Accident De Moto (6)
6°) La rencontre finale
Laprès-midi fut monotone avec les éternelles visites de personnes qui se sentaient obligés de venir voir le "grand blessé". Je nai pas revue Justine, j'espère qu'elle ne me faisait pas une crise de jalousie.
Dimanche matin, cest avec une grande joie que je la voyais entrer dans ma chambre pour mapporter mon petit déjeuner. Sans rien dire, elle posa le plateau et sapprocha directement de moi pour membrasser sur la bouche avec beaucoup de douceur et de tendresse. Nos langues se mélangeaient. La réaction fut immédiate, je bandais.
- Je n'ai pas trop de travail ce matin, la pro va venir assez tôt s'occuper de son popol.
J'en étais ravie. Mais quelques instants plus tard, à ma grande stupéfaction, c'est Christine qui entre avec le chariot toilette. Je ne comprenais plus rien.
- Mais...mais... où est Justine ?
- Arrête de bafouiller, oui c'est moi qui vais m'occuper de toi finalement aujourdhui, tu nes pas content ? Justine et moi nous sommes arrangées, comme tu as pris plaisir à nous raconter ce que tu vivais avec chacune dentre nous, nous en profitons maintenant pour partager aussi nos propres plaisirs.
- Si je suis content mais surpris, mais Justine vient juste de venir me dire quelle revenait pour soccuper de moi. Elle ma embrassé sur la bouche, cétait super agréable et regarde le résultat, lui dis-je en soulevant le drap. Dailleurs tu ne mavais jamais montré ce quon pouvait faire avec nos bouches et nos langues, je ne pensais pas que cela pouvait générer autant de plaisir, rajoutais-je.
- Cest une réclamation que tu me formules, tu nen as pas eu assez avec moi ?
Je la sentais piquée à vif, il fallait que je me ratt sur ce coup-là.
- Pas du tout ma belle-sur préférée, je te dois tout mon apprentissage, cétait plutôt pour te lancer une perche en espérant que je gouterai ta bouche comme jai pu gouter cette merveilleuse fleur entre tes jambes.
Javais fait le maximum là ! Elle eut un large sourire,
- Tu tes bien rattrapé, je verrai quand je sentirai lenvie venir je toffrirai peut-être ma bouche et te montrerai comment jutilise ma langue. Tu te rendras certainement compte quil y a plusieurs manières dembrasser, tu pourras comparer avec les baisers de Justine.
- Bon, maintenant que jai promis à Justine de moccuper de toi, il faut que je my attèle. Je ne serais surement pas une pro de la douche comme elle, mais je devrais savoir faire.
Elle maida à minstaller dans le fauteuil spécial douche et me retira ma chemise dhôpital. Je me retrouvais donc tout nu assis avec mon sexe déjà bien tendu. Elle se présentait devant moi, et sans rien dire fit sauter un par un les boutons de sa blouse pour la retirer et la poser sur mon lit. Elle était avec des dessous blancs, simples mais légers avec de la dentelle. Jadmirais une nouvelle fois ce corps très bien bâti, jaimais quelle prenne son temps avant de se mettre totalement nue. Elle restait ainsi vêtue et emballait mes plâtres avec les protections et mamenait dans la salle de bain en poussant mon fauteuil. Elle ouvrait les robinets pour régler la température et se préparait à me pousser sous le jet de la douche. Je larrêtai,
- hep hep, il y a un problème, cette fois je vais poser réclamation
- Tu es vraiment un patient exigeant, quest ce qui ne te convient pas encore ?
- Tu mas dit que tu remplaçais Justine avec son savoir faire, dans ce cas, je veux que tu sois à poil entièrement comme elle.
Elle me regarda, ouvrit la bouche pour commencer à dire quelque chose mais elle ne dit rien, passa ses mains derrière son dos, dégrafa son soutien-gorge lentement, retira les bretelles de ses épaules tout en maintenant les bonnets sur ses seins, elle se retourna, fit glisser son string avec une main jusquau sol, lécarta avec ses pieds avant de me faire de nouveau face. Elle avait pris soin de cacher sa jolie chatte avec son autre main.
- Voilà je suis à poil comme monsieur la exigé, dit-elle sur le même ton que javais employé.
Elle passa derrière mon fauteuil et me poussa sous leau.
- Cétait pour rire, vient je veux te voir sil te plait, dis-je dun air malheureux, jai eu ce que je méritais, viens me montrer, je suis devenu addicte de vos deux corps.
Rien ny fait, je lentendais derrière moi mais ne la vit pas. La pression de mon membre dressé montait encore avec mon imagination quand je sentis une main une main savonneuse se poser sur mon épaule, puis une autre sur lautre épaule.
- Penche-toi je vais te rafraichir le dos
Humm que cétait bon, je limaginais nue derrière en train de sactiver.
- Ferme les yeux maintenant, je vais passer devant mais tu nouvriras les yeux que lorsque je te le dirais. Si jamais tu ne mobéis pas, je par me rhabiller et tu nauras droit à rien aujourdhui.
- Promis juré, je navais pas envie de rater ce qui se préparait pour moi.
Je lentendais passer devant tout en gardant sa main savonneuse qui passait sur mon torse, lautre main prenait le même chemin mais de lautre côté, je fus surpris et ne comprenais pas comment elle pouvait faire ça. Je la sentais très proche, jentendais beaucoup de frottement de gémissement, elle se branlait en même temps ?
- Ouvre les yeux, entendis-je avec un grand soulagement
Et là cétait le spectacle du siècle, Justine avait rejoint Christine, elles étaient toutes les deux nues sous la douche avec moi, je profiter de cette vue des plus bandante. Christine était face à moi, Justine derrière lui avait attrapé les seins et les caressait. Christine avait posé sa tête en arrière sur les épaules de Justine qui en profitait pour lembrasser dans le cou. Jamais je naurai imaginé assister à un tel spectacle lesbien avec mes deux « INE ».
Christine sagenouilla devant moi ce qui me permit de pouvoir admirer le corps magnifique de Justine.
- Mais tu es trempée petite cochonne, elle lattrapa par les cheveux comme une vengeance, la fit se retourner et la força à sasseoir sur mon membre déjà ragaillardi.
Justine cria de douleur et de plaisir mélangé, elle ne bougeait plus le temps de reprendre son souffle. Christine se mit à lembrasser langue sortie tout en caressant ses seins, puis elle se penchait pour aller titiller le clito tendu de Justine quelle commença à branler littéralement. Je sentais lintérieur de son sexe se détendre autour de ma queue, elle posa alors ses deux mains sur les accoudoirs de mon fauteuil et entama une remontée lente, puis une redescente et ainsi de suite de plus en plus vite.
Après que nous ayons repris nos esprits, Christine la première me dit :
- bon je vais de laver et te rincer maintenant et je pense quon peut tous les trois en profiter.
Christine qui était la plus en forme nous savonna tous les deux avec Justine qui se laissait faire. Cétait dune sensualité débordante.
Je fermais donc les yeux et me laisser aller aux douces mains de Christine.
Essuyés nous nous sommes retrouvé tous les trois dans la chambre. Elles mavaient aidé à me remettre au lit épuisé.
- tu as de la chance de pouvoir tallonger toi, nous on ne peut pas, on est pourtant tout aussi épuisées.
Je les regardais toutes les deux, belles à ravir, je narrivais pas à croire que cela était réel. Mais je fini par dire à Justine,
- Cétait prévu ce que vous avez fait ?
- Bien sûr, nous avions tout organisé avec Christine, nous avions toutes les deux envie de tester notre côté lesbienne et javoue que ce fut un plaisir aussi fort quavec toi.
- Mais je voulais parler de la pénétration, tu étais
- Non cette partie nétait pas prévue, nous avions parlé de ma virginité avec Christine mais navions pas envisagé cela. Ne tinquiète pas je ne regrette rien, tout était rassemblé pour que je me lance. Jai finalement été dépucelée deux fois aujourdhui, dit-elle avec un air malicieux.
- Ce nétait que du plaisir consenti ajouta Christine, depuis que je mamuse avec toi, que j'ai osé de dépuceler, je me sens une autre femme, je découvre que je navais profité que peu des possibilités quoffraient ma sexualité. Si tu ne m'avais pas raconté tes exploits avec Justine, je ne laurais jamais abordé, ni peut être remarqué qu'elle était super mignonne et attirante. Pareil pour elle, à qui tu as raconté ton weed-end avec moi. Tu es un grand veinard mais nous aussi.
Elles étaient là toutes les deux toujours complétement nues debout devant moi, je ne pouvais pas détacher mon regard de ces deux femmes tellement appétissantes et bandantes.
- Je sais que tu aimes nous contempler dit Justine, et javoue que ce regard nous fait plaisir et nous excite toutes les deux, hein Christine.
- Oui cest vrai, on a limpression quil ne sen lasse pas répondit Christine.
- Mais il va falloir quon cache tout ça, conclua Justine.
- Jai encore une chose à vous demander,
- Encore disent-elles toutes les deux ensemble
- Oui jaimerai que vous restiez toute nue sous vos blouses toute la journée et que vous passiez me voir de temps en temps pour que je puisse vérifier dis-je avec un large sourire qui en disait tellement long.
Elles se regardèrent, elles haussèrent les épaules et en même temps passèrent uniquement leur blouse sur ce corps parfait.
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