Collection Histoire Courte. La Sodomie (1/1)
Papa, je peux vous poser une question !
Si je peux vous répondre ma fille, je le ferais bien volontiers.
Papa, je profite de labsence de mon mari pendant trois jours pour évoquer ce sujet avec vous, il y a presque un an que jai épousé votre fils et je voulais savoir ce que vous pensez des rapports dans un couple.
Que veux-tu dire Justine, tu me fais peur, ne me dis pas que George na pas consommé votre union !
Jéclate de rire.
Aucun problème, papa, vous naurez pas à aller à Rome pour annuler mon mariage, dommage que maman nous ait quitté un mois après notre mariage, elle vous aurait dit quelle avait discrètement visité notre couche pour constater les premiers sangs.
Étaient-ils bien là ?
Papa, pour qui me prenez-vous, jétais pure le jour de mon mariage, cest bien Laurent qui ma dépucelé, vous me prenez pour une marie-couche-toi-là, en un mot une pute.
Comme tu y va ma fille, évite demployer des mots trop extrêmes pour ce genre de situation, regarde Viviane, paix à son âme, elle était loin dêtre vierge quand je lai épousé.
Et vous le saviez !
Tu sais fillette, pendant la guerre et surtout pour nous pendant la résistance, les garçons et les filles ont été amenés à faire des choses difficiles à imaginer.
Papa, vous mintriguez, moi qui croyais vous poser une question que je trouve essentiel entre votre fils et moi, raconter ce que vous avez fait pendant cette période trouble.
Pour commencer, vous étiez maman et vous dans la résistance, je ne le savais pas.
Nous faisions partie du maquis devenu célèbre sous le nom du plateau des Glissières dans le massif des Bauges.
Nous avions tous juste dix-huit ans, au premier regard je suis tombé amoureux de cette jolie blonde qui avait comme rôle de nous apporter les messages des gens du bas quils récoltaient et qui nous servait contre la milice et les soldats allemands.
Vous avez participé à cette période !
Oui, je me demande encore comment nous avons fait pour être encore vivant, cest vrai que cest grâce à Viviane et à son courage que je suis là.
Racontez, papa, jaimerais savoir, même si jai un petit problème avec George, mais bien secondaire comparé à ce que je pressens pour vous.
Cest simple, un soir, jétais descendu avec un pote pour aller dans une ferme où le couple nous avait été signalé comme collabos avec les troupes allemandes.
À quelques centaines de mètres de la ferme, Viviane nous attendait, il y avait un hôtel qui avait été réquisitionné par les allemands et où quelques hommes étaient casernés.
Il nous était impossible de tirer sous peine de mourir dans les cinq minutes suivantes, Viviane devait frapper à la porte des fermiers pour quils ouvrent, car il la connaissait.
Elle devait faire croire quelle était poursuivie par des allemands et quelle leur demandait de laide, notre mission nétait pas de les liquider, nous avions besoin de gens comme eux qui nous fournissaient de quoi manger.
Il fallait simplement leur faire peur afin quils réduisent leur collaboration au strique nécessaire et quils nous donnent des vives en nous gardant la meilleure part.
Tout a bien marché, nous venions de saucissonner le couple vert de peur sur leur lit quand nous avons entendu frapper à la porte de la cuisine.
« Fräulein Gertrude, cest pour des ufs, nous voulons faire une omelette. »
Nous étions, nous aussi, verts de peur, ils allaient trouver bizarre que personne ne vienne ouvrir alors que les fermiers étaient toujours présents, nous avons rapidement réagi en plaçant nos poignards sur la gorge de nos saucissonnés.
Jai mis ma main sur leur bouche et jai fait un geste à Viviane qui a compris, est allée chercher des mouchoirs dans larmoire, que nous avons placée dans leurs bouches.
Viviane nous a fait signe de nous taire, quelle allait aller leur ouvrir pour les éloigner.
Nous lavons entendue ouvrir.
« Fräulein, vous êtes linstitutrice, que faîte vous là, nous venions chercher des ufs pour faire notre omelette, je le dis bien en français, Mademoiselle ! »
« Ya, pardon, oui, je parle anglais, mais pas allemand, des ufs jignore ou Gertrude les stocks. »
« Dans larmoire qui est là, mais que faîte vous ici, les fermiers sont absents ? »
« Yes, pardon, oui, ils sont partis à lenterrement de la sur de Gertrude près dAnnecy. »
« Cest bizarre, je connais bien Gertrude et surtout Paul, il ma dit un jour quil navait jamais quitté sa ferme.
Otto va faire un tour à létage, regarde que tout soit normal. »
« Pourquoi ne me croyez-vous pas, vous êtes des hommes seuls en France, on pourrait sarranger ? »
Cest comme cela que nous avons entendu, du haut de lescalier, puis vue, car jétais descendu de quelques marches pour voir si je pouvais faire quelque chose, ce qui aurait été suicidaire, la distance était trop grande, or Otto tenait son fusil prêt à lemploi.
Jai vu Viviane contrainte par celui qui semblait le chef à prendre la verge de notre occupant quil était sorti dans sa bouche, jaurais hurlé, mais je savais que si je le faisais, il y aurait au moins trois morts.
Il a relevé ta belle-mère, lui a arraché son corsage me montrant ses jolis petits seins qui me faisaient rêver sans ne les avoir jamais vu, il en a fait de même avec sa jupe, la placé les seins sur la table.
Il a arraché sa culotte quil a posée sur la table et la enfilé lui donnant de grand coup de bite.
Jentendais chaque fois que ses couilles frappaient sa chatte le bruit et les Han ! que le salopard émettait et surtout au moment où il a déchargé.
Jespérais quils partiraient, mais le calvaire de Viviane nétait quà son début.
« Otto, elle est à toi, profite de cette petite pute française, demain nous faisons mouvement et je ne te promets pas que tu tireras un coup avant de rejoindre le paradis des soldats, je tattends dehors, je vais fumer ma clope.
Jai fait de lallemand et jai été dans une famille allemande pendant mes vacances, juste avant guerre et je comprenais ce quils disaient dans leur langue.
Je naurais pas aimé être à ta place, papa pardon, je tai dit, tu.
Aucun problème, jallais te le proposer, ce que je peux te dire, cest quaprès celui qui semblait être le chef soit sorti, au moment où elle allait se relever en pleure, le dénommé Otto, a aussi profité delle.
Contrairement au chef, il prenait son temps, il la retourné et toujours sur la table, il la pris à son tour, Viviane se mordait le point pour ne pas hurler, mais la nature est la nature et cest un tout autre cri qui est sorti de sa bouche, elle a joui atteignant même lorgasme.
« Otto, prends les ufs et viens. »
« Attendez chef deux secondes, je lui remplis le vagin à cette salope. »
Viviane était encore sous le choc quand lui aussi sest vidé, les couilles avant de prendre le panier où se trouvaient les ufs et laisser ta belle-mère les jambes dans le vide.
Quand je lai rejoint, jai vu deux choses, sa chatte débordant de sperme, mais mélangé à , pour nous sauver, elle navait pas hésité à perdre son hymen.
Et tu las épousé malgré cela !
Oui, mais bien plus tard, quand le soldat allemand a dit à son collège quils allaient faire mouvement, cest contre notre maquis que ce mouvement devait avoir lieu.
Ils ont attaqué à laube, jai vu le chef à quelques mètres de moi, je lui ai mis une balle dans la tête, jignore si le dénommé Otto sen est tiré, même après-guerre, je nen ai jamais plus entendu parler.
Quant à moi, cest grâce au copain avec qui javais été dans la ferme que je men suis sorti, il connaissait un passage qui nous a permis de rejoindre la Suisse, jy suis resté plusieurs mois, jusquà ce que les allemands rejoignent leur pays un peu contraint par les alliers, il est vrai.
Et Viviane, pardon maman ?
Quand je suis revenu, jai appris quelle avait mis au monde un joli petit garçon, elle avait été tondue par Gertrude et son mari comme une fille à soldat et elle avait perdu son poste à lécole.
Je les ai pris tous les deux et je les ai emmenés à Bordeaux où jai obtenu sa réhabilitation et où nous avons fait notre vie, tu vois, il nest pas nécessaire dêtre vierge pour être aimée et cétait loin dêtre une marie-couche-toi-là.
Si je comprends bien, George nest pas ton fils, son père est allemand !
Oui, ton mari a un père allemand, cest sûr, mais lequel des deux a engrossé ta belle-mère, le chef que jai descendu où Otto lhomme au fusil, nous ne le saurons jamais.
Mais tu voulais me demander quelque chose quand je suis parti dans lévocation de mon couple au moment de la guerre.
Oui, peux-tu me dire sil est normal que dans un couple, lhomme se contente de prendre sa femme en se couchant sur elle, entre et sort quelques coups et décharges avant de sendormir !
Suis-je normale, une copine adore se faire sodomiser et George me refuse de goutter à ce plaisir, dailleurs votre fils me refuse tout plaisir, lui seul prend le sien depuis que nous sommes mariés ?
Je te comprends ma petite, je reconnais là les gènes teutons que ton mari a en lui, nous nous sommes plus libertins, jadorais les jeux de lamour avec ma femme.
Pour la sodomie, Viviane ayant perdu son pucelage dans les conditions que je t'aie décrites, a voulu moffrir lautre partie delle, même mieux, elle ma offert deux choses, les fellations quelle me faisait divinement.
Jaimerais que lon mapprenne.
Mais surtout, elle ma offert sa rosette, je peux te dire que, rapidement elle a aimé que je lui place ma bite dans lanus, elle en redemandait.
Deux minutes après, je me retrouve les seins sur la table de la salle où nous étions, comme ma belle-mère létait pendant la guerre, je hurle de plaisir, celui qui est mon beau-père mencule avant de me prendre la chatte.
Mes deux trous étant satisfaits, il mapprend à lui faire une fellation jusquà ce quil moffre son sperme que javale sans rien en laisser.
Jai trouvé lamant idéal, papa est toujours disponible pour me faire lamour chaque fois que George sabsente, nous envisageons davoir un , son , la pilule du lendemain, chaque fois que mon mari me remplira la chatte nous sera bien utile, il a fait de moi une marie-couche-toi-là et jadore.
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