La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1057)
La Comtesse et son clitoris (Hors-série, la suite) - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
Des plaisirs totalement inconnus deux ou delles...
Ces découvertes ayant été faites, je madonnais tous les soirs à ce qui était devenu un rituel, la délicieuse masturbation clitoridienne. Selon que javais du temps ou pas, de toute façon, je jouissais tous les soirs au moins trois fois et quasi toujours puissamment. Mais les samedi soirs, il en était toute autre. Cet ami, le clito, devenu très cher, très présent, allait se montrer plus coquin que ce que je pensais au début. Il lui arrivait, plusieurs fois de se manifester au cours dune journée
Jappris très vite, par exemple à lui « parler » nimporte où. Jétais en classe par exemple, comme beaucoup de femmes, je croisais les jambes. Ainsi, je compris assez vite, que les jambes croisées, en contractant les muscles de mes cuisses, jarrivais à communiquer avec mon très cher et encombrant ami devenu un peu dictateur. Et, ma foi, bien que différentes, les sensations nen étaient pas moins intéressantes, car mon ami, me permettait de mévader mentalement, pendant des cours ennuyeux sans que personne ne saperçoive que quoique ce soit, qui se passait en moi et sous la table. Dans la journée, le moindre mouvement de mes jambes, faisait bouger les lèvres de mon sexe et donc, massait doucement mon petit bouton rose car toujours semi rigide
Le résultat est quil me faisait rester quasiment en permanence à penser à lui et aux plaisirs quil me donnait quand jallais plus loin. Petit clito, tu deviens tyran !
Un jour, pendant un cours danglais, et bien que ce cours me passionnait, (je trouvais le professeur de Terminal très beau et sympa), alors que ma jambe droite était sur la gauche, instinctivement, je contractais les muscles de mes cuisses, enserrant ainsi et massant mon tendre ami. Ce jour-là, comme souvent, je portais des bracelets au poignet gauche.
- Isabelle, veuillez passer au tableau, sil vous plait !
En me redemandant de passer au tableau, le professeur posa sa main sur mon poignet et dit :
- Vous avez de beaux bracelets Isabelle, ils vous vont à merveille !
En disant cela, il me caressait le poignet et son toucher me donna des frissons. Les frissons dus au toucher du Prof, ajoutés aux envies de mon ami le clito, je finis par me lever dans une sorte de brouillard, et alla au tableau. Le fait de me lever, de commencer à marcher, déclencha un orgasme si puissant, que jeus du mal à monter sur lestrade et le temps dune seconde, je me « pliais » en deux. Arrivée enfin au tableau et redevenue consciente de ce que je devais avoir montré au prof et à la classe, je devins rouge de honte, cramoisie même.
- Un problème, Isabelle, me demanda le Professeur en souriant ?
- N
.. Non, Monsieur, (reprenant mon souffle), tout va bien, répondis-je !
Plusieurs de mes copines de classe savaient que le professeur me plaisait, on en avait parlé entre nous, comme le font les nanas mais je ne savais pas que des garçons en étaient au courant.
- Vous êtes sûre, Isabelle ? redemanda le Professeur.
- Tout à fait, Monsieur.
A cet instant, un garçon de la classe, à qui javais souvent refusé des demandes, sécria tout haut :
- Monsieur, cest parce que vous avez touché le poignet dIsabelle, Ha ha ha ! Votre fluide Monsieur a fait le reste.
Le Professeur se mit à rire, recadra le garçon, mais me regardait dans les yeux.
- Isabelle que vous est-il arrivé vraiment tout à lheure, me demanda-t-il ?
- Rien, Monsieur, vraiment, juste une fatigue passagère.
Je plaidais la fin de lannée, lapproche du BAC (menteuse que jétais) le stresse en quelque sorte. Nous étions au début du mois de juin, il faisait déjà chaud aussi je ne portais quune jupette et un chemisier. Pas de soutien-gorge cependant, mes seins menus tenaient parfaitement. Pendant que placé à ma gauche et caressant mon poignet, je remarquais quil regardait à lintérieur de mon chemisier, ce qui, immédiatement me fit devenir cramoisie et avec la même vitesse, mon ami clito, réagit
La classe sétait vidée, nous étions en fin de matinée, les cours étaient finis. Le professeur lâcha mon poignet, rangea ses affaires et moi jen faisais de même. Les copines mattendaient dehors et tentaient de regarder au-dessus des vitres dépolies pour voir pourquoi je ne venais pas rapidement. Elles avaient vu les gestes du professeur et elles savaient quil me plaisait. Au moment de sortir de la classe, celui-ci, avec un sourire normal me dit :
- Vous allez manger, Isabelle ?
- (Surprise de sa question) Oui Monsieur, bien sûr !
- Que diriez-vous si je vous invitais à manger avec moi ?
- Qui, moi, Monsieur ?
Et là encore, et à nouveau, je ressentis en bas de mon ventre cette fameuse boule, mes tétons se fripèrent, oh les traites ! Le Professeur sen rendit compte :
- Oui, Vous bien sûr Isabelle, allez, dites oui, vous êtes une excellente élève, vous aurez votre diplôme, mais je peux vous aider à obtenir la mention très bien
Abasourdie, jacceptais et nous voilà, le professeur et moi sortant en même temps de la classe, devant les copines et les potes, partant avec lui
Nous sortîmes de lécole, et le suivant, nous dirigeâmes vers un troquet situé en face.
- Vous ne croisez pas vos jambes Isabelle ?
- (immédiatement) si Monsieur (les remettant croisées)
- Quand vous croisez les jambes, Isabelle, cela fait ressortir les muscles de vos cuisses et affine vos jambes qui sont déjà si belles
A ces mots, mon clito, bondit de joie et tel le corbeau dans la fable de La Fontaine, se lâcha honteusement, se mettant à vibrer si fort quimmédiatement, les muscles de mes cuisses se mirent en action. Reculé sur sa chaise, et donc de la table, le Professeur comprit rapidement ce que je croyais invisible
Âgé dune quarantaine dannées, il était marié puisquil portait une alliance. Bel homme, sûr de lui, et en plus, excellent professeur et pédagogue. Moi, 18 ans passé, en proie à des fortes envies clitoridiennes qui devenaient plus que gênantes, je me penchais en avant, légèrement, ce qui offrait à la vue du Professeur lintégralité de mes seins dont les tétons étaient devenus très durs. Cela aussi il le vit et dans un grand sourire calme et continua :
- Isabelle, quêtes-vous en train de faire ?
- Rien Monsieur, bredouillais-je
- Mais si, je vais vous le dire ! Vous êtes en train de vous exciter !
- ?????
(Se rapprochant de la table) - Isabelle, ne me mentez pas, pas à moi, regardez la vérité en face, vous vous masturbez
Le nez penché sur mon assiette encore vide, je ne disais mot, cramoisie étant un mot très faible
- Redressez-vous, et poursuivez ce que vous êtes en train de faire et que vous faisiez en cours aussi, je me trompe ?
- ?????
- Vous ne répondez pas ?
- ?????
- Je vois ! Venez, sortons
Je reprenais rapidement mes affaires, nous navions rien avalé, et nous sortîmes, le soleil me fit du bien, quand il me prit par la main, et sen allait je ne sais où.
- Bonjour Mademoiselle, une chambre, sil vous plait ! dit-il à la réception.
(La réceptionniste me regardant, dit) - Pour deux personnes Monsieur ?
- En effet !
- Veuillez remplir tous les deux, la fiche
- Pas de problème répondit-il.
Tandis que le professeur remplissait sa fiche, jen faisais de même avec la mienne. Les fiches remplies et rendues, la réceptionniste me demanda ma carte didentité pour, je suppose vérifier ma majorité légale tout en regardant ma photo et moi, plus cramoisie que jamais, puis elle sourit et elle me donna les clefs de la chambre.
- Prenez les serviettes en passant, dit-elle au professeur.
Nous montâmes à létage de ce qui était une sorte de bouge, les escaliers en bois craquaient lamentablement
Nous arrivâmes dans la chambre. Jétais pétrifiée, sans bouger, le professeur posa ses affaires sur le lit, prit place sur une chaise et me dit :
- Montre-moi, comment tu te branles !
Comme je ne bougeais pas, il sapprocha de moi, me prit dans ses bras, tandis que de sa main droite passée sous ma jupe, ses doigts sintroduisaient sous ma culotte.
- Tu es bien mouillée, dis-moi !
En disant cela, ses doigts remontaient vers mon clitoris et :
- Il est bien dur dit-donc et commençant de le travailler sans quil me le demande.
Savourant son geste, je défis mon chemisier laissant apparaître cette fois entièrement mes petits seins insolents. Comme jétais placée devant lui, mes tétons arrivaient sous son nez et immédiatement il en prit un en bouche. Le résultat fut fulgurant, des myriades détoiles sallumèrent devant mes yeux, mon clito se mit à vibrer comme il savait le faire et je sentais arriver la tornade classe 4
Soudain, le professeur se reprenant, retira ses mains, me poussa doucement en arrière, et me fit me mettre nue, ce que je fis en tremblant dappréhension mais surtout dexcitation extrême, oui surtout dexcitation ! Très doucement, il me fit mallonger au pied du lit, en face de lui, les jambes pendantes et écartées et me dit dune voix douce :
- Allez, vas-y Isabelle, montre-moi comment tu fais
Quelques secondes sans bouger, javais honte quand même et ma main trouva lendroit magique et commença une danse endiablée devant le professeur, qui me conduisit en quelques minutes dans un paradis que je connaissais bien mais que je partageais pour la première fois avec un étranger. Vous expliquer ce que cela me fit est impossible, il ny a pas de mots pour le dire. En plus des orgasmes se déversant sur moi, je me sentais devenir catin, pas honteuse au contraire même, fière de ce que jétais en train de faire, aussi, je me lâchais entièrement devant cet homme que jadmirais tant. De plus, en observateur attentif, il ne sétait pas jeté sur moi, restait sagement à sa place, ses yeux, émerveillés semble-t-il par ce que je lui montrais mencourageaient (cest ce que je ressentais) à me laisser aller entièrement. Ce jour-là, je suis devenue exhibitionniste et complètement désinhibée nhésitant plus à montrer, non seulement mon corps mais mes intimités même. Je prenais conscience de la puissance de mon corps et tandis que jenchaînais orgasmes sur orgasmes, que je remuais comme une furie sur ce lit, me lâchant totalement, je navais pas vu quil avait sorti son sexe quil caressait doucement. Une fois mes caresses terminées, il mannonça :
- Isabelle, il est seize heures trente.
Cela faisait 4 heures que nous étions dans la chambre) 4 heures dorgasmes en tous genres, 4 heures de folies, 4 heures pendant lesquelles je ne métais plus appartenue.
- Seize heures trente Monsieur, dis-je en tentant de me relever ?
Cest à cet instant que je vis son sexe dressé tel un mât. Une verge grosse, épaisse, dure comme un bâton, longue tel un pieu dressé
En souriant, il me lança :
- Viens te mettre ici (il me montrait ses genoux)
Je mapprochais, me mis à genoux Très doucement, il me prit la nuque et lapprocha lentement mais quand même de son phallus. Il ne me demandait rien mais jouvris la bouche pour la première fois de ma vie, jallais prendre en bouche un sexe masculin, je réalisai donc ma toute première fellation
(A suivre
)
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