Histoire De Rugbyman. Chapitre 2 Partie 8 Le Boss Icham

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

PARTIE 8 : Suite du flash-back Quentin La cité du boss Icham

Il est 21 heures je me retrouve dans une cité en région parisienne, au point de rendez vous que nous a indiqué Marc. Dans la voiture Thibaut et moi ne somme pas rassurer, mais il fait encore jour, une chance qu'on soit en pleine été. La cité paraît dangereuse, mais Marc ne nous a pas laisser le choix, c'est çà ou l'humiliation total. Notre contact est un certain Icham, le «caid» de la cité. Nous serons a ses ordres durant toutes la nuit. GENIAL pfffff.

D'un coup, un homme toc à la fenêtre,

-Salut moi c'est Icham.

Je tombe à la renverse, le mec est trop beau, il a de sublime yeux vert émeraude. Une peau basané typique des arabes, une casquette rouge porter à l'envers et un sourire ravageur. Je bave littéralement devant lui. Il paraît un peu surpris de mon attitude, mais ne se laisse pas démonté.

-Ok vous devez être les mecs que je cherche

Je n'arrive même pas a répondre, car il s'est un peu redresser ce qui laisse apparaître son jogging et une bosse sublime entre ses jambes. J'ai la bouche ouverte. Mais aucun son n'en sort.
-Je sais que je suis beau, mais à ce point la ?

-Pardon, c'est sur que tu es beau, mais oui eu, OK, c'est ... euh beau … euh

-Excuse mon ami, il voit rarement des mecs aussi beau que toi, moi c'est Thibaut et le mec hébété devant toi, c'est Quentin. C'est Marc qui nous envoie.

-Ok suivez moi et verrouillez bien la caisse si vous voulez la revoir demain.

Nous descendons et je suis surpris par la gentillesse de ce canon. Il a rien a voir avec les lascars dans les films. Je me décontracte un peu jusqu'à descendre dans la cave où, il y a plein d'autres lascars qui nous attendent. Il voit mon hésitation et se rapproche de moi et me dit

-Toujours d'accord pour la partouze ?

-Oui.

-Bien alors allons-y.

J'ai dis oui, mais je n'en était plus sûr. Ces mecs me paraissaient beaucoup moins gentils et beaucoup mon beau que Icham. J'aurais voulu lui proposer de faire ça que nous trois. Mais je ne pense pas que les autres aurais approuvé. Nous arrivâmes devant la porte d'une cave avec une énorme bite dessiner dessus. En entrant, je vis plusieurs noir et arabe en cercle, en train de gémir et certainement de jouir. En se décalant un petit minet brun avec le cul explosé et couvert de sperme apparut. Il ramassa une claque par un des rebeux et s'enfuit sans demander son reste. Le frappeur qui s'appelle Yassine nous sourit et dit :

- Vous êtes juste à l'heure, entrez

Il était plutôt moche et paraissait méchant. A cote de moi ce trouver le plus beau mec que je n'ai jamais vue. Je me tourner vers lui et lui lança un regard implorant. Il détourna le regard et parti s’asseoir sur un sorte de trône au milieu de la pièces. Pendant son déplacement j'ai pu l'observer sur d'autre couture. Il était brun, très beau et très musclé plutôt trapu, avec un corps d'homme et des cuisses puissantes. Mais Yassine le moche m’interrompit dans ma contemplation en s'approchant de nous et attrapa d'abord Thibaut, il immobilisa ses mains et me regarda droit dans les yeux et dit

- tu es le prochain, bâtard !!!

La folie et la fureur dans son regard me paralysa, je chercher le regard d'Icham, mais en vain. Le fou repris la parole et dit :

- il parait que les riches blanc ont des culs aussi doux que le miels, j'ai envie d'y goutter.

Il frappa plusieurs fois sur le cul a Thibaut pour le faire réagir, mais compris bien vite que ce dernier adorer la violence. Il fit signe aux autres de m'attr, mais je commencer à regret ma présence et j'étais sur le point de m'enfuir.

Il avait des rires gras, des rires disant regardent comment ont va les déchirer tout a tour. Ses mecs étaient vraiment monté comme des chevaux et mon anus aller en pâtir. Dans ma recherche de sortir de secours mon regard se fixa sur mon homme assis sur son trône, le seul qui ne criait pas et de mon point de vue était le plus beau. Je fixais mon regard sur lui et une larme coula sur mon visage, je vis dans son regard une sorte d'empathie, mais juste un bref instant. L'instant d’après il avait repris son masque de désintéresser face à la situation et je me retrouver à nouveau seul, face à mes agresseurs.

Thibaut était déjà en train de se faire tringler au sol comme une chienne en criant son bonheur. Un black du non de Carlo, pris la place de Yassine et ce dernier revins vers mois. Il m'arracha mon pantalon, ma chemise et les lancèrent comme des trophées à ses collègues. Il fixa son attention sur moi et je fis la même chose. Je regardais mon agresseur avec défiance, mais aussi avec désir simulé. Après tout quitte a se faire prendre, mieux vos y prendre du plaisir. Je cessais tout geste de rébellion et me laisser faire, car j'avais prévu de l'humilier. Lorsqu'il ôta son froc et qu'il pénétra en moi comme une brute, une douleur atroce me tira, l'anus, je serais les dents et planta mon regard dans ses yeux. Il prenait énormément de plaisir a voir ma souffrant plus encore que de me voir implorer. Alors au contraire je me mis a délirer comme une femme.

- Oh oui baise moi plus fort, plus fort, soit un homme, je sens rien va s'y.

Je l'encouragais et les moqueries sur mon compte commencèrent, on se moquer de son manque de virilité et de son incapacité à me faire crier, ses potes se moquer ouvertement de lui. Pour se venger, il s’enfonça encore plus en moi et je vis la colère sur son regard, ce qui prouver que mon plan fonctionner. J'entendais des "aller Yass putain, t'es pas un homme ! Il crie même pas ! Putain fait le crier! T'es pd ou quoi !". Pour enfoncer le clou, je relevais mes jambes sur le haut de ses fesses et les croisa afin de prendre appui dessus pour soulever mon bassins seul et m'enfoncer moi même sur son sexe. Dés que je pris cette position les rirent explosèrent de plus belle, alors je commenças à le baiser tout en l'insultant

- tiens prend ça, oui, oui Yassine regard c'est moi qui te baise, c'est moi qui me baise tout seul avec ta bite, TIENS !!!

Il était dans une telle rage qu'il a joui en deux secondes, pour entérinée le clou, j'ai penser qu'un cadeau s'imposer, alors qu'il remettait son pantalon toujours sous les moqueries des siens, j'ai pousser comme pour chier et j'ai giclé son sperme de mon anus directement sur ses vêtements. Ce fit la goutte d'eau qui fit déborder le vase, car il me balança un coup de poing en plein estomac qui me coupa le souffle et commença à m’, mais une voix l'intima d’arrêter.

Tous ce tournèrent vers cette voix, et je reconnus l'homme désintéressé de toute a l'heure, mon fameux bogoss. Dans l'assistance personne n'osa passer après ce cher Yassine, tous avaient peur de l'humiliation. La foule se regroupa autour de Thibaut qui était bien plus salope que moi. Les autres me fuirent comme la peste, de peur de subir la prochaine humiliation. Le fameux Yassine rouge de rage et de colère s'expliqua rapidement avec le boss avant de quitter la cave la queue entre le jambe. Le boss, me prit par le bras et me traîna vers une cave voisine. En y entrant je sentis une grosse différence. Le sol était recouvert d'une moquette qui paraissait propre, les murs était peint en blanc et plus important encore il y avait un vrai lit. Rien a voir avec le matelas pourrit d’à coter.

- Cette pièce et normalement réservé au baise avec les femmes, pas pour les pd. Mais toi je sens que tu es un capricieux comme les femmes et qu'il faut t'amadouer pour t'avoir. D’ailleurs c'était courageux de ta part de tenir tête a mon lieutenant tu sais qu'il aurait pu te ?

Je baisse les yeux sans répondre, alors il s'approche de moi et soulève mon menton.

- T’inquiète, je vais pas te taper dessus, c'est juste pour toi que je dis ça.
- Alors que veux tu ?
- Tu me tutoie maintenant
- Pardon, monsieur je vo...

Il explose de rire et me dit

- Purée tu es un phénomène toi, tu peux me tutoyer, mais uniquement dans le privé. Alors dis-moi pourquoi t'a accepter de venir faire une partouze si tu veux pas bais..Couché.
- …
- Répond, je vais pas le répéter, c'est promis
- Marc me fait du chantage, je n'ai pas le choix. Mais ton pote c'est un porc, il est méchant.
Il éclate encore de rire et me regard
- Putain tu es trop toi, tu sais dans les cités ont est tous un peu défoncé. Mais les mecs ont est rarement tendre avec eux, sinon on se fait traiter de pd. Les femmes ont leur fait l'amour, les minets, les pd ont les nique c'est tout.

Pendant qu'il parlais je l’observé de plus prés, je pus me rendre compte, qu'il est grand, voir très grand. Dans les 1m90, le cheveux bouclé, bien que caché sous sa casquette, la peau matte, une bouche sublime. Le jogging qu'il portait lui aller tellement bien et le t-shirt moulant sur son torse musclé aussi J'étais totalement nu, ce que j'avais oublier. A la vue de son corps mon sexe ne pus s’empêcher de se dresser. J'étais rouge de honte alors je baissa les yeux, il eu un petit rire et me dit d'une manière étonner

- Je te plais tant que ça ?

Je relève les yeux avec honte, mais nous ne sommes que deux alors j'ai le courage d'avouer

- Oui, je trouve que tu es le plus bel homme que j'ai jamais vue, tu es trop sexy, trop tout
- Oh, du calme, tu vas pas non plus tomber amoureux de moi. Je te l'ai déjà dit, je suis hétéro les mecs, c'est que pour de la baise. Mais pour toi, je veux bien faire une exception et te faire l'amour.
- Pardon, désolé, je..JE voul..
- Eh, du calme, tu n'as pas à avoir honte de me désirer moi aussi, je veux te faire l'amour.


Je me redresse et commence a faire des étirements. J'ai envie de lui, j'avoue, cela fait des semaines que je subis des choses horribles et je rêve qu'on me fasse délicatement l’amour. Alors je lui tourne le dos écarte légèrement les jambes et plis le dos de manière à toucher mes plats de pieds avec mes doigts, cela a pour effet de lui montrer mon anus écarté. Je recommence plusieurs fois mes exercices en lui parlant. Je lui explique que je suis courbaturé. Pour finir je me mets à quatre pattes toujours dos à lui, j'écarte les jambes et je creuse le dos afin d'étirer au maximum mes bras vers l'avant puis vers l’arrière et je finis par écarter mes fesses pour rendre bien visible mon anus.

- Tu as envie de faire quoi ?
- …
- Petit mec, quand je te parle, tu me réponds !
- Pardon,
- Je t’ai demandé ce que tu voulais faire avec moi !
- Ah, désolé, je ne sais pas ! Je veux tout.

Ce mec règne sur sa cité, il est hyper sexy et kiff sur moi ? C'est improbable, mais j'ai envie de tenter ma chance. Il se tourne vers le miroir sur le mur toujours avec sa casquette rouge et se débarrasse de son t-shirt et laisse ses muscles s’épanouir. Il se regarde sous toutes les coutures et fait jouer ses muscles. Son dos est impressionnant et hyper bien développer. Puis il retire son jogging, en dessous, il porte un boxer rouge avec sa casquette rouge, c'est sexy. Son cul de rebeu est magique, je suis très attiré par lui. Je n’arrête pas de le regarder, il le remarque via le miroir et rigole.

- Arrêter de reluquer mon cul, jamais tu le baiseras. D'ailleurs jamais personne ne passera pas là.

Pour me mettre à l’aise, il lance la musique, sexion d'assaut. Il commence à danser légèrement et me regarde genre, il veut m'inviter à danser. Je m'approche de lui et commence aussi a bouger. Il doit trouver que c'est trop loin, car il m'attire à lui et me colle. Mes mains sont placées sur son cou et les siens sur ma taille qu'il presse contre la sienne. Je sens bien sa bite, qui commence à grossir. Parfois, ses mains descendent sur mes fesses qui sont encore nu.
Après quelques déhanchés et deux chansons, il me caresse encore plus fortement le cul et un de ses doigts vient titiller mon anus. Mais j'ai de la raideur et je serre un peu les fesses, mais c'est plus par réflexe que par volonté. Il le sent et se détache de moi, il recule et me regarde dans les yeux avec une pointe de déception à l’intérieur.

- Bon mec, qu’est-ce que tu fais là ? Qu’est-ce que tu veux ? Parce que franchement, tu commences à m’énerver. Tu joue le chaud et le froid, tu sais que tu n'as pas le droit de faire ça avec moi. As-tu une idée de qui je suis ?

Nullement impressionné, je le toise du regard. Il explose de rire et n'arrive même plus à s’arrêter ?

- Mais tu te prends pour une lady ou quoi. Ton caractère de merde commence vraiment à me plaire. Putain si t'étais une femme, je t’épouserais et te ferais des gosses dans l'instant. Tu me plais de trop, petit. Habituellement les gens, mecs ou nanas, n'ont pas le courage d'être aussi directe avec moi. J'adore ton coté effronté, normalement cela t'aurais valu quelques coups, mais je ne sais pas. Pour toi, je suis en total kiff. Mais ne crois pas partir d'ici avant que je t'aie tiré. Ton mac Marc, il me devait un service, c'est pour le payer que toi et ton pote vous êtes là.

Le souvenir de Thibaut, me revient en mémoire et j'ai d'un coup peur pour lui. Mais une fois encore, c'est comme si Icham pouvait lire dans les pensées.


- T’inquiètes pas pour ton pote, salope et docile comme il est, les mecs seront gentils avec lui.

Il se recolle à moi et essayer de me serrer dans ses bras, mais je m'esquive, alors il me dit

- Ne fais pas trop ton malin, il ne fraudait pas que tu m’énerves, sinon je réponds plus de rien,

- Et tu me feras quoi hein ?!

Je le provoque volontairement

- Je n'y crois pas. Mais ferme ta gueule, commence pas à me prendre la bite comme ça

- Je ne crois pas avoir touché à ta bite

- Façon parlé idiot

- Idiot, mais ça va p...

Là, il m'embrasse d'un coup et me caresse les fesses, ce qui met un terme à ma phrase

- Ne m'insulte pas, sinon je vais devenir méchant et ça ne va pas te plaire. Sache que t'es le premier mec que j'embrasse. Ne le dit a personne m'a réputation risque d'en pâtir.

Je mate mon tortionnaire amant et je me dis que j'ai beaucoup de chance et je souris. À son tour, il sourit aussi et me parait légèrement intimidé.

- Sérieusement, tu me trouve si beau que ça ? Je me demande simple ce qui te plaît sur moi.

- T'es grand, musclé, avec une super couleur de peau, des yeux vert sublime, tes lèvres son pulpeuse et tu as un charisme fou. Tu es le mec idéal.

- C'est ce que je pensais, tu tombes amoureux de moi toi petit pd. Il éclate de rire

- Pffff, t'envoie pas trop de rose, t'es juste idéale pour la baise.

- À ouais t'es comme ça toi. Bon et bien alors on va baiser.

Il dit ça avec un air légèrement vexer. Il m'att par le cou et me mets à genoux. Je commence à caresser son pénis qui est super, très long et large.

- Alors ?
- Ta queue et magnifique.
- Ouais merci, mais maintenant suce là

Je l'engouffre dans ma bouche et comme a sucer. J'ai tellement envie de lui, que j'essaie de tout mettre dans ma bouche et plusieurs fois je risque de m'. Mais ce n'est pas grave, je pense que cela l'excite au plus haut point. J'enfonce le plus loin possible dans ma gorge cette magnifique bite et lubrifie a fond avec ma salive. Il finit par me retirer l'objet de mon attention et me dit :

- Tu gères dit donc, tu suce mieux qu'une meuf

En entendant ça, je commence a lui lècher les boules l'une après l'autre.

- Tu as envie que je t'encule ?
- Oui.
- Demande ?
- Pardon ?
- Si tu veux quelque chose demande le clairement
- S'il te plaît encule moi Icham.
- Mieux que ça.
- Mon maître et bogoss Icham, fais-moi l'honneur de me mettre ta queue.
- Putain qu'il est grossier ce mec.
- Déso...

Il éclate à nouveau de rire et j'avoue que je trouve son rire magnifique. Il a une expression si douce, si belle sur le regard quand il rit, elle contraste avec tout le reste.

- Je déconne, PUTAIN tu es toujours aussi sérieux et flipper. Rassures-toi j'adore qu'on parle vulgaire, aller sur le lit, que vois de plus près ce cul.

Il me positionne sur le coter et se place derrière moi. Soudain, il glisse ça bite dans mon sillon et caresse mon anus avec, il finit par pénétrer tout doucement dedans. Avec un petit coup de reins bien précis et sans violence, il s'introduit en moi, je gémis de plaisir.

- Va si Icham baise-moi.
- Non et non, je t'ai dit qu'on allait faire l'amour.

Ce mec me rend fou. Il s'immobilise en moi et exige que j'accepte le fait qu'on va faire l'amour et que je le dise à haute voix. Enfin il commence ses allers-retours entre mes reins. Je le sens entièrement en moi et j'arrive à goûter à l’intégralité des aspérités de sa bite. Il commence à aller de plus en plus vite et mes fesses chauffes. Je goûte un plaisir immense et je commence à l'hurler.

- Va s'y mon beau exprimes-toi !

Je ne me retiens plus et je hurle de plaisir jusqu'au moment où ses lèvres se posent sur mon cou et commencent à y déposer des petits bisous. J'ai l'impression qu'il prend les choses au sérieux et qu'il a vraiment décidé de me faire l'amour. Je palpite de désir entre ses assauts dans mon cul et ses caresses, je suis aux portes de l'éjaculation. Mais le pire est à venir. Lorsqu'il m'enlace par l'arrière et pose sa tête dans le creux de mon épaule, tout en accélérant la cadence. Je gueule comme un dingue, j'assume totalement le plaisir de faire l'amour avec lui et je ne veux pas que cela s'arrête un jour.

J'ai perdu toute notion du temps, cela pourrait faire 2 heures, comme 20 minutes depuis qu'il fait ses va et viens en moi. Son torse entier et coller contre mon dos, nos corps sont en sueur et ses bras sont lovés sur mes abdos. J'ai atteint le plaisir anal ultime, celui où l'anus coule comme une fontaine. Je ressers la cuisse pour encore plus sentir son sexe et là il explose en moi. J'ai l'impression d'être en train de me faire un lavage anal tellement il me remplit. J'ai atteint un stade de plénitude intense. Mes pieds ne touchent plus terre. Je finis par m'assoupir un peu tellement c'était bon de jouir du cul. Lorsque je me réveille Icham me regard avec un sourire charmeur. Je lui dis :

- c'était merveilleux Icham
- J'ai pris aussi beaucoup de plaisir.
- Tu m'as fait l'amour comme personne Icham, j'ai adoré

On a encore baisé quatre fois dans la nuit, parfois sauvage et d'autres très doux. Au bout de la troisième fois, il m'a dit :

- Putain de merde, tu m'as vidé
- Tu es un super baiseur, on pourrait se revoir .
- Il éclate de rire et me dit
- Tu es accro toi!
- Ouais, je crois que je suis en train de tomber....
- Stop, stop, je te l'ai dit. Je suis hétéro, je n'ai pas envie d'une relation avec un mec, tu n'étais qu'un coup d'un soir
- C'est bon j'ai compris, je ne suis pas assez bien pour toi, je me casse
- J'y crois pas que tu me fasses ça. Tu me fais culpabilisé, putain tu m’énerves, casse-toi et reviens pas.

Je suis vexé et je me sens honteux.

- Stp, pardon je te laisse mon portable. Si tu change d'avis tu sais ou me joindre.
- CASSE TOI !

Je presse le pas sans rien rajouter, quitte à finir de m'habiller dehors, mais laisse une petite note et me casse . Je tourne une dernière fois la tête,, pour le voir, mais je ne vois que son dos musclé pendant qu'il se rhabille en me tournant le dos. Thibaut m'attend déjà dans la voiture et nous quittons vite ce lieu. Sur la route nous discutons et Thibaut m'a avoue qu'il a adorer tout ce qu'on lui a fait subir durant la soirée. Moi je lui parle de mon crush pour Icham. Mais très vite mon ami me décourage sur l'idée de revoir Icham, car Marc ne sera jamais d'accord. En rentrant chez moi, j'ai appelé un détective pour avoir des infos sur Icham. Je ne veux rien faire de particulier avec ces informations, je veux juste en savoir plus sur lui.