Collection Tabou. Bigamie Non Trigamie (1/2)

Je suis pacsé avec Sandra depuis huit ans, nous avons deux s de deux et un an, nous voulions vivre et nous établir dans notre travail avant de former une famille, à vingt-huit pour elle et trente ans pour moi, nous avons réussi le choix du roi.
J’ai rencontré Sandra, il y a neuf ans, elle sortait d’une relation tumultueuse avec Olga pimpante jeune femme rousse d’origine russe, mais qui était née en France.
Pendant l’année qui a précédé notre mariage, considérant le pacse comme tel, une seule chose m’obsédait, n’allait-elle pas retourner à ses amours saphiques et m’abandonner alors que je mourais d’amour pour elle.
Je faisais attention à mes moindres gestes pour éviter qu’elle ne repense à ce qu’Olga devait lui faire, je lui prenais la chatte chaque fois que possible, pour lui montrer que mon bâton était aussi bon que les godes qu’elles devaient se servir entre elles.

Se servaient-elles de godes où leurs attouchements suffisaient-ils à les enflammer, j’avais vu un film porno ou des filles se gouinaient, se frottant la chatte l’une contre l’autre, le faisaient-elles aussi.
La naissance de Gabriel m’a rasséréné surtout que, dans la foulée, nous avons eu Lisa, alors à partir de ce jour, je savais que j’avais gagné et que, définitivement elle était revenue dans la mouvance hétéro.

Mon entreprise fonctionnant du feu de Dieu, au fil du temps, j’ai finie de plus en plus tard afin d’avoir des rendements maximas et ainsi offrir à ma famille outre une grosse berline familiale, une villa non loin de ce travail.
Elle a même une piscine, j’ai fait poser un système de sécurité afin que Gabriel qui commence à marcher ne se noie, d’autant plus que sa petite chipie de sœur, marche déjà à quatre pattes.
Un jour que je rentrais un peu épuisé, j’ai la surprise de tomber nez à nez avec l’exacte réplique de la jeune femme que je viens de saluer et qui est avec Sandra sur la terrasse ou la table est dressée.



• Christophe, je te présente Victoire et Victoria, j’espère que tu réussiras à les reconnaître, moi qui les ais rencontrés, il y a deux jours, je suis dans l’impossibilité de les différencier.
• Je suis Victoire.

C’est la deuxième que j’ai saluée.

• Ce sont nos nouvelles voisines, elles ont racheté la maison de mamy Germaine qui comme tu le sais est partie habiter chez son fils à Bordeaux.
• Bienvenue parmi nous, si vous avez besoin de quoi que ce soit, vous pouvez faire appel à moi, je n’ai pas beaucoup de temps, mais je suis un bon bricoleur et je suis prêt à vous aider.
Sandra, je pense que tu leur as dit la même chose.
• N’ait crainte chéri, j’ai déjà fait ce qu’il faut, va embrasser les s, ton fil voulait t’attendre, Victoire a réussi à ce qu’il se couche, c’est une vraie perle avec les s.
• J’ai fait des études pour travailler dans des crèches, avec les petits, il suffit de connaître les codes, Gabriel est plein de vie, mais une berceuse et de nombreux bisous suffisent pour les calmer.

Je vais voir mes petits monstres qui se sont endormis et je vais dans ma chambre pour mettre une tenue, plus en rapport avec la tombée de la nuit que mon costume avec cravate bleue.
Le repas est savoureux, Sandra est un cordon bleu, c’est agréable d’être entouré de trois jolies femmes, les jumelles affichant vingt-six printemps et étant blonde toutes les deux.
Sous leurs blouses en ce soir d’été, leurs seins bien hauts, mais non arrogants bougent libre de tout soutien, le short qu’elles ont passé de même couleur bien sûr pour bien nous embrouiller et au ras de leur chatte, Victoria qui est à côté de moi, me montre qu’elles doivent être épilées, car aucun poil même blond n’apparaît.
Les deux bouteilles de rosés bien frais que j’ai ouvertes contribuent à la bonne ambiance entre nous quatre, jusqu’à ce que Sandra fasse ce que je n’aurai jamais imaginé.

• Je vais voir les s, je reviens.


Sandra nous quitte et revient quelques minutes après recouvert d’un peignoir.

• Les s vont bien, qui m’aime, me suis.

Elle fait tomber son peignoir nous montrant son corps de brune parfait malgré ses deux grossesses, elle court vers la piscine, ses seins tressautant et m’apportant un début d’érection.
Ma voisine donc Victoria, à ce moment de mon récit comme ça a été ma voisine, j’arrive à la reconnaître, se met à poil elle aussi et cour la rejoindre.
Sa sœur voyant l’état de stupeur où je suis, alors qu’elle vient d’enlever sa partie haute, me montrant ses seins me faisant définitivement bander, m’arrache presque ma chemisette et me prenant la main m’entraîne vers la piscine avec mon pantalon.
Au moment où elle saute, j’arrive à lui faire lâcher ma main me permettant d’enlever avant d’être dans l’eau l’ayant gardée.
Elles ont sauté et je plonge manquant de faire un plat voulant leur montrer qui est le mâle de notre quatuor.
Je nage un crawl parfait faisant deux longueurs, je manque de boire la tasse quand mon œil enregistre une scène que j’ai tout fait pour éviter qu’elle ne se reproduise, Sandra et l’une des sœurs sont dans les bras l’une de l’autre et s’embrassent à pleine bouche.
J’arrive à m’accrocher au bord, par chance à cet endroit, j’ai pied, je regarde si j’ai bien vu quand l’autre jumelle arrive et me prend par le cou me faisant repartir à bander quand ses seins viennent sur ma poitrine.

• Elles sont belles, ne crains rien, je vais m’occuper de toi, je suis sûr que ta femme ne sera pas jalouse.

Elle non, mais moi, j’ai la chance que sa bouche vienne sur la mienne comme celle de ma femme sur celle de sa sœur, mieux, grâce à l’eau, elle se soulève et sans aucune difficulté son vagin s’empale sur ma queue.
Incroyable, notre couple, sans aucun scrupule, consomme l’adultère voyant ce que l’autre fait de son côté.
Baiser une femme dans une piscine, c’est facile, nos organes s’emboîtant parfaitement, mais quand la sœur se laisse aller sous l’eau pour certainement brouter sa partenaire, je trouve l’exploit assez surprenant.

Elle entre dans l’eau pour en sortir et mieux y retourner, elle recommence la manœuvre plusieurs fois et je vois que le résultat sur le corps de Sandra lui fait de l’effet quand ses bras posés sur la margelle et surtout ses mains se ferment, se crispant et ses yeux se révulsant.
Les deux femmes jouissent ensemble et dans la nuit leur cri de plaisir se mélange au son roque qui sort de ma gorge quand je remplis la chatte de cette sœur qui vient de devenir ma maîtresse.
Elle m’embrasse une dernière fois et se dirige vers les deux femmes, sa sœur ayant arrêté de plonger, elle embrasse ma femme, la prend par la main et la fait monter les marches, il y a des cousins de transat au sol et en s’embrassant elles tombent dans les bras l’une de l’autre.
Qui se retrouve les bras autour de mon cou, je n’en sais rien.

• Elles sont belles, j’ai vu que tu as fait jouir ma sœur, fait moi voire ce que tu as à me proposer.

Sa main se pose sur mon petit bout de chair, tout qui-qui et tout rabougris recommence à devenir utilisable surtout que comme pour Sandra, elle plonge et que sa bouche vient pomper mon dard, sortant de l’eau pour respirer pour mieux retourner me pomper.
Je suis aux portes de lui arroser la glotte, quand la saisissant sous les aisselles, je la pousse jusqu’aux marches et quand elle est assez allongée, je la plante, elle aussi.

La soirée se termine et mes petites maîtresses regagnent leur maison après avoir tout débarrassé et mis dans le lave-vaisselle, je les vois s’empresser autour de moi belles dans leurs nudités, elles m’ont servi un verre de mon meilleur cognac.
J’ignore où va nous conduire cette soirée et après avoir reconduit les filles jusqu’au trou dans le grillage au fond du jardin que je dois réparer depuis plusieurs semaines, nous nous retrouvons dans notre lit avec Sandra.

• Merci mon amour pour la bonne soirée que j’ai passé grâce à toi, depuis notre mariage, j’avais enfermé en moi à double tour mes amours lesbiens, mais je dois reconnaître que la chatte d’une fille me manquait.

Quand Victoire et Victoria ont emménagés à côté, je me suis arrangée pour que nous nous rencontrions.
Tu sais comment nous sommes réceptives entre nous quand nous rencontrons des filles susceptibles de devenir des partenaires, ça a été le cas avec les jumelles.
Je suis allée boire le café, il y a deux jours, nous avons ressenti de l’attirance entre nous, elles auraient voulu que je sois à elles dès cette après-midi-là, mais il était hors de question d’avoir des rapports avec elles dans ton dos.
Au cours de la conversation, j’ai compris qu’elles étaient bisexuelles comme moi aussi j’ai organisé notre rencontre à tous et je crois que j’ai eu raison, je pense qu’après cette soirée, nous devons organiser notre vie entre nous quatre.

En me disant cela, elle me caressa la queue qui une ultime fois a accepté de se tendre malgré la fatigue de cette journée hors norme.
Nous faisons l’amour comme un couple s’aimant profondément avant de nous endormir.

Je suis allée boire le café, il y a deux jours, nous avons ressenti de l’attirance entre nous, elles auraient voulu que je sois à elles dès cette après-midi-là, mais il était hors de question d’avoir des rapports avec elles dans ton dos.
Vers seize heures Sandra m’appelle pour que je rentre de bonne heure.
Mes trois femmes sont sur la terrasse autour de la table, je les embrasse une à une, nous sommes dans le même état d’esprit qu’hier au soir car les trois baisés sont très profonds.
Mes s jouant dans le parc, je dois intervenir, Gabriel, voulant jouer à marcher sur Lisa qui couché sur le dos est dans l’impossibilité de se défendre.

• Christophe, assieds-toi, dès quatorze heures, nous avons tenu notre première réunion pour mettre en place une convention pour que nous t’ayons tout à nous sans nous marcher sur les pieds.
Nous avons décidé que j’allais divorcer, ne fronce pas ton nez chéri, j’ai souhaité que tes trois femmes soient sur le même pied d’égalité face à la loi.
Il est interdit d’être bigame encore plus trigame, nous vivrons en unions libres, es-tu d’accord avec nous.
• Ce qu’une femme veut, vous connaissez la suite.
• Bien premier point réglé, deuxième, notre avenir à tous, nous prendrons contact avec le notaire pour écrire ton testament.
• Vous voulez déjà me .
• Gros bêta, nous voulons ton bonheur, le plus longtemps possible, mais aussi assurer l’avenir de ta famille et surtout ta descendance, Victoire et Victoria veulent des s de toi et j’en suis d’accord.
Qu’en penses-tu ?
• Ce qu’une femme veut…

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