petits gémissements.. J'adore et je respecte cette résistance qui ne va pas durer trop longtemps puisque maintenant les lanières du martinet « caressent » l'intérieur des cuisses de S... juste au dessus de la lisière de la coutures de ses bas.
S... essaie désespérément de refermer ses cuisses.
.. là encore en vain... sa respiration commence à être de plus en plus saccadée et les grelots résonnent de plus en plus.
S... craque, elle me supplie d'arrêter là la punition alors que quelques petites larmes coulent sur ses joues.
Comme seule réponse je lui indique que les grelots n'arrêtent pas de tinter… et que cela mérite une punition complémentaire…
Les dix derniers coups de martinet tombent sur la chatte de S… les lanières du martinet caressent également le concombre qui rempli toujours son étui dégoulinant, non seulement d'huile, mais aussi de cyprine…
Je remarque que S… écartelée, offerte, punie, engodée par un concombre, est au bord de la jouissance… tout son corps se tortille, ses seins ballottent et son pubis fait des mouvements dans tous les sens pour permettre au concombre de lui procurer cette jouissance tellement attendue.
Encore une fois, j'adore ce genre de situation et il me plaît d'arrêter son « supplice » pour sa plus grande frustration…
Sans un mot, je me rapproche de S…, j'ôte les pinces placées sur ses tétons puis je fais la même opération pour celles placées sur les lèves de sa chatte… une fois de plus je constate que cette dernière est plus que trempée... S… gémit de douleur mais aussi d'excitation. Je ne peux m'empêcher de l'embrasser tout en lui massant ses seins. Je sens qu'elle va craquer d'autant plus que j'ai « libéré » le concombre et que je le fais aller et venir dans sa chatte… ça y est, elle va jouir…
Malheureusement pour S… je m'éloigne d'elle la laissant haletante et hyper excitée. Je lui annonce le contenu de sa punition supplémentaire : je vais laver son corps enduit d'huile moteur à l'aide du karcher qui se trouve à portée de main…
S… une nouvelle fois me supplie, cette fois-ci, ce sont de chaudes larmes qui coulent sur ses joues.
Elle ne bouge quasiment plus, elle se sent vaincue. J'approche le tuyau du karcher près du corps de S… et immédiatement j'ouvre le robinet. La pression de l'eau est telle que les seins de S… bougent dans tous les sens, son ventre est massé avec vigueur.
S… gémit, se retient pour ne pas hurler alors que le jet du karcher s'attarde maintenant sur les lèvres de sa chatte et enfin sur le capuchon de son clito… Il ne faut que peu de temps pour que S… arrive une nouvelle fois au bord de la jouissance.
S… me supplie, ne demande de ne plus arrêter et de la laisser jouir comme, je cite : « une bonne bourgeoise salope, soumise et jouisseuse ».
De tels propos ne peuvent que me satisfaire… j'insiste donc avec ce jet qui « caresse » le bouton d'amour de S… qui, cette fois-ci, jouit de tout son corps… S… grelotte d'excitation, de plaisir, de jouissance mais aussi de froid car il faut bien le dire, l'eau du karcher n'est vraiment pas chaude.


S… hurle comme jamais sa jouissance… tout son corps est tétanisé et tremblant.
S… semble épuisée mais comblée… de fait , Je perds pas une minute pour détacher S… l'essuyer avec un grand drap de bain.
Je la prends dans mes bras et la serre très fort contre moi… S… se frotte et se love contre moi… nos bouches puis nos langues s'entrecroisent. Quelques minutes plus tard, S… se recule pour me chuchoter, timidement, mais avec un sourire qui en dit long : « merci Monsieur, je suis tellement heureuse de vous satisfaire, de devenir la bonne petite pute bourgeoise soumise que vous voulez que je sois… »
A mon tour je remercie S… d'accepter de devenir, que dire, d'être, la Soumise que je souhaite qu'elle soit.
Sans attendre, j'enlève le collier et la laisse qui entourent encore son cou et lui tend un grand sac dans lequel elle découvre progressivement : un porte-jarretelles, une paire de bas, des escarpins…
S… peut ainsi ôter ses effets mouillés et les remplacer par une « parure » plus adaptée pour un retour à la maison…
Je prends S… par les hanches et je lui indique qu'il va falloir retourner dans le bureau pour récupérer son tailleur… et rien que son tailleur… Le premier réflexe de S… est de refuser sachant qu'elle est quasiment nue, et qu'elle ne se voit pas traverser à nouveau ce fameux hall d'exposition.

Son hésitation à le mérite de m'irriter… alors je lui fais une nouvelle proposition : elle choisit son « parcours » certes dans cette tenue minimaliste, mais elle pourra éviter les éventuels regards de passants en se glissant, furtivement et comme elle le pourra entre les voitures, ou alors elle se retrouve à nouveau les poignets attachés dans son dos, le collier et sa laisse accrochés à son cou et c'est moi qui la ramène dans le bureau…
Sans hésiter, S… me présente ses excuses et m'indique qu'elle va retourner dans le bureau dans cette tenue minimaliste avec cette « faveur » de choisir son parcours dans le hall d'exposition.
Nous quittons l'atelier, je m'écarte de S… pour me permettre de l'observer dans ses déambulations.
Par chance, pour elle, le parking est quasiment vide et c'est sans inquiétude particulière qu'S… rejoint le bureau.
Je lui tends sa jupe et sa veste… et je place dans la corbeille, où se trouve déjà son soutien-gorge, son chemisier, son tangua, le porte-jarretelles et sa paire de bas trempés…
Je sens S… contrariée mais heureuse… je félicite pour l'ensemble de son comportement et je lui dis que je suis très fière de ma bourgeoise… de plus en plus salope et soumise.
Juste avant de nous séparer je précise à S… qu'elle l'obligation de récupérer le contenu de la corbeille et ceci dans un délai d'une semaine…
S… est abasourdie par ce nouvel ordre… elle me regarde… je dépose sur ses lèvres un doux baiser et je la raccompagne à l'extérieur du garage…
S… se dirige, nue sous son tailleur, vers sa voiture… je n'ose pas imaginer le trouble dans son esprit quant à cet ordre qui vient de lui être donné... à suivre
PS : pour info, j'ai prévenu le patron du garage qui est également un ami, de bien vouloir laisser la corbeille qui est dans le bureau « vendeur » dans l'état actuel...

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