Collection Étrange Phénomène. Casper (1x1)
Les vicissitudes de la vie viennent de nous entraîner au fin fond de la Bretagne, Julien mon mari a enfin trouvé un poste dans une usine de sardines comme directeur des ventes.
Il a vécu trois mois dans un hôtel à Concarneau avant que je le rejoigne.
Il a trente ans et moi, vingt-cinq, dès que je lai vu dans cette boîte, moi la parigote bon ton, jai craqué.
Que lon ne se méprenne pas, je suis loin dêtre une marie couche toi là, même si ce soir-là, je lai rejoint dans sa chambre à deux pas de la place de lÉtoile.
Jétais loin dêtre pucelle, javais connu le loup deux ans plus tôt lors dune autre soirée où javais pris une cuite mémorable et où je me suis retrouvée, moi la vierge, au centre dune partouze à cause de Clara.
Clara était ma colocataire à Paris, quand je faisais des études susceptibles de faire de moi une avocate.
Jai tellement joui chez Julien quil ma été facile de quitter Clara et de venir habiter dans sa soupente, il ma épousé et pendant plusieurs mois, nous avons vécu en nous débrouillant.
Mes parents ont quelques biens et comme il apprécie Julien, ils nous aidaient alors que, de son côté il soit seul au monde ayant été élevé par lassistance publique.
Cest un C.D.I. avec une paye fixe et une partie suivant ses résultats que Julien reçoit à Concarneau, de plus son patron qui a fait le métier avant dinvestir dans sa sardinerie lui permet, hors du temps, quil lui doit de vendre dautres produits.
Cest du matériel de sport pour une petite marque basée à Troyes qui lui fournit les produits.
Il me reste deux ans détudes, nous décidons que je finirais ma formation par correspondance et nous cherchons une maison où nous installer, nous cherchons à louer, mais la plupart des propriétaires préfèrent louer en meubler pour les estivants.
Les agences contactées, nous ont toutes proposé un bien donnant sur la mer, il lappelle « le manoir », mais à vendre, il y a quelques travaux, mais vu le prix de vente et laide de mes parents qui pourront venir maintenant quils sont à la retraite, nous décidons dacheter.
Dès que nous avons emménagé, et que nous avons vidé la soupente parisienne, jai de quoi mamuser pour meubler cette demeure de huit pièces, deux salles de bains et WC.
La maison est libre depuis des années, il y a une fuite sur un coin du toit la dernière tempête ayant enlevé une tuile de rive sans grandes conséquences car contrairement à la légende, il y a eu peu deau depuis cette tempête.
Dès le premier soir, Julien tient à me faire lamour, je fais attention, car mes parents sont dans la chambre voisine étant venus nous aider à déménager, je suis assez volubile quand je jouis, je dois même me mettre la main sur la bouche au moment où je menvole.
Dans chaque chambre, il y a une cheminée ainsi que dans la grande pièce du bas et la cuisine.
Les anciens propriétaires ont fait mettre un système de chauffage à haute performance avant de décéder dans un accident de voiture, cest du moins ce que les agences nous ont dit, les s essayant de vendre.
Nous dormons nues sous une couette depuis que, je lai rejoint, je nai jamais eu limpression quil accaparait la couette à Paris où les draps à lhôtel de Concarneau.
Je sens comme une brise, comme si la couette était soulevée tombante même au sol du côté de Julien, je nen prends pas ombrage, avant il ne bougeait jamais dormant dun sommeil de plomb.
Ici, le changement dambiance doit le perturber, je suis obligée de me lever pour récupérer la moitié de cette couette, mais une heure plus tard, il en va de même, au matin, je suis exécrable, jen veux à Julien et je lui rends la vie impossible au petit déjeuner.
Il part au travail lair bougon, je ne me savais pas de si mauvaise foi.
Julie, as-tu déjà vu Casper ?
Je suis dans la salle de fitness de la ville, je me suis inscrite pour faire du sport, je viens de faire presque vingt kilomètres à bonne vitesse sur un tapis, entourée par Brenda belle rousse aux gros seins dun côté et dArmel de lautre.
Armel femme au foyer, trois rejetons quà ce quelle, dit-elle, voudrait noyer presque tous les jours.
Armel femme certainement cocue, mais qui nen a pas conscience, surtout quand elle nous raconte les sorties de son mari qui semble être le roi des heures supplémentaires.
Casper, de qui parles-tu Brenda, je croyais que ton mari sappelait Gwendal ?
Armel, dis-lui, qui est Casper où je la laisse mourir idiote ?
Je croyais avoir trouvé des amies depuis que, nous courrons ensemble, cest parce que je tai mis cinq kilomètres Armel et seulement deux à toi Brenda que vous êtes si mystérieuses !
Tu as raison, on va être de bonnes copines, dautant plus que comme Parisienne, tu ignores les croyances de notre pays breton.
Une superstition dit que dans le manoir que vous avez acheté avec ton mari, vit un fantôme.
Quand tu nous as dit, la première fois où tu es venue ici, que vous aviez acheté cette grande bâtisse, nous nous sommes rappelé cette légende et ce fantôme étant sans nom, nous lavons appelé Casper.
Et que dit cette légende ?
À ce que nous savons de ces dernières années, le fantôme aurait deux comportements, il arriverait à faire mourir les personnes qui viennent vivre chez lui et que, lorsquil rencontrera celle qui lui ouvrira son paradis, la fortune lui sourira.
Les gens du coin vous traitent dinconscient, surtout depuis que le couple dAnglais qui avaient acheté votre maison et qui lont rénovée, ce sont tué sur une route du Yorkshire.
Ce sont de vieilles croyances, comment voulez-vous que votre Casper fasse dér une voiture à des centaines de kilomètres avec la traversée dune mer.
Quand je vais raconter cela à mon cher et tendre, il va éclater de rire.
La nuit suivante, quand nous nous couchons quand Julien vient me caresser la chatte, cette légende racontée par mes copines de sport me passe au-dessus de la tête.
Je pense plus aux plaisirs dêtre prise en levrette quau fantôme qui ait ceux où celles qui ne lui apporteraient pas son paradis.
Jadore mempaler sur la bite de mon étalon, je fais pénétrer sa verge en moi quand je sens une claque sur mon fessier.
Aie !
Je tai fait mal !
Tu mas claqué la fesse, cest la première fois que tu me fais ça !
Jai une main le long de nos corps ma chérie et lautre qui te caresse les seins, tu dois fantasmer et avoir cru que je te tapais les fesses, si tu en veux, tiens !
Une deuxième claque avec sa main matteint lautre fesse, bizarre, il est vrai que la première aurait dû être assénée par sa main sur mes seins, impossible par lautre.
Ce sera la seule chose qui pourrait me faire douter de ma certitude que notre maison et bien la résidence dun fantôme cette nuit-là, mais je suis quelquun de rationnel, je crois quand je vois.
Comme la veille, Julien part au travail, je repense à ce que les filles ont dit, je veux vérifier sil y a une once de vérité dans cette histoire extraordinaire.
Jenlève la couette qui est restée en place cette nuit.
Gentil Casper vient me caresser la chatte, si tu es le fantôme dun homme en moi-même ta verge, si tu es le fantôme dune femme, broute-moi la chatte.
Évidemment, rien ne se produit.
Les filles, vous aviez tort, jai invité votre fantôme à me baiser, il n'est jamais venu.
Jai été contente de te voir, javais peur quil ne vous ait tué.
Cause toujours, tu mintéresses et dabord qui est-il ?
Ce serait le fantôme de celui qui a fait construire le manoir et qui aurait fait tomber sa femme par la fenêtre avec le balcon, il croyait quelle lavait trompé avec son voisin.
Fantôme classique ici où en Angleterre, du mari cocu qui reste sur les lieux de son méfait attendant son salut.
Tu men diras tant, cette fenêtre est celle de la chambre où je dors avec Julien.
La nuit suivante, je ne rêve pas quoique mes yeux soient fermés, la nuit est noire, on pensait hier au soir que lorage allait éclater, mais il nen est rien et la lune est cachée, nous plongeant dans le noir complet.
Je dis donc que je ne rêve pas quand je sens la couette se soulever, et une caresse sur mes seins, comme si on les avait caressés avec un voile en mousseline légère, le voile passe deux trois fois dessus faisant bander mes pointes.
La caresse de la mousseline sarrête et la couette semble être replacée sur mon corps en sueur, jaurais voulu que cela ne sarrête jamais.
Toute la journée, jai traîné en peignoir, quand Julien rentre, rien nest fait, même le repas nest pas préparé.
Va te coucher ma chérie, cette chaleur inhabituelle en Bretagne doit te fatiguer, si lorage éclate cette nuit, tu iras mieux demain.
Je me couche dès huit heures, je dors toute la nuit, Casper ne vient pas me troubler, le tonnerre gronde sans que lorage éclate, juste des éclaires de chaleur qui zèbre le ciel, éclairant la chambre par les petits trous des volets en bois que nous devons changer.
Quand je me réveille, il fait nuit noire encore, je passe ma main à mon côté, Julien semble être déjà parti à la sardinerie, je rêve bien éveillée, la couette nest plus sur moi, il me semble que dans mon sommeil, jai eu trop chaud et que je lai balancé vers le sol.
Je suis nue les jambes écartées comme si je moffrais, je le faisais à Paris avec mon homme quand je voulais quil me sexe, nous navions pas de lit à barreaux sinon jaurais acheté des menottes pour quil me trouve soumise à son bon vouloir.
Jai à peine le temps de penser aux menottes quil me semble que mes bras soient tirés vers la tête de lit et quil me soit impossible de les bouger comme si un carcan les enserrait.
Cest toi gentil Casper, tu permets que je tappelle par ce nom, ce sont mes amis qui tont surnommé comme cela, Casper était un gentil fantôme qui passait en dessin animé quand jétais petite, je laimais beaucoup.
Bien sûr, je dois devenir folle à cause de cette chaleur, je me surprends à parler toute seule, mon corps ruisselle de sueur, des gouttes coulent dans mes yeux, mais mes mains quil mest impossible de bouger ne me sont daucune utilité.
Le voile de mousseline de la nuit dernière revient sur mes seins, ce qui me permet de retrouver la même sensation et fait darder mes fraises assez grosses que Julien aime caresser, voire mordiller.
Cest bon Casper, comment peux-tu faire cela comme tu es un spectre, dis-moi, cest toi qui mas claqué la fesse lautre nuit quand jétais à califourchon sur Julien, son sexe en moi.
Tu sais, jai beaucoup aimé.
Cest sûr, je suis devenue folle, parlant à un hypothétique fantôme qui hanterait notre maison après avoir défenestré sa femme.
Une nouvelle fois, je viens démettre lidée quil ma claqué la fesse et que jai aimé que je me sente retourner, les mains toujours au-dessus de ma tête et que mes fesses reçoivent une série de claques que je ressens, mais qui ne font aucun bruit.
Jusquà ou, ce que les filles mont dit, vais-je être imprégné
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