La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1061)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode N°1051) -
Je me sentais réellement prête à tout pour Le satisfaire. Plus quune envie, cétait devenu un besoin !
Durant plusieurs mois, je vivais « tranquillement » au Château. Ma vie était rythmée par mon travail de secrétaire de direction de Monsieur le Marquis dEvans, ce qui ne mempêchait pas dêtre en permanence utilisée comme la chienne esclave du Maître Vénéré. Assez régulièrement, le Maître sinterrompait dans Son travail et claquait des doigts. Je me désempalais alors de ma chaise à plug vertical intégré et je me dirigeais vers Lui à quatre pattes dune démarche gracieuse, féline, acquise par tant dexercices au cours de toutes ces années passées près de Lui. Puis je me prosternais, mon orientation dépendant de la direction de Son doigt, qui parfois pointait plus loin devant Lui, mordonnant de mavancer un peu et de me prosterner Lui présentant mon cul et ma chatte offerte. Parfois Il pointait le sol à côté de Sa chaise, et mon cul se retrouvait alors à portée de Sa main, laquelle me caressait parfois distraitement le galbe de mon postérieur, me claquant ou me doigtant de temps en temps le cul ou la chatte.
Ou encore Il pointait la pointe de Son pied, et alors je passais avec bonheur sous Son bureau, embrassais avec envies et dévotions Ses chaussures et jattendais prosternée, la prochaine exigence. Quel honneur et quelle joie lorsque le Maître claquait à nouveau des doigts, exigeant ainsi que je me redresse sur mes genoux, que je me rapproche un peu plus de Lui, entre Ses jambes écartées, que je sorte Son noble sexe de Son pantalon, et mautorisant à le prendre en bouche avec gourmandise, et à Lui faire des fellations digne de léducation que javais reçue au Château. Je Le suçais alors, Le pompais jusquà ce que Son vit atteigne Son paroxysme et laisse éclater de longs jets de spermes chauds au fond de ma gorge. Javalais alors Sa noble semence, nen perdant pas une goutte, puis Le nettoyais avant de Le réajuster.
Le reste du temps, mis à part lors de vacances scolaires, où je pouvais sortir du Château pour rejoindre mes filles dans la villa que le Maître avait la générosité de me permettre doccuper, je travaillais au côté de mes frères et surs de soumission à lentretien du Château, aux repas, à laccueil des nouveaux chiens ou des nouvelles chiennes quand cela arrivait. Certains ne restaient pas longtemps, dautres y restaient à vie. En certains se trouvait et se sentait la capacité de supporter le Joug de Monsieur le Marquis dEvans, qui nous permettait de vivre au mieux ce que lon était au fond nous-même, de nous faire grandir, évoluer et sépanouir dans ce que nous sommes. Mais comme on ne peut pas avancer dans la facilité, le cheminement ne se faisait que très rarement, voir jamais, sans douleur et abnégation totale, comme avait pu lexpérimenter la dernière petite chienne arrivée récemment au Château, lesclave Hathor. Mais tous ceux qui décidaient de rester, daccepter sans contestation lautorité du Maître Vénéré, ne pouvaient que vivre heureux !... Ainsi passèrent plusieurs mois. Un jour, alors que jétais assise sur ma chaise à plug si spéciale et si excitante, soumise Laïs MDE frappa à la porte du bureau du Maître, apportant le courrier. Celui-ci étant occupé et la renvoya de suite, mais je ne tardais pas à Lentendre sexclamer, mappelant rapidement près de Lui, en même temps quIl appuyait sur le petit bouton dappel sous Son bureau, faisant se présenter sans attendre Son fidèle Majordome.
- Ma chienne, tu vas avoir beaucoup de travail à exécuter en peu de temps ! Mon ami Wangdak, chez qui nous avons séjourné lors de notre voyage au Tibet, comme tu le sais, voulait se marier à sa chienne Sangmo.
- Vous pouvez me faire confiance, Monsieur le Marquis. Je vais de ce pas avertir Marie pour quelle puisse prépare un menu digne de Votre ami. A moins quil nait dexigences précises en quoique ce soit ?
- Non, non, carte blanche sur tout, mon ami ! Lobjectif étant de voir les choses en grand, voire démesurées et donc tu as, en plus des moyens humains via Mon Cheptel que nous disposons, tu as budget illimité
Ne regarde pas à la dépense
Tandis que le Majordome rejoignait la cuisinière pour se répartir le Cheptel suivant leurs besoins respectifs, de mon côté, jétais déjà partie à quatre pattes chercher esclave Phryné MDE, que je savais se trouver vue lheure, dans la salle dentraînement, où nous devions toutes et tous passer deux heures par jour.
Nous nous dépêchâmes de retourner dans le bureau du Noble, qui nous autorisa à entrer, mais une fois que nous fûmes prosternées, nous ignora de longues minutes. Silencieuses côte à côte, nous attendions Son bon vouloir, calmement. Notre vie se résumant à tout faire pour le satisfaire, et une des qualités de la soumise étant la patience, nous avions appris très tôt dans notre éducation à attendre dans la plus parfaite immobilité, même les mouvements induits par notre respiration étaient imperceptibles
Quand le Maître recula Son confortable fauteuil en cuir et se leva, nos curs frémirent mais aucun mouvement, aucun frisson ne put être aperçu. Nous étions telles deux statues extérieurement, mais bouillonnantes dexcitation intérieurement.
- esclave Phryné MDE, couchée sur le dos, cuisses écartées ! esclave Aphrodite MDE, en levrette, la tête entre ses cuisses, et lèche ta sur de soumission ! Exécution !
Immédiatement nous prîmes la position exigée.
Les coups de butoirs du Maître saccentuèrent, me prévenant de lapproche de Sa délivrance, quand lordre tomba
-Jouissez mes petites salopes de chiennes ! Je le veux !
Alors ce fut un trio dorgasmes qui éclata, moi me retrouvant le visage inondée par ma sur fontaine. Après quelques instants en coït anal profond, où nous reprenions tous les trois notre souffle perdu sous la puissance des jouissances qui nous avaient saisis, le Maître se retira et mordonna de le nettoyer tandis que Phryné MDE devait lécher ses propres sécrétions au sol dabord puis sur mon visage, lorsquIl décida que Sa queue était assez propre. Sous Son regard Dominant et son assentiment, le léchage de gueule de petite chienne se transforma en un long et chaud baiser langoureux, jusquà ce que quelques coups de fouet légers nous séparent.
- Suffit Mes petites putes ! Maintenant allez travailler ! Il ne Vous reste que dix minutes pour me présenter le projet-maquette de cartons dinvitation.
Après nous être prosternées devant Lui, et nayant reçu dautres ordres dans les trente secondes qui suivirent, nous nous dirigeâmes vers mon poste de travail, où nous pûmes voir quune seconde chaise spéciale petite chienne avait été placée. Phryné MDE, à qui javais rapidement expliqué ce qui était attendu de nous lorsque jétais allé la chercher, trouva très rapidement sur lordinateur à sa disposition, une ombre de Maître tenant par une laisse une esclave, celle-ci à genoux faisant la belle. Le carton devait être plié en trois parties, les deux de chaque côté se rabattant sur celle centrale, le Maître sur lun des rabats, sa chienne sur lautre. Lorsquon louvrait, on voyait en filigrane sur fond rouge apparaitre le Château, et le texte de linvitation en lettres dorées donnant un effet de trois dimensions. Au bout de dix minutes exactement, à peine sorti de limprimante, japportais à quatre pattes dans ma gueule le carton, que je déposais sur le bureau du Maître après mêtre redressée sur les genoux pour être à la bonne hauteur, sans avoir besoin dutiliser mes mains qui ainsi étaient exposées en faisant la belle, cest-à-dire poignets à 90 degrés sous ma poitrine, buste droit...
- Parfait mes chiennes, excellent travail ! esclave Phryné MDE, tu peux retourner voir Walter, pour savoir ce quil veut faire de toi, puisque la séance dentrainement est terminée. esclave Aphrodite MDE, je vais te donner le texte exact à écrire, et tu enverras par mail le projet au centre dimprimerie du Château. Je tai déjà envoyé la liste des invités. Veille donc à ce que le nombre exact dinvitations soit imprimé, sinon tu seras tenue pour responsable de lerreur et tu seras sévèrement sanctionnée. Tu y mettras le temps quil faudra, mais tu seras seule pour mettre les invitations sous enveloppe, et il faut quelles partent toutes demain matin à la première heure. Alors, dépêche-toi de te mettre au travail.
Lui-même se reconcentra sur ce quIl était en train de faire avant que je namène le faire-part de mariage, tandis que, après un petit sourire de connivence entre nous exprimant notre bonheur dobéir, chacune de nous partions exécuter les Exigences du Maître. Alors que je venais de mempaler sur le plug du siège, la cloche du déjeuner sonna. Jhésitais une demi-seconde sur ce que je devais faire, ayant un long travail devant moi. Jaurai aimé au moins pouvoir tout envoyer à limpression avant de partir, mais cela maurait mise en retard.
- Allez ma petite chienne, va manger toi aussi ! Tu sais combien je tiens et jexige que vous ayez une bonne hygiène de vie. Pas question, sauf si cest une exigence de ma part, de sauter un repas ! Je connais ta glycémie capricieuse ! Si tu faisais un malaise pour avoir sauté un repas, tu serais triplement sanctionnée. Une fois pour avoir désobéi à une de tes règles de vie imposées, une fois pour nêtre pas arrivée à lheure pour le service des chiens, et une autre fois pour avoir mis en danger un bien Mappartenant, cest-à-dire toi et ta santé. Je sais que tu te débrouilleras pour remplir complètement mes exigences concernant le mariage. Allez va !
Je me relevais donc, tandis que le Maître quittait le bureau, pour Lui-même aller se restaurer. Jarrivai juste à temps pour ne pas me faire sanctionner par Marie pour un retard. Je prenais le temps quil fallait pour manger. Je savais que de toutes manières, tous les chiens étaient relâchés en même temps, donc jaurai fini trop vite, jaurai pu me retrouver sanctionnée pour mavoir provoqué une mauvaise digestion. Cela dit, à peine jeus fini ma gamelle que Marie mappela pour me dire que jétais exempt des corvées qui suivaient normalement le repas car javais du travail qui mattendait. Je len remerciais en me prosternant, puis sur un sévère coup de cravache sur mon postérieur, je me dépêchais de retourner à ma tâche. Très vite, jenvoyais, après avoir vérifié minutieusement trois fois que je navais fait aucune faute dorthographe en tapant le texte, le projet à limpression, en précisant le caractère urgent de ce que je demandais sous lexigence du Maître Vénéré. Une heure plus tard, on vint apporter un carton de cinq cents faire-part avec autant denveloppes imprimées aux adresses des invités. Il me fallut toute laprès-midi et une partie de la soirée pour exécuter cette tâche, nétant pas exempt de mon travail quotidien de secrétaire particulière. Le Maître était parti depuis longtemps, lorsque je me dirigeais, une fois que jeus fini, vers le bureau de Walter, afin quil me conduise pour la nuit dans mon Cachot.
- Eh bien petite salope, tu finis bien tard ce soir, et tu mas par conséquent obligé également à veiller. Je vais donc être obligé de te sanctionner malheureusement.
Il disait cela comme sil était désolé pour moi de devoir me punir. Mais nous savions tous les deux très bien, quautant son côté pervers et sévère que mon côté maso allaient être satisfaits ! Cétait plus une manière de se détendre après une journée que le Majordome savait avoir été longue pour moi, pour libérer une bonne dose dendorphines avant de pouvoir regagner ma panière de chienne. Il me fit mettre debout, bras et jambes écartées. Il commença par me chauffer du plat dune cravache, avant dattr un fouet qui senroulait à loisir autour de mon corps nu et réceptif. Pas un son ne franchit mes lèvres, mais la cyprine qui dégoulinait le long de mes cuisses témoignait de mon excitation ! Plusieurs coups atteignirent mon sexe, qui devenait douloureux, autant par les coups que sous ma très forte envie de jouissance. Je haletais telle une vraie petite chienne en chaleur qui mourrait denvie de se faire prendre. Un dernier coup atteignant mon clitoris en même que lordre salvateur, et je partis dans un puissant orgasme qui me fit tomber à genoux tellement il me coupa les jambes. Et alors que mon orgasme durait, Walter appuya entre mes épaules pour que je me mette en levrette et il me baisa sans relâche après mavoir interdit tout nouvel orgasme jusquà ce que lui-même se vide dans ma chatte à grands coups de reins de mâle en rut. Et cette dernière jouissance dura de longues minutes, me faisant trembler dextase alors même que le Majordome sétait relevé et attendait tranquillement que je sois revenue parmi le monde des vivants pour lui nettoyer la queue. Il me mena alors jusque dans ma cellule pour que je puisse prendre un repos dont javais besoin, et qui ne serait pas très long, vue lheure tardive
(A suivre
)
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