Le Desir De Patricia
En ce samedi, nous avions lheureuse visite de Patricia. Dans les 1m70, les cheveux longs, elle était vêtue dune jupe correcte qui sarrêtait au-dessus des genoux, de bottines et dun tee-shirt léger à fines bretelles. Sur cadette de ma compagne, qui arriva sac en main pour passer le week-end avec nous. Après le dîner, elle nous a abandonné quelques instants, pour se rendre dans la salle de bain. Revenant quelques minutes plus tard en pyjama. Dont la veste déboutonné laissait entrevoir à qui voulait le voir, ses seins volumineux, blancs et bien charnus, aux belles pointes brunes et longues.
Comme cétait souvent le cas en fin de semaine, ma compagne fatiguée par de dure journée de travail, a décidé daller se coucher, me laissant en tête à tête avec sa jeune sur confortablement installée sur le fauteuil devant la télé, moi sur le divan, situé sur sa droite, tout proche.
Alors quelle était concentrée sur ce qui se dérouler devant ses yeux sur lécran, jen profitais pour scruter sous le tissu, un sein ferme que sa respiration faisait vibrer par instants. Il men fallait pas plus pour quintuitivement un appétit de chair me submerge. Spontanément, sans aucune gêne, dans la pénombre, jai déboutonné fébrilement mon pantalon. Le slip descendu, ma verge a bondit, tel un clown hors de sa boite. Je lai pris fermement et je lui ai imprimé des mouvements de va-et-vient. De mon autre main, jai massé mes testicules. Jétais comme fou dapercevoir nettement une partie de son sein lourd, aves son large aréole sombre.
Je navais quune chose en tête à ces minutes. Envie de me faire jouir. Mon désir a atteint son paroxysme. Mon membre viril était tendu comme un arc. Quelques mouvements encore, lindex sur le frein, et jai explosé. Un jet saccadé, qui dispersa la semence chaude sur mon ventre et surpris quelques poils qui nétaient pas dans la fête. Je nai même pas pris la peine d mes soupirs. Un besoin de partager mon plaisir avec Patricia.
Après avoir repris mes esprits et je me mis à la recherche dun mouchoir. Alors que je messuyais, la coquine a déserté sa place pour aller se coucher. Séance tenante, je me suis rendu dans la salle de bain. Là parmi les fringues, jai repéré tout de suite sa petite culotte blanche exiguë, avec un petit motif de fleurs sur le bord. Le coton était tout poisseux et présentait une tache jaunâtre là même, où avait séjourné son sexe. Je nai pas pu mempêché de lhumer, sous toutes ses coutures. Menivrant de son odeur. Enfin jai emmailloté mon pénis avec le dessous et je me suis masturbé jusquà y répandre ma jouissance dedans.
Cétait comme un besoin chez moi de signer mon passage. Avec la conviction que Patricia était au courant de mes délits. Mais heureusement pour moi, elle navait jamais rien colporté.
Quelques semaines plus tard, avec Patricia, nous nous sommes retrouvés de nouveau en tête à tête. Mais ce soir là, elle a décidé de quitter son confortable fauteuil avant ma branlette. Prenant même la peine de venir me dire bonsoir. Pour ce faire je me suis redressé du divan. Volontairement ou pas, la coquine a appuyé son ventre contre mon sexe dressé. Deux bises plus tard, sans rien paraître, elle avait regagné sa chambre. Comme à laccoutumée, jai été investir la salle de bain.
Jétais en pleine action lorsque la porte sétait ouverte. Je ne fus pas surpris dy voir apparaître limprévisible Patricia. Tout de suite son regard sarrêta sur mon sexe enveloppé de sa culotte. Il men fallait pas plus pour que mon excitation monte de plusieurs degrés supplémentaires. Jéjaculais devant elle, bombardant le carrelage de mon sperme. Comme à son habitude, sans dire un mot Patricia tourna les talons, prenant même la peine de refermer soigneusement la porte derrière elle.
Le lendemain matin, javais déjeuné avec ma compagne avant que cette dernière prenne le chemin qui ira la mener jusquà son boulot.
Après réflexion, je pris ses paroles pour une invitation. Ni une ni deux je fus submergé par une furieuse envie daller la surprendre, comme elle sétait permis de le faire la veille au soir. Alors que je mapprochais du lieu, javais le cur qui battait la chamade. Quelques gouttes de sueur perlaient sur mon front, quand ma main pesa sur la poignet de la porte. Je lentrouvris, et surpris Patricia assise sur le bidet, le pantalon tombé à ses chevilles, les jambes écartées. Je ne pus empêcher mon regard de glisser sur lénorme touffe de poil clair doù émergeait une fente luisante dune mouille épaisse. La cochonne était sans doute en train de sastiquer le minou juste avant quelle mentende ouvrir la porte. Soudain dentre ses lèvres un filet de pisse en jaillit. Manque dinitiative, ou de testostérones, jai refermé la porte. Ma carence, je lai regretté toute la journée et même au-delà.
Un soir de semaine, alors que je me trouvais seul à la maison, une fois nest pas coutume, assis confortablement en face de la télévision dégustant des petits princes au chocolat, le téléphone se mit à sonner. Sans doute ma compagne prenant de mes nouvelles. Elle le faisait parfois quand le travail le lui permis. Je pris le combiné et le portais à mon oreille.
- Tu es seul ?
Il men fallait pas plus pour reconnaître la voix de Patricia.
- Oui
pourquoi
répliquais-je.
Et ça coupa, net. Je reposais le combiné sur le socle et revins minstallé sur le divan. Des tas de questions me vint dans la tête, au sujet de ce coup de téléphone bizarre.
- Cest moi. Se présenta ma femme.
- Ah ! Oui tu
tes en pose ?
- Oui, comme tu vois. Dis-moi tu téléphonais ?
- Non, non, seulement une femme qui sest trompée de numéro.
- Cela explique ta nervosité à décrocher aussi brusquement.
- Oui
oui, cest cela même. Bon
bisou à toi, je me remets devant la télé.
- Tu regardes quoi ?
- Mission impossible
- Bon choix. Bisous à demain
Alors que je minstallais de nouveau sur le divan, je perçus un bruit de moteur de mobylette dans la rue. Jusque là rien de spécial, puisque jhabitais en ville. Et il était fréquent dentendre ce genre de véhicule. Mais ce quil le fut moins cétait, que cette mobylette vienne se poser en dessous de ma fenêtre. Là le doute nétait plus permis, on venait bien chez moi. Dailleurs peu de temps après, comme pour me donner raison, jentendais des talons tapés sur le carrelage du palier, pour sarrêter devant ma porte dentrée. Puis plus rien, un silence minéral sinstalla jusquà ce quon toque à la porte. Jentrouvris cette dernière pour me trouver en face de Patricia. Emmitouflée dans un manteau. Sans quun seul mot de sa bouche, elle poussa la porte et se dirigea vers le salon. Je refermais la porte et allais la rejoindre, me demandant si je ne rêvais pas. À mon arrivée Patricia laissa tomber son manteau.
Son look navait rien à voir avec sa tenue du week-end. Elle portait des talons aiguilles dune hauteur vertigineuse et une jupe ultra courte en laine qui laissait deviner le haut de ses bas. Jai apprécié la beauté de ses jambes ciselées. Elle a déboutonné son chemisier laissant libre ses seins orphelin de tout soutien-gorge, dont la rondeur sapprochée de la perfection.
- Je peux savoir ce que me vaut ta visite ?
- Pour dire simple. Jai le feu au cul et jai besoin de ta lance pour léteindre.
Je mattendais à tout mais pas à ça. Jétais sur le cul. Elle reprit la balle au bond.
- Alors tu es de la partie, fit-elle, en sapprochant assez près pour que nos lèvres se rencontrent. Nos corps se sont ajustés lun contre lautre. La garce ne perdit pas de temps, elle ma massé déjà le paquet. Pour ne pas passer pour un ringard, je me mis à lui caresser ses hanches, quelle avait très rondes. Jai descendu les paumes jusquaux fesses fermes à souhait. Je ne savais plus où mettre les mains, tant tout ce qui ce trouvait sous mes yeux mintéressés. Comme tout ce qui était encore caché, dailleurs. Que je mempressais de découvrir en me saisissant des ourlets de la jupette, que jai tiré vers le haut. Pas le temps dapprécié ce qui si trouvait en dessous que déjà elle fila dentre mes doigts. Allant jusquà la table basse, où elle y posa sa jambe gauche, avant de mordonner de la caresser. Une invite comme cela, chez moi ça ne ce refuse pas et cest pour cela que je me suis magenouillé à ses pieds. Jai posé mes lèvres sur ses genoux pour lembrasser. Remontant de plus en plus haut jusquà atteindre le haut de ses cuisses. Javais comme une envie de bien faire les choses. Comme je le faisais avec sa sur. Désirant aussi, de peaufiner mon plaisir en tentant datteindre sa fleur odorante. Mais elle ne men laissa pas le temps.
Me saisissant pour ça, fermement les cheveux de sa main, me tirant vers le haut pour que je me redresse. Là, très gauchement elle ma défroqué sans aménagement. Elle ma saisit le sexe avec vigueur, et sagenouilla devant. Et sans attendre, mavala. Sa bouche était accueillante, profonde, tiède mais aussi très douce. Elle ma massé avec la langue, avec les lèvres. Mes soupirs lencourageaient de poursuivre son uvre. Ce quelle fit quelques instants supplémentaires avant de dégorger ma verge et se la passer sur le visage. Rien à dire, une vraie bonne salope, comme je les aime.
Elle se faufila derrière moi, me forçant à me pencher en avant. Très vite je sentais une bouche gourmande sengouffrait dans ma fente de mon fessier pour y lécher mon derrière. Cétait très agréable. Javais appuyé les mains sur mes genoux pour mieux moffrir à la langue qui se mit à titiller mon anus. Jaccédais dans un univers délicieusement pervers de passivité. Jen fus même très déçus quand dun coup elle se jeta en arrière. Me laissant sur ma faim, alors quelle allait se placer à quatre pattes sur le divan. La croupe dardée comme une cible, la jupe remontée jusquà la taille. Elle moffrait son cul comme laurait une chienne en rut à un chien. Les cheveux rejetés en arrière lui balayant le dos. Elle ne prit même pas la peine de me regarder. Elle attendait tout simplement que je vienne me servir.
Mais moi, malheureusement pour elle, javais dautre envie que celui de la baiser. Un besoin de déguster. Jai pris position derrière elle, devant sa fente sombre et profonde. Et jai engagé ma bouche sur son beau popotin. La peau était douce comme du satin.
Jai tiré sur ses fesses à deux mains pour accroître l'entrebâillement. Son sillon envahi de poils clair s'offrait à mon regard, avec le plissement de l'anus au milieu, comme une déchirure dans sa chair. J'ai sorti ma langue à son maximum, et je l'ai enfoncée entre ses fesses. Jai décelé une saveur plus amère près des replis de son anus, ainsi quune forte odeur de cul mal essuyé. J'ai fouillé sa raie un long moment, montant et descendant. M'attardant sur les replis de son anus. Sous mes caresses buccales, lanneau culier sassouplissait. Permettant à ma langue de tâter lintérieur du rectum. Il était à un tel point ouvert, que je pus avec trois doigts voyageaient dans son gouffre sans souci.
Ma tête me bouillonna, à lidée dy mettre ma verge. Pour ça je me suis penché et sans laide de mes mains, dune seule poussée, elle a troussé son chemin, tant son trou du cul était évasé. Elle fut même comme attiré dans le fond. Mon ventre se colla à ses fesses et jai remué mon manche de toute sa longueur. Elle haletait comme une bête. Jai agrippé ma partenaire par la taille, puis jai agité mes hanches en une danse du ventre saccadée. Ma verge a coulissé avec une étonnante facilité. Chaque coup de boutoir que jai asséné au plus profond de son cul torride arrachait de longs râles de plaisir à la volcanique Patricia.
Je me suis démené comme un effréné, fouillant rageusement le cul torride de Patricia, qui se contorsionnait dune façon désordonnée. Gigotant comme une anguille. Poussant des hurlements. Je me suis agité comme cela jusquà lexplosion.
Dans les semaines qui ont suivis, avec Patricia nous avions poussé le vice de nous accoupler alors que ma femme était couchée. Et comme elle était du genre dextériorisé son plaisir, je lui obstruais la bouche avec sa culotte. Nous nous sommes jamais fait prendre
enfin je le pense ?
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