La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1054)
La Comtesse et son clitoris (Hors-série) - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
1) La découverte : Cétait en mai et un après-midi alors que javais dansé dans ma chambre, je ruisselais de sueur et mallongeais sur mon lit, complètement nue, épuisée par la danse, le ciel était sombre, un orage sannonçait. Soudain un coup de vent violent, suivi par dautres fit voler les rideaux de la pièce, passa sur mon corps, le rafraîchissant. Allongée que jétais, une jambe pendante, les bras écartés regardant le plafond, je reprenais mon souffle, et sentis, la caresse du vent sur mon corps, cétait agréable. Tandis que je me rafraîchissais, je sentis le vent passer en bas de mon ventre et une curieuse sensation marriva. La fraîcheur du vent annonçant lorage imminent, en cet endroit me fit prendre conscience, sans savoir pourquoi, que ça me faisait du bien. Instinctivement, jécartais un peu plus les jambes, mais je navais encore aucune autre idée que de retrouver mon souffle, me rafraîchir, et récupérer. Vous devez savoir, que jadorais danser bien sûr, que jétais Petit Rat de lOpéra de Paris, et que donc, la danse faisait partie intégrante de ma vie. La danse me permettait de me défouler
La sensation que jai reçue en cet instant de repos, me troubla, après que jeus récupérer quelque peu. Alors que je commençais de sombrer dans un demi sommeil dune sieste improvisée, et que, dehors, le ciel se zébrait déclairs, ma main gauche se rapprocha de mon entre jambes, comme pour toucher cet endroit qui avait réagi à la caresse du vent. Là encore, aucune arrière-pensée de ma part. Le vent continuait de souffler, ma main était posée négligemment sur mon pubis. Tout aussi négligemment, et alors que jétais à demi-endormie, mes doigts commencèrent dexplorer lentre lèvres vaginales. Cétait agréable sans plus. Mes doigts allaient et venaient très doucement jusquau moment où ils touchèrent ce petit appendice, inerte encore il y a quelques minutes, mais qui, sous le toucher de mes doigts, commençait de se dresser.
Javais à lépoque de gros manques à compenser. Ressentir le bienfait, certes fugace de me toucher en cet endroit mapportait un peu de baume au cur. Lorage se déclarait enfin, violent, très violent même comme le font certains orages en région parisienne. Je dus me lever rapidement pour fermer la fenêtre et alors que jallais mallonger de nouveau, pour poursuivre la découverte de cet endroit intéressant, un énorme coup de tonnerre retentit, jeux très peur, la lumière se coupa, ce qui me fit abandonner mon exploration. Ce jour-là, je marrêtais à cette découverte mais me disait, que je continuerai une prochaine fois
La fois suivante ne se fit pas attendre. Le soir même, couchée cette fois pour la nuit, sous mes draps et couverture, bien au chaud, je me suis mise sur le côté comme à chaque fois que je cherche le sommeil, en « boule » les cuisses ramenées sur mon ventre. Jen étais là, quand, soudain, je me rappelais laprès-midi. Au début, je ne réagis pas désirant vraiment mendormir, mes journées étant épuisantes, de plus je me levais très tôt le matin. Cependant, au souvenir laissé laprès-midi même, je ne pouvais éviter de me faire un gros câlin, vu que personne ne men donnait. Et cest tout naturellement que ma main gauche (encore) se dirigea entre mes cuisses. Je savais où je devais aller ! Ma main, plaquée contre mon sexe, deux doigts, infiltrés dans mon sillon vulvaire et seul lindex reposait sur mon clitoris, en tout cas sur son nez. Par de très petits mouvements du doigt, presque imperceptibles, celui-ci réagissait, et la réponse de sa part étant bonne, le doigt poursuivait ses attouchements. Je sentais durcir lendroit au point que je me remis sur le dos et instinctivement, écartais les cuisses.
Me voilà donc allongée sur le dos, et la main caressant et re caressant à la fois lendroit de ma chatte et surtout mon clitoris qui, lui, de son côté, répondait de plus en plus fortement. Au fur et à mesure de lavancée de mes caresses, je commençais de ressentir des sensations curieuses mais très agréables. Mon cur accélérait, ma respiration également, que cétait bon ! Je décidais de poursuivre. Mon index jouait avec lui, le caressait, le titiller, le tapotait. Je remarquais que mouillant mon doigt de ma salive, cela métait plus agréable à le toucher ensuite. Jen étais là de mon « jouet » quand soudainement, je sentis comme des fourmillements menvahir, sensations dans le ventre dabord, irradiant dans les cuisses ensuite. Je ralentis les gestes, enlevais même ma main tentant de comprendre ce qui menvahissait lentement. Mais, je me suis trouvée rapidement privée de sensations si agréables que je repris au plus vite mes caresses. Tout arriva enfin comme une tornade ! Alors que je continuais de caresser cet endroit si intéressant, et que je recevais en retour des sensations si agréables, si bonnes, subitement, la foudre me tomba dessus. Un orgasme arriva, mon premier orgasme ! Sa violence fut telle que sur le coup, pendant deux secondes, jeus peur même tant mon cur battait fort, mais ce fut si bon, si merveilleux, si extraordinaire, si exceptionnel que jen avais des étoiles devant les yeux. Vraiment !
Je ne voyais plus rien dautres que des scintillements flottant devant mes yeux. Comme de merveilleuses étoiles. Ma main sétait retirée de mon entre jambes. Je tentais de reprendre ma respiration. Au bout de quelques minutes de « repos » ma main, revint lentement vers cet endroit si charmant. Je fus surprise de retrouver ce nouvel ami, mon clitoris, bien dressé encore, dur et cest tout naturellement que mon index recommença à le toucher. Oh ! très doucement car il était devenu sensible, mais je madaptais cependant. Insensiblement, de merveilleuses sensations menvahissaient à nouveau, et à nouveau mon doigt se faisait plus pressant encore une fois, de curieuses sensations dans le ventre et bas-ventre menvahissaient et au bout de deux ou trois minutes, une deuxième « explosion » arriva, bien plus forte que la première, plus violente aussi qui, cette fois-ci, me fit me transformer en harmonium poussif tant ma respiration était violente.
2 Lexploration : Depuis cette découverte de cet endroit de mon corps, si intéressant et qui me procurait des joies fortes, je décidais den savoir plus à la fois sur lui comme sur mon corps en général. Internet nexistant pas en ce temps, cest par des lectures, des réflexions, et surtout par des « travaux pratiques » que je tentais de comprendre tout cela. Cependant, chaque soir, était le rendez-vous devenu incontournable pour moi : mon clito et moi, rien que nous deux Rapidement, je me suis rendue compte quaprès le premier orgasme, arrivait le second, et dautres découvertes également comme celles que je vais vous compter ici. Mes journées étaient bien remplies et le soir, il est inutile de vous dire que jattendais avec impatience de retourner dans ma chambre, pour récupérer quelque peu de ma journée, mais, un autre marathon my attendait
Immédiatement après ma douche, cest avec mes seins proéminents, galbés, ma féminité sétant épanouie, que je continuais déchanger avec mon très ami, le clitoris, me branlant copieusement tous les soirs, mais marrêtant, peut-être à cause de la fatigue de la journée à ce que jappelais le stade trois de la jouissance (le troisième ciel selon moi).
Cependant, jadorais lire, beaucoup et javais entendu parler du 7° ciel, associant immédiatement en mon esprit mon 3° ciel sexuel à ce que les auteurs semblaient définir comme une sorte de paradis. Jétais perplexe ne voyant pas où pouvait se trouver ce ciel. Un soir donc, alors que le lendemain était jour de repos, je pris, comme chaque soir ma douche puis alla mallonger sur mon lit, nue bien sûr, pour le rendez-vous journalier avec mon « amoureux » mon clitoris.
Je compris alors, quen fait, avant que ne survienne le fameux orgasme dont tout le monde parle, en fait, javais des « rafales » de petits orgasmes préparant ainsi lorgasme classique. Je devenais par cette découverte, une véritable jouisseuse, et jen étais là quand jentamais pour la quatrième fois, la poursuite de mes découvertes. A ce stade orgasmique, jétais toujours allongée sur le dos, cuisses écartées, mais alors que je poursuivais mes caresses, devenues subitement plus fortes, je découvrais que mon corps commençait de se mettre en mouvement. Cela se traduisait par des mouvements incontrôlés de mes bras, partant dans tous les sens, de mes jambes aussi, prises subitement de mouvements eux aussi violents comme des coups de pied en lair, la main qui ne me servait pas, voyait ses doigts se crispés, si tendus que je craignais quils ne se rompissent, tout cela tandis que je recevais des rafales de petits orgasmes, très vivifiants, et que le suivant, arrivait très vite, comme lemportant comme un fétu de paille.
Effectivement, il arriva, sans que je my attende, dévastateur, dune puissance encore plus forte que ce que je connaissais déjà depuis quelques années, me laissant, les doigts inertes sur le clito, dans un état deuphorie telle que devant mes yeux grands ouverts, semblaient danser des ronds aux couleurs chatoyantes. Bien que ne le touchant pas, seulement mes doigts posés sur lui, mon clitoris se mit à vibrer tout seul, et au bout de deux ou trois minutes de répit, sans que jai limpression de lavoir décidé, mes doigts, à nouveau reprenaient leur danse. Dès la remise en mouvement de mes doigts, mon clitoris réagit immédiatement, me semblant sallonger ( !), et tout aussi vite, une multitude de petits orgasmes, cependant plus forts que les précédents, menvahirent. Tout allait de plus en vite
Mon corps commençait maintenant à bouger encore plus, et pas seulement mon bras qui ne me servait pas, ni les jambes, déjà en action, mais voilà, mes reins se creuser aussi me faisant décoller les fesses du lit. Par moment javais également des mouvements des épaules complètement incontrôlés les faisant elles aussi, tenter de se détacher du lit
Alors que je continuais de travailler mon si réceptif clito, que je recevais des multitudes de petits orgasmes pourtant bien réels et forts, arriva sans tambour ni trompette, ce que jappelai le cyclone classe 4. La puissance de cet orgasme nouveau me fit littéralement décoller du lit, me faisant me mettre à plat ventre. Le bond que je fis était spectaculaire, allongée sur le dos et en une seconde, comment je ne peux le dire, je me suis sentie projetée en lair et retournée sur le lit. Javais les yeux si crispés, quà la fin du tout, jen avais mal aux paupières. Mais, retournée comme dit plus haut, ma main gauche ne sétait pas, désolidarisée du clitoris quelle touchait toujours. Et après, quelques secondes de répit, entamait à nouveau ses mouvements
Je sentais mes fesses se crisper tant (je sus par la suite que personne ne pus passer un doigt entre elles tant elles sont serrées dans ce cas), jétais tellement tétanisée par ce que menvoyait mon bouton rose, nétant plus des rafales de petits orgasmes mais comme des ruisseaux trop gonflés par des pluies diluviennes, devenus torrents dévastateurs, mes yeux devenaient hagards, grands ouverts mais je ne voyais plus rien
ma respiration nen parlons pas mon cur semblant exploser dans ma poitrine, mes tétons durcis et allongés puis à nouveau encore plus rapidement, ce que jappelais une tornade classe 5
Hummmm ! disais-je toute seule, ouf tentais-je de souffler pour calmer mon cur
inouï
La violence de ce nouvel orgasme était encore plus violente, comment dire, plus dévastatrice, commençant de me donner des crampes, mais, ne mempêchant cependant pas de stopper là lexpérience et me privant de la force mentale denlever ma main
Je retombais sur le lit, toujours à plat ventre, main collée à ma vulve, mais me voilà aussitôt repartie à me frotter contre les draps
Je donnais de violents coups de reins comme pour frotter mon clitoris cette fois sur les draps, et immédiatement, arrivèrent des multitudes dorgasmes, cette fois, non dissimulés, mais bien réels, puissants, à chaque coup de reins faisant toucher mon clito sur le drap, je jouissais comme une bête, pratiquement de façon continue. Cétait extraordinaire, merveilleux, sensationnel, divin, oui divin, car à un moment précis, alors que javais complètement perdu la maîtrise de mes pensées, de mes gestes et de mon corps, jeus limpression, fugace dapprocher une sorte de divinité, dentendre des musiques inconnues mais si belle, et cest à ce moment précis, quune véritable détonation naquit dans mon corps, cétait le 6° orgasme
Comment le décrire après tous les qualificatifs déjà utilisés pour les précédents ? Je ne parle plus de sa violence inouïe, elle était encore plus forte, de la soudaineté de sa survenue, là à nouveau, je ne my attendais pas aussi rapidement, tout mon corps se mit à vibrer de faon intense, des fourmis envahissaient non seulement mes mains, mes doigts, mes orteils, mais la totalité de mon ventre semblait être prise dune frénésie hystérique
Alors que je tentais de retrouver mes esprits totalement ailleurs, mon corps fit un tel bond que jen fus retournée, retombant sur le dos, cuisses complètement écartées, trempée comme sortant dun bain, à la fois de sueur et de cyprine, mais la main toujours collée sur mon pubis, devenu rouge de frottements. Je ne comprenais plus rien à ce qui marrivait, me demandant si je ne devenais pas folle, mais mon ami le clito semblait ne pas vouloir sarrêter en si bon chemin. Des larmes arrivèrent à mes yeux, tentant de dire « Stop » mais les doigts se remirent en mouvement comme mus par une force invisible, et immédiatement le clito répondit à nouveau, par des tressaillements, des vibrations nouvelles déclenchant à nouveau ce que jappelle les « petits » orgasmes mais qui à ce stade navaient plus rien de « petit », pour arriver à lexplosion « atomique » des sens, cest mon ressenti du moment !
Un orgasme arriva encore plus rapide que les précédents, si énorme que je crus que mon cur allait sarrêter. Je me suis mise à saliver, incapable de retenir ma salive, je fis même pipi dans mon lit, incapable de me contrôler, en plus des « fourmis » dans les mains et pieds, cest lensemble de mon corps qui se mit à vibrer, emporté quil était comme ailleurs, en un monde autre, peuplé de si belles choses, de si belles musiques, de si belle couleurs inconnues de moi, comme e totalement, oui e mais pas de LSD, mais de sexe, de déversements hormonaux
Jétais tellement crispée quil me fallut quarante-huit heures pour ne plus avoir de crampes musculaires, de douleurs tendineuses, et plusieurs heures pour retrouver lentement mes esprits, comme redescendant à contre cur vers la terre. Jétais si tendue nerveusement mais si heureuse, que je pleurais, sans pouvoir mettre un terme à mes larmes, comme si, je venais, en effet de découvrir le Paradis
Je compris par la suite la signification du 7° ciel dont parlaient si souvent nos ancêtres et surtout, comment y parvenir
Je veux, ici rassurer mon lecteur (trice) je ne pouvais renouveler cela tous les soirs, à cause de la fatigue de longues journées mais aussi faute à la fois de temps mais aussi de lendemain qui avait aussi son cortège dobligation, je devais mépargner, me ménager
Naturellement mon clito devenu si cher, nétais pas daccord. «Je sais petit clito, tu nes pas encore rassasié mais je te promets de trouver une autre fois pour aller jusquau bout de ce que tu mas fait découvrir ». Cependant, javais du mal à trouver le sommeil et attendais avec limpatience que vous imaginez le week-end suivant, plus calme et reposant en journée. Cela devenait comme une sorte de rituel, je jouissais comme une bête, les week-ends et mhabituais à le faire ainsi
Cela me fit prendre conscience de beaucoup de choses par la suite, comme le contrôle de mes muscles intimes, ce qui me servit beaucoup par la suite et encore aujourdhui pour distiller aux personnes auxquelles le Maître me donnait, des plaisirs totalement inconnues deux ou delles...
(A suivre
)
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