Collection Étrange Phénomène. Casper (2x2)

• Oh ! Casper, tu peux être violent, j’adore, j’avais apprécié ta claque, mais cette fessée que tu fais s’abattre sur moi est divine, tu veux voir, je mouille.
Dis-moi, peux-tu me baiser, as-tu un sexe ?

Je me sens de nouveau retourné mis à quatre pattes, mes mains sont libérées et je sens que je suis au bord du lit, ma bouche s’ouvre sous la poussée d’une chose étrange à quoi il m’est impossible de résister.
De temps en temps, je suce Julien, j’ai cette même impression, mais contrairement aux autres fois où il m’est difficile de le sucer en gorge profonde, ce qui semble être une verge passe ma glotte et descendant jusqu’au plus profond de moi, j’ai même l’impression à un moment qu’un fluide ou un liquide me remplit l’estomac.
J’ai pompé Julien, mais sans qu’il décharge dans ma bouche, j’ignore si cette sensation ressemble à du sperme, ce qui est rigoureusement impossible, le phénomène s’estompe surtout que le soleil semble revenir de petits rayons commençant à éclairer notre chambre.
J’arrive à me voir et la position où je suis à quatre pattes sur le lit la tête en avant la bouche ouverte me confirme que je suis devenue folle.

Pour reprendre le cours de ma vie sans penser à Casper, la meilleure solution, c’est le sport aussi, je rejoins mes copines et leurs mets des kilomètres dans la vue courant sur mon tapis jusqu’à m’écrouler de fatigue.
Le midi, nous mangeons des fruits de mer dans la rue piétonne de Concarneau, nous achetons des bagues dans les boutiques qui vendent ces objets fantaisies aux touristes.

• Alors ton fantôme s’est-il manifesté ?
• Casper, non et pourtant, je suis vivante, Julien aussi, son travail lui plaît.
• Je serais toi, je ferais attention, quand les anglais son mort un orage comme celui qui menace tous les soirs avait éclaté.
• Arrêté d’essayer de me stresser, les phénomènes étranges très peu pour moi.

Je dis cela, mais le matin suivant, dès que Julien est parti, j’attends la venue de celui qui m’a fait sucer ce qu’il semble être sa bite me donnant aussi l’impression de m’envoyer du sperme dans l’estomac.


Hier, l’orage a failli se former, mais une légère brise de mer, nous a permis de passer une nuit chaude, mais nous permettant de respirer.
Je suis les cuisses bien ouvertes, si Casper vient me rendre visite, j’aimerais qu’il me prenne par la chatte, quelle impression j’aurais quand, ce qui a rempli ma bouche remplira mon vagin ?

Un souffle, cela commence par un souffle sur mon clitoris, un souffle continu, qui l’échauffe, je veux porter mes mains pour me masturber comme je le faisais à Paris de temps en temps, mais mes mains sont à nouveau bloquées.

• Casper, tu es là, tu veux avoir mon clito à toi tout seul, fait-moi plaisir, transforme-moi en chienne lubrique, ouah, je mouille, sens mes jets de cyprines qui vont vers toi, tu te rends compte, je vais mouiller tous les draps, je les ai mis hier.

C’est à ce moment que la cloche de la porte d’entrée servant de sonnette se fait entendre, me ramenant sur terre et me rendant l’usage de mes bras et mains, j’allume ma lampe de chevet, je me lève constatant les litres de liquide qui sont sortis de mon vagin, j’ai dû être une vraie femme fontaine quand Casper s’occupait de mon clito.
J’enfile mon peignoir, mes mules roses avec des chouchous et je descends voir qui est l’importun qui vient me déranger quand mon fantôme préféré me baise, je vais lui arracher les yeux pour lui éviter d’avoir envie de recommencer.
J’ouvre la porte, un homme de grande taille, la barbe hirsute est devant moi tenant un cagot de tomates.

• Bonjour, madame Julie, excusez-moi de vous déranger, je suis votre voisin, j’étais dans mon jardin quand j’ai pensé à vous, avec cet orage qui menace depuis plusieurs jours sans jamais éclater, mes tomates mûrissent toutes en même temps.
J’ai fait de nombreux litres de sauce et il m’en reste, j’avais l’habitude d’en apporter à l’anglaise qui était propriétaire avant vous, elle les appréciait beaucoup.
• Merci, je vous prends le cagot, si vous le voulez, nous viendrons vous saluer avec Julien, le week-end prochain.

• C’est lourd, je vais le porter dans votre cuisine, je le faisais avec Abby.
• Non, je le prends, je viens de me faire couler un bain, il va refroidir.

Je lui prends le cagot et je rentre en claquant la porte avec le pied, je suis en colère, il a fait fuir Casper.
Je flâne toute la journée, je prépare un repas aux chandelles, c’est le jour anniversaire de notre rencontre avec Julien, j’ai un peu de remords de donner l’impression de le tromper avec un étrange phénomène, aussi quand il dégraphe ma robe longue fermée par une simple épingle sur mon épaule, je le laisse s’agenouiller pour me brouter la chatte.
Je regarde autour de moi, la lumière des chandelles créées une atmosphère, mais pas suffisante pour réveiller Casper
Je viens de penser à cela quand un souffle, comme un courant d’air, balaye la pièce faisant vaciller les bougies, veut-il me signifier qu’il a saisi ma pensée et me fait-il voir qu’il ne m’oublie pas.

• Viens dans la chambre, je veux te remercier de ce bon repas.

Pourquoi notre chambre semble être le territoire de celui que j’aspire à avoir comme amant, je disais que je devenais certainement folle, c’est sûr, un fantôme même s’il s’appelle Casper me fait ruisseler la chatte ?
C’est sur le canapé que je m’allonge, que j’écarte mes cuisses et que je reçois le sexe de mon homme en moi, il est hors de question que je reste chaste avec lui, j’ai juré de le respecter le jour de notre mariage.

Comme la veille, je pense que l’orage qui nous menace depuis plusieurs jours va enfin éclater, au matin, le souffle vient me voir et mieux, comme je l’espérais comme pour ma bouche, je sens mon sexe ressentir comme une pénétration.
Ce filet, qui entre en moi, s’élargit remplissant ma cavité vaginale jusqu’à me faire manquer de souffle, c’est un vrai baobab qui par sa simple présence me fait jouir à hurler de plaisir, il est encore en moi quand j’essaye de reprendre mon souffle.

Contrairement à la verge de Julien qui va et vient avant de me remplir de son sperme, c’est sans mouvement que je ressens mon utérus comprimé et comme de la chaleur qui franchit cet endroit au plus profond de mon corps.
Je suis au sommet du plaisir jamais ressenti depuis que mon corps s’est ouvert à mes plaisirs, je suis devenue la chienne que j’aspirais à devenir.

Quand j’émerge, je ne sens aucune présence autour de moi, il faut dire qu’il fait jour et que le temps est aussi orageux, je vais prendre mon bain bien décidé à aller faire quelques kilomètres malgré la chaleur.
Je suis en peignoir quand dans ma cuisine, je vais pour débarrasser la table, Julien comme d’habitude est parti laissant sur la table, beurre de Bretagne, pain et couteau, la cloche sonne de nouveau, je vais ouvrir.

• Bonjour Julie, j’ai des courgettes pour toi.

Ce voisin, sans gêne, me pousse presque pour entrer et va directement dans la cuisine comme s’il était chez lui, pose son cagot et se rapproche de moi.

• Tu sais que tu es bandante, je te fournis en légumes et comme Abby la pute anglaise, je te satisfais la chatte, si tu savais le nombre de fois que je l’ai baisé sur la table de cette cuisine pendant que son cocu d’Anglais allait pêcher en mer.

Il sort sa verge de son pantalon fermement décidé à ce que je le suce, c’est vrai qu’il est impressionnant, mais Casper, l’est certainement plus et j’aime bien celle de Julien.
Une troisième bite dans ma bouche ferait de moi une pute alors je me refuse.

• Suce-moi sinon tu vas dérouiller.

Merci Julien d’être un mari qui compte sur sa femme pour ranger ses affaires après le petit déjeuner, j’empoigne le couteau et je le plante dans sa verge, il hurle et part en courant, bon débarra, s’il le faut, j’irai au marché acheter nos légumes.

C’est sûr, ce soir ça va péter, nous sommes assis devant la maison et les éclaires zèbrent la baie de Concarneau, c’est magnifique de là où nous sommes, on a l’impression que la mer s’embrase par moments.

Je demanderais bien à Julien de me baiser, mais j’ai trop chaud, de plus il travaille tôt comme tous les matins et il monte se coucher.
Je flemmarde quelques minutes surtout qu’il m’a apporté un verre d’eau très fraîche tiré de notre puits et que je mets en bouteilles avant de les ranger dans le frigo.

C’est sûr, ce soir ça va péter, nous sommes assis devant la maison et les éclaires zèbrent la baie de Concarneau, c’est magnifique de là où nous sommes on a l’impression que la mer s’embrase par moments.
Je demanderais bien à Julien de me baiser, mais j’ai trop chaud, de plus il travaille tôt comme tous les matins et il monte se coucher.
Je flémarde quelques minutes surtout qu’il m’a apporté un verre d’eau très fraîche tiré de notre puits et que je mets en bouteilles avant de les ranger dans le frigo.

Julien pense à sa maison, je pense à Casper, c’est fichu pour ce matin, je vois déjà les assureurs, peux être le maire, qui vont défiler pour constater nos dégâts, j’ai une drôle d’impression, quand la cheminée est tombée et qu’elle a dû être libérée vers le ciel, j’ai senti comme un souffle me frôlait la joue.

Quand les lueurs du jour apparaissent, la lumière est toujours absente, mais l’on peut constater les conséquences de la foudre, la cheminée est explosée, il y a de la suie partout jusque sur notre lit.
La glace de ma psyché me renvoie mon image, ma figure est constellée de points noirs.
Les plaques de ferraille coulissantes qui fermaient la cheminée ont volé à un mètre, et un tas de briques couvert de cette suie est descendu du haut de la maison.
Une chose m’intrigue, un rayon de soleil qui pointe par la fenêtre ouverte vient faire briller quelque chose de jaune, je la prends en main, c’est une pièce de métal dorée.

• Regarde Julien, c’est une pièce dorée.
• Fais-moi voir ?

Je lui donne et il la regarde.

• Julie, c’est un louis d’or, une pièce centenaire.
• Regarde, j’en vois d’autres.

Nous dégageons cinquante-deux pièces, qui étaient dans une boîte en bois, cette boîte est incomplète, Julien va chercher une lampe torche et dans une niche, il trouve le reste de la boîte protégé par une plaque de fer l’isolant du feu ou plus de milles de ces pièces.
Je me souviens de ce que mes copines m’ont dit.

« Lorsqu’il rencontrera celle qui lui ouvrira son paradis, la fortune lui sourira. »

En plantant le voisin et en me donnant au fantôme de notre maison, j’ai dû le libérer de ses chaînes, le dernier signe qu’il m’a donné quand il a rejoint son paradis, c’est ce souffle sur ma joue.
Le reste de la prophétie concernant la fortune, on décide de la cacher, surtout moi, les gens pourraient jaser sur ce que j’ai fait pour obtenir cette fortune, Julien a un ami qui se charge de revendre à des numismates, comme lui, nos pièces sous le manteau.
Il veut 10 %, nous arrivons à baiser à 6, l’état nous aurait pris beaucoup plus, voire tout pris, ce n’est pas moral, mais il faut bien se débrouiller dans la vie, ne le dite à personne.

Dans les jours qui ont suivi, le voisin qui a essayé de me soumettre comme il a dû le faire avec Abby, reproduisant ce que Casper avait subi avec sa femme avant de la par la fenêtre, entraînant sa mort même à distance.
La vengeance de mon gentil fantôme est passée par sa verge, la blessure effectuée avec mon couteau s’est infectée, il est mort de septicémie.

Pour terminer, alors que Julien en a une de grandeur normale, soit dix-huit à vingt centimètres, mon fils qui vient de voir le jour, neuf mois après l’incident de notre cheminée, fait l’admiration des sages-femmes et autres infirmières, la sienne fait déjà presque dix centimètres avec un diamètre de deux.
Chaque fois que je chance sa couche, je repense à Casper, serait-il possible que la chaleur au fond de mon vagin, quand il m’a pénétré, faisant éclater comme jamais mon corps, ait été du sperme sorti du spectre de mon gentil Casper.

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