Jeux
- Tu es dispo ce week-end ?
- Tout le week-end ?
- Je viens de finir 50 nuances de Grey et ça ma donné tout plein didées.
- Développe ?
- Eh, jaurais peut-être envie de me faire soumettre à tes plus profonds désirs
- Ce que tu as lu nest pas ment représentatif de la réalité
- Quest-ce que tu en sais ?
- Beaucoup, tu veux quon se voie pour en discuter ?
Quelque chose à changer dans sa voix. Plus
sérieux. Malgré quil soit plus jeune que moi dun peu plus de 10 ans, il a lair de savoir beaucoup de choses. Cétait déjà assez perturbant de le voir me faire jouir comme une ado en manque de sexe depuis des mois la première fois que nous avons couché ensemble, mais là
- Jattends
- Vendredi soir, viens manger à la maison. Ma fille sera chez son père, et si tu es libre, nous pourrons aller au chalet finir le week-end.
- Bon programme ça. Tu veux que je ramène quelque chose ?
- Toi, et des idées. Tu sais déjà ce que je veux.
Il éclate de rire avant de raccrocher. Quelques instants plus tard, je reçois un message de sa part : « regarde ta galerie photo sur ton téléphone ». Jai encore quelques minutes avant de reprendre le travail, alors je jette un rapide coup dil. Il a osé
des photos de nous en train de faire lamour. On ne voit pas nos visages mais je reconnais instinctivement mon tatouage dans le dos. Sur la première, en pleine levrette, il a une main posée sur ma hanche et je suis complètement affalé sur le lit, en train de magripper aux draps sous leffet de sa bite. Je repense à la scène et me met à mouiller légèrement. Sur la deuxième, je le chevauche en me pinçant les tétons. Je devais vraiment être proche de lorgasme pour ne pas remarquer le portable dans sa main. Encore dautres clichés, quand je le suce, les cheveux sur le visage, quand il me doigte et mes jambes écartées puis fermées sur sa main lorsque je dois être en train de jouir.
Je regarde autour de moi.
Nous sommes en pleine levrette et il me tire les cheveux vers lui. Il sait que jadore ça, avec une fessée en prime, il nen faut pas beaucoup plus pour menvoyer au septième ciel.
- Oh mon dieu oui, continue !
- Tu aimes ma queue ?
- Putain oui ! jadore ta queue !
- Elle est toute à toi alors !
Il a dû accélérer ses mouvements parce que je me mets à crier encore plus fort de plaisir. Je lencourage à aller plus loin en moi et je vois quil sarrête.
- Montre-moi à quel point tu la veux au fond de toi.
Je gémis en voyant mes fesses reculer sur sa bite. Il zoome et je peux clairement voir à quel point je mouille sur sa bite. Elle est crémeuse de mes sécrétions vaginales. Jai envie de me caresser, de lappeler pour quil vienne calmer mon excitation à grands coups de bite comme il sait si bien le faire.
Je remets mon attention sur la vidéo et le vois ramener ma mouille sur mon anus. Il le caresse doucement puis le pénètre avec mon petit plug anal et je mentends gémir, certainement à cause de leffet combiné des deux. Je me vois accélérer mes mouvements, jusquà ce quil pose le téléphone sur le chevet. Il matt les hanches et me plaque contre le lit. Et là commence certainement une des meilleures baises de ma vie. Je crie mon plaisir et il tire ma tête vers lui, me chuchote à loreille puis me laisse pour revenir sur mes hanches. Le rythme du claquement de nos peaux qui se rencontrent est régulier, jusquà ce quil jouisse dans ma chatte pendant quun violent orgasme me submerge. Il me lâche pour arrêter la vidéo, mais jai encore le temps dapercevoir mes jambes trembler
Je lappelle pour lui dire de passer à la maison ce soir, mais il ne répond pas.
*
Vendredi est enfin là. Je me rappelle encore de la vidéo et je me sens mouiller légèrement. Une fois ma fille endormie, jai dû me calmer à grands coups de godes dans tous mes trous
Je me rappelle aussi de la promesse que je me suis faite, et il est temps de tout mettre en uvre pour. Enfin, je vais tenter de la mettre en uvre, car avec lui, je ne suis jamais au bout de mes surprises. Sans dire quil est manipulateur, il a un don pour ne pas se laisser surprendre. Mais ce soir, je veux quil soit à ma merci. Et je lui ai fait jurer quil se laisserait faire, ce qui a été assez laborieux. Mais il a accepté pour mon plus grand plaisir.
Aujourdhui, je ne travaille pas. Après avoir déposé ma petite à son école, cest lheure du shopping. Un petit tour dans ma boutique de lingerie fine, et jen ressors avec un grand sac, plein de choses qui le feront craquer. Quand je regarde ma montre, je constate que jy ai passé près dune heure et demi. Tant pis, il faut que ça soit parfait ce soir. Pas le temps daller chez la coiffeuse, mais le repas se doit dêtre excellent. Entre la cave à vin, le poissonnier et le pâtissier, tout y passe. Huitre, chocolat, cannelle, gingembre et pleins dautres choses aphrodisiaques qui le feront craquer au plus vite.
Le temps passe tellement vite, que je reçois déjà un appel de ma fille pour me dire que son père la bien récupéré, et quils passeront le week-end chez mes ex beau parents.
*
Il est presque 20h quand je sonne chez elle.
- Bonne journée ?
- Pas trop mal. Et la tienne ?
- Chiante au plus haut point. Je vais prendre une douche avant de manger, si tu veux bien.
- Vas-y, je finis de dresser la table.
Leau chaude me fait un bien fou. Je traine un peu, et elle me rejoint quand elle a fini ses préparatifs. Je lattire contre moi et lembrasse. Jai envie delle, et je dois me retenir de ne pas lui sauter dessus. Quelle idée de faire des promesses pareilles
Elle me repousse en rigolant en me disant quelle a faim de nourriture avant tout, et quelle espère que moi aussi. Jai limpression quelle sest donnée beaucoup de mal pour ce soir.
Quand jarrive au salon, la pièce est éclairée par des bougies qui dégagent un léger parfum de fruits rouges. Une fois nest pas coutume, cest sur la table basse que nous allons manger. Je reconnais un petit plateau dhuitre, des crevettes au guacamole et jen passe. Je minstalle dans le canapé en attendant quelle sorte de la cuisine.
- Tu as besoin daide ?
- Reste là où tu es. Aux dernières nouvelles jarrive encore à ouvrir une bouteille de vin.
Jentends le pop qui me confirme quelle a réussi. Japplaudis en la félicitant jusquà ce quelle rentre dans la pièce. Et là je reste bouche bée. Je naime pas les surprises, mais je peux clairement dire que jadore celle-ci. Elle porte un peignoir mi long, en soie et dentelle noire. Avec la pénombre, je ne discerne pas grand-chose du reste, mais je suis terriblement excité den voir plus. Quand elle sassoit près de moi, je peux voir les bas en résille rouge et je dois faire un effort considérable pour ne pas la déshabiller petit à petit pour apprécier sa surprise.
- Au vu de ta bouche grande ouverte, je vais considérer que ma tenue te plait.
- Si tu savais
- Oh jimagine que tu as envie de voir le reste, mais ça devra attendre la fin du diner.
- On peut aussi sauter létape où on est censé manger
- Je ne me suis pas embêtée à te faire à manger pour que tu napprécies pas. Et surtout ne te force pas à aller vite, je veux te tu prennes le temps dapprécier le tout.
- Je peux aussi apprécier en allant vite.
- Cest moi qui décide ce soir, tu as oublié ?
Je souris pour toute réponse et nous sert du vin. Le repas est délicieux, je prends le temps de tout apprécier car je sais quelle ne sera pas plus rapide que nécessaire. Au dessert, elle se lève pour aller chercher une autre bouteille dans la cuisine, et son déhanché machève. Je fais mine de me lever pour la rejoindre, mais elle marrête :
- Jaimerais éviter de mettre un terme à la soirée alors que tu as été si patient jusquà maintenant. Encore un peu.
Quand elle revient, cest avec une bouteille de rhum vieux, ma préférée. Même si je me meurs denvie de la déshabiller et de la manger de partout, je reconnais quelle a amplement mérité que je reste sage jusquà la fin. Elle a aussi apporté une bouteille de sirop de gingembre et je commence à cerner son petit jeu.
- Ça fait beaucoup dépices pour une simple soirée.
- Tu aimes bien manger épicé non ?
- Oui, mais là, ça fait beaucoup daphrodisiaque. Gingembre, huitres, chocolat noir
Tu sais que tu nas pas besoin de tout ça avec moi ?
En disant cela, jai posé ma main sur sa cuisse, prêt à la faire remonter. Elle me regarde faire puis me fixe avec tout le sérieux du monde. Jai compris, je ne suis pas autorisé à prendre dinitiatives ce soir. Je retire ma main et me sert un verre de rhum vieux. Délicieux, jen apprécie chacune de mes gorgées. Nous discutons encore, le temps quelle finisse son dessert, puis elle commence à débarrasser la table basse. Je me propose de laider, ce quelle accepte pour une fois. Jen profite aussi pour faire la vaisselle, car je sais que cest chiant de se lever le matin et davoir tout à faire. Quand jai fini, je la vois sur le canapé qui mattend.
- On discute de ta surprise ?
- Attends-moi là, je reviens.
Un autre verre de rhum vieux mattend et je minstalle confortablement. Elle savance vers moi et sagenouille sur moi et commence à membrasser. Mes mains caressent son corps, comme si je le découvrais pour la première fois. Bizarrement, elle ne minterdit rien, jusquà ce quelle sarrête de membrasser et me regarde dans les yeux :
- Tu te rappelles de ta promesse ?
- Oui mdame. Explique-moi les règles ?
- Humm, laisse-toi faire
Oh
et puis, interdiction de me toucher ce soir. Tu as droit seulement aux yeux.
- Ça par contre, ça risque dêtre compliqué. En plus ce nétait pas prévu ça
- Ça risque darrêter la soirée si tu nes pas sage. Mais je te fais confiance.
Jacquiesce en lembrassant et en posant mes mains sur le canapé. Je dois reconnaitre que cest assez difficile de me retenir de poser mes mains sur son corps. Elle recommence à membrasser en me caressant le cou, puis descend sur mon torse. Même à travers mon t-shirt, elle me fait frissonner. Je reconnais que cest difficile de lutter contre lenvie de la tenir, de la retourner sur le canapé et de lui faire lamour jusquà lépuisement. Quand sa main remonte sur mon cou, je me crispe et elle me regarde avec étonnement. Puis un sourire éclaire son visage et elle relève ma tête et me mordille le cou. Je fonds littéralement et la serre dans mes bras.
Elle continue et je me mets à gémir. Sa langue se promène sur ma peau tout en douceur et elle sarrête au moment où elle sent que je vais la soulever.
- Cest con, je devrais arrêter la soirée juste à cause de ça.
- Tu sais que je suis sensible du cou
- Tu sais que je suis hyper sensible des tétons et ça ne tempêche pas de tamuser avec
- Cest vrai. Désolé davoir gâché tes plans.
Elle me regarde un moment, membrasse et se lève. Elle me prend par la main et minvite à la suivre dans la chambre. Jobtempère en silence, encore sous le charme de son déhanché devant moi. Je reconnais que je suis surpris de la tournure des évènements. Nos rencontres ont toujours été basé sur un lâcher prise de sa part, dû au stress et à la pression que peut lui infliger son travail. Mais là, elle semble contrôler entièrement la situation, comme si elle sétait fixé un objectif. Ce qui me fait doucement rigolé quand je repense à ce que javais prévu pour elle au chalet.
- On ira bien au chalet demain ?
- Tout dépend de notre motivation. Allez, installe-toi sur le lit.
Je crois rêver
des menottes ? une ambiance tamisée, un parfum de rose dans lair.
- Tu comptes mattacher ?
- Je me doutais bien que tu avais du mal à tauto discipliner
alors jai prévu de quoi te laisser une autre chance.
- Une autre chance ?
- Je peux aussi arrêter la soirée
Je massieds sur le lit et la laisse mattacher. Quand elle est sûre que je ne risque plus de bouger, elle commence à se déshabiller devant moi. Le peignoir révèle dabord ses épaules, puis un décolleté à damner les saints
je ne sais pas où elle a acheté sa lingerie, mais je suis en totale érection rien quen voyant sa poitrine parfaitement réhaussée dans la dentelle. Le peignoir finit par tomber et je ne peux quadmirer sa tenue. Ses hanches sont parfaitement mises en valeur par le porte jarretelle et le string, la dentelle rouge et noire qui contraste, il nen faut pas plus pour que je sois terriblement excité.
- Tu aimes ?
- Sache que tu as bien fait de mattacher. Mais cest quand même dur à vivre.
- Le pire est à venir alors.
- Pourvu que le pire soit agréable
Elle savance vers moi et se met à califourchon sur moi. Jai la tête au niveau de ses seins, et elle samuse à me voir essayer de les embrasser. Elle finit par presser ma tête contre elle et jembrasse sa poitrine comme je peux. Elle libère un de ses seins et me le tend :
- Lèche
Je mexécute en promenant ma langue sur sa peau et suce son téton. Je moublie littéralement, trop concentré à profiter du peu quelle me laisse.
- Mordille-le, tu sais que jaime ça
Mes dents lui arrache un petit gémissement puis je reprends son sein à pleine bouche. Quand elle a assez, elle sarrête et membrasse. Ses mains se glisse sous mon t-shirt et caresse ma peau. Jai limpression de prendre feu de désir quand elle meffleure avec ses ongles. Elle fait en même temps des petits mouvements de haut en bas, comme si elle chevauchait mon pénis. Elle descend sur mes cuisses et baisse mon pantalon ; évidemment, je nai pas mis de sous vêtement et mon érection est plus que visible
Elle prend mon sexe en main et commence à la branler. Doucement, mais fermement, elle monte puis descend, meffleure le gland de temps en temps. La sensation de sa main est exquise et jose à peine imaginer e que ça pourrait être si elle me faisait une fellation. Elle promène ses doigts sur toute la longueur de ma bite, me caresse aussi les testicules tout en membrassant. Je gémis de plaisir quand elle me mordille les lèvres, puis elle revient sur mon cou.
- Ça par contre, cest une mauvaise idée.
- Pourquoi, tu vas chercher à te libérer ?
- Il va bien falloir que tu me détaches
- Nous nen sommes pas encore là. Allonge-toi.
Je mexécute tant bien que mal, et je la vois redresser ma bite puis poser sa bouche dessus. Ses lèvres enserrent mon gland, puis cest sa langue qui prend le relais. Elle se promène sur mon gland, qui en devient de plus en plus sensible, puis elle lèche ma queue sur toute sa longueur avant de la reprendre en bouche. Commence alors une des meilleures fellations de ma vie, si ce nest la meilleure. Elle accompagne sa bouche de sa main et jen retire un plaisir immense.
- Dhabitude tu ne les fais pas aussi bien
- Dhabitude tu ne me laisses pas moccuper de toi.
Jacquiesce en silence en me concentrant pour ne pas jouir. Elle a attaché ses cheveux en arrières, donc jai une vue parfaite sur ses gestes. Elle samuse à passer ses dents sur mon sexe et jen sursaute presque de plaisir. Je la voie lécher la base de mon gland pendant quelle me branle et je sens quelque chose dangereusement monter en moi.
- Arrête-toi, je vais jouir
- Tant mieux.
Elle avale presque entièrement ma bite et me pompe à pleine bouche. Je mentends gémir quand elle commence à me branler en même temps. Quand jessaye de larrêter, elle se relève et me regarde dans les yeux. Puis sa main se met à coulisser doucement sur mes testicules et les caresses. Elle me branle en même temps et là, cest sûr, je vais jouir rapidement si elle continue comme ça. A croire quelle sait au moment précis où je vais éjaculer, elle recommence sa fellation.
- Oh putain
- Jouis pour moi.
Sa langue frotte mon frein en même temps que sa bouche fait des vas et vient et je me mets à jouir dans sa bouche. Ça ne lempêche pas de continuer, bien au contraire. Je ne sais pas combien de fois jai dû crier putain, mais elle a lair de sêtre bien amusée. Elle me regarde en rigolant :
- Pas la peine de me regarder comme si jétais le diable en personne
- Ta langue et ta bouche sont démoniaques
Elle éclate de rire et recommence à me branler. Je nai pas débandé et elle se met sur moi en 69.
- Je crois savoir que tu as faim
Elle écarte son string pour que jai accès à sa chatte puis elle soccupe de ma bite. Jai encore le gland sensible et je sursaute quand elle pose ses lèvres dessus. Cest la première fois que jai autant de mal à me concentrer sur un cunnilingus. Jessaie tant bien que mal de mappliquer à lexciter mais le plaisir que me procure sa bouche surpasse ma motivation.
- Tu mas clairement habitué à mieux en termes de cunni
- Si tu me détachais aussi
Elle sarrête de me sucer et sagenouille autour de ma tête. Là, jai sa chatte presque posé sur mon visage.
- Embrasse mon clitoris.
Je pose mes lèvres sur son petit bouton, et elle me fait recommencer plusieurs fois avant de me dire de la lécher. Je la vois se pincer les seins en même temps et je sens quelle sabandonne petit à petits au plaisir que je lui procure. Je promène ma langue sur ses grandes lèvres, fouille lentrée de sa chatte et aspire son clitoris du mieux que je peux. Jaime le gout de sa mouille sur la langue, sa petite touffe de poil sur son pubis qui me chatouille le nez. Quand elle en a assez, elle sempale sur ma bite et me chevauche rapidement. Je gémis de plaisir, il faut dire que sa chatte est plus serrée que dhabitude et elle samuse à contracter son vagin pendants ses mouvements.
Elle finit par ralentir ses mouvements et sallonge sur moi pour membrasser. Elle recommence à bouger doucement cette fois-ci, et sa chatte se serre sur mon gland à chaque fois quelle remonte. Elle descend sur mon cou pendant que ses mains mempêchent de bouger. Elle me lèche et me mordille et sans que je men rende compte, un violent orgasme me submerge. Je jouis dans sa chatte en criant de plaisir, le souffle presque coupé. Essoufflé, jai limpression dêtre complètement vidé. Elle membrasse doucement puis me détache.
- Tu vois, tu devrais te laisser faire de temps en temps
Je grogne dans sa bouche et meffondre sur le lit. Elle me tire à sa suite dans la douche et je la suis en trainant des pieds. Je suis épuisé, pourtant je nai rien fait. Bien que je naime pas les surprises, je lui avoue que jai adoré celle-ci. Dans la salle de bain, elle commence à retirer ses sous-vêtements, mais je larrête.
- Merci
Je magenouille et fais glisser son string sur ses jambes. Je remonte en embrassant ses cuisses, puis son ventre et enfin ses seins. Jembrasse sa peau en faisant tomber ses bretelles, malgré mes genoux qui tremblent. Putain, cest bien la première fois quon me fait jouir à ce point.
- Tu mas lair bien trop fatigué pour ça, et lui, il na pas lair dêtre très coopératif.
Elle a pris mon sexe en main en disant cela et mattire contre elle dans la douche. Je finis de détacher son soutien, et nous rentrons sous leau chaude. Nous nous savonnons mutuellement, mais je sors avant elle, trop épuisé pour profiter delle. A peine couché, je sombre dans un profond sommeil, sans même sentir quelle sest allongée contre moi.
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