Deux Jumelles Coquines.
Depuis notre adolescence nous nous sommes toujours entendues pour faire de blagues à ceux qui nous côtoyaient. Ce nétait jamais bien méchant mais nous nous arrangions pour faire marcher les copains et les copines qui tombaient régulièrement dans le panneau.
Parfois même, lors dépreuves sportives, nous échangions nos dossards pour favoriser celle qui était la plus forte dans une discipline et inversement.
A 18 ans, nous sommes entrées toutes les deux à luniversité, et là, cétait encore plus facile de duper nos condisciples en raison du nombre détudiants dans les amphithéâtres. Vraies jumelles, il a toujours été difficile de nous différencier.
Grandes blondes à lallure sportive, adeptes de la course à pied, de la gymnastique et de lathlétisme, nous figurions honorablement dans les épreuves du sport au lycée. Encore actuellement, nous pratiquons régulièrement la course à pied le samedi matin généralement. Un long footing de deux heures autour des lacs du bois de Boulogne ne nous fait pas peur.
Les cheveux coupés courts, le visage à peine maquillé, nous attirons les regards de ces messieurs. Le sport nous a fait une silhouette longiligne avec des muscles légèrement marqués, un bassin resté étroit et des seins assez peu volumineux mais bien ronds.
Notre grand jeu, cétait de se faire passer lune pour lautre, On attendait Régine, cétait Rébecca qui arrivait. Quand nous avions des rendez-vous avec des garçons, de temps à autre, nous échangions ainsi les rôles. Nos petits amis ny voyaient que du feu.
Lors de la fête de fin dannée, nous nous sommes retrouvés tous les quatre dans lappartement que nos parents louent pour nous. Nous y avons chacune une chambre et le séjour nous est commun.
Nous avions pas mal bu et nous étions tous bien chauds. Lune comme lautre nous navions pas baisé depuis plus de deux semaines pour être bien en forme pour les examens partiels et là, lenvie de jouir nous tenaillait.
Les garçons étaient eux aussi entreprenants. Loïc mavait coincée dans un coin de lascenseur et avait commencé à me peloter les seins par dessus mon sweet-shirt. Jérôme de son côté, faisait des allusions grivoises à Régine :
Tu vas voir comment je vais te sauter. Je vais te faire grimper !
Quand nous sommes entrés dans lappartement, nous nous sommes sciemment trompées de chambres après avoir dit à Loïc et Jérôme de nous attendre dans le séjour.
Peu de temps auparavant, nous nous étions rendu toutes les deux dans un sex-shop pour acheter une combinaison en dentelle qui nous couvrait presque entièrement. Seules la tête et les mains nétait pas couvertes. Nous avions également acheté des loups assortis et des chaussures à très hauts talons avec une semelle épaisse qui allongeait encore notre silhouette.
Lorsque nous sommes revenues dans le séjour, les deux garçons sont tout de suite tombés sous le charme de notre tenue. Je me suis installée sur les genoux de Jérôme et Régine sur ceux de Loïc pour les embrasser et nous livrer à eux : nous étions tombées daccord et nous avions prévu de changer et retrouver notre partenaire habituel en cours de soirée.
Jérôme a commencé à me peloter les seins au travers de la dentelle, réussissant même à faire passer un téton au travers et ayant trouvé lentrée de la combinaison, de son autre main il massait mon entrejambes.
Collée contre lui, je sentais sa bite sériger dans son pantalon. Je me suis levée et me suis agenouillée devant lui après avoir fait glisser son pantalon et son slip jusque sur les talons.
Je retrouvais face à moi sa belle queue vigoureuse et généreuse qui mavait fait fantasmer lorsque Régine men avait parlé. Je lai prise en bouche le plus loin possible et en la ressortant plusieurs fois, je lai copieusement enduite de salive. Je masturbais sa bite dune main et je suçais lextrémité en me concentrant sur le gland. Du coin de lil je voyais ma sur Régine et Loïc.
Elle était en levrette sur un des fauteuils et ce coquin lui mangeait la chatte en écartant ses fesses. Loïc était entièrement nu et il masturbait doucement sa bite tout en faisant minette à ma jumelle. Je le savais plutôt adepte des positions par larrière et je ne serais pas surprise sil prenait ma sur dans cette position.
Entretemps Jérôme sétait débarrassé des ses vêtements avec mon aide. Entièrement nu, je lui ai dit de sallonger sur le tapis. Sa bite était dressée comme un « I » au milieu de son pubis poilu. Je lai enjambé et je suis venue mempaler sur ce sceptre dressé. Face à lui, je montais et descendais, sa queue entrant par la fente de la combinaison. Tantôt il me caressait les seins, tantôt il me tenait par les hanches pour maider dans mes mouvements mais comme je lai dit, mes jambes de sportive me facilitaient les allers-retours.
Il me remplissait bien et chaque fois quil arrivait au fond de mon vagin, je ressentais comme une décharge électrique qui montait de mes reins jusquà ma nuque. Je ne métais pas trompée : Loïc baisait ma sur en levrette. Jentendais le claquement de son bas ventre contre les fesses de Régine. Soudain, je ne sais pas par quel miracle, la jouissance nous a emportés tous les quatre dans le même moment. Les deux garçons se sont vidés une première fois en nous (nous étions en confiance, il ny avait pas besoin de préservatif et nous prenions la pilule). Jai senti au fond de moi les puissantes giclées de sperme de Jérôme au moment où le spasme du plaisir memportait.
Quand les deux garçons sont sortis de nous, nous avons échangé nos partenaires. Je suis allée toiletter la bite de Loïc et Régine celle de Jérôme. Lorsque nous avons terminé, toutes les deux nous leur avons posé la question en ôtant notre loup :
Avez-vous vu ou senti une différence ?
Devant leur air surpris nous leur avons expliqué la supercherie et en riant les deux garçons se sont esclaffé :
Ah ! Les coquines ! On savait que vous vous faisiez passer lune pour lautre mais là vous avez fait fort ! Cela ne nous dérange pas !
La soirée sest pour suivie jusque tard dans la nuit.
La queue longue et fine de mon copain entrait et sortait de ma chatte à une vitesse extraordinaire et il nétait point besoin de la guider pour quelle trouve le chemin entre mes lèvres vaginales. Jérôme avait un rythme plus lent mais en tournant la tête vers ma sur, jai vu à son sourire extatique quelle éprouvait un plaisir intense qui la emportée au moment où lui-même jouissait aussi. Loïc ma fait partir deux fois avant de se vider lui aussi lors de ma seconde jouissance.
Nous nous sommes déshabillées et, cest entièrement nues que nous nous sommes livrées une troisième fois aux assauts virils de Loïc et Jérôme.
Ma sur mavait confié un jour quelle navait jamais été sodomisée et quelle avait envie de goûter à cette pratique. Loïc avait ouvert ma pastille froncée il ya quelques mois sans que jy sois préparée. Il avait su être doux et après les premières douleurs de lintromission, javais fini par avoir un peu de plaisir puis de plus en plus à chaque fois quil me prenait par le petit trou. Je noubliais jamais (ou Loïc y pensait
) denduire copieusement mon antre étroit dun baume adoucissant !
Nous avions renouvelé cette expérience plusieurs fois au cours des mois passés et la dernière, javais joui autant que lorsque jétais prise devant. Jallais offrir la bite de Loïc à ma sur pour sa première enculade.
Sur mes conseils elle avait discrètement injecté du gel lubrifiant et légèrement anesthésiant dans son sphincter anal. Comme cela, les choses seraient plus aisées. Toutes les deux face à face sur le divan, le bassin en appui sur les accoudoirs, nous étions prêtes lune comme lautre. Je ne sais pas quel orifice choisira Jérôme ni sil en changera en cours.
Loïc, lui, sait ce quil doit faire. Les jambes un peu fléchies, il se penche vers ma sur, lui embrasse le bas du dos et remonte vers sa tête pour lui chuchoter quelque chose à loreille. Il revient en arrière et en tenant sa queue bien raide dans sa main droite, il sapproche de la raie culière de Régine.
Quand il est au contact, je vois les yeux de ma jumelle sécarquiller et elle ouvre la bouche en grand mais aucun son ne sort. Loïc dit doucement :
Ça y est Régine, je suis au fond de ton cul, tu dois bien me sentir !
Oui ! Vas-y doucement !
Ne ten fais pas, je ne vais pas te faire mal ! Et quand tu seras habituée, tu verras comme cest bon ! Demande à ta sur !
Jérôme a choisi ma chatte pour débuter mais il a enchainé rapidement par une sodomie en douceur. Heureusement je my étais préparée aussi car la taille de sa bite na rien à voir avec celle qui avait ouvert la voie. Il est doux, laisse ma gaine serrée shabi à sa queue avant de me prendre à fond. Quand ses hanches sont collées contre mes globes fessiers, il reste de longs moments sans bouger. Puis il recule et revient vers lavant pour me limer. Heureusement le gel facilite les choses et cette enculade est bonne, je sens un plaisir encore diffus monter dans mes reins.
Brusquement je pars ! Je ne my attendais pas ! Et jexhale bruyamment ma satisfaction. Quand jai fini de jouir, Jérôme sort de mon cul et ôte le préservatif et branlant rapidement sa bite de la main droite, il crache trois jets de sperme sur le bas de mes reins.
Loïc est toujours en train de sodomiser ma sur.
Ce coquin prend son temps comme il la fait avec moi lors de la première fois. Au moment où ma sur se tétanise sous leffet de son plaisir, Loïc lui donne une dernière estocade, violente cette fois et se vide dans la capote au fond de son cul.
Régine et moi nous avons fait une rapide toilette de la bite de nos partenaires et nous avons gagné nos chambres respectives. Cétait la première fois que nos copains finiraient leur nuit dans le même lit que nous, chacun avec sa chacune. Les retrouverons-nous après les vacances ? Si oui, je pense que nous nous offrirons encore quelques bonnes parties à quatre.
Jumelles, nous sommes partageuses mais sous certaines conditions, vous devinez bien sur lesquelles !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!