Ma Femme ! Maligne Et Insatiable De Sexe (5)
Les deux jours suivants nous sommes allés à la fête familiale de la sur de notre hôtesse et le vendredi matin, nous sommes retournés à la maison. Nous étions un peu fatigués et nous avons dormi jusqu'à midi. Vers quinze heures, la voisine du dessous, arabe, a informé notre hôtesse que sa fille vient de se fiancer et nous invite, ainsi que les voisins, à leur fête, pour ce soir, vers 18h.
Notre plan daller trouver nos amants, ma femme et moi est donc tombé à leau. Mais ma femme a été plus astucieuse que moi, elle a trouvé un stratagème pour se faire baiser par son amant algérien. Elle a soufflé à notre hôtesse lidée dinviter ce pauvre marchant de légumes, algérien, vivant loin de sa famille, et le faire passer pour mon cousin. Jétais estomaqué mais notre hôtesse a accepté et a envoyé ma femme pour informer le marchant tout de suite.
Ma femme sautant sur loccasion, est parti inviter notre amant vers 15h trente. Très rapidement je lai suivi de loin et lorsquelle a atteint le marché, le jeune homme lui a ouvert rapidement sa caravane. Sevrée de sexe depuis trois jours, ma femme sest jetée dans ses bras, dehors, devant la caravane et ils se sont embrassés avec fougue. Les grosses mains du marchant étaient sur les fesses de ma femme et il les pétrissait de désir. Ses gestes de possession sur ma femme mont excité et mon sexe commençait à durcir.
Ils se sont embrassés longuement et ma femme ondulait du corps contre celui de son amant qui devait certainement bander comme un taureau. Je me disais « zébi ! echhaal rah ihiss fi eskhanat batan wa souwat marty ! » ( zebi ! comme il doit sentir la chaleur du ventre et du sexe de ma femme !). Puis ils ont pénétré dans la caravane et fermé la porte.
Je me suis glissé derrière et par la petite fenêtre, je les ai vu se déshabiller en vitesse. Puis, à cause de leur désir affolé, il a plaqué ma femme contre le mur et soulevant sa jambe droite, il a pénétré son gros zob dans la chatte de ma femme, avec un cri de victoire.
Les vas et viens du jeune homme étaient dune puissance et dune rage telle que jai eu peur pour le sexe de ma femme, et je voulais lui souffler « bi chwya ! bi chwya ! ya sahbi ! khalili souwat marti eshiha bach enikha ana thani ! » (doucement ! doucement ! mon ami ! laisses la chatte de ma femme saine ! pour que je puisses la baiser moi aussi !). Et je me branlais derrière la caravane.
Après une bonne vingtaine de vas et viens, le marchant a dirigé ma femme vers son lit et lui soulevant les jambes et écartant ses cuisses, il replongea son gros zob dans les entrailles de mon épouse totalement étourdie par le plaisir et qui murmurait « doukkou ! zid nikni bezzaf ! ezeb lahlou ! rah hbib souti » (enfonces le ! continue de me baiser fort ! le zob merveilleux ! cest laimé de ma chatte !). Et le gars senfonce et se redresse puis senfonce de nouveau avec rage et je voyais ses reins qui se gonflaient en reculant puis se serraient en senfonçant dans la vulve de ma femme.
Cette scène dune rage violente ma poussé à me branler avec plus de vigueur et dacharnement et soudain mon sperme jaillit et se projeta sur le mur extérieur de la caravane. Jétais essoufflé, non pas seulement par la quantité de sperme que mes couilles ont rejeté, mais psychologiquement, de la scène érotique de ces deux sexes qui se martyrisaient pour augmenter leur désir et leur jouissance. Nen pouvant plus, jai préférais méloigner.
A peine ai-je fait deux pas que jentendais leurs cris de délivrance. Lhomme « ah ! zébi ! ya qahba ! esourti hlib clawya ! ya souwat qahabti ! moussi zébi lakhchine ! moussi wa echourbi! » (ah ! zébi ! ma putain ! avales le lait de mes couilles ! chatte de ma putain ! suces mon gros zob ! suces et bois !) et ma fermme dans un cri hystérique « esguini ! esgui souti al3atchana ! ah ! ya ezeb lahbib » ( arroses moi ! arroses ma chatte assoiffée ! ô zob adoré !).
En effet, un peu plus loin, je me suis calmé. Puis, je me suis raisonné. Cétais bien moi qui a jeté ma femme dans ces aventures érotiques et dans les bras et les zobs de ses deux amants. Pourquoi alors suis-je un peu ennuyé ? Soudain, limage des belles fesses de ma femme sest pointée dans mon esprit et, paradoxalement étant donné les circonstances, cela a commencé à mexciter. Impossible ! me disais-je !
Serais-je en train de recommençais à désirer ma femme ! ou bien est-ce mon jeûne sexuel des trois derniers jours, qui me rendait ainsi sensible. Pourquoi ne pas aller chez lautre marchant black et tirer un coup pour ma terma avec son long et gros zob. Ma femme a eu son plaisir et ainsi jaurais aussi le mien pour ce soir. Non ! le moral ny était pas, je me sentais même assez fatigué après ma masturbation..
Sachant parfaitement la suite de la séance, jai préféré méloigner hors du marché pour rejoindre la fête qui continuait dans notre bâtiment. Jai attendu ma femme pendant presque une autre heure et enfin, lorsquelle est rentrée, évidemment, avec le jeune marchant algérien, il était déjà plus que 17h30.
Donc, ils sont restés ensemble à baiser, à niquer, certainement par devant et par sa terma pendant plus de deux heures entières. On a fait les présentations, et le gars, qui a déjà gouté à ma propre terma, ma jeté un regard complice, comme pour me confirmer quil venait de jouir de ma femme pendant deux heures et que son sperme doit être encore dans la chatte et la terma de mon infidèle épouse.
Puis on a été à la fête chez les voisins. Il y avait une trentaine de personnes, hommes et femmes et après une collation on nous a servi un léger repas, puis trois jeunes ont formé un petit orchestre et la musique a démarré. Les convives ont chanté et dansé une bonne partie de la nuit. Moi, je me tenais un peu à lécart avec notre hôtesse.
Un certain moment, jai remarque que ma femme avait disparu. Je suis sorti et monté à la maison mais loncle était seul. Il était 18h trente et la fête continuait. Jai inspecté les environs puis je me suis dirigé vers la zone du marché fermé. Il y avait de la lumière dans la caravane du marchant de légumes et même de la musique en sourdine.
Passant par derrière, jai constaté que les deux amants étaient à lintérieur, déjà nus. Lhomme était couché sur le dos et ma femme accroupie sur son ventre, le zob de lhomme totalement enfoncé dans sa chatte. Elle dansait sur cette belle queue et levait les bras en esquissant des mouvements de danse arabe du ventre, accompagnant la douce musique arabe.
Et voila, ma femme, insatiable, na pas pu résister. Ainsi, les baises de laprès-midi nont pas suffi à ma femme. Elle a obligé le jeune homme à aller la baiser encore, le soir, dans sa caravane et lui, jeune et vigoureux, avait de la ressource pour la faire jouir devant et derrière.
Jétais étonné par ma femme qui ne rate aucune occasion pour se faire lustrer la chatte et la terma. Et moi, comme un cocu malchanceux, je vais lattendre pour la réaccompagner. Non ! je ne suis pas daccord, je dois moi aussi avoir ma part de plaisir ce soir. Javais raté loccasion cet après-midi, mais jétais fatigué et démoralisé. Mais lidée de me faire sodomiser maintenant restait tenace dans ma tête.
Et comme à son habitude, ma terma a suivi mon désir mental. Elle commençait à me démanger et chatouiller denvie, alors jai cédé. Je suis allé frapper à la porte du marchant black qui ma ouvert aussitôt. Il ma sourit et ma fait rentrer tout de suite, mais il nétait pas seul. Il était avec un ami, assez âgé et black avec lequel il jouait aux cartes sur la table. Sans hésiter et malgré mon regard courroucé, il ma présenté comme sa petite amie, sa putain à la terma blanche et insatiable.
Jétais très gêné, mais agréablement excité, et je voulais partir, mais il m tenu par le bras et ma présenté son ami comme un affamé du cul, surtout des terma blanches et quils allaient me niquer tous les deux.
Le vieux se branlait légèrement et ma demandé de le sucer tout de suite et jai pris son zob entre mes mains puis je lai glissé dans ma bouche. Il était chaud, doux et dur à la fois et il ma excité tout de suite. Le plus jeune me léchait les fesses et lanus et me lubrifiait le cul avec sa salive. Puis le plus vieux sest glissé derrière moi pendant que je me positionnais, à genoux sur le lit, le cul en lair.
Immédiatement son zob ma pénétré et le vieux sest lancé dans une course endiablée de vas et viens dans ma terma. Il devait être pressé car très vite il a atteint son top et sest déchargé les couilles dans mes entrailles, puis il sest retiré. Il paraissait fatigué. Je suis allé dans le petit coin pour vider mon cul de son sperme puis jai rejoins le plus jeune qui mappelait, nu, couché, dos sur le lit. Son zob pointait presque à la verticale, alors jai pris position sur son ventre, accroupi, et doucement, tenant son zob à la main, je lai introduit dans ma terma.
Elle connaissait ce gros zob noir sur lequel elle mouillait dès quelle le voyait. Alors, elle sest noyée dans ses désirs, dans son suc de jouissance. Je dansais, comme dhabitude sur ce zob merveilleux et rapidement la jouissance commençait à métourdir. Je criais mon plaisir et mon propre zob sest gonflé. Alors, jai commencé à me branler, tout en masturbant le zob de mon ami avec ma terma. Jétais merveilleusement ouvert par derrière et excité par devant.
Soudain mon ami, tenant mes hanches avec violence, se redressant légèrement, puis dune forte poussée de ses reins bloqués, il enfonça à fond son zob dans ma terma, et expulsa plusieurs rafales de son sperme dans mes entrailles. Ses jets de sperme chaud et en abondance ont augmenté mon excitation et je suis arrivé, moi aussi, à éjaculer sur son ventre en criant de plaisir. Ce que je ressentais avec cet homme navait aucune comparaison avec ce que ma donné son copain tout à lheure.
Avec cette sodomie, jai reçu ce que je suis venu chercher et désirer avec impatience, à linstar de ce que faisait ma femme, au même moment avec lautre marchant de légumes, à quelques pas dici. Notre couple vient de se faire plaisir par la chatte et le cul avec ces deux marchants, et je néprouvais aucun gène, au contraire. Puis je me suis redressé et jai nettoyé avec ma bouche le zob de mon ami en dégustant les restes de sperme sur sa hampe. Ensuite, je suis allé me vider au coin.
Je voulais partir car javais peur quon se rende compte de mon absence de la fête, après celle de ma femme. Mais, en me baissant pour remettre mon slip, le vieux, toujours nu, ma agrippé les hanches par derrière et sest plaqué sur mon dos. Je sentais son zob qui a, apparemment repris de la vigueur, sur mes fesses, cherchant mon anus. Je restais assez courbé et écartant les jambes et les cuisses, je lui ai facilité sa recherche et rapidement jai ressenti son zob qui glissait dans ma terma.
Il ma sodomisé, debout, les mains sur mes hanches et me secouait avec violence et forts grognements. Il me pilonnait à coups de reins rageurs et, cette fois ci, jai très bien senti la vigueur de son zob dans ma terma et jai eu du plaisir, beaucoup de plaisir. Peut-être, est-ce la surprise et la violence de la saillie qui mont ébranlé les nerfs et mont excité. En tout cas, je commençais à jouir et à bien jouir de la terma et malgré la fatigue de ma position courbée, les mains sur mes genoux, je restais accroché au plaisir qui mouillait et enchantait ma terma.
Rapidement, cette fois aussi, il est arrivé à sa jouissance et par plusieurs jets de sperme, il sest vidé les couilles dans mes entrailles. Puis, il sest dégagé, alors je me suis relevé et jai désiré voir son zob qui viens de me faire jouir, avant quil ne débande. Jétais étonné en le voyant, gros, long, puissant et brillant de sperme. Il me semblait même plus gros et plus viril que celui de lautre. Alors, pour nous faire plaisir à tous les deux, je lai empoigné et gobé dans ma bouche chaude. Je lai sucé et nettoyé avec délectation, cetait ma manière de le remercier.
Ensuite, très rapidement, je me suis nettoyé au mieux, je me rhabillé et, constatant quil était déjà presque 20h et que cela faisait plus dune heure que je me faisais sodomiser, jai filé dehors en les remerciant de leurs prestations. Passant à coté de la caravane de lautre marchant algérien, il y avait un peu de lumière et toujours en sourdine, de la musique arabe. Par curiosité, je suis allé par derrière et jetant un coup dil par la fenêtre, jai pu constater, encore une fois que ma femme était vraiment insatiable.
En effet, et cela faisait presque deux heures quils étaient ensemble et ma femme se faisait encore lustrer la chate et la terma. Pour linstant, elle dansait sur le ventre de son amant, avec son zob plongé dans sa terma. Son amant me la déjà dit, ma femme, et lui-même, préfèrent baiser par la terma qui semblait plus étroite que la chatte, et cela permettait de meilleur frottements du zob sur la tendre chair du sphincter. Lexcitation augmente plus vite et le plaisir est décuplé. La sodomie, malgré (ou peut-être parce que) son coté dinterdit, prend toujours le pas sur la baise de la vulve.
Je me suis rapidement éloigné et croyant que ma femme allait retourner, seule, à la maison, jai décidé de laccompagner par sécurité. Alors, je me suis installé sur un banc pas très loin du marché et ayant une vue sur la caravane du marchant. Vers 21h trente, la porte de la caravane sest ouverte sur le couple. Ils ont baisé de 18h30 à 21h trente, pendant presque trois heures. Ma femme était insatiable et lhomme avait de la vigueur et de la ressource.
Lhomme ferma sa caravane et, tenant ma femme par la taille, comme un couple damoureux, ils se sont dirigés vers la zone de notre maison. Pendant quils se donnaient du plaisir, moi, je faisais le pied de grue pour rien, dans lobscurité et la solitude, comme un cocu pour ne pas dire autre chose.
Pendant quils se défonçaient la chatte, la terma et le zob, moi, je minquiétais, dans la rue, pour la sécurité du retour de ma femme ! Jai arrêté les plaisirs de ma terma avec deux magnifiques zobs blacks et qui, après une heure pouvaient encore me donner le maximum de jouissances. Jaurais souhaité rester avec eux pour sucer le zob de lun pendant que lautre me sodomisait et ensuite ils échangeraient leurs places. Jaurais aussi souhaiter continuer à danser sur le zob de mon ami, couché sur le lit ou assis sur une chaise pendant que jenfonçais son zob dans ma terma chérie.
Hélas, juste une heure de plaisir et trois sodomie rapides, et tout cela pour attendre ma femme qui se donnait la maximum de plaisir sans même penser à moi ou à la fête. Jétais, encore une fois furieux contre moi. Alors, dans lobscurité de la nuit, sur ce banc solitaire, jai dégagé mon zob et je me suis masturbé avec fureur jusquà léjaculation.
Comme mon éjaculation tardait trop, jai fait appel à ma technique habituelle. Me soulevant un peu et descendant sur mes genoux mes vêtements, jai réussi à me sodomiser un peu, à menfoncer deux doigts dans mon anus. Puis, je me suis masturbé et la terma et le zob au même rythme et avec vigueur. Le plaisir a aussitôt démarré et rapidement jai réussi à éjaculer avec force en criant mon plaisir dans la solitude de la nuit. Mon cri a été un soulagement, un fort dégagement de toute mon amertume.
Apaisé, je me suis rhabillé et jai rejoint la fête qui continuait. Jai alors récupéré ma femme qui discutait gentiment avec notre hôtesse. Elle me souriait, avec innocence, alors que le sperme de son amant remplissait encore ses entrailles et se collait sur ses cuisses et ses fesses. Mais, moi aussi, jai encore un peu de sperme de mes deux amants, dans ma terma, sur mes fesses et mes cuisses, dons soyons honnête et acceptons la situation avec philosophie et plaisir.
Puis, vers 22h, nous sommes montés, ensemble en famille à la maison. Immédiatement, ma femme a couru vers les toilettes pour enlever ses vêtements souillés, se nettoyer et se doucher. Ensuite, ce fut mon tour den faire autant. Enfin, notre nuit a été lexacte copie des précédentes, avec son calme hypocrite et ses désirs assouvis pour les deux parties.
Paradoxalement, et malgré quelle sest certainement bien nettoyée et douchée, javais limpression de sentir lodeur du sperme mâle sur le corps de ma femme. Peut-être que je me trompais et que cétait plutôt mon propre corps qui dégageait cette odeur ou simplement mon imagination excitée ! Demain, ce sera un autre jour, le dernier de nos vacances à lEtranger, terre de létrange et de la liberté..sexuelle.
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