La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1056)

La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite de l'épisode précédent 1055) -

Plus je m’enfonçais plus je sentais mon cul s’élargir… et plus je me surprenais à mouiller, encore… A un moment donné, les chaînes ne me soutenaient plus, et j’étais assise sur le gode, complètement empalée, pesant de tout mon poids et continuant de m’enculer toute seule. Pendant un bon moment rien d’autre se passa, puis soudain un terrible coup de fouet me frappa en travers du dos, depuis l’épaule droite jusqu’en bas de la fesse gauche. Sous le coup, je me mis à hurler et à remuer ce qui me fit m’empaler un peu plus. Plus je remuais, plus je descendais sur l’énorme tige et plus elle pénétrait en mon fondement. Vingt coups de fouet me furent infligés représentant, dit l’homme, une partie de la punition pour avoir nargué le Maître. A cet instant j’entendis quelqu’un entrer et reconnus la voix de Walter, venu assister à la punition, sans doute. Les vingt coups donnés, on me détacha les chevilles que l’on rattacha immédiatement après au sol. J’entendais d’autres bruits provenant d’entre mes jambes mais quoi je ne voyais toujours rien !

- Abaisses-toi !
- Difficile Monsieur dis-je, je suis déjà au bout !

Un coup de cravache terrible s’abattit à nouveau en travers de mes reins, je soufflais très fort

- Elle a raison, Helmut, elle est déjà basse et son cul ne pourra avaler plus, règle donc les godes et les chaînes.

A nouveau des bruits entre mes cuisses, je remontais sur le gode anal, puis tout s’arrêta.

- Maintenant, descends par toi-même, dit Helmut… (c’était l’homme qui avait l’accent étranger)

Je descendis alors lentement sur le gode anal m’enculant à nouveau puis sentit un autre gode toucher ma vulve trempée, je l’avoue, comprenant alors que qu’il voulait.

- Plus bas !

Tout en m’empalant sur l’énorme gode anal, j’en faisais de même par devant.



- Plus bas !

J’étais complètement assise sur les deux godes qui remplissaient entièrement mes deux trous.

- Maintenant dit le Majordome, petite salope, tu vas bien suivre la cadence donnée par Helmut, tu vas remonter et redescendre au gré des coups de martinets qu’il te donnera sur le dos. C’est parti, salope ! …

Les coups tombaient sans discontinuer, me faisant remonter et redescendre, puis remonter à nouveau, redescendre, de plus en plus vite. Les épaules me brûlaient, mon dos était en feu, mais au bout d’un moment, m’enfoncer et m’extraire des godes, par les mouvements de plus en plus rapides, je me mis à moins sentir les douleurs remplacées par des envies de plus en plus accentués qui me faisait mouiller davantage et couler ma cyprine le long de mes cuisses. Alors de moi-même, salope comme je suis, je remontais et redescendais de plus en plus vite, ce qui fit dire à Helmut et prenait du plaisir…

- Regardez Walter, elle aime ça dirait-on !

La jouissance n’était pas loin, quand tout d’un coup :

- Stop, salope et reste ainsi complètement remplie. Ne bouge plus du tout.

Je restais immobile totalement. Au bout de quelques minutes, je sentis des vibrations sur le clitoris, qui immédiatement relancèrent mes envies de cul. Les vibrations devenaient de plus en plus intenses et soudain :

- Reprends tes aller et venues, la chienne…

La totale me dis-je, enculée, baisée, excitée maintenant de partout et les coups qui recommencèrent…

- Si tu jouis, je te fouette à sang, dit Helmut, mais ne t’arrête surtout pas la pute…

Un coup terrible me ‘’coupa’’ en deux au niveau des côtes. Je sursautais tellement que je m’empalais brutalement sur les deux godes en même temps encore plus profond. Les vibrations devenaient intenables, j’allais craquer à laisser éclater mon orgasme n’y tenant plus, étant trop excitée quand elles cessèrent, entendant les chaînes remonter mon corps me désempalant totalement, me laissant à la fois, vide et frustrée terriblement de n’avoir pas joui, même si on me l’avait interdit.
Je devais avoir tout l’arrière de mon corps marqué, ça me brûlait de partout, j’avais l’anus défoncé et la chatte en feu… Je fus détachée, ramenée devant le trou de mon cachot, redescendue, rattachée au mur puis laissée ainsi à nouveau dans le noir… Une folle envie de me masturber m’envahi alors juste pour m’apporter ce qui m’avait été interdit … Mais au moment où j’allais commencer à me caresser, je n’osais pas continuer et je ne fis donc rien, mais ce n’était pas l’envie qui me manquait de me branler…

3° jour de cachot :
Tandis que j’avais complètement perdu toute notion de temps et d’heure, assaillie par la faim, et que pour ces raisons, je faiblissais physiquement et moralement, si vous y ajoutez les sévices mélangés aux plaisirs excitant, vous comprendrez aisément je pense dans quel état je me trouvais. Mais, je continuais de me révolter, bien que, ce que je vivais ne me laissait pas indifférente surtout au niveau de mon bas-ventre. C’est dans cet état d’esprit que s’annonça le troisième jour. Alors que je tentais de rogner les croutes de pain dur, restées dans l’écuelle, je fus à nouveau extraite du Cachot. Avant de monter parmi les vivants, on me banda à nouveau les yeux… Attachée que je suis à nouveau, la séance de flagellation corporelle, sorte de rituel obligé, recommença. L’ensemble du dos, épaule, reins, fesses, cuisses, tout y passa, me laissant à la fois épuisée mais trempée, oui vraiment trempée par une chatte suintante de cyprine… Une main de pose d’autorité sur ma nuque me faisant comprendre de me pencher ce que je fis… Me voilà exposée, fesses bien présentées craignant le pire… En effet :

- Acceptes-tu définitivement ton état d’objet possédé par le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans ?

Pas de réponse de ma part.

- Dans ce cas ! (j’entends un claquement de doigts), puis…

Un sifflement se fit entendre et oh ! dis-je, surprise quand même mais plus par la puissance du coup que par la cravache.
Je redressais la tête par réflexe mais une gifle terrible atteignit ma joue me « dévissant la tête » car ne voyant rien, je ne pouvais anticiper le coup. Un autre sifflement se fit entendre qui m’atteignit sur l’intérieur de la cuisse gauche, puis se fut un déluge de coups à l’extérieur des cuisses, à l’intérieur des deux cuisses, sur les deux fesses… et plus on me frappait, plus j’étais excitée et donc un rien m’aurait fait jouir. Au bout d’un moment et subitement, à demi-inconsciente, je fus relevée, renversée en arrière, cuisses très écartées et maintenue ainsi dans cette pose. Les coups s’abattirent sur mes seins, les aréoles, les tétons, et pour finir, mon sexe fur servi également. Je fus encore plus excitée avec un vibro assez longtemps pour faire émerger mon clitoris et quand celui-ci fut assez visible, ce fut à son tour de goûter aux joies de la cravache. Les coups étaient précis, puissants, faisant plier mon clitoris raidi mais sitôt le coup porté, il se redressait par fierté et excitation et les coups suivants tombaient avec la régularité d’un métronome. Je ne peux dire combien de temps dura cette sublime séance mais j’entendis :

- Assez ! Ne l’abimez pas, ce sont les ordres du Maître. (Une voix inconnue !)

Les coups cessèrent mais je restais penchée en avant, fortement tenue par des chaînes. Dans une sorte de « brouillard » j’entendis des voix différentes qui semblaient échanger entre elles de façon joviale.

- Bonsoir Messieurs (reconnaissant celle de Walter), elle est à vous mais ne l‘abimez pas.

La peur m’envahit à nouveau, qui sont ces voix d’hommes ? Des mains commencèrent de me toucher les fesses, les marques :

- Elle est bien marquée, dites-moi, dit le premier
- Ce n’est pas pour me déplaire, dit un autre

Puis des ongles s’enfoncèrent dans mes tétons les étirant fortement, tandis que d’autres mains commençaient de s’insinuer dans ma chatte gluante, trempée… je dis bien main et pas doigts.
Un magistral fist alors encombra tout mon sexe car cette main n’eut aucun souci pour pénétrer en moi tellement j’étais excitée par les traitements subis. La séance se poursuivit ainsi, tandis que j’étais soit enculée, soit baisée, je suçais également chaque sexe qui se présentait à ma bouche, même après avoir éjaculé pour le nettoyer disait le propriétaire du sexe. Mes orifices de chienne dégoulinaient de foutre mais cela amusait grandement les hommes et c’est dans cet état que je fus ramenée dans mes « appartements » (Cachot). Tous les autres jours se passèrent de la même manière, coups, privation de sommeil parfois, car il est arrivé plusieurs fois que je sois tirée de mon sommeil pour que tout recommence à nouveau. Au bout de la semaine quand j’entendis la question :

- Acceptes-tu enfin d’appartenir entièrement au Maître, Monsieur le Marquis d’Evans ? et d’être définitivement Sa chose, Sa chienne et de lui obéir à jamais ? Je répondis, vaincue :

- Oui je l’accepte.
- Remettez-là au Cachot à nouveau, je vais en prévenir le Maître qui décidera ensuite.

Le Majordome avait parlé et l’on me replaça, enchaînée, dégoulinante de cyprine et de sperme, puante, crasseuse, marquée dans mes chairs, au cachot. La Comtesse était vaincue…

(A suivre …)

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