La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1059)

La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -

- Nous avons eu pour consigne de t’autoriser à jouir lors de ton bain…

Dans ces conditions me dis-je… je fermais les yeux tandis que Keira MDE entamait sur mon clitoris, un massage manuel d’une efficacité redoutable. Très rapidement, j’eux un premier puis un second orgasme pratiquement l’un après l’autre. Reprenant son éponge, elle me frottait sur les épaules, puis, tandis que je récupérais, sa main droite me doigta sans m’en prévenir introduisant deux doigts profondément en moi, tandis que de l’autre main, elle pressait et tordait un téton et sa bouche entamait sur l’autre téton une succion endiablée. Le massage simultané des doigts, tournant en rond dans ma vulve, associé aux torsions fortes du téton droit et à l’aspiration du gauche, tout cela déclencha en très peu de temps, d’autres orgasmes survenant les uns après les autres avec des pauses de quelques secondes. Je ne savais plus où j’étais, devenue jouisseuse à répétition… Enfin, le bain se termina sur un ordre bref mais aimable de Laïs MDE :

- Allez esclave Isabelle, sors du bain, s’il te plait.

Aidée de Keira MDE car j’avais les jambes flageolantes, je sortis du bain et fus immédiatement conduite en un endroit, sorte de tub de douche. Placée contre le mur en regardant celui-ci, Laïs MDE me dit tout en douceur :

- Ne bouge pas !

Un jet d’eau glacée me tomba dessus qui me coupa le souffle… et qui dura quelques secondes mais quelle réaction… Immédiatement lovée dans des serviettes chaudes et parfumées, je fus conduite dans la salle suivante où je reçus l’ordre de m’allonger sur la table placée au centre de la pièce. Là, je reçus le plus parfait massage de ma vie, massage fait par un homme, entièrement nu et portant lui aussi un collier. Il se présenta :

- Je m’appelle Doulos, c’est ainsi qu’on me nomme ici et je suis chargé des massages.



Il me disait tout cela à voix basse et lui répondit doucement, « merci Doulos » Il portait entre les jambes une cage enfermant son sexe, cage qu’il remplissait bien si j’en jugeais par les rougeurs qu’il avait. Cet esclave (parce s’en était bien un) me travailla, me caressa tout le corps, d’une telle façon que je finis par m’endormir. Une béatitude… Je fus réveillée, alors que Doulos poursuivait son travail, par une femme à l’aspect sévère, la quarantaine et à la tenue stricte. Elle me tira les cheveux en arrière, me faisant relever la tête. Elle portait une cravache accrochée à sa taille. Ma tête ainsi relevée, tandis que Doulos poursuivait son excellent travail de masseur aux mains expertes, la Domina remonta sa jupe, dévoilant un sexe glabre qu’elle colla à ma bouche m’ordonnant de la lécher. Je le fis et certainement bien car elle me dit au bout d’un moment :

- Tu lèches bien toi au moins, la chienne, continue…

Je continuais d’aspirer, de lécher, de téter son clitoris, ses grandes et petites lèvres intimes… au point que de la glaire s’écoulait fortement de sa vulve qu’elle m’ordonna de lécher également. Subitement, sans que je m’y attende, elle se mit à glousser et à jouir terriblement, remuant son fessier, dans tous les sens. Elle se recula ensuite, n’émit aucun sourire, ni reconnaissance, impassible puis disparue aussi vite qu’elle était venue. Alors Doulos me dit très doucement :

- Méfies-toi d’elle, c’est la perverse Marie la Cuisinière, elle est très sévère, voire sadique … fais gaffe à elle…

D’un signe de tête, je le remerciais tandis qu’il m’aidait à me relever de la table. Une fois sur mes pieds, il me conduisit à la salle suivante où je fus parfumée, crémée, ornée de boucles d’oreilles garnies de diamants, d’un collier sublime, sorte de rivière de pierres précieuses, parant entièrement le haut de ma poitrine, et se terminant en une pierre en forme de poire entre mes seins. Une jeune esclave m’enduisit d’une si merveilleuse crème qui sentait le musc mais qui, au bout de quelques secondes, commença de me donner des sensations curieuses au début, puis directement sexuelles ensuite, faisant de moi au bout de dix minutes une chienne en rut totalement.
Ne comprenant pas ce qui m’arrivait je questionnais la jeune esclave qui me fit « Chut » d’un doigt sur la bouche me faisant comprendre que je ne devais rien dire. Je comprenais bien l’interdit mais comment faire, j’avais envie, de plus en plus envie, terriblement envie et cela ne semblait pas aller en se calmant. Je compris un peu plus tard qu’elle m’avait passé une crème composée d’un puissant aphrodisiaque. L’esclave ne me dit rien mais m’emmena dans le vestiaire. Dans cette pièce trônaient des quantités de glaces, miroirs de toutes sortes et pendues sur des cintres, des tenues de toutes tailles, d’excellente facture, reconnaissant des grandes marques célèbres que j’avais présentées comme mannequin. Cela me fit sourire, j’avais l’impression de revenir en « arrière ». On me fit essayer des robes, des jupes, des hauts, des bas, des chaussures, etc, etc, etc, quand je suis « tombée » sur la dernière parure que j’avais présentée quelques semaines auparavant…

J’avais cependant un problème qui ne semblait pas vouloir se calmer, j’étais maintenant terriblement excitée sans savoir pourquoi encore… Soudain un grand calme se fit dans la pièce, tant que je me retournais et vis le Maître en personne accompagné de Walter. Toutes les esclaves présentes s’inclinaient devant eux, le Châtelain tendant par ci, par-là, sa main, que les esclaves baisaient… Surprise, je ne bougeais pas, restais droite quand subitement, je me souvenais de mon état et à mon tour, je m’inclinais en une révérence spontanée tandis que je baisais la vénérée main tendue devant ma bouche.

- Belle révérence ! me dit le Noble, il est rare de savoir la faire parfaitement de nos jours, prenez-en de la graine, vous autres, regardant les autres esclaves toujours inclinées devant Lui.

Son index sous mon menton, il me faisait me relever, lentement, avec un bon sourire, s’approcha pour me sentir, en profita pour déposer un baiser sur mon téton droit tout en disant :

- Humm, tu sens parfaitement bon petite chienne en tapotant mes fesses.
Qu’avez-vous prévu pour la vêtir ce soir ?

Immédiatement l’esclave habilleuse se précipita et montra au Maître tout ce qu’elle m’avait fait essayer, dont la fameuse robe de soirée, signée Dior, que j’avais présentée quelques semaines plus tôt en avant-première à Milan. Il choisit lui-même les chaussures : escarpins ajourés sur le pied, dévoilant les orteils, avec des talons de 15 centimètres qu’Il me fit chausser immédiatement. Montée comme sur des échasses, je mesurais subitement 188 centimètres… Mais les talons me firent cambrer fortement les reins, ce qui mit en valeur mon fessier. Le Maître tournait autour de moi semblant apprécier ce qu’Il regardait…

- Et pour la robe demanda-t-il ?

Plusieurs parures lui furent amenées que je dus passer. Il me regardait avec un sourire mais ne semblait pas convaincu. Soudain s’adressant à moi, il me lança :

- Et toi petite chienne, que préfères-tu ?
- Maître, je ne sais pas si je peux…
- Je t’ai demandé celle que tu préférais…

D’un doigt je désignais la dernière portée par moi lors de mon dernier défilé…

- Je m’en doutais, tu sais, j’étais à ce défilé, et ce jour-là, je t’ai observé très attentivement sous toutes les coutures, tu étais vraiment très belle…

Je rougissais à ce beau compliment que je savais sincère. Outre le fait que cette robe était tout simplement sublime, elle représentait pour moi mon dernier défilé, mon avant, juste avant de devenir esclave… Coupée dans une sorte de tulle ajouré, ne cachant pratiquement plus rien des intimités et du corps, elle épousait parfaitement mes courbes, mettait en valeur mon fessier tout en en dévoilant le galbe des fesses, dénuder entièrement mon dos jusqu’en bas des reins, remontait sur le devant en un plissé froissé séparant les deux seins tout en les soutenant légèrement, voire les remontant même, pour se terminer en une ganse nouée derrière la nuque. De cette ganse, deux liserés descendaient le long de la colonne vertébrale, terminés par deux diamants de plusieurs carats.
Elle était noire, bordée d’un liseré violine. Sur le côté, droit, elle était fendue depuis le bas jusqu’à la taille, ce qui dévoilait quand je marchais l’intégralité de la jambe droite jusqu’à la taille mettent bien en évidence ma fesse droite. Le Noble regardait et regardait encore avec des yeux admiratifs, étincelants…

- C’est ainsi que je te veux ce soir.

L’esclave habilleuse s’inclina, le Majordome et Monsieur le Marquis d’Evans sortirent en m’entrainant à leur suite, le Maître me tendant sa main comme pour une danse, main que je baisai d’abord avant d’y déposer la mienne. Tous les trois, nous sortîmes, encadrés par les esclaves qui s’inclinaient à nouveau sur notre passage. Tandis que je suivais le Châtelain, toujours ses doigts tenant les miens, nous passions de pièce en pièce et à chaque fois, les occupants de la pièce traversée s’inclinaient sur le cortège… Nous arrivâmes dans le bureau du Noble. Celui-ci fit signe à son Majordome de nous laisser tous les deux. Walter salua poliment puis sortit. Le Châtelain prit place dans l’un de ses superbes fauteuils tandis que je restais debout, à quelques mètres de Lui, toujours sous l’emprise de la fichue crème qui me donnait des fulgurantes envies de copulations torrides… Il me faisait tourner sur moi-même, prendre des poses… et semblait réfléchir fortement d’un air grave. Quand le téléphone sonna plusieurs fois sans qu’il fit mine de s’en apercevoir ou de vouloir y répondre. Puis soudain, comme enfin arrivé au terme de sa réflexion :

- Petite chienne, tu es devenue maintenant Ma chose, Ma propriété mais j’ai encore beaucoup de choses à t’enseigner, comme je te l’ai déjà dit… Je sais que toi, tu peux aller très très loin dans ton esclavage et je suis prêt à te le faire subir. Pourquoi ? Mais tout simplement parce que tu le vaux bien, tu es parfaite, vraiment.

Ce disant, il se leva, s’approcha de moi d’une démarche très souple, me prit entre ses bras, respira le parfum de mon corps, approcha sa bouche de la mienne ce qui me fit l’ouvrir toute grande. De petits baisers déposés sur mes lèvres buccales, sa langue s’enroula autour de la mienne comme dans un ballet endiablé, me fouillant la bouche profondément, tandis que ses doigts au début, travaillaient mes tétons, les pressaient, les vrillaient ensuite, moi, j’écartais les jambes en proie à des coulées de lave brûlante. Sa main descendit sur mon bas-ventre et déjà je me sentais défaillir, son doigt titillait mon clitoris qui n’en demandait pas moins me transportant dans des contrées de plaisirs… sans lâcher mon clitoris, trois doigts pénétrèrent sans ménagement ma vulve trempée, jusqu’au fond ce qui me fit me cabrer fortement. Il n’eut pas abandonner ma bouche qu’Il continuait de picorer, mon téton subissait les affres de ses doigts, son pouce et son index travaillent tout le long de mon clitoris en une sorte de danse endiablée, tandis que ses doigts en moi, faisaient des ronds, pétrissant chaque millimètre de muqueuse vaginale, s’arrêtant sur mon point G devenu démesuré… je vacillais dangereusement :

- Ne jouis que sur Mon ordre ma toute petite chienne, me dit-il dans un souffle rauque, auquel je répondis complètement essoufflée et à demi-mots :
- Ouiiiiiiii… Maî… Maître adoré.

La danse infernale de Ses mains, de Ses doigts se poursuivaient, je ne résistais même plus, j’étais à Lui totalement, j’étais sienne, j’étais abandonnée entre Ses mains, j’étais devenue Sa chose, Sa chienne, dont Il pouvait faire ce qu’Il voulait… Tout d’un coup, un coup de poignet plus fort lui fit enfoncer très profondément ses doigts jusqu’au fond de ma vulve, ressortir et enfin, la main entière entra en forçant un peu mais entra. Une fois passée la paume de la main, le reste suivit facilement et c’est entièrement remplie, fistée, que je sentis ses bouts de doigts titiller le nez de mon col utérin. Je me connais physiologiquement parfaitement et lui dis doucement à l’oreille :

- Maî… Maître, pas là, s’il vous plait, je me connais, je ne pourrai pas me retenir du tout.

Il me répondit aussi doucement que moi en me mordillant les lobes d’oreilles :

- Je sais petite salope, je sais, mais je veux voir jusqu’où tu peux aller…

Et ce disant, sa danse endiablée reprit de plus belle. Toujours collé à moi, sa main droite au fond de mon vagin, immobile, tandis que ses doigts travaillent mon col utérin, son pouce titillant mon clitoris en des massages appuyés, sa main gauche parcourait la surface de mon fessier, ses doigts s’insinuaient dans ma raie culière, l’index s’aventurant sur ma rosette qui se serra en réflexe, puis s’ouvrit se laissant envahir par un d’abord, puis deux doigts profondément enfoncés et qui débutaient une danse endiablée. Mes deux orifices comblés, travaillée, je n’en pouvais plus, ma vue, plus que brouillée diminuait encore plus, je vacillais sur mes jambes, les tremblements accentués par les envies fantastiques causées aussi par la crème aphrodisiaque qui faisaient vibrer mes entrailles en une symphonie des sens, conduite par un chef d’orchestre Maestro, que dis-je virtuose qui arrivait à tirer de mon corps, la plus belle des mélopées comme un violoniste virtuose de son stradivarius… Je couinais comme la salope que je devenais :

- Maî… Maî… oh ! Maî… tre, Vous… savez… si bien… me faire… don…donner
- Quoi donc petite chienne, quoi donc ?
- Le Mei… Meilleur de moi-même, Maître.

Je ne tenais plus sur mes jambes et s’en rendant compte, quelques coups de poignets plus vigoureux plus tard, j’explosais littéralement en vol, urinant sur la main sacrée du Maître, médusé. J’avais abandonné toute résistance, y compris celle de mon sphincter vésical. Je ne m’en rendais même pas compte, tant j’étais ailleurs, dans un autre monde… Le Maître retira les doigts de ma chatte englués de cyprine qu’il me tendit pour les nettoyer. Je le fis avec une dévotion sans pareille tout en tremblant encore et alors qu’il avait gardé les doigts de la main gauche bien profondément enfoncés dans mon anus. La main droite nettoyée, arrive le tour de la main gauche. C’est à ce moment-là que je me rendis compte de la mare se trouvant entre mes jambes. Avec un bon sourire mais fermement cependant, le Maître me dit :

- A genoux petite salope, lèche ta pisse complètement… Tu as souillé mon beau parquet ancestral. Oui sache que le Marquis de Sade en personne a foulé ce parquet dans les années 1784-1785 (voir les Origines de la Saga)… Alors nettoie ce parquet ciré avec un profond respect, salope qui salope…

Confuse, honteuse, je me mis à genoux puis à quatre pattes, et commençai de nettoyer le sol avec ma langue… C’est à ce moment précis qu’Il vint derrière moi et m’encula sans ménagement m’ordonnant tout à la fois de poursuivre mon nettoyage tout en ondulant mon fessier pour lui donner le plus de plaisirs possibles. Il jouit très fortement et je sentis ses jets chauds inonder mon rectum. Il ne bougeait plus, restant un long moment en coït anal profond. Un moment après, il sortit de mon anus et alors que je venais de terminer mon nettoyage, il se plaça devant moi et m’ordonna de nettoyer son sexe, ce que je fis avec la plus grande attention. Alors que j’avais presque terminé de le nettoyer après de longues minutes d’un travail minutieux, il éjacula à nouveau dans le fond de ma gorge, à un point tel, que ne m’y attendant pas, je faillis régurgiter sa noble semence… mais ne rattrapant, j’arrivai enfin à avaler le tout, j’avais eu très chaud… Le Maître m’aida galamment à me relever, et avec une voix suave de douceur me dit :

- Je vais faire de toi, une très grande esclave…

(A suivre …)

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