Si Les Notables Savaient Ce Que Font Leurs Femmes Chéries.

Si les notables savaient ce que font leurs femmes chéries.
Ce mois ci c’est à moi d’organiser notre réunion un peu particulière.

Que je vous mette dans le contexte. On est des femmes de notables ou en vue de la région mordues de sexe un peu de tous les genres, lesbiennes, bi, hétéros et de tous les âges entre 18 et 40 ans.
De toutes les morphologies aussi, des grandes, petites, super bien roulées ou Madame tout le monde et de tous les milieux. Nous en avons marre des hommes dominateurs et avons décidé de prendre le pouvoir.

Nous avons commencé nos petites orgies entre nous à quatre mais très vite avec le bouche-à-oreilles nous sommes maintenant une vingtaine de filles mordues de la formule que j’ai mise au point après quelques séances pour pimenter les soirées.
Chaque mois, nous nous mettons en chasse d’un étalon que nous allons traiter en véritable esclave sexuel pour nos plus folles agapes.
Ca devient de plus en plus difficile de trouver « l’oiseau rare » car avec autant de filles, il faut un sacré tempérament pour tenir le coup.

Une de nos participantes vient de me téléphoner me parlant à mots couverts :
-Salut Cythie, je crois que j’ai dégoté un profil qui conviendrait pour notre petite réunion mensuelle.
C’est une connaissance qui m’a parlé de lui, il est parait-il très résistant et a déjà fait ses preuves.
Pour ce qui est de son organe, il dépasse allègrement de double-décimètre… Que du bonus.
J’avais trouvé encore mieux mais je suis allé lui faire passer un casting et je dois te dire qu’il n’y a pas que la longueur chez lui d’exceptionnel. Vous en aurez la surprise samedi, il a accepté les conditions et sort du labo d’analyses, il est OK de ce coté-là.
-Bravo Claire, on ne va pas faire la fine-bouche, j’espère qu’il assurera plus que celui du mois dernier…

Nous faisons nos « petits rassemblements » chez l’une des participantes, une avocate célèbre qui a une très grande propriété isolée à la campagne.


L’homme doit arriver quand nous sommes déjà toutes présentes pour qu’il ne puisse pas voir notre visage, il ne verra que celui de Claire qu’il connaît déjà et qui lui passera aussitôt une cagoule qui lui cache complètement le haut du visage. Ensuite c’est aux filles de jouer.

Il vient d’arriver et Claire le fait entrer dans l’immense salon. C’est un bel homme d’1m80.
Claire le conduit au milieu du salon et 2 filles se chargent de le dévêtir.
Il a un torse musclé imberbe et des cuisses bien dessinées. Nous gardons toujours la dernière pièce de tissu, son slip, pour la fin.
4 autres filles s’approchent de lui, s’agenouillent autour de lui et essaient d’attr entre leurs dents l’élastique du slip. Une fois qu’elles y sont toutes arrivées, elles ce concertent du regard et baissent la tête pour faire descendre son slip. Ce n’est pas très aisé mais ça permet aux autres filles en demi-cercle devant lui de découvrir avec envie ce qui se cache dessous.
La racine est massive mais il faut qu’elles descendent à mi-cuisses pour qu’enfin nous voyions la fin de son sexe. Un bien bel organe déjà bien épais.

A ce stade arrive l’étape du « massage ». De nombreuses filles se sont déjà dévêtues et il ne faudra pas bien longtemps pour qu’Adam se retrouve devant 20 folles en tenue d’Eve.
Il ne doit pas broncher pendant que les filles se bousculent pour découvrir son corps uniquement avec les mains. Mais interdiction sous peine d’amende de toucher à son sexe.
Il faut prendre son tour pour pouvoir l’approcher, des mains courent partout, des doigts même s’égarent entre ses fesses charnues pour frôler un trou identique chez l’homme et la femme.
Adam, disons que je vais l’appeler ainsi, reste stoïque et c’est bien le premier qui ne se retrouve déjà pas au « garde-à-vous ».

Il a tenu plus de 5 minutes de ce traitement avant qu’enfin une réaction se dessine à son bas-ventre. Je ne sais pas si c’est le doigt qui s’est égaré dans son anus qui a servit de déclencheur.

Les filles redoublent leurs caresses voyant croître exponentiellement un phallus de toute beauté, bien droit mais encore à peine décollé des deux sacs prometteurs.
Le tuyau commence à se redresser prenant des centimètres aussi bien en longueur qu’en épaisseur. Le mandrin continue son escalade bravant la gravité avant d’atteindre sa plénitude parfaitement à l’horizontal.
Je comprends ce qu’a voulu dire Claire. Bien sur il est superbement bien membré mais ce qui choque les filles, c’est le calibre exceptionnel de cette verge. Une fille bravant l’interdit encercle entre le pouce et le majeur la base de son rostre, ses doigts ne se touchent pas, loin s’en faut, puis refait la même chose autour de son poignet gracile.
-Putain…. Sa bite est aussi grosse que mon poignet, je connais le gage qui m’attend, mais je ne sais pas si j’oserai !
Je m’interroge si elle ne l’a pas fait exprès car le gage est généralement la première fille qui s’empalera du fion sur la teub du mec…

-Bon les filles, il faute harnacher notre esclave !...
4 d’entre-nous amènent une tenue de cuir noire assez spéciale fabriquée par nos soins.
C’est comme un tablier ou il doit déjà passer les pieds puis les bras, très échancré au bas ventre et muni de courroies de chaque-coté.
Sur le devant sont implantés 4 godes de tailles et de grosseurs différentes allant du torse vers le bas en progression constante. Le premier fait 14cm de long pour 3cm et demi de large, le dernier 25 sur 5. Mais cette fois-ci, il manque une graduation avant d’affronter le gode de chair. Aïe, aïe, aïe…

Une étude sur le net a donné pour une aventure sans lendemain que les femmes ont opté en moyenne pour un sexe masculin de 16,3 cm en érection pour 12,7 cm de circonférence et pour une relation suivie 16 cm de long pour 12,2 cm de circonférence.
Nous on préfère de plus gros calibres mais là, on est confronté à quelque chose qui sort de l’ordinaire… Pour notre plus grand plaisir… Il est tiptop dans les mensurations idéales du sondage mais à la différence près avec lui que c’est au repos qu’il les atteint déjà!

Une fois équipé, nous l’aidons à s’étendre sur le sol ou un tapis assez spécial est équipé lui-aussi de courroies.
Nous nous attelons à fermer chaque boucles solidement faisant de notre esclave un « Gulliver chez les Lilliputiennes ». Des courroies entravent aussi ses cuisses et ses bras. Il ne peut plus rien bouger hormis sa tête.
Nous passons à l’étape suivante. Chacune, l’une après l’autre passons d’un atelier à l’autre, l’homme est passif sur l’un deux, c’est celui ou il se fait sucer et tripoter les couilles par deux filles.
Dans les 3 autres, c’est lui qui bosse.
Une fille chevauche sa tête lui donnant son abricot à sucer pendant qu’il doigte deux autres filles.
Il est doué pour trouver presque immédiatement leur point G en titillant d’un doigt la partie supérieure de leur vagin les faisant geindre de plaisir. Un vrai professionnel…

La cavalière n’est pas en reste, il lui broute le minou avec ardeur, sa langue explore le bouton dardé, ses lèvres aspirent le clito durcit et il ne tarde pas d’avoir sa récompense d’un jet de cyprine qui inonde son menton.
Pendant ce temps-là, les filles en attente se gamahuchent entre-elles, elles forment des 69 ou des bêtes à 3 ou 4 dos.
Les deux filles qui s’occupent de son jonc vigoureux s’escriment depuis un moment mais n’arrivent pas à conclure. Il ne se laisse pas vider les burnes comme ça, enfin un vrai mâle…
A chaque coup de gongs toutes les trois minutes, on tourne. Nous ne passerons à l’étape suivante que quand l’une d’entre nous aura réussit à obtenir la récompense suprême, sa liqueur virile, et nous lui laisserons ensuite le temps de rebander.

Mais va-t-il tenir le coup avec toutes ces furies ?

Vous le saurez bientôt…

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