La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1055)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite de l'épisode 1053) -
Lesclave au cachot :
Tandis que je suivais tant bien que mal le Majordome qui tirait sur la laisse, nous traversions des salles vraiment très belles richement décorées, dans lesquelles je voyais des tables avec de gros anneaux, dautres tables articulées avec des crochets, des chaînes qui pendaient du plafond. Les couloirs se suivaient dans un labyrinthe de portes dérobées, et nous amenant à dautres salles qui avaient au mur, encore des chaînes, des palans, des croix de St André, sur dautres murs pendaient des collections de fouets, de cravaches et sur des étagères trônaient des godes et plugs de toutes tailles et longueurs. Nous suivons encore des couloirs, descendions des escaliers en colimaçon étroits et abrupts (pas simple à quatre pattes) la cravache passant et repassant sur mes fesses me rappelait la marche à suivre. Je tentais de suivre Walter, mais ne pus éviter quelques cinglements qui me rappelèrent ma condition car je traînais selon lui. Je serrais les dents pour ne rien dire. Le Majordome dut se dire que cela ne me faisait rien, car le coup suivant fut terriblement plus appuyé.
- Hummm, dis-je en fermant les yeux et tentant de me redresser car javais très mal et à la fois jen étais paradoxalement excitée.
Un autre coup arriva puisque javais tenté de me relever même si aussitôt javais repris la position. La douleur était presque intenable, mais je serrais les dents à nouveau, des larmes marrivaient
Arrivés tout en bas de plusieurs escaliers dont les derniers étaient plus larges, une série de portes avec des barreaux ressemblant plus à des geôles de prisons quà des cachots se succédaient. Nous poursuivions notre avancée, pensant être arrivés. Nous descendîmes à nouveau dun étage pour arriver dans la crypte du Château et arrivâmes dans une pièce dont immédiatement je perçus lambiance lugubre.
- Voici ta chambre, salope, dit Walter.
Il attacha la laisse à un crochet du mur, actionna quelque chose que je ne vis pas, et les barreaux disparurent laissant une ouverture sombre, un trou dans le sol. Le Majordome actionna autre chose, et jentendis un bruit de moteur et quelque chose qui grinçait. A un moment donné, le trou noir fut remplacé par un plateau en bois et je compris alors que cétait le moyen dentrer et sortir du trou. Walter vint me décrocher, reprit la laisse, me conduisit sur le plateau et à mes côtés, sortit une télécommande quil actionna, nous faisant descendre tous les deux. Presque 10 mètres plus bas, le plateau sarrêta. Visiblement nous étions sous la crypte dans les profondeurs du Château. Le Majordome actionna un interrupteur et la lumière éclaira la pièce qui soffrait devant nous. Sol de terre battue, aucune commodité, un seau, un broc, rien de plus. Il me fit me mettre contre un mur, toujours à quatre pattes, accrocha à ma cheville gauche, un bracelet de métal fort lourd, relié à une chaîne datant de lantiquité si jen jugeais par la taille des maillons. Il me fit me remettre debout et me dit :
- Cette chaîne mesure deux mètres, ces deux mètres vont consti ton espace de liberté. Tu mangeras ce quon te descendra, tu ne verras rien car tu nauras pas de lumière, mais tu entendras les cris de ceux qui ont osé tenir tête au Maître. Ainsi tu pourras méditer sur beaucoup de choses.
A ces mots, il masséna plusieurs coups de cravache sur les seins et remonta à la surface, me laissant dans le noir complet du cachot.
- Ah oui, pour tes besoins, tu feras sur place comme les chiennes ! Tu as au fond du Cachot une sorte de caniveau
Arrivé au niveau du plancher supérieur, les barreaux refermèrent ma prison me laissant seule, dans le noir, entravée
Je tentais de bouger un peu, à tâtons, la chaîne était lourde, je touchais les murs poisseux mais très vite, je compris limpossibilité daller plus loin. Je massis à même le sol et me mis à pleurer, de rage et désespoir.
1er jour de cachot :
Dans la nuit absolue du cachot, les yeux eurent du mal à shabi à lobscurité mais parvinrent néanmoins à sy adapter
un peu. Effectivement, il ny avait rien dautre quun seau et un broc deau. Rien de plus. Rien de plus à faire également quà méditer et à attendre. Dans ces conditions, je repensais aux soirées de gala, à mes amies (s) à mes derniers coups de cul, aux défilés. Je me raccrochais à ces souvenirs pour éviter de devenir folle, men voulant terriblement dêtre revenue ici dans un monde de fous assurément
Jentendais par moments des bruits de chaînes éloignés, avec des cris mais cétait loin. Je ne pouvais identifier exactement ce qui se passait, seulement limaginer. Et ce que jimaginais me paraissait terrible. Il vaut mieux savoir quimaginer, cause de tous les fantasmes, car imaginer conduit à des peurs et les peurs à des effondrements psychologiques. La première journée se passa ainsi, assise à même le sol de terre battue, à ne rien faire dautre quattendre et réfléchir
Et aussi incroyablement que cela puisse paraître, je me surprenais souvent à sentir mon bas-ventre shumidifier, et pourtant il ny avait pas de quoi être en état dexcitation au vu de ma situation, mais je mouillais souvent et je ne saurai expliquer pourquoi.
- He ho, il y a quelquun ?
Pas de réponses, seuls des plaintes. Ces bruits me disais-je étaient-ils réels ou serais-je en train de devenir folle ? Je restais ainsi à méditer, grignoter mes croutes de pain
Mauvaise alimentation, peur, immobilité, tout lingrédient pour craquer nerveusement ou faire craquer. Résiste, Isabelle, résiste me dis-je
2eme jour de cachot :
Je ne savais plus si nous étions le jour ou la nuit, ne voyant pas la lumière. Je ne peux donc dire quelle heure il était. Quoiquil en soit je fus réveillée en sursaut. Jentendis les barreaux se rétracter, le plateau remonta et redescendit avec un homme. Dans lobscurité du Cachot, jarrivais péniblement à le distinguer jusquau moment où il actionna la lumière, constituée dune simple lampe pendant au bout dun fil. Mais la lumière me fit leffet du soleil. Lhomme métait inconnu, fort grand de taille, (2 mètres voire plus). Vêtu simplement dun pantalon avec un large ceinturon, aux pieds, de grosses chaussures de marche, il était torse nu, et portait sur ses bras velus, beaucoup de tatouages. Son visage semblait imperméable, impassible, le crâne rasé, deux énormes moustaches descendaient de sa lèvre supérieure. Pas un mot de sa part, rien ! Il défit la chaîne, me prit par les cheveux et me poussa vers le plateau. Le plateau remonta avec lui à mes côtés. Il me poussa sans ménagement, vers le centre de la pièce.
Puis plus de poussées, je me balançais fortement sur mon élan, et soudain alors que je reculais vers lui, un terrible coup de cravache sabattit sur mes reins me faisant pousser un hurlement de douleur et surprise à la fois. Sous le coup, je repartais vers lavant et revint en arrière, recevant un deuxième coup aussi fort sur les fesses. Jai cru être coupée en deux. Je hurlais de douleur, mais la balançoire continua jusquà avoir reçu dix coups terribles. Au onzième balancement, revenant en arrière, je mattendais à un autre coup, mais
non ! Je ne voyais toujours pas mon tortionnaire. Le balancement ralentissait, je pendais telle une poupée de chiffons
- Cest pour têtre permise darriver en retard, salope !
- Pard
Le onzième coup encore plus fort que les autres me cueillit par surprise et me fit pousser un hululement de douleur extrême.
- Tes pas autorisée à parler, pouffiasse, dit-il dans un fort accent étranger.
Les chaînes descendirent légèrement me posant sur le sol. La barre fut enlevée et je pensais la séance terminée. Mais les chevilles furent attachées à des anneaux à même le sol ce qui me faisait garder les jambes écartées. Je ne voyais toujours rien de ce qui se passait dans mon dos. De plus, un bandeau se posa sur mes yeux, ce qui mit fin au peu que je voyais. Je restais ainsi près de 20 minutes, sans que rien ne se passe. Jentendis un bruit de roulettes, et sentis que lon plaçait quelque chose entre mes jambes. A ce moment, mes chevilles furent détachées et les jambes relevées à hauteur dépaule, furent attachées à mes poignets. Dans cette pose, je ne touchais plus le sol, suspendue entièrement par les poignets. Je me sentis être relevée assez haut. Je ne comprenais rien. Puis, doucement je redescendais, lentement, très lentement, jusquau moment où je sentis quelque chose cogner contre mon ouverture anale. La descente sarrêta, puis reprit très lentement. Je commençais de mempaler certainement sur un gode, mais javais très mal car il devait être assez gros. Le poids de mon corps faisait le reste mais suspendue par les chaînes lhomme contrôlait la descente, laissant à mon anus le temps de souvrir. Enfin, mon anus céda et je sentis le bout du gode envahir mon rectum. Les chaînes me faisaient descendre à nouveau très lentement et je menfonçais lentement mais sûrement sur ce que jimaginais comme un gode énorme, car plus je menfonçais plus je sentais mon cul sélargir
et plus je me surprenais à mouiller, encore
(A suivre
)
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