La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1060)

La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -

- Je vais faire de toi, une très grande esclave…

Cette phrase résonne si souvent, et encore aujourd’hui, dans mon esprit !… Comme le soir même où en allant à une soirée, au restaurant ‘’L’Impératrice’’ à Versailles et tandis que nous roulions, je me rappelais le sens fort de cette phrase… Nous étions confortablement installés dans la sublime voiture du Maître, Walter au volant, la musique distillait ses gouttes de fraîcheur, et quelle musique !... Un de mes morceaux préférés : Le concerto N°1 de Nicolo Paganini.... Cette musique qui me fait revenir à la Cour de mes Ancêtres, cette musique si sublime qu’elle me fait instinctivement me redresser... Assise sur le rebord du siège arrière, les reins creusés et les seins offerts à la vue et au toucher, tandis que le Maître caressait mes fesses avec un sourire réconfortant :

- Merci Maître dis-je
- De quoi petite chienne, de quoi me remercies-tu ?
- Pour cette musique qui me touche au plus profond de moi, pour tout ce que vous faites...
- Je te connais plus et mieux que tu ne le penses et savais à l’avance qu’elle te plairait. Je sais maintenant que tu es du même milieu que moi, de l’Aristocratie et je le sens au travers des pores de ta si sensuelle et douce peau. Ne tente pas de nous empêcher d’admirer les trésors que la Nature t’a donnés et qui me ravissent. Je veux que tu en fasses de même ce soir, avec mes Invités.
- Des Invités, Maître ?
- En effet, ce soir, j’ai fait venir mes plus proches amis, tu vas te présenter à eux, répondre à leurs éventuelles questions, sans rien cacher, n’est-ce pas !
- Oui, Maître.
- Je tiens à ce que tu me fasses honneur.
- Je ferai tout mon possible Maître.
- Non ! Pas ton possible, tu feras ce que j’exige de toi à la perfection !
- Oui, Maître !

Je connaissais le restaurant pour y avoir été invitée plusieurs fois, par des sociétés pour lesquelles j’avais défilé.

Le personnel me connaissait également. Aussi, bien que je sois en terrain connu, ce soir, comme esclave plusieurs en seraient surpris.... J’étais vêtue d’une superbe robe en lamé, pratiquement entièrement transparente à cause d’un maillage particulier, avec deux pans descendant des deux côtés de mes cuisses. Le lamé était fait de fils d’or. Le dos était entièrement dénudé tandis que deux cordelettes remontaient par devant, entre mes seins, exhibés fièrement, se nouant derrière ma nuque en une ganse élégante. Les deux pans étaient ouverts depuis le début de mon sillon fessier et devant, depuis mon nombril, laissant apparaître à la fois l’intégralité de mes fesses et par devant, tout mon bas-ventre. Je portais des bas mais sans porte-jarretelles, et aux pieds on m’avait chaussé des escarpins Dior en soie. Mes oreilles arboraient de splendides dormeuses ornées de diamants, tandis qu’à mon cou, pendant un collier assez lourd, orné d’une médaille en or massif et frappée aux Armoiries du Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. A ras du cou, se trouvait le collier de chienne orné lui aussi d’une médaille frappée elle aussi, des Initiales du Maître. Du collier de chienne, pendait une laisse tressée… Je reconnais avoir fière allure.

Tout en roulant, le Noble titillait mon téton gauche, le pressait, parfois le vrillait fortement et à chaque fois, mon ventre se creusait, déclenchant l’érection de mon clitoris, humidifiant encore plus mes lèvres vaginales et l’intérieur de mon antre trempée. D’un geste autoritaire, le Châtelain me fit écarter encore plus les jambes, et tandis que le Majordome s’échinait en n’en perdre aucune miette dans son rétroviseur, les doigts agiles du Maître commençaient directement à branler mon clitoris sur toute sa longueur... Je suis obligée d’avouer que le Noble a une façon très personnelle de branler un clitoris. Un toucher alternant douceur et force, tapotements successifs, suivis de masturbation dans le sens de la longueur entre deux doigts, faisant sortir le nez du clito de son capuchon clitoridien.
Entre deux de Ses doigts, entourant le clitoris, Il place l’organe très sensible, au préalable bien « chauffé » par des tapotements, de façon à le faire se dresser. Ensuite, il le cale entre ses deux doigts, qui le presse, le font rouler entre eux, l’écrasant doucement, le relâche ensuite, le reprend entre les deux doigts, en un mouvement de bas en haut, comme le ferait une main avec un sexe masculin. Le résultat est fulgurant, car l’ensemble du corps du clitoris est excité… Il ne me fallut que peu de temps pour me transformer en torche vivante, tant ce que je vivais en cet instant me transportait sur des planètes inconnues. Alors que je commençais sérieusement à feuler, le Châtelain dit sur un ton ferme :

- Laisse toi faire mais ne jouis surtout pas !
(Entre deux soupirs, je répondis) - Oui, Maître…

Tout en continuant à me branler de plus en plus vigoureusement, il me fit me tourner vers lui, poser ma jambe gauche, allongée sur le siège arrière, à Ses côtés, me laissant ainsi face à lui, l’autre jambe pendante. Tandis que la luxueuse voiture roulait doucement dans Versailles, s’arrêtant aux feux rouges, Monsieur le Marquis, tout en continuant de travailler mon clito sur sa longueur, son pouce titillant le nez avec art, entrait dans ma chatte et sans préalable, trois doigts les remontant le plus haut que ma pose le lui permit.

- Oh Maître, dis-je dans un souffle, ah ! Que c’est bon, Maître.

Ses doigts fouillaient maintenant mon antre inondée de cyprine, tandis que sa bouche léchait mes tétons par une langue baladeuse et râpeuse, tout en les mordillant, les aspirant… Ma vue se brouillait.... ma respiration devenait saccadée... mais Il poursuivait son exploration, tandis que je l’aidais tant j’avais envie, en me renversant légèrement pour qu’Il puisse fouiller plus profondément et à son aise, prenant appui sur le large siège de mes mains posées de chaque côté de mon torse. Je renversais la tête en arrière, tant j’avais envie d’être prise, pénétrée, baisée! A un feu rouge, la Rolls-Royce s’arrêta et un scooter attendait comme nous le feu vert.
Et le conducteur regardait à l’intérieur de la Rolls-Royce la scène où le Maître était en train de me branler...

- Maître, dis-je lui désignant la moto, on nous regarde !
- Walter, abaisse la vitre, s’il te plait !
- Bien sûr, Monsieur le Marquis.

Tandis que la vitre s’abaissait, que le Noble continuait de me travailler plus fortement encore, alors que j’étais au bord de l’extase, il s’adressa au conducteur du scooter.

- Bonsoir cher ami !

Etonné le conducteur du scooter hésita un instant, puis, relevant la visière de son casque,

- Bonsoir Monsieur !
- Ne soyez pas gêné mon ami, regardez franchement ! Ne vous gênez pas, ma chienne aime cela, n’est-ce pas petite chienne ?

Il dit cela en accélérant très brutalement ses mouvements de doigts et dans un brouillard absolu, je répondis :

- Ouiiii Maître, j‘aime ça !
- Alors, tu vas dire à ce monsieur qui tu es !
- Je… Je suis … une petite chienne en chaleur …
- Si vous voulez caresser son téton, ne vous gênez pas, mais faites vite le feu va tourner au vert.

Le conducteur hésita une seconde, et tendit le bras attrapant mon téton droit qu’il faisait rouler entre ses doigts. J’étais au bord extrême de l’orgasme quand le feu vira au vert, le conducteur sortit son bras, Walter redémarra, et le Maître retira ses doigts me laissant à nouveau dans un manque atroce de jouissance. Mon bas-ventre, lésé criait famine, comme des contractions inassouvies… Je sentais sous mes fesses que je mouillais comme la salope que j’étais devenue et en plus j’en étais fière… Négligemment, Il me dit :

- Au fait, tu ne m’as rien caché de ta vie, bien sûr ?

Très surprise de sa question et subitement craintive...

- Non, bien sûr, Maître.
- Bien, bien ! Pourtant quand tu avais dix-huit ans... (Je l’écoutais et réfléchissais fortement)
- Oui, Maître, dix-huit ans ?
- Etudiante ?
- Euh oui, Maître…
- En Pharmacie, je crois, en veux-tu un peu plus ? Montpellier cela ne te dit rien ?.
..

Subitement la mémoire me revint, je rougis fortement, mais co… comment sait-il cet épisode de ma vie ? Je répondis :

- Oui en effet, Maître, je me souviens maintenant ce que vous voulez dire mais je vous assure que je n’ai pas voulu vous le taire. Seulement je ne m’en souvenais plus.
- Ah ? Alors tant mieux pour toi.

Je restais silencieuse subitement très mal à l’aise à l’évocation de ce mauvais souvenir qui avait laissé des traces profondes en moi et que j’avais enfoui très loin dans mon subconscient, comme pour oublier ce que je considérai être un cauchemar. Ce souvenir cuisant avait conditionné par la suite ma carrière de mannequin et me le faire remonter ici, en ce moment si merveilleux, le soir du début de mon chemin d’esclave, m’était subitement particulièrement atroce voire sadique même. Le Maître s’en rendait compte et me tapotait la main avec tendresse et affection...

(A suivre …)

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